Désir et Raison - histoire érotique

Avez-vous déjà eu l’occasion de voir votre femme être physiquement attirée par un autre homme ?
Moi, ça m’est arrivé. Et j’ai mis un long moment à savoir comment réagir.
A trente ans, nous étions sur le point de nous lancer dans le grand bain des couples préparant la venue d’un bébé. En attendant, nous profitions de la vie et en l’occurrence de vacances dans le sud de la France.
Il faisait beau et chaud. On avait fait la connaissance de 2 autres couples en tout début de séjour.
On s’est mis d’accord pour une soirée organisée par une commune proche de notre lieu de séjour avec repas, animations, danse…L’ambiance était super sympa. Les verres de vin se succédaient. A un moment, j’ai vu ma femme, Linda regarder un homme. Il était à une 20aine de mètres de nous. C’était un beau mec, assez baraqué. Il rigolait beaucoup avec ses amis. J’aurais juré voir Linda rougir en le regardant, même à vingt mètres de distance.
Le restant de la soirée, j’ai beaucoup observé.
Linda est une petite brune, 1.60m de féminité exacerbée. Ce soir-là, elle portait un robe d’été légère s’arrêtant à mi-cuisses et arborant un décolleté prometteur.
Dans ses talons hauts, ses jambes toniques étaient magnifiquement mises en valeur et sa robe moulait sa taille fine et sa poitrine ferme et généreuse.
Plusieurs fois, elle s’est levée pour aller chercher quelque chose au bar, ou aller aux toilettes. Chaque fois elle est passée près de ce mec. Pourtant, ce n’était pas le chemin le plus court.
Ça n’a pas loupé, il l’a remarqué à son 2ème passage. J’ai vu ma femme sourire à cet homme, heureuse qu’il fasse attention à elle. Je ne savais pas comment réagir. Jamais elle ne m’avait donné l’occasion d’être jaloux malgré les nombreuses fois où elle se faisait aborder. Je n’ai pas voulu faire de scène mais au bout d’un moment, je crois qu’elle a remarqué que quelque chose me contrariait.
J’ai dansé 3 ou 4 danses avec Linda et pour la première fois de la soirée, elle ne m’a pas donné l’impression de regarder l’autre mec. La musique suivante n’était pas trop mon style ni celui d’un des autres mecs donc on est partis au bar pour renouveler nos verres. L’attente a pris un moment car il y avait plein de monde.
Très vite, j’ai vu le beau mec danser près de Linda et ils se regardaient de temps en temps. A un moment, j’ai vu nos autres amis quitter la piste de danse soit pour retourner à notre table, soit pour aller aux toilettes. Le monde sur la piste de danse m’a caché quelques instants Linda et je l’ai perdue de vue ainsi que l’autre mec.
J’ai profité de l’arrivée d’un de nos amis au bar pour m’éclipser et qu’ils prennent ensemble notre commande.
Je n’ai pas mis longtemps à les retrouver. Je suis resté à bonne distance et caché, pas très fier d’espionner ma femme mais je commençais presque à douter d’elle. Et je n’avais carrément aucune confiance en un mec qui semblait célibataire et tout droit sorti d’un catalogue de mode masculine.
Ils discutaient et ils souriaient. Puis, il a posé sa main sur la taille de Linda alors qu’il lui parlait dans l’oreille. D’abord, elle n’a pas fui ce contact, l’appréciant même je crois, puis, je l’ai vu se raidir. Elle a fait non de la tête et a montré aussi son alliance. Elle a commencé à partir et j’ai lu sur ses lèvres « Désolée ».
Mais il a retenu Linda par la main et lui a juste donné une sorte de carte de visite avant qu’ils partent chacun de leur côté. J’ai vu ma femme hésiter avant de mettre le papier dans une petite poche de sa robe et de retourner à notre table.
Linda était troublée et un peu mal à l’aise aussi de me voir revenir à table après elle.
Le reste de la soirée a été plus agréable pour moi car j’ai retrouvé ma femme telle que je la connaissais et on s’est bien amusé.
De retour à notre hôtel, j’avais envie d’elle comme rarement. Et elle était très demandeuse.
J’ai eu du succès auprès des femmes avant mon mariage et je sais que je plais toujours même si je ne joue pas dans la même catégorie que l’autre mec. Je ne suis pas pourri, pas moche, et j’ai un sexe de 17cm toujours en forme quand c’est nécessaire.
Ce soir-là, j’ai commencé par faire l’amour à ma femme mais j’ai pensé à l’attraction que me femme avait ressenti pour l’autre et je me suis mis à la baiser plus fort. Linda était chaude comme la braise quand je l’ai prise en levrette. Elle jouissait fort. Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment-là.
- Tu voudrais que ce soit lui en ce moment ?
Linda a presque cessé de jouir un instant et je l’ai sentie se crisper. J’ai continué à la baiser jusqu’à ce qu’elle soit au bord de l’orgasme.
- Réponds ! Tu voudrais que ce soit lui qui te baise en ce moment ?
- AAAh ! Marc non !
J’ai fait une chose que je n’avais jamais fait avec elle. J’ai donné une fessée puis une deuxième alors que l’orgasme commençait à la submerger.
- DIS-MOI ! C’est par lui que tu aimerais te faire prendre en levrette hein ?
- OOOH Je suis désolée !
- DESOLEE DE QUOI ? (autre fessée)- AAAHHH ! MON DIEU ! OUI ! J’AVAIS ENVIE DE LUI ! Je ne sais pas pourquoi ! AAAAHHJ’ai donné encore quelques coups de reins alors que Linda jouissait vraiment fort. On s’est effondré sur le lit, en sueur.
Elle s’est blottie contre moi et au bout de quelques instants, elle a pleuré contre moi.
J’aime cette femme plus que tout au monde. La voir comme ça rend malade. Je l’ai prise dans mes bras pour la consoler. Elle a fini pas s’endormir et moi aussi.
Au réveil, elle me regardait.
- Bonjour mon chéri !
- Bonjour Linda !
Elle m’a embrassé.
- Marc, il faut qu’on parle d’hier soir je crois !
- Oui, c’est une certitude.
- Je ne pensais pas que tu avais vu… Pour l’autre mec… Alex.
- Il s’appelle Alex ?
- Oui… Ecoutes, je suis désolée. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Laisses- moi te dire ce que moi j’ai vu d’accord… Dès notre arrivée hier soir, tu as été complètement subjuguée par un autre homme… Juste sous mes yeux. Tu as fait ce qu’il fallait pour qu’il te remarque, très tôt dans la soirée. J’ai reconnu dans ta démarche et tes gestes, que tu tentais de le séduire.
- Marc…- Je finis s’il te plaît… Un peu plus tard, je me suis absenté un peu de la piste de danse et il est venu danser près de toi. Je ne suis pas fier de moi d’avoir cherché à savoir où tu étais, mais j’estime que j’avais des raisons d’être suspicieux. Je vous ai perdu de vu quelques instants et ça a été suffisant pour que vous partiez vous isoler. J’ai même vu à quel point tu le laissais être proche de toi et que tu le laissais te toucher. Mais finalement, tu t’es écartée et tu es venue nous retrouver.
Linda pleurait à nouveau.
- Marc, je… Je n’ai même pas eu l’impression d’agir comme ça…- Pourtant, en 2 heures, je me suis posé pleins de questions… Y compris sur notre mariage… Tu ne peux même pas imaginer tout ce qui m’est passé par la tête.
- Marc, je t’aime. Je te jure que je ne ferai plus jamais ça. Je crois que quand je l’ai vu, je me suis demandé si je pouvais l’attirer…- Oui, mais l’espace d’une soirée, je n’étais plus important pour toi.
- Ne dis pas ça. Ce n’est pas vrai.
- Je te connais bien Linda. Je sais que tu as aimé le moment où il te draguait un peu à l’écart. J’ai eu l’impression que tout d’un coup, tu t’es rappelée être mariée et que tu devais venir me rejoindre… Je n’arrête pas de me demander comment aurait fini la soirée si je n’avais pas été là ? Je n’arrête pas de me demander comment ça se passe quand tu as des soirées avec ton boulot à des centaines de km d’ici à ton siège social ?
- Arrêtes Marc ! Je te jure qu’il n’y a que toi depuis le jour où je t’ai rencontré. Jamais je n’avais agi comme ça et je m’en veux terriblement. J’ai vécu ça comme un jeu et je me rends compte que pour toi, c’était blessant pour toi. Excuses moi s’il te plaît ?
- Tu ne réponds pas à ma question. Et si je n’avais pas été là ?
- Je n’aurais pas été plus loin que ce qui s’est passé hier soir. J’en suis sûr. Je t’aime de trop pour te faire faire ça.
- Tu dis ça maintenant… Mais hier soir, à peine quelques secondes avant de venir me rejoindre, je sais ce que j’ai vu dans tes yeux. C’était du désir pur et très fort. Surtout quand il te parlait à l’oreille.
- Marc, tu es un beau mec. J’ai un paquet de copines jalouses de moi. J’ai toujours été franche avec toi. Alex est canon. Honnêtement, je ne me rappelle pas avoir déjà rencontré un mec avec autant de charme. Il dégage quelque chose qui m’a troublé. C’est vrai. Mais je n’aurai pas été plus loin.
- Mais tu as pensé à lui quand on a baisé hier soir !
- … Un peu… Ça ne veut pas dire que j’aurai passé le pas.
- Dis-moi ce qu’il t’a dit dans le creux de l’oreille. Ton regard a changé à ce moment-là.
- Marc…- Dis-moi !
- Il m’a dit qu’il voulait me ramener dans sa chambre et me faire l’amour, me baiser.
- C’est tout ?
Linda a rougi très fortement.
- Il m’a dit qu’il saurait s’occuper d’une femme comme moi, que sa grosse queue me ferait jouir et crier de plaisir bien plus que mon mari…- …- Marc, je suis désolée. Je me suis laissée emporter par l’ambiance, l’alcool aussi, un peu, et un beau mec qui faisait attention à moi. Ça n’arrivera plus. Tu me combles sexuellement et tu le sais. C’était génial cette nuit.
On a refait l’amour. J’étais très excité par toute cette discussion et j’ai même eu dans la tête des images de Linda se faisant baiser par ce mec. Je bandais comme un fou en y pensant et Linda me paraissait bien excitée aussi.
Durant la journée, j’ai beaucoup repensé à la veille. Pour moi, Linda n’avait pas été plus loin qu’un simple flirt et je n’avais pas vraiment de problème avec ça. Elle m’assurait qu’elle n’aurait pas été plus loin et je lui faisais totalement confiance.
Le lendemain, Linda est venue me voir très gênée, à la sortie de la douche. Elle n’avait sur elle qu’une serviette.
- Marc, j’ai quelque chose à te dire et je ne veux pas que tu te méprennes.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- A la soirée, tu as vu que j’ai quitté précipitamment Alex ?
- Oui ?
- En fait, ma broche, tu sais, celle de maman ? En dansant, elle s’est défaite et est tombée par terre. Je n’arrivais pas à la remettre et j’avais de la perdre dans la petite poche de ma robe alors Alex me l’a gardée. Ensuite, il y a eu la scène dont tu as été témoin et où je suis partie. J’étais troublée par tout ce qui venait de se passer. J’ai complètement oublié la broche de maman.
- Et je sais que tu y tiens beaucoup. Tu veux la récupérer.
- Oui, et je te jure que j’avais complètement oublié jusqu’à ce que je m’aperçoive que je ne l’avais plus mais… Alex m’avait donné une carte avec son numéro.
Je l’ai regardé en souriant, avec un air un peu narquois.
- Je te jure que c’est vrai. Je n’avais aucune intention de me servir cette carte. Je l’avais oubliée… Bref, je tiens beaucoup à cette broche et j’aimerai que tu me laisses l’appeler pour la récupérer.
- Je ne peux pas t’interdire de l’appeler ma chérie…- Merci.
- Et comment tu vois la chose ?
- Ben, on va se donner rendez-vous. Il va nous redonner la broche et voilà.
- Et si je te disais d’y aller seule ?
Elle m’a regardé comme pour voir si je blaguais. Sauf qu’intérieurement, je ne blaguais pas du tout. En l’espace de seulement quelques instants, je savais que j’étais prêt à laisser Linda vivre quelque chose de fou. J’étais même très excité à cette idée et mon sexe commençait à se raidir.
- Si j’y vais seule, il va croire que je ne viens pas que pour la broche et il va me faire du rentre dedans, me draguer. C’est sûr.
- A sa place, je ferais pareil. Je ne peux pas lui en vouloir. Mais comme tu m’aimes, tu vas lui résister non ?
- Oui, bien sûr.
- Pourtant, tu me l’as dit toi-même, il est beau.
- Oui, Il m’a dit qu’il posait pour des photos tu sais ?
- Ah oui ! donc, tu vas être capable de repousser un mannequin ?
- Oui.
Linda me regardait intensément, le rouge aux joues.
- Un mannequin qui t’as déjà promis que s’il te baisait, il saurait te faire jouir… Mieux que moi… avec son corps de dieu grec et sa « grosse queue »- … Oui, je le repousserai parce que je t’aime.
Je l’ai embrassée, passant ma main sous la serviette. Son sexe était trempé.
- Pourtant tu en as envie. J’en ai la preuve. Est-ce que tu fantasmes là ?
- Je… Avec tout ce que tu me dis… Oui… Un peu…- Et si…- Et si quoi ?
- Et si je te disais que tu as carte blanche.
- Carte blanche ?
- Tu vas le voir… Tu le laisses te draguer pendant que tu récupères la broche… Tu vois si tu as vraiment envie de lui…- Marc qu’est-ce que tu suggères là ?
- J’ai lu sa carte de visite. Il habite la région, à plus de 800km de chez nous. On ne le reverra jamais.
- Marc, c’est fou !
- Ça m’excite ma puce.
- C’est vrai ?
- Oui. Je te le jure. Si tu en as vraiment envie, ne te freine pas. Vis le truc à fond ma chérie.
- Je…- Appelles le ! Tout de suite !
Elle s’est dirigée vers le téléphone de l’hôtel.
- Tu ne prends pas ton portable ?
- Je ne veux pas qu’il ait mon numéro… Au cas où.
J’ai écouté. Une prise de rendez-vous tout ce qu’il y a de plus classique, dans un petit bar d’un autre quartier pour 15h00 l’après-midi même.
-------------------------------------------------------------Je n’en revenais pas de la tournure que prenaient ces vacances.
Je marchais dans une jolie petite rue commerçante du sud de la France par un beau soleil, vêtue d’une jolie petite robe et d’escarpins à talons.
Rien de bien surprenant mais pourtant, je marchais vers un homme qui n’était pas mon mari. Ce n’était pas mon amant non plus. Je n’avais aucune idée de la tournure du rendez-vous mais Marc m’avait convaincu d’y aller l’esprit ouvert. J’avais émis 2 conditions : il ne devait pas m’en vouloir quoi qu’il arrive, et il devait accepter que je ne lui dirais rien de ce qui se serait passé. Il a accepté, me disant qu’imaginer serait peut-être encore plus excitant pour lui.
Le truc, c’est que cet Alex avait eu sur moi un effet qu’aucun homme n’avait eu auparavant. J’avais senti le besoin de lui plaire. Je sais que je suis une belle femme mais j’avais eu besoin de me prouver que je pouvais plaire au mec le plus attirant que je n’ai jamais rencontré.
L’autre soir, j’avais réussi sans aucun problème à flirter avec lui mais ce à quoi je ne m’attendais pas, c’était d’éprouver une attirance charnelle aussi forte. Il dégageait du charisme et une assurance très impressionnante.
Alex était déjà au bar quand je suis arrivé. Il s’est levé de son tabouret pour m’accueillir. Il était en short et teeshirt. Le teeshirt collait à sa peau et dévoilait très bien un torse parfait, un ventre plat et des bras musclés.
On s’est fait la bise comme des amis alors qu’on se connaissait à peine. Il m’a tendu la broche et j’ai apprécié qu’il me la donne aussitôt. Après, il m’a demandé s’il pouvait me payer un verre et j’ai accepté alors i a passé commande et on s’est installé à une table.
On a parlé de la soirée et il a commencé à me faire des petits compliments sur mes robes, mon physique. C’était toujours bien tourné. Ses yeux d’un bleu très clair m’hypnotisaient.
Il m’a appris que ce bar était à lui ainsi que l’hôtel se trouvant au-dessus. Le bar était bondé en cette saison estivale alors il m’a demandé si je voulais visiter son hôtel. Il m’avait dit ça en me caressant un peu le bras. L’allusion n’était pas très subtile mais ça faisait 1h00 qu’on parlait et qu’on rigolait.
A ma grande honte, cela faisait aussi 1h00 que je buvais ses paroles, que je regardais ses lèvres sensuelles. 1h00 que son regard se perdait dans mon décolleté généreux, et généreusement choisi par mon mari.
Ma décision était prise. Je n’allais pas laisser passer l’occasion de coucher avec Alex puisque mon mari m’avait presque incité à le faire et en tous cas donné son feu vert. J’ai brièvement regardé mon téléphone pour être sûr que je n’avais pas de message de Marc. Il y avait juste un « je t’aime. Profites »Je me suis levée sans lâcher sa main qu’il avait posé sur la mienne. Mon consentement était clair.
Il m’a emmené par un ascenseur dans une belle chambre. Dans l’ascenseur, ses lèvres avaient trouvé les miennes alors qu’il me collait à lui en me tenant par la taille, mes mains posées sur ses épaules.
Arrivée devant un lit immense, j’ai saisi son teeshirt. Il m’a aidé et l’a fait passer par-dessus sa tête. OUAH ! quand je disais qu’il semblait parfait, c’était sous-estimé. Chaque muscle était visible, pas un poil pour gâcher le tableau. Il a vu mon admiration et m’a souri.
- C’est beaucoup de travail Linda.
- Le résultat est « impressionnant »J’ai passé mes mains presque timidement de ses épaules, sur ses pectoraux, ses côtes, ses abdos sculptés. Alex m’a embrassé et je me suis sentie fondre. Il était très doué.
Ma robe s’est retrouvée à mes pieds rapidement et ses mains ont parcouru mon corps. Profitant de l’absence de soutien-gorge, mes seins étaient offerts à ses caresses et à sa bouche dès qu’il a eu fini de m’embrasser dans le cou en me procurant des frissons de désir et de bien-être.
Mes tétons étaient durs et sensibles. Très vite, ses mains ont pris possession de mes fesses et mon string a volé à travers la pièce. Alex m’a prouvé qu’il savait ce qu’il faisait quand sa bouche a trouvé mon sexe et que sa langue s’est occupée de mon clitoris. Je n’ai pas mis longtemps à approcher l’orgasme. Alex l’a senti et a ralenti ses caresses, Il était vraiment doué. Il fait monter mon plaisir graduellement jusqu’à me jouir fort et longtemps sous sa langue habile.
Il m’a ensuite embrassé, me faisant goûter le jus de mon propre plaisir. Je prenais énormément de plaisir à caresser un corps si parfait. J’ai commencé à passer mes mains sous la ceinture de son short pour le faire descendre. J’avais maintenant les mains sur 2 fesses fermes et douces. Son sexe encore emprisonné dans son caleçon pressait contre mon ventre.
Alex s’est levé et a enlevé ses derniers vêtements. Il n’avait pas menti. Son sexe était « imposant ». Il battait de 3 ou 4 cm le sexe de Marc en longueur pour un diamètre bien plus impressionnant. Et c’était une barre de fer dont le gland me faisait presque peur.
Mais je me suis vite rendu compte que je n’avais pas à avoir peur. Je mouillais comme une folle et le gland calé à l’entrée de ma chatte n’a pas mis longtemps se frayer un passage.
Je me suis sentie m’ouvrir pour lui, sensation déjà très forte, mais il s’est stoppé et m’a embrassé puis regardé dans les yeux.
- Ton mari sait que tu es là ?
- Oui- Il savait que j’allais te baiser ?
- Il s’en OOOOOHHH ! doutait !
- Alors profites ma belle !
Il s’est enfoncé en moi et je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un cri tellement la sensation était forte, inconnue. Je me sentais remplie par ce membre.
Il est ressorti et rentré plusieurs fois, m’arrachant chaque fois un cri de plaisir. C’était en même temps puissant et doux, quelque chose que seule une grosse queue peut faire ressentir à une femme, je m’en rendais compte à cet instant.
Il a accéléré et j’ai joui, bloquée sous son corps, incapable de bouger.
Il m’a fait passer sur lui et je me suis empalée. J’ai bougé mon bassin d’abord pour me faire mieux à sa taille, puis j’e suis montée et descendue sur lui. J’ai maintenu un rythme qui me fait chaque fois jouir. Je n’ai pas été déçue. Je le sentais loin en moi et en même temps, mon point G était stimulé en permanence. J’ai joui à nouveau, mon corps se crispant sur lui, les ongles plantés dans ses épaules.
J’avais cru qu’il avait joui mais il m’a dit après qu’il avait été juste à la limite quand je me suis finalement arrêtée de bouger sur lui. Il m’a laissé me remettre de cet orgasme vraiment puissant et m’a mise en levrette.
Alex avait beau n’avoir aucun poil à part au niveau du pubis, c’était l’homme le plus viril avec lequel j’ai été. Ses muscles, sa carrure, sa mâchoire prononcée, ses yeux de fauve quand il me regardait.
Il s’est positionné derrière moi et m’a pénétré de tout son long. La sensation était inconnue pour moi, grisante. Je me suis sentie femme, capable d’accepter en moi le membre d’un vrai étalon. Il a laissé son gland tout au fond de ma chatte un long moment. Je respirais fort, à la limite de jouir. Je n’en revenais pas.
Quand Marc me prend comme ça, je le sens au fond mais Alex va plus loin, plus intensément. Je le sentais pousser tout au fond doucement et j’adorais ça.
J’ai commencé à onduler du bassin en poussant des petits gémissements. Dès qu’il m’a senti bouger un peu, Alex a commencer à vraiment me baiser. Il était fort et puissant et sa prise sur mes hanches me mettait à sa merci, accentuant mon excitation.
Alex commençait à pousser des petits cris d’effort et de plaisir lui aussi. Ensuite, j’ai joui, joui encore, criant mon plaisir, criant son nom. Jamais je n’avais joui comme ça, aussi longtemps, aussi fort.
Alex a joui en moi mais j’étais dans un autre monde. Je me suis écroulée sur le lit et je n’ai même pas su qu’il avait joui avant de voir son sperme couler de ma chatte sur les draps un peu plus tard.
On a parlé un peu et je me suis levée, complètement hagard et je me suis rhabillée.
- Linda, avec toi, c’est quand tu veux, où tu veux.
- C’était génial Alex, je ne vais pas le nier, mais c’est la seule et unique fois pour nous.
- D’accord.
J’allais partir quand il m’a appelé. Je me suis retournée. Il était allongé sur le lit et avait une pose mettant en valeur son corps parfait de la tête aux pieds en passant par son gros sexe encore à moitié bandé. J’ai senti comme des papillons dans mon sexe.
- Linda, je sais que tu as mes coordonnées. J’ai vu tes réactions. Tu étais accroc à mon corps, à la taille de mon sexe et à ma façon de te baiser… Tu me rappelleras !
J’ai quitté la chambre, déchiré ses coordonnées et je suis retournée directement voir Marc qui m’attendait. Je lui ai simplement dit que c’était très bon et que je ne regrettais pas.
5 ans ont passé. J’ai 2 enfants avec Marc. Je ne regrette toujours pas l’heure passée dans le lit d’Alex. Je peux même dire sans rougir que je me la remémore de temps en temps mais ce que je sais, c’est que ça ne vaut pas une heure passée avec mon mari adoré et mes 2 petites filles…