Deux couguars s'occupent du jeune mâle dominant. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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Deux couguars s'occupent du jeune mâle dominant. 3
Deux couguars pour un jeune mâle.
Après quelques secondes de flottement, il s’aperçoit de la réussite du changement de cible et profite de l’aubaine pour entrer au complet entre les fesses de Christine que je n’ai jamais entendu crier aussi fort.
-Aaaaaaaahhhhhhh ! Oh putain de merde ! Il m’a enculé le petit con ! Oh putain le morceau ! Oh putain ! Oh putain !
Suite.
Claude a reprit l’initiative et pourfend à une vitesse folle le cul de Christine, s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque poussée pendant que sa main droite qui a trouvé la fente dégoulinante s’active à l’intérieur.
Mais je veux moi aussi participer et comme je sais que Christine aime être fistée, ma main prend la place de celle de Claude. Un, deux, trois, quatre doigts disparaissent dans sa fente. Ma main est bloquée par la fourche de mon pouce.
Je la retire un peu pour regrouper mes cinq doigts et par des mouvements tournants et délicats, je fais disparaître toute ma main dans la grotte accueillante. Je retourne ma paume pour essayer de saisir à travers la mince paroi ce chibre que je sens glisser dans le colon de mon amie. Quelle sensation extraordinaire. Et je réalise que mon poignet a pratiquement le même diamètre que sa queue.
-Aaaaahhhhh ! Arrêtez tous les deux ! Aaaaahhhhh ! Je coule ! Je coule ! C’est divin ! C’est diabolique !
Un flot noie ma main, suinte sur mon bras et vient encore huiler le formidable piston dans sa course folle.
-Ah putain ! Je ne peux plus le supporter, c’est trop fort !
Il veut la retenir mais elle est plus forte que lui et elle réussit à s’extraire du piège pour s’effondrer au sol.
-Bordel de merde ! Je suis morte ! Jamais je n’ai ressenti ça ! C’était vraiment trop fort ! Putain de queue ! Et toi Paule… Tu ne perds rien pour attendre !
Je regarde Claude, il a un petit sourire aux lèvres. Sa position assise fait que la barre de chair toujours aussi imposante lui arrive pratiquement sur ses pectoraux.
J’entends soudain Christine déclarer :
-Toi qui es moins ouverte que moi, tu vas en chier…
Elle m’a cédé la place mais je vais m’étendre sur le lit, allongé sur le dos, lui présentant mon sexe lisse et épilé. Il s’approche de moi, écarte mes jambes pour me brouter le minou, il plaque sa bouche sur mon abricot et sa langue se met au travail, alternant entre des pénétrations profondes dans mon vagin et le titillement avec la pointe de sa langue de mon clitoris, me faisant vite gémir de plus en plus fort.
Un doigt s’égare pour coulisser dans mon cul pendant qu’une main vient pétrir ma poitrine.
Christine soupire d’envie en voyant le monstre de Claude balloté entre ses jambes, toujours fièrement dressé, toujours aussi long et épais. Elle n’y tient plus et engouffre le gland violacé pendant qu’il me fait monter dans les tours.
-Ouuuuiiiii ! Continue brave petit prince ! Viens rendre les honneurs à ta dulcinée.
Christine continue sa fellation experte faisant entrer et sortir le vit de sa bouche, le pompant bruyamment. Son propriétaire doit apprécier vu ses grognements de plaisir.
Je suis trop impatiente et lui commande :
- Viens ! J’ai hâte de te sentir !
Il sort son engin de la bouche-four de Christine et vient frotter son gland contre mon clitoris. Sa queue glisse entre les lèvres de ma chatte avant qu’il ne s’immobilise, le gland à l’orée de ma grotte. Christine prend sa verge d’une main sûre et caresse ma vulve hyper-sensible.
Dans un mouvement de bassin très doux, son gland s’enfonce dans mon vagin et je n’en reviens pas de prendre un tel monstre avec autant de facilité. Sous la poussée la tige écartèle mes chairs et commence à disparaître, avalée par mon sexe trempé.
Un bruit d’air compressé s’échappe de ma chatte tellement sa queue épouse mes muqueuses martyrisées.
Mais quand il butte au fond de moi, je dois reconnaître que je ne suis pas aussi profonde que Christine.
J’aime réunir mes talons dans le dos de mes amants pour diriger leurs pénétrations d’un coup de talons sur leurs fesses, mais avec lui, la grosseur et surtout la longueur de la verge qui encombre mon vagin me l’interdit. Nos pubis ne peuvent se rejoindre. Je ramène mes jambes à hauteur de ma poitrine pour le laisser mener la danse et mieux sentir ses coups de boutoir.
Je tiens la bite d’une main pour en limiter la pénétration, n’en revenant pas qu’il soit possible de s’enfoncer un tel morceau dans le vagin. Mon corps essaie de fuir quand il va trop loin mais je ne peux bouger.
Très vite, je surfe sur une immense vague de plaisir. Il me travaille tant et si bien que je suis au bord de perdre connaissance.
- Mmmpppfff ! Tu es vraiment gros !
- Je crois que tu devrais la ménager ! Le sermonne Christine.
- Pas avant de lui visiter l’arrière-train ! Rétorque Claude.
- Tu vas voir quand il va te casser le cul ! Claironne Christine. C’est dément.
Je réalise soudain qu’il n’a pas jouit depuis plus d’une demi-heure… et on le croyait puceau…Christine ne reste pas inactive et fait tout pour préparer mon anus à l’inévitable.
Ce n’est pas que je n’aime pas me faire sodomiser, mais j’ai toujours eu quelques difficultés de ce coté-là.
Je sens que le moment fatidique approche, Claude vient de me retourner sur le ventre.
Bien sûr, Christine en profite pour le pomper encore une fois, graissant abondamment de sa salive le nœud épais. Elle prend ensuite soin de moi en crachant entre mes fesses et étendant consciencieusement sa bave sur et dans ma rondelle avec ses doigts.
Une multitude de phalanges entrent de concert dans mon anus. Elle se tourne vers Claude et lui lance :
- Allez, viens beau mâle, viens lui exploser la rondelle avec ton monstre !
Elle prend le membre de Claude en main pour le guider vers mon anus.
Il s’installe, les jambes écartées autour des miennes serrées. Il doit adorer sentir l’étau de chair enserrer son prépuce car quand le gland complètement étranglé par mon sphincter franchit enfin la frontière, il ne bouge plus.
Serrant les dents pour réprimer mes cris de douleur, je subis l’outrage avec stoïcisme.
La contrainte qu’il s’inflige augmente son plaisir, il me pénètre avec une infinie douceur pour ne pas me causer de douleur excessive et que je m’accoutume à la taille de son défonce-cul qui porte bien son nom.
J’halète comme une chienne en chaleur avec de petits soupirs à chaque centimètre supplémentaire qui disparait dans mon fondement.
Il me laisse quelques instants pour m’habituer. Je n’aurais jamais crû pouvoir supporter dans ma pastille un tel soc et pourrais-je en jouir ?
Il se retire de mon anus pour que Christine le reprenne en bouche avant de revenir à l’assaut.
Je suis hyper-concentrée sur la sensation d’avoir un tel engin dans mes boyaux, je dois avoir le trou du cul en chou-fleur, c’est sûr, mais avec étonnement le supporte mieux que je ne croyais.
-Maintenant, tu vas payer pour m’avoir désobéit, me susurre-t-il à l’oreille.
Il prend de ses deux mains ma jupe roulée en boule au niveau de ma taille et tel un cow-boy sur un pur-sang un jour de rodéo me pourfend sans plus aucune retenue.
J’hurle comme une dingue, me retenant des deux mains au bord du matelas pour résister à ces ruades folles. Sa queue que je croyais plantée au plus profond de mon fondement vient de progresser encore d’une dizaine de centimètres.
Je la sens dans mon ventre comme un énorme poignard qui déchire mes intestins à chaque fois que ses couilles s’écrasent contre mon pubis en claquant. Je ne suis plus qu’un jouet dont il use et abuse.
Je ressens très bien son démonte-pneu aller et venir en moi, distendant plus que de raison mon petit cul si délicat comme jamais il ne l’a connu.
Petit-à-petit, j’arrive à surmonter l’indicible douleur et sens monter en moi un fabuleux orgasme. Ce gros pieu au plus profond de mon fondement me submerge de sensations extraordinaires.
- Pitié ! Arrête, je n’en peux plus, tu me tues, tu as gagné !
Il arrête enfin cette cavalcade effrénée et se retire de mon cul me laissant complètement exsangue sur le lit. Il est à coté de moi, sur le dos, sa respiration est sifflante mais sa formidable lance, toujours aussi vaillante, n’a toujours pas lâché sa liqueur.
Christine, ne perdant pas le Nord, repasse aussitôt à l’attaque :
-Détends-toi brave chevalier, laisse dame Christine s’occuper de ta lance !
(A suivre)
Après quelques secondes de flottement, il s’aperçoit de la réussite du changement de cible et profite de l’aubaine pour entrer au complet entre les fesses de Christine que je n’ai jamais entendu crier aussi fort.
-Aaaaaaaahhhhhhh ! Oh putain de merde ! Il m’a enculé le petit con ! Oh putain le morceau ! Oh putain ! Oh putain !
Suite.
Claude a reprit l’initiative et pourfend à une vitesse folle le cul de Christine, s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque poussée pendant que sa main droite qui a trouvé la fente dégoulinante s’active à l’intérieur.
Mais je veux moi aussi participer et comme je sais que Christine aime être fistée, ma main prend la place de celle de Claude. Un, deux, trois, quatre doigts disparaissent dans sa fente. Ma main est bloquée par la fourche de mon pouce.
Je la retire un peu pour regrouper mes cinq doigts et par des mouvements tournants et délicats, je fais disparaître toute ma main dans la grotte accueillante. Je retourne ma paume pour essayer de saisir à travers la mince paroi ce chibre que je sens glisser dans le colon de mon amie. Quelle sensation extraordinaire. Et je réalise que mon poignet a pratiquement le même diamètre que sa queue.
-Aaaaahhhhh ! Arrêtez tous les deux ! Aaaaahhhhh ! Je coule ! Je coule ! C’est divin ! C’est diabolique !
Un flot noie ma main, suinte sur mon bras et vient encore huiler le formidable piston dans sa course folle.
-Ah putain ! Je ne peux plus le supporter, c’est trop fort !
Il veut la retenir mais elle est plus forte que lui et elle réussit à s’extraire du piège pour s’effondrer au sol.
-Bordel de merde ! Je suis morte ! Jamais je n’ai ressenti ça ! C’était vraiment trop fort ! Putain de queue ! Et toi Paule… Tu ne perds rien pour attendre !
Je regarde Claude, il a un petit sourire aux lèvres. Sa position assise fait que la barre de chair toujours aussi imposante lui arrive pratiquement sur ses pectoraux.
J’entends soudain Christine déclarer :
-Toi qui es moins ouverte que moi, tu vas en chier…
Elle m’a cédé la place mais je vais m’étendre sur le lit, allongé sur le dos, lui présentant mon sexe lisse et épilé. Il s’approche de moi, écarte mes jambes pour me brouter le minou, il plaque sa bouche sur mon abricot et sa langue se met au travail, alternant entre des pénétrations profondes dans mon vagin et le titillement avec la pointe de sa langue de mon clitoris, me faisant vite gémir de plus en plus fort.
Un doigt s’égare pour coulisser dans mon cul pendant qu’une main vient pétrir ma poitrine.
Christine soupire d’envie en voyant le monstre de Claude balloté entre ses jambes, toujours fièrement dressé, toujours aussi long et épais. Elle n’y tient plus et engouffre le gland violacé pendant qu’il me fait monter dans les tours.
-Ouuuuiiiii ! Continue brave petit prince ! Viens rendre les honneurs à ta dulcinée.
Christine continue sa fellation experte faisant entrer et sortir le vit de sa bouche, le pompant bruyamment. Son propriétaire doit apprécier vu ses grognements de plaisir.
Je suis trop impatiente et lui commande :
- Viens ! J’ai hâte de te sentir !
Il sort son engin de la bouche-four de Christine et vient frotter son gland contre mon clitoris. Sa queue glisse entre les lèvres de ma chatte avant qu’il ne s’immobilise, le gland à l’orée de ma grotte. Christine prend sa verge d’une main sûre et caresse ma vulve hyper-sensible.
Dans un mouvement de bassin très doux, son gland s’enfonce dans mon vagin et je n’en reviens pas de prendre un tel monstre avec autant de facilité. Sous la poussée la tige écartèle mes chairs et commence à disparaître, avalée par mon sexe trempé.
Un bruit d’air compressé s’échappe de ma chatte tellement sa queue épouse mes muqueuses martyrisées.
Mais quand il butte au fond de moi, je dois reconnaître que je ne suis pas aussi profonde que Christine.
J’aime réunir mes talons dans le dos de mes amants pour diriger leurs pénétrations d’un coup de talons sur leurs fesses, mais avec lui, la grosseur et surtout la longueur de la verge qui encombre mon vagin me l’interdit. Nos pubis ne peuvent se rejoindre. Je ramène mes jambes à hauteur de ma poitrine pour le laisser mener la danse et mieux sentir ses coups de boutoir.
Je tiens la bite d’une main pour en limiter la pénétration, n’en revenant pas qu’il soit possible de s’enfoncer un tel morceau dans le vagin. Mon corps essaie de fuir quand il va trop loin mais je ne peux bouger.
Très vite, je surfe sur une immense vague de plaisir. Il me travaille tant et si bien que je suis au bord de perdre connaissance.
- Mmmpppfff ! Tu es vraiment gros !
- Je crois que tu devrais la ménager ! Le sermonne Christine.
- Pas avant de lui visiter l’arrière-train ! Rétorque Claude.
- Tu vas voir quand il va te casser le cul ! Claironne Christine. C’est dément.
Je réalise soudain qu’il n’a pas jouit depuis plus d’une demi-heure… et on le croyait puceau…Christine ne reste pas inactive et fait tout pour préparer mon anus à l’inévitable.
Ce n’est pas que je n’aime pas me faire sodomiser, mais j’ai toujours eu quelques difficultés de ce coté-là.
Je sens que le moment fatidique approche, Claude vient de me retourner sur le ventre.
Bien sûr, Christine en profite pour le pomper encore une fois, graissant abondamment de sa salive le nœud épais. Elle prend ensuite soin de moi en crachant entre mes fesses et étendant consciencieusement sa bave sur et dans ma rondelle avec ses doigts.
Une multitude de phalanges entrent de concert dans mon anus. Elle se tourne vers Claude et lui lance :
- Allez, viens beau mâle, viens lui exploser la rondelle avec ton monstre !
Elle prend le membre de Claude en main pour le guider vers mon anus.
Il s’installe, les jambes écartées autour des miennes serrées. Il doit adorer sentir l’étau de chair enserrer son prépuce car quand le gland complètement étranglé par mon sphincter franchit enfin la frontière, il ne bouge plus.
Serrant les dents pour réprimer mes cris de douleur, je subis l’outrage avec stoïcisme.
La contrainte qu’il s’inflige augmente son plaisir, il me pénètre avec une infinie douceur pour ne pas me causer de douleur excessive et que je m’accoutume à la taille de son défonce-cul qui porte bien son nom.
J’halète comme une chienne en chaleur avec de petits soupirs à chaque centimètre supplémentaire qui disparait dans mon fondement.
Il me laisse quelques instants pour m’habituer. Je n’aurais jamais crû pouvoir supporter dans ma pastille un tel soc et pourrais-je en jouir ?
Il se retire de mon anus pour que Christine le reprenne en bouche avant de revenir à l’assaut.
Je suis hyper-concentrée sur la sensation d’avoir un tel engin dans mes boyaux, je dois avoir le trou du cul en chou-fleur, c’est sûr, mais avec étonnement le supporte mieux que je ne croyais.
-Maintenant, tu vas payer pour m’avoir désobéit, me susurre-t-il à l’oreille.
Il prend de ses deux mains ma jupe roulée en boule au niveau de ma taille et tel un cow-boy sur un pur-sang un jour de rodéo me pourfend sans plus aucune retenue.
J’hurle comme une dingue, me retenant des deux mains au bord du matelas pour résister à ces ruades folles. Sa queue que je croyais plantée au plus profond de mon fondement vient de progresser encore d’une dizaine de centimètres.
Je la sens dans mon ventre comme un énorme poignard qui déchire mes intestins à chaque fois que ses couilles s’écrasent contre mon pubis en claquant. Je ne suis plus qu’un jouet dont il use et abuse.
Je ressens très bien son démonte-pneu aller et venir en moi, distendant plus que de raison mon petit cul si délicat comme jamais il ne l’a connu.
Petit-à-petit, j’arrive à surmonter l’indicible douleur et sens monter en moi un fabuleux orgasme. Ce gros pieu au plus profond de mon fondement me submerge de sensations extraordinaires.
- Pitié ! Arrête, je n’en peux plus, tu me tues, tu as gagné !
Il arrête enfin cette cavalcade effrénée et se retire de mon cul me laissant complètement exsangue sur le lit. Il est à coté de moi, sur le dos, sa respiration est sifflante mais sa formidable lance, toujours aussi vaillante, n’a toujours pas lâché sa liqueur.
Christine, ne perdant pas le Nord, repasse aussitôt à l’attaque :
-Détends-toi brave chevalier, laisse dame Christine s’occuper de ta lance !
(A suivre)
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