Dommage que Dorothée soit ma cousine

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dommage que Dorothée soit ma cousine Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dommage que Dorothée soit ma cousine
Il y a 4 ans le fils ainé de ma cousine germaine a annoncé son mariage. Je n’avais pas du tout envie d’y aller mais comme personne de ma fratrie ne pouvait s’y rendre j’ai été désigné d’office. Les festivités seront à Toulouse, bastion de ma famille paternel, je ne suis pas très enchanté pour la soirée mais je dois dire que je suis content de retourner dans la ville.

Quand j’arrive sur la rocade toulousaine je réalise que ça doit bien faire 10 ans que je n’y suis pas revenu, je me rends vite compte que ça a bien changé. Déambuler dans cette ville fait remonter beaucoup de souvenirs, dont certaines des histoires que je vous ai raconté. Heureusement les grands axes n’ont pas trop changé, mis à part les boutiques.

J’ai prévu de rester 5 nuits sur place, ce soir et demain je dors dans un hôtel à côté de la salle du mariage et les nuits suivantes j’ai réservé une petite maison avec piscine que je vais partager avec mon cousin germain Damien et sa famille. Lui sa femme et leurs 3 enfants sont venus exprès du Brésil pour le mariage du neveu.

Une fois à l’hotel je m’installe dans ma chambre, sur le même étage il y a Damien et sa smala mais aussi d’autres membres de ma famille que je connais ou pas. Je passe une bonne soirée, avec Damien on parle jusqu’à 3 heures de matin quand je lui dit qu’il est temps d’aller se coucher. Le lendemain on a rendez vous dans le lobby à 10h30 dans le lobby de l’hôtel pour aller tout ensemble à la mairie.

Voila le premier cousin de la génération suivante est marié, la cérémonie devant le maire terminée il y a un vin d’honneur. Je reste surtout avec Damien vu qu’en fin de compte je ne connais pas grand monde. Dans la foule je repaire une blonde un peu plus petite que moi. Son tailleur pantalon rouge me laisse imaginer un corps très harmonieux. Elle est un plus âgée que moi et j’aime ça.

Les invités se dispersent rapidement je n’ai pas le temps de l’aborder et je ne sais pas qui est cette belle blonde. Dans l’après midi je déambule dans la ville, c’est toujours aussi agréable de se balader dans cette si belle ville. A chaque fois que j’aperçois un blonde en rouge j’espère que c’est elle, mais non. Vers 18 heures je retourne à l’hôtel pour me préparer.

Pendant que je me rase et que je me lave, pour être frais pour ce soir, je pense à cette belle blonde. Sous la douche j’en ai une érection même si c’est vraie que je me suis beaucoup savonné la queue. J’enfile un costume gris avec une chemise bleue qui est assortie à mes yeux et je pars rejoindre mon cousin et sa famille pour nous rendre à la salle. Une fois sur place je suis étonné de voir qu’avant la soirée il y aura une cérémonie religieusement.

Je déambule un verre à la main, je dis bonjour à des personnes qu’il me semble connaitre la plus part me dise que je suis le portrait craché de mon père. Ensuite il me dise qu’ils sont mes cousins, oncle et neveux ou autres. Ca commence déjà à me gonfler, en plus je n’aime pas trop qu’on insiste sur cette ressemble.

Ma cousine, la mère du marié, vient me chercher en me disant qu’elle a besoin que je lui rende un service. Elle me demande d’aller chercher une grande tante qui est sur fauteuil roulant et comme mon coffre est grand… Je file à l’hôtel récupérer ma voiture et je pars chercher ma grande tante et son deuxième mari. Je suis content d’échapper un moment à tout ça.

Quand je suis de retour dans la salle un homme de plus de 70 ans vient vers moi. Il me dit directement:« Tu es le fils d’Hector et Judith! »Je suis gonflé mais décide de le surprendre et lui répond:« Oui et toi le fils de Laurent! »Il acquiesce et me demande si je sais comment il a deviné, je lui répond:« Probablement comme moi pour toi, je ressemble à mon père! »Il rigole et me dit que pas du tout, je ressemble à ma mère, je ne vois pas la ressemblance!

Il m’attrape par l’épaule et m’amène pour me présenter à ses enfants. En avançant je reconnais la blonde du vin d’honneur. Ce soir elle porte une robe bleue, serrée dans le haut et qui met en valeur une magnifique poitrine. Le bas part en s’élargissement donc je ne peux qu’admirer ses jambes. Les présentations sont faites et je réalise que j’ai flashé sur la fille du cousin germain de mon père! Ma petite cousine quoi!

La cérémonie démarre enfin mais malheureusement je me retrouve assis à côté de son frère! Après avoir féliciter les mariés et la famille je vais me faire servir un verre et je pars à la recherche de Dorothée, ma cousine. Je la retrouve enfin, je lui propose d’aller lui chercher de quoi boire, elle me demande un simple coca zéro.

Merde! Elle est peut être belle mais si c’est le genre de nana à faire la fête avec un soda light je risque de ne pas regretter longtemps que nous soyons de la même famille. Je rapporte les boissons et entame la discussion, nous parlons tout le temps de l’apéritif je ne vois pas le temps passer. Nous sommes obligés de rentrer dans la salle, les mariés vont faire leur entrée.

Une fois à l’intérieur nous sommes déçus de voir que nous ne sommes pas à la même table. Vu que je suis seul ça ne va pas être difficile de switcher. Une fois que les invités s’attablent je m’incruste avec Dorothée, son frère et sa belle soeur. Nous passons la soirée à discuter tous ensemble mais régulièrement nous sortons pour fumer et nous retrouvons en tête à tête. Elle m’attire de plus en plus mais est ce que c’est réciproque?

Moi qui pensait juste faire une apparition à la fête à deux heures du matin je suis toujours là à parler avec ma jolie petite cousine blonde. Il est l’heure de rentrer, elle est de la région mais habite à 40 min de Toulouse. En plus le lendemain elle doit faire le chemin inverse à l’heure de pointe. Une idée me traverse l’esprit:« J’ai une chambre avec deux lits séparés dans l’hôtel où toute la famille a réservé. Tu peux rester dormir ici ça t’évitera au moins les trajets! »Elle rougit mais ne répond pas à ma proposition.

Pour la rassurer je lui rajoute:« En tout bien tout honneur évidement! »Vu qu’elle a une tenue de rechange dans sa voiture et que toutes les façons elle porte une blouse pour recevoir ses patients elle accepte ma proposition. Une fois à l’hôtel nous faisons attention que personne ne nous voit, ça ne sert à rien que les commères parlent pour rien!

Elle utilise la brosse à dent du kit de l’hôtel, j’ai la mienne. Je la laisse seule dans la salle de bain quand elle en sort je lui dit de me prévenir quand elle dans son lit pour que je sorte de la salle de bain. Pendant ce temps je me débarbouille et je me déshabille. Quand elle m’appelle je sors la rejoindre en boxer, avant d’éteindre la lumière je remarque les bretelles de son soutien gorge blanc.

Je vois qu’elle regarde mon entrejambe mais quand le mot « petite cousine » résonne dans ma tête j’éteins la lumière et je rentre dans mon lit. Je règle le réveille sur mon téléphone et nous nous endormons rapidement en silence. Je me réveille avant que le portable ne sonne, j’enlève l’alarme pour ne pas réveillée brutalement Dorothée qui continue de dormir tranquillement.

Je prends des habits propres et je vais dans la salle de bain. Je me douche directement, je me prélasse un moment sous l’eau tiède et j’évite de penser à la déesse qui dort à côté. Une fois propre je sors et je me sèche, je ferme ma serviette autour de ma taille et je vais au lavabo me brosser les dents.

Dorothée rentre dans la salle de bain sans même toquer à la porte, elle me dit bonjour en déposant un baiser sur mon dos. Elle enlève ses sous vêtements très lentement, je l’admire dans le miroir, elle est tellement belle que de la mousse coule de ma bouche. Elle rentre dans la douche dont les parois sont transparentes et fait couler l’eau sur son corps. Elle se savonne d’abord les seins qu’elle masse en même temps.

Pendant ce temps je l’admire dans le miroir face à moi toujours la brosse dans la bouche pour justifier ma présence. Elle continue de se savonner en caressant son corps et prenant des positions très sexuelles. Je n’arrive pas à détourner mon regard, bien que j’en ai très envie je ne trouve pas le courage de la rejoindre. Comme ça fait plus de 10 minutes que je me brosse les dents je n’ai plus d’autres choix que de me rince.

Maintenant je n’ai que deux possibilités soit je ressors de la salle de bain la queue entre les jambes soit je vais la rejoindre sous l’eau. Je décide de faire tomber ma serviette, dévoiler mon érection et attendre sa réaction. Elle me fais signe de venir la rejoindre et pendant que j’avance, elle se retourne. Je dépose mes lèvres timidement sur son épaule puis l’autre, elle doit me trouver trop chaste alors ma cousine se retourne et pose sa main directement sur ma queue tendue.

Elle me demande de bien la laver alors j’attrape le pommeau de douche qu’elle me tend et lui écarte les cuisses. Je dirige l’eau sur ses grandes lèvres en espérant que le jet tiède lui fait du bien, pour détendre l’atmosphère je lance un:« La température de l’eau vous convient? »Elle rigole mais se calme rapidement quand je pose mon index sur son clito sous son ticket de métro clair alors que je fais aller et venir le jet d’eau de son Mont de Vénus à ses fesses.

Je continue mon manège un petit moment puis je pose le pommeau de douche sur le sol. Je fais descendre ma main sur ses grandes lèvres que je titille alors que ma bouche se penche sur son petit bouton que je serre entre mes lèvres. Pendant que je l’aspire dans ma bouche pour agiter ma langue dessus je fais pénétrer légèrement mon index. Je l’humidifie bien entre ses petites lèvres intimes et je l’enfonce doucement.

Une fois qu’il est bien en elle, je le remue dans tous les sens alors que mon majeur part se baigner dans son nectar pour s’humidifier à son tour. Je pince son clito entre mes lèvres ce qu’il la fait encore plus gémir et pour pimenter le tout j’insère un deuxième doigt dans sa moule. Je les fais aller et venir au même rythme que ma langue se ballade sur son bouton qui gonfle.

Ses cris sont de plus en plus fort, j’augmente tous les rythmes pour la chauffer le plus possible. Dorothée empoigne mes cheveux et presse encore plus ma tête contre elle. Je sens ses muscles se contracter autour de mes doigts, son nectar dégouline de la pomme de ma main à mon poignet et ses ongles se plantent dans mon crâne.

Quand elle reprend ses esprits je suis déjà debout face à elle, nous nous embrassons langoureusement pendant que mes mains lui tripotent les fesses. Quand nos lèvres se dessoudent elle s’agenouille devant moi et commence à cajoler mon sexe qui n’attend que ça. Elle le parcourt avec le bout de ses doigts et tapotent aussi mes couilles.

Elle lape le filet de plaisir qui perle de mon méat et me suce le gland, Dorothée le lèche comme si c’était une boule de glace. Ensuite elle me gobe la tige le plus profondément possible en serrant mes couilles l’une contre l’autre. Elle m’enfonce tellement dans sa bouche que j’ai l’impression de toucher ses amygdales.

Elle tousse un peu du coup je recule mais elle me recrache pas et continue sa pipe ses lèvres bien serrées autour de ma tige. Au bout de quelques minutes ses lèvres et sa langue s’occupent uniquement de mon frein et mon gland. Sa bouche est tellement expert que quand elle abandonne ma bite je ne suis plus loin d’éjaculer.

Ma cousine se soulève et se retourne, elle se penche en avant et m’offre une vue magnifique sur sa croupe. Je pose ma main droite sur sa fesse et mon pouce va titiller ses grandes lèvres qui sont encore plus humides. Une fois que je sens mon doigt bien lubrifié je le remonte dans sa raie et au moment où il se pose sur sa rosette, elle se contracte.

Je retire ma main pour ne pas la brusquer bien que son cul m’attire énormément. J’empoigne ma queue et la caresse du bout du gland. Je le fais aller et venir entre ses grandes lèvres, elle dégouline tellement que je sens des gouttes toucher mes doigts. Puis je donne un coup de rein et je m’enfonce dans sa chatte qui est inondée. Je la possède doucement et ne m’arrête que quand mes couilles sont contre ses cuisses.

Je commence à la ramoner lentement, elle ronronne alors j’y vais de plus en plus vigoureusement. Elle gémit de plus belles, je sens ses jambes s’écarter un peu plus et vu les mouvements qui se répercute sur les chairs qui enveloppe ma bite je comprends qu’elle se caresse le clito. Mes allers retours en elle qui sont maintenant très animal, je me calme progressivement.

Je me penche sur elle et je remplace ses doigts par les miens sur son petit bouton. Je lui donne des petits coup de reins très secs pendant que je pince son clito entre mes doigts. Maintenant elle ne gémit plus mais crie son plaisir, j’augmente la puissance de l’eau pour camoufler le plus possible ses manifestations de plaisirs et la pilonner encore plus vigoureusement.

J’accentue la pression sur son petit bouton quand je sens ses muscles vaginaux se contracter et serrer ma queue qui continue de s’agiter en elle. Sa chatte me compresse tellement qu’après seulement deux contractions je me vide en elle. Je continue de la limer mais de moins en moins rapidement.

Ses contractions et ses cris vont decrescendo tout comme mes coups de rein en elle. Par un faux mouvements je me retire de sa moule dégoulinante de son plaisir et mon jus. Elle attrape immédiatement la douchette qui coule toujours pour se rincer le sexe. Je me rince aussi puis je ressors de la douche en réalisant que je viens de baiser sans protection ma petite cousine.

Pendant que je me sèche en me cachant le plus possible je ne dis pas un mot, mais elle non plus et je pense uniquement à notre lien de parenté. Toujours dans un silence de mort je sors de la salle de bain pour qu’elle se prépare tranquillement. Elle ressort plus de vingt minutes après avec la même robe que la veille alors que je suis en jean et t-shirt.

Malgré nos habits pas du tout assortis je lui propose de prendre un petit déjeuner mais dans un café loin de l’hôtel. Elle décline ma proposition et préfère se rendre directement à son cabinet. Avant de quitter la chambre elle vient vers moi et m’embrasse tendrement puis me donne une carte de visite avec son numéro de portable rajouter au stylo dessus.

Elle me demande jusqu’à quand je suis dans la région, je lui réponds:« Seulement 3 jours! »Elle m’embrasse et me dit qu’elle espère que j’aurai envie de la revoir puis elle quitte la chambre alors que le couloir est totalement endormi, il est tout juste 7h20. Je reste un moment à repenser à ce qui vient de se passer et notre lien de parenté. Ensuite je repense à son magnifique cul, je m’allonge dans son lit pour sentir son odeur et je rebande.

Pour me calmer je décide de descendre prendre mon petit déjeuner comme il n’est même pas 8h je devrais être tranquille. En bas je retrouve mon cousin, qui a la tête dans le cul, déjà attablé avec 2 de ses enfants, je m’installe avec eu. Quand nous sommes seuls parce que les petits sont au buffet, il me demande à l’oreille si j’ai entendu le couple qui s’envoyer en l’air dans leur salle de bain tout à l’heure. Je reste le plus calme possible et lui dit que non mais souris intérieurement.

Quand je remonte dans ma chambre je me dis que l’on vie qu’une fois et je fais un texto à Dorothée pour savoir si elle est bien arrivée et qu’elle puisse enregistrer mon numéro aussi. Elle me répond rapidement que oui puis elle me demande si je veux que l’on se voit ce soir et rajoute 3 smileys qui font des bisous.

Après un moment d’hésitation à presser envoie je lui réponds enfin « oui »…

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