Du fantasme à la réalité

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Du fantasme à la réalité Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Du fantasme à la réalité
J’ai pris 40 ans l’année dernière. Est-ce que ça a un rapport avec ce qui s’est passé dernièrement ? Je n’en sais rien. Certains disent que le passage de la quarantaine donne l’impression à pas mal de femmes que la jeunesse est derrière elles, qu’elles le vivent mal.
Je n’ai pas l’impression que ce soit mon cas ou celui de Marc, mon mari.
On s’est rencontré sur les bancs de la fac. C’était le coup de foudre. Je l’aime depuis maintenant un peu plus de 20 ans. On aime les mêmes choses et on a la même vision de notre avenir. C’est l’homme de ma vie.
La chose la plus difficile qu’on ait eu à vivre, c’est que je ne peux pas avoir d’enfant à cause d’une anomalie de mon utérus. On a longtemps hésité à adopter mais on y a renoncé. On aime notre vie à 2 et mon mari est fou de moi, avec ou sans enfants.
Mon mari est sportif, prend soin de sa santé et pour ce que je peux en juger, est toujours un très bon amant. Il aime s’occuper de moi avec sa langue, ses doigts. Son sexe est toujours bien dur pour moi.
J’aime vraiment le sexe avec lui, le sucer, l’avoir en moi, vaginal et anal. Je crois que je sais lui donner du plaisir.
Pourtant, depuis des années maintenant, mon mari Marc, me parle d’étendre nos jeux sexuels à quelqu’un d’autre, plus précisément un homme. Quand il m’imagine avec un autre homme, il bande comme un fou. Je vois bien que c’est son plus grand fantasme.
Je lui ai toujours dit non. J’aime qu’on fasse l’amour. J’aime que mon mari me baise aussi parfois et il sait le faire. Alors pourquoi je voudrais quelqu’un d’autre ?
Pourtant, quelque chose m’a fait penser autrement dernièrement.
Sans vouloir paraître prétentieuse, je suis une belle femme. J’étais belle étant jeune fille et je suis encore belle. Comme mon mari, je prends soin de moi. Je suis fine et musclée. N’ayant pas eu d’enfant, j’ai réussi à garder plus facilement un ventre bien plat, des seins hauts et fermes, un bon bonnet C.
Je vois bien le regard des hommes sur moi et leurs tentatives pour me draguer. Et même malgré le fantasme de mon mari en tête, je n’étais attirée par aucun d’entre eux.
Et puis, il y a 1 mois, Erwan, un consultant extérieur est venu faire un audit de la société dans laquelle je suis cadre. J’ai passé beaucoup de temps avec lui, totalement professionnellement les 2 première semaines. Puis, on a été manger ensemble le midi. On a commencé à évoquer des sujets plus personnels.
Il a trente ans, célibataire. Il a rompu avec sa dernière petite amie quelques mois auparavant car étant parti une bonne partie de l’année pour ses audits, leur relation en souffrait. Ils se sont séparés en très bons termes et partagent la garde de l’enfant qu’ils ont eu ensemble. Il ne me draguait pas mais je voyais ses regards et je voyais que je lui plaisais.
Un midi, je devais rester au bureau et Erwan est parti mangé avec mon patron. J’ai fait ce midi là une des choses dont je suis le moins fière dans ma vie.
Son ordinateur était resté allumé et n’était pas encore en veille. Juste au moment où je passais à côté, un message est arrivé dans une fenêtre de messagerie personnelle. J’ai fait la curieuse et le message m’a rendue encore plus curieuse. Une certaine Marie disait « alors, tu as encore passé la matinée à fantasmer sur cette Julie ? » Je m’appelle Julie, bien sûr. Et je savais que son ex-femme s’appelait Marie. Il discutait de moi avec elle.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lire toute la conversation et une bonne partie tournait autour de moi. Ça commençait par un message d’Erwan disant qu’il venait de faire la rencontre d’une femme magnifique. Il exprimait au fur et à mesure du temps à son ex qu’il me désirait mais qu’étant mariée, j’étais hors-jeu en ce qui le concernait. Certaines discussions m’ont fait comprendre à quel point il avait envie de moi. Heureusement, il ne parlait jamais d’attraction d’un point de vue sentimental.
Maintenant, je dois vous dire qu’à mes yeux, Erwan est un adonis. Il est grand, environ 1,85m, la peau sombre style méditerranéen. Ses épaules sont large et il est clairement très sportif car ses muscles sont visibles même à travers ses chemises. Alors lire ses messages montrant son désir de moi était vraiment très excitant.
J’ai imprimé tous les messages sur un coup de tête.
Les 3 jours de la fin de la semaine ont été troublants en ce qui me concerne. Rester calme et indifférente avec lui était compliqué.
Le vendredi soir, j’ai préparé un apéritif pour le retour de mon mari de son travail. On s’est installé comme chaque fin de semaine pour se décontracter mais j’étais un peu plus tendue. Je voulais parler d’Erwan à Marc.
- Marc, je voudrais te parler d’une chose un peu particulière.
- Dis-moi. Quelque chose te tracasse ?
- Oui, c’est ton fantasme pour être franche... Tu m’en parles très souvent et je sais que ça te tiens à coeur. C’est un peu particulier quand même et je voudrais savoir si tu ne trouves pas que c’est dangereux pour un couple ?
- Si, c’est dangereux pour beaucoup de couples je pense. Le sexe est très important dans un couple. Si le mari n’est pas prêt à voir sa femme avec un autre, c’est forcément la catastrophe… Insécurité, rancœur si sa femme jouit… Impression que sa femme n’est plus « à lui »- Et pourtant, tu continues à m’en parler comme si tu souhaites que ça arrive !
- Oui, parce que je suis sûr de moi, sûr de nous surtout. Je t’aime. Ce que je veux avoir de toi qui ne soit qu’à moi et rien qu’à moi, c’est ton amour, ton affection, ta volonté de me rendre heureux… Comme tu le fais depuis plus de 20 ans.
- C’est beau ce que tu dis…- C’est ce que je ressens.
- Dans ce cas, je dois te montrer quelque chose… Quelque chose que j’ai découvert totalement par hasard cette semaine.
Je lui ai tendu les quelques feuilles imprimées. Il a tout lu et je lui ai expliqué les circonstances. Il savait depuis un bon moment déjà que je travaillais avec Erwan et l’avait même vu une fois en coup de vent en venant me chercher à la fin de la journée.
- Je voyais bien quelques regards mais je t’assure qu’il est vraiment resté très professionnel. Je n’ai jamais su qu’il pensait à moi comme ça.
- Et de ton côté ? Tu penses quoi de lui ?
- On a toujours été francs l’un envers l’autre… Je l’aime bien en tant que collègue. On a déjeuné ensemble de temps en temps mais je t’assure que je ne ressens rien pour lui… Par contre, physiquement, je me suis souvent dis qu’il est vraiment canon. Il est jeune et sportif, bien fait de sa personne. Je le trouve attirant, c’est certain.
- Est-ce que… Est-ce que tu serais prête à envisager de réaliser mon fantasme ? Est-ce que c’est parce que si c’était lui, tu pourrais te laisser convaincre ?
- Je ne sais pas… Peut-être oui… Tu m’en veux ?
Marc m’a attiré sur ses genoux et m’a embrassé passionnément.
- Non, je ne t’en veux pas du tout. Je t’aime peut-être encore plus pour m’avoir dit tout ça. C’est complètement naturel d’être attirée par un bel homme, tout comme je le pense de certaines femmes.
- Je le sais bien.
- Si tu avais couché avec lui derrière mon dos, ce ne serait pas la même chose mais là, en l’occurrence, pas de problème, au contraire.
Marc bandait, je le sentais dur sous ma cuisse. On est monté aussitôt et on a fait l’amour. C’était tendre et doux jusqu’au moment où, dans le feu de la passion, je lui ai dit que son fantasme devenait de plus en plus le mien aussi. Là, Marc a commencé à me baiser, j’ai joui très fort tout comme lui.
Marc a voulu faire la connaissance d’Erwan donc on l’a invité au restaurant. La soirée s’est super bien passée et le courant est bien passé entre Marc et Erwan. J’avais des papillons dans le ventre toute la soirée alors qu’aucune allusion n’a été faite. En rentrant, Marc m’a dit que si j’étais prête à faire évoluer les chose, mon choix semblait être le bon, que la balle était dans mon camp.
Environ 2 semaines plus tard, alors qu’on finissait notre travail et qu’on avait réussi à boucler un truc important, il m’a invité à boire un verre. On a parlé de tout et de rien pendant u moment. J’étais sur un tabouret de bar, en jupe bien sûr. Ses yeux déviaient régulièrement sur mes cuisses ou mon décolleté. J’ai souri et il a rougi.
- Tu aimes mes jambes Erwan ?
- Je suis vraiment désolé Julie. D’habitude, j’arrive à rester correct mais là… Oui, j’aime beaucoup tes jambes.
- Que mes jambes ?
- Ecoutes, tu es mariée. Je ne peux pas te dire des choses comme ça. Je ne veux pas que tu portes plainte pour harcèlement…- Ne t’inquiètes pas, aucun danger… Alors, que mes jambes ?
- Non… Tout. Ton corps, ta poitrine, ta peau. Je suis désolé mais je n’y peux rien. Je te trouve très désirable, tu dégage une sensualité incroyable.
- Merci. Et si je te disais que je te trouve très bien toi aussi… Et que plaire à quelqu’un de 10 ans de moins, c’est très agréable.
- Mais tu es mariée…- Passer du temps avec moi, même si tu sais que je suis mariée et que rien n’est possible entre nous, ça te dérange ?
- Non, pas du tout. C’est juste parfois une douce torture…- Tu veux que je porte des pantalons trop larges et des vêtements horribles peut-être ?
- Non, surtout pas. Je préfère de loin, pouvoir t’admirer.
- Alors viens manger chez nous demain soir je porterai de jolies choses pour mon mari… Et tu pourras me regarder aussi.
- Tu es dure avec moi… Mais j’accepte volontiers.
Je me suis levée et je suis rentrée chez moi après lui avoir fait la bise.
J’ai tout raconté à Marc qui était excité comme pas possible. J’ai commencé à ouvrir sa braguette mais il a repoussé ma main en me disant qu’il préférait attendre le lendemain au cas où il se passerait quelque chose.
Le lendemain, Erwan est arrivé à l’heure avec un joli petit bouquet et une bouteille. Marc a souri quand il a vu la réaction d’Erwan à ma tenue. Je portais une très courte et très légère robe d’été. Le décolleté était très prononcé et contrairement à d’habitude au travail, je ne portais pas de bas. C’était la première fois qu’il voyait mes jambes nues et il les a admirées sans retenue.
La robe moulait ma poitrine libérée de tout soutien-gorge et les tétons pointaient à travers le tissu.
Moi aussi, j’ai admiré Erwan. Il portait un teeshirt ne laissant aucune place à l’imagination sur sa musculature et son jean moulait à la perfection ses fesses et ses jambes.
On a pris l’apéro dans une bonne ambiance. On a parlé de sport un bon moment car c’est une passion qu’on a tous les trois en commun. C’est Erwan qui a lancé une phrase qui a tout déclenché.
- Erwan : Ça se voit que vous faite du sport tous les deux mais sans vouloir t’offenser Marc, je préfère voir le résultat sur le corps de Julie. C’est une perfection.
- Marc : Oui, tu as raison, elle est parfaite.
- Moi : Tu n’es pas mal non plus Erwan. Un paquet de femmes au travail aimeraient bien te mettre le grappin dessus… Avec tes beaux muscles et ton joli minois…- Erwan : Mais aucune n’a ton charme. Je peux te l’assurer…- Marc : Je dois avouer que vous feriez des partenaires d’un érotisme incroyable si vous couchiez ensemble. Un corps comme celui que semble avoir Erwan collé au tien te rendrait encore plus belle ma puce.
- Moi : Mon chéri, ne le met pas mal à l’aise…- Erwan : Il ne me met pas mal à l’aise. Imaginer ça… Me fait beaucoup d’effet.
- Marc : Pourquoi seulement l’imaginer ? J’aimerais beaucoup voir ça personnellement. Vos corps nus l’un contre l’autre.
- Moi : Tu exagères…- Marc : Non, je t’assure, je voudrais voir ça. Et vu les regards d’Erwan toute la soirée, je crois qu’il en a très envie. Et toi ma puce ? Tu ne te vois pas dans ses bras ?
- Moi : Là n’est pas la question.
- Marc : en fait, il y a 2 questions. Moi, c’est fait, je voudrais vous voir ensemble. Erwan veut être avec toi, c’est une évidence qu’il a envie de toi N’est-ce pas Erwan ?
Erwan était un peu rouge.
- Erwan : Si tu ne trouves pas ça déplacé, alors, Oui Marc. J’ai envie d’elle. Julie, je n’ai jamais eu envie d’une femme comme j’ai envie de toi.
- Marc : La première question, c’est est-ce que tu veux qu’Erwan te montre ce qu’il imagine faire de ton corps ce soir ? Je crois que oui, tu en as très envie mais c’est à toi de répondre. Et la 2ème question c’est est-ce Erwan est prêt à ce que je sois présent ?
- Erwan : Tout ce que tu veux Marc ! Si ça me donne la chance de profiter de ton corps Julie…Mon cœur battait la chamade. Mon dieu ! La discussion était folle. Et pourtant, j’avais tellement envie. J’ai regardé Marc dans les yeux.
- Moi : Oui Marc, j’ai envie d’Erwan, c’est vrai.
- Marc : Venez ! Pourquoi attendre ?
Marc s’est levé, a pris ma main et m’a emmené dans notre chambre. Erwan suivait. Je me sentais très tendue pendant toute la discussion mais Marc m’emmenant dans « notre » chambre pour que je profite d’un autre sexe, celui d’un homme vraiment très beau, m’a complètement excité.
Marc m’a tournée et m’a très gentiment poussé dans les bras d’Erwan.
J’étais enfin contre lui, la poitrine pressée contre son torse. Ses bras se sont refermés doucement sur moi. J’ai levé la tête pour le regarder dans les yeux et on s’est embrassé.
J’ai ensuite regardé Marc qui venait juste de prendre place dans un fauteuil.
- Marc : Ne fais pas attention à moi mon amour, profite de ton amant, fais tout ce que tu désires. Et toi Erwan, la seule limite, c’est ce que ne voudrait pas Julie !
On s’est à nouveau embrassé. Ses lèvres étaient chaudes et douces. Il sentait bon, une odeur d’homme, une odeur virile. J’ai doucement passé mes mains sous son teeshirt, caressant la peau de son dos.
Je n’en pouvais plus, j’ai soulevé le teeshirt et Erwan l’a passé par-dessus sa tête.
- Mmmmh Erwan ! Wow !
Il s’est laissé faire, un sourire aux lèvres, tout à fait conscient de la beauté de son corps. Il avait des muscles bien visibles, les biceps, les épaules, les pectoraux, les abdos, tout…Je l’ai caressé et embrassé un moment, m’attardant un bon moment sur son torse puissant. J’aimais beaucoup la sensation sous mes doigts et mes lèvres.
J’ai voulu m’attaquer à son jean mais il m’a arrêté.
Ma robe se déboutonnait devant. Il a enlevé un à un les boutons et déposait des baisers au fur et à mesure qu’il ouvrait ma robe.
- Pas de soutient gorge, j’adore, tu es parfaite.
Il a fait glisser les bretelles de mes épaules et ma robe est tombée à mes pieds. J’étais en string devant un autre homme que mon mari, sous les yeux de celui-ci. Les mains larges et fortes d’Erwan parcouraient mon corps entier, ses lèvres et sa langue goûtaient ma peau.
Puis, il a pris mes fesses en main alors que sa bouche prenait possession de mes seins.
- OOhhh ! Oui !
Il a fait glisser petit à petit mon string qui a rejoint ma robe au sol. Ses doigts ont frôlé mon sexe que je sentais déjà prêt à couler. Un soupir de désir m’a échappé et Erwan a souri. C’était fini le Erwan timide du salon. Il était sûr de lui et du désir qu’il créait chez moi. J’ai senti à ce moment qu’il savait ce qu’il faisait, qu’il allait me faire passer un moment inoubliable.
Je me suis assise au bord du lit, les mains affairées à ouvrir sa ceinture, puis la braguette. La bosse du jean m’avait parue belle. Celle du caleçon était phénoménale. Erwan m’a aidé à enlever son jean et j’ai baissé le caleçon.
- Mon dieu !
Je regardais, hypnotisée, un bâton de chair se dresser devant mes yeux. J’ai levé les yeux pour regarder Erwan, puis Marc.
Marc souriait. Je le connais très bien et je voyais qu’il était excité, absolument pas jaloux alors que sans méchanceté aucune, la comparaison dans ma tête n’était pas flatteuse pour Marc.
- Erwan : Je sais que je suis plutôt gâté Marc. Toujours aucun problème ?
- Marc : Continuez ! Je n’ai aucun souci avec ça… Décidément, tu l’as très bien choisi ma puce.
- Moi : Promis, je n’en avais aucune idée… Mais c’est une agréable surprise.
J’ai pris son sexe dans ma main droite, ses boules dans l’autre. Je suis assez petite et mes doigts ne se refermaient pas autour de la verge. Il était bien plus long et large que le sexe de mon mari.
Et le gland ! Je n’ai pas résisté, je l’ai pris en bouche tant il était beau, d’une forme parfaite. Je l’ai sucé un moment, appréciant à quel point il remplissait ma bouche, me laissant tout juste assez de place pour jouer avec ma langue pour lui arracher des soupirs de plaisir. Mais je voulais l’avoir en moi.
Je me suis allongé, jambes légèrement relevées. L’invitation était claire et il ne m’a pas fait attendre. Il s’est mis sur moi pour m’embrasser et j’ai senti son gland faire pression sur les lèvres de mon sexe.
Il était doux, jouant avec mon clitoris et mes lèvres. Son gland s’aventurait même jusqu’à mon anus, envoyant des décharges de désir. Il m’a regardé.
- Julie, je n’avais pas prévu ça, je n’ai pas de préservatif…- Je ne peux pas avoir d’enfant, pas d’inquiétude de ce côté-là.
- Et je n’ai été avec personne depuis mon ex-femme il y a 6 mois.
- Alors viens en moi.
Il est entré, dur comme la pierre, gros, tellement gros. J’ai laissé échapper un feulement de plaisir de me sentir pénétrée.
- Ooohhh ! Douce…. Doucement !
Erwan s’est redressé, les fesses sur les talons. Il a pris ma taille fine dans ses grandes mains, mes genoux dans le creux de ses bras, et m’a ramené vers lui.
J’ai regardé Marc au moment exact où le sexe d’Erwan entrait en moi, plus loin que quiconque avant lui, ouvrant grand les yeux et lâchant un cri de surprise. Il s’est retiré pour revenir aussi profond. Un nouveau cri, puis un autre. Un plaisir inconnu pour moi montait inexorablement. Je le sentais partout en moi, excitant toutes les zones sensibles de mon vagin.
J’ai vu que Marc aimait être témoin de mon plaisir alors j’ai continué à le regarder au maximum. Mais c’était trop pour moi. Mon orgasme a explosé dans tout mon corps, me faisant voir des étoiles, faisant vibrer tous mes muscles en commençant par ceux de mon sexe. Je me suis rendue compte que je criais aussi bien le nom de mon mari, que celui de mon amant.
Erwan a cessé de bouger. Je gémissais encore, les yeux fous.
- Moi : Mon dieu c’était quoi ça ?
- Erwan : Juste le bon niveau d’excitation et de désir.
- Marc : Et une belle et grosse queue !
- Moi : MMMhhhh ! Mon amour c’est trop bon ! OOOOHHHHH !
Erwan avait recommencé à bouger. En moins de 2 ou 3 minutes, je jouissais à nouveau.
Je suis passée sur lui. J’ai découvert à ce moment que mon amant n’avait pas tout entré. Il était splendide sous moi, ses muscles roulant à chacun de ses mouvements, à chacune de ses caresses. J’ai mis un point d’honneur à l’avoir en moi en totalité… et à jouir comme une folle en frottant enfin mon clito contre son pubis. Marc se branlait doucement devant ce spectacle.
Erwan a montré des signes de jouissance proche et je vous l’ai déjà dit, j’aime donner du plaisir. Je me suis mise à genou entre ses jambes, branlant à 2 mains son sexe, la langue juste posée sous le gland tout en le regardant dans les yeux.
- OH JULIE ! C’EST TROP BON OOOHHHHH !
J’ai fermé la bouche sur le gland alors que les jets de sperme sortaient. J’ai dû lâcher son gland pour avaler mais le sperme coulait encore. Cette fois, j’ai regardé Marc alors que je récupérais le sperme avec ma langue. J’ai souri à mon mari et il a joui, son sperme qui finit habituellement en moi ou sur moi a jailli, retombant sur son bas ventre et sa main.
Erwan reprenait sa respiration. Moi, j’avais la tête posée sur sa cuisse, le bout de son gland juste sous mon nez.
Marc s’est essuyé avec un teeshirt et est venu vers moi. Je me suis le vé et on s’est roulé un gros patin sous les yeux d’Erwan qui souriait.
- Erwan : Merci à tous les deux, j’avais rarement pris autant de plaisir… Et jamais dans un tel contexte, c’était très excitant.
- Moi : Pour tout le monde je crois. Je t’aime Marc.
- Marc : Alors tu ne regrettes pas ?
- Moi : Non, car tu as vraiment aimé je crois.
On s’est encore embrassé, longuement et tendrement. Marc m’a tourné vers le lit. Il a caressé mes seins en se collant dans mon dos. Erwan regardait. Marc a passé la main entre mes jambes. Je lui ai laissé plus d’accès à mon sexe.
Je venais d’avoir 3 orgasmes parmi les plus gros de ma vie mais la situation m’excitait à nouveau. Surtout que je voyais le sexe de mon amant se dresser à nouveau.
- Marc : Tu as aimé baiser ma femme ?
- Erwan : Oui !
- Marc : Tu bandes déjà ! tu la voudrais à nouveau hein ?
- Erwan : Ta femme est magnifique. Encore plus belle quand elle jouit.
- Marc : Tu veux encore la posséder devant moi ? Elle a encore envie. Je la connais bien, je vois comme elle regarde ta queue gonfler.
J’étais spectatrice de leur échange. J’avais honte mais je désirais encore Erwan, sa puissance. Et encore plus honteusement, la puissance de son sexe capable de fouiller au plus profond de moi.
Erwan était encore allongé sur le lit, les mains derrière la tête. Je pouvais détailler chaque muscle, ses abdos parfaits. Son sexe tressautait de temps à autre, déjà gros mais pas totalement dur.
Il s’est levé et il est venu devant moi. Il m’a embrassé alors que Marc me tenait encore dans ses bras. J’ai tourné la tête et j’ai embrassé mon mari alors que j’avais 4 mains sur mon corps pour la première fois dans ma vie. J’ai commencé à gémir de désir.
Marc m’embrassait dans le cou, sur la nuque et marc alternait entre mes seins et ma bouche. Je respirais fort, en proie à un sentiment de bien-être incroyable entre deux hommes. J’avais à nouveau envie d’être remplie par un sexe. Celui de Marc était dur contre mes fesses, celui d’Erwan, contre mon ventre.
Je me suis écartée d’eux et je me suis installée juste au bord du lit en me penchant en avant, offrant totalement mes fesses à leur regard. Ils se sont approchés et ont recommencé à me caresser. J’ondulais mon bassin.
Je m’attendais à ce que Marc Me prenne mais il est venu près de moi sur le lit et il est passé sous moi, son sexe contre mon ventre. On se regardait dans les yeux tout en s’embrassant doucement. J’ai senti Erwan se positionner derrière moi et il a pénétré mon sexe trempé, mains agrippées fermement à mes hanches. C’était puissant et lent. Il ne s’est arrêté qu’une fois son gland au plus profond de ma petite chatte.
J’avais gémi tout du long de la pénétration tout en embrassant Marc que je sentais dur comme du bois contre mon ventre. Marc a recommencé ça 5 ou six fois. Je me sentais remplie comme jamais, empalée, délicieusement empalée.
Puis il a pris un rythme. Au début, je regardais Marc dans les yeux et il me souriait mais ça n’a pas duré éternellement. Le plaisir était trop fort, trop brut. J’ai commencé à gueuler mon plaisir, le visage enfoui dans le cou de mon mari. J’ai eu 1 er orgasme, puis un second alors que le pouce d’Erwan investissait mon anus.
Erwan est sorti.
- Erwan : J’ai envie de ton cul Julie, est-ce que je peux ?
- Moi : Je… Je ne sais pas… Tu es si gros !
- Marc : Sois doux ! Mais elle aime ça !
J’ai regardé Marc en souriant, je ne savais pas il accepterait ça. Je suis une adepte de la sodomie. J’ai découvert ce plaisir avec Marc et il fait partie intégrante de nos plaisirs.
- Moi : Erwan, dans la commode, il y a un lubrifiant.
Je me suis juste repositionnée pour m’embrocher sur le sexe de Marc qui a gémi de plaisir. En tournant la tête, j’ai vu Erwan enduire minutieusement son gland et ensuite sa verge de lubrifiant. J’ai trouvé très érotique de le voir branler son sexe.
Il a ensuite fait couler du lubrifiant dans la raie de mes fesses et a fait coulisser son gland tout du long tout en me caressant le dos. Je bougeais très légèrement pour sentir Marc en moi. Son sexe était pile sur mon point G. J’adorais.
- Marc : Tu aimes mon amour ?
- Moi : Oui. Et je t’aime… Oh ! Le coquin !
- Marc : Dis-moi !
- Moi : Son gland pousse pour m’ouvrir ! Oh ! Il est… Gros !
- Marc : Mais tu as envie de le sentir en toi ?
- Moi : Oui ! Très envie ! OOOHHH ! Il est entré ! Si gros !
- Erwan : C’est juste le gland Julie, juste le gland… Mais je vais être doux. Je vais t’enculer tout doucement… Pour que tu me sente bien et pour que tu aimes.
Erwan était doué, vraiment doué et patient. Il est entré, très lentement. Mon mari m’embrassait entre 2 de mes gémissements.
- Moi : Je vous sens tous les deux ! C’est incroyable ! OOOOHHHHH ! OOOUIIIII ! C’est trop bon mon chéri. J’ADORE ! AAANNNHHH ! Il est si profond ! Et toi juste là où il faut Marc !
Erwan a commencé des va et viens lents et amples, m’arrachant des cris que je ne me connaissais pas. Et quand j’ai cru atteindre des sommets de sensations, Marc a bougé en moi également.
Ils m’ont baisé en rythme. Je criais leur nom. J’encourageais mon mari à bouger, mon amant à m’enculer. J’ai joui en continu. Je ne savais pas qu’il existait un tel niveau de jouissance, presque à la limite de la douleur.
J’ai entendu comme un grognement d’Erwan alors qu’il s’immobiliser dans mon cul pour lâcher sa purée, alors que Marc accélérait et jouissait dans ma chatte.
Ils sont sortis de moi doucement. J’ai mis un temps fou à m’en remettre. Comme dans un brouillard, j’ai vu Erwan s’approcher de moi, m’embrasser doucement le front et sortir de la chambre alors que Marc me cajolait encore.
On a pris une douche et on s’est endormis.
Le lendemain, on a beaucoup parlé. Marc n’avait aucun problème avec ce qui s’était passé et ça m’a énormément soulagé car moi non plus. Erwan avait été parfait. Marc était ravi qu’il ait été un si bon amant.
Erwan est resté travailler dans la région pendant 3 mois. On a remis ça 2 autres fois. Une fois où Marc n’est pas du tout intervenu et une autre fois ou je les ai encore eus en moi en même temps.
Enfin, Erwan est venu passer 2 fois la nuit chez moi alors que Marc était en déplacement pour son travail. C’est Marc qui l’a suggéré mais avec mon accord. Marc comprenait complètement que j’ai envie d’Erwan.
Sans Marc avec nous, Erwan a été beaucoup plus directif, beaucoup plus cru dans ses paroles, humiliant un peu Marc. Je dois avouer qu’il y avait une forme d’interdit, de tabou qui rajoutait à mon excitation.
Mais Erwan est parti essayer de recoller les morceaux avec son ex et a changé de travail pour simplifier les choses. Il était toujours amoureux d’elle et elle aussi.
Pour info, Erwan ne me manque absolument pas mais Marc me parle toujours de temps en temps de ces moments fous et ça pimente toujours nos ébats.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Donc le mari laisse le mec niquer sa femme et le mec est assez irrespectueux pour humilier le mari et la femme ne dit rien comme ça tranquille.
Il y a des gifles qui se perdent !!!
Être libertin ou libertine oui mais traiter et humilier les gens pour rien non.
Je ne parle même pas du fait qu’il nique sans capotes.
Bref vous avez écrit de bien meilleurs récits.



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