Elisa découvre seule le naturisme (suite et fin)

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : Elisa découvre seule le naturisme (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Elisa découvre seule le naturisme (suite et fin)
Suite…
La chaleur de l’après-midi s’était intensifiée, drapant la plage naturiste d’une moiteur oppressante qui semblait amplifier chaque sensation. Élisa, encore tremblante sur sa serviette, sentait son corps frêle vibrer d’une énergie confuse, un mélange de honte brûlante et d’un désir trouble qu’elle ne pouvait plus nier. Ses joues étaient en feu, ses cuisses humides de son propre plaisir, et l’odeur douce et intime qui s’échappait d’elle – sucrée, presque innocente – se mêlait à la sueur salée qui perlait sur sa peau pâle. Elle avait remonté sa culotte en coton avec des gestes précipités, mais le tissu collait à sa chatte encore sensible, accentuant cette moiteur qu’elle ne parvenait pas à ignorer. Sa robe d’été, froissée, reposait sur ses cuisses, un rempart fragile contre le regard de Bernard, qui n’avait pas bougé.
Bernard, la soixantaine ridée, était toujours là, assis sur le sable à quelques mètres, son corps maigre et noueux luisant sous le soleil implacable. Son sexe, redevenu flasque après son orgasme solitaire, pendait entre ses jambes poilues, une goutte de sperme séché collée à sa peau ridée. Une odeur rance – tabac froid, sueur ancienne et une pointe ammoniaquée – flottait autour de lui, lourde et persistante. Ses yeux, petits et perçants, ne quittaient pas Élisa, glissant sur elle avec une avidité perverse qui la faisait frissonner. Il avait vu son intimité, avait assisté à sa jouissance honteuse, et un sourire tordu étirait ses lèvres jaunies, révélant une satisfaction malsaine.
— T’as aimé ça, hein, petite ? murmura-t-il, sa voix rauque et traînante brisant le silence pesant. T’as pas besoin de te cacher avec moi.
Élisa baissa les yeux, ses mains crispées sur sa robe, incapable de répondre. La honte la submergeait, mais une pulsion sombre, qu’elle ne comprenait pas, la retenait là, clouée sous ce regard vicieux. Elle sentit une nouvelle vague de chaleur monter entre ses cuisses, une moiteur qu’elle tenta de réprimer en serrant les jambes, mais qui ne fit qu’accentuer la sensation. Bernard grogna doucement, un son guttural qui vibra dans l’air salé, et se redressa légèrement, laissant son sexe frémir à nouveau sous le soleil.
— Relève encore, ordonna-t-il, son ton bas et insistant, presque hypnotique. Montre-moi bien.
Élisa, le cœur battant à tout rompre, sentit ses mains trembler alors qu’elles saisissaient l’ourlet de sa robe. Elle voulait fuir, cacher sa honte, mais une partie d’elle, troublée et perverse, obéit. Elle releva le tissu lentement, exposant une fois de plus ses cuisses pâles et la culotte blanche tachée d’humidité. Bernard grogna de satisfaction, ses doigts noueux glissant sur son sexe, le caressant avec une lenteur calculée, son regard plongeant dans l’espace entre ses jambes comme s’il cherchait à percer le tissu.
— Enlève-la, murmura-t-il, sa voix tremblante d’excitation. Laisse-moi voir tout.
Élisa sentit une vague de panique l’envahir, mais ses doigts, comme animés d’une volonté propre, glissèrent sous sa robe et firent descendre sa culotte une seconde fois. Elle la laissa tomber sur le sable, rouge de honte, et écarta légèrement les jambes, révélant sa toison châtaine discrète, ses lèvres intimes humides luisant sous le soleil. Une odeur douce et chaude – sucrée, intime, avec une pointe musquée – s’échappa d’elle, et elle ferma les yeux, incapable de supporter l’idée qu’il la voyait ainsi, nue et vulnérable.
Bernard, haletant, se rapprocha un peu plus, son corps maigre glissant sur le sable jusqu’à n’être qu’à un mètre d’elle. Son sexe, désormais dur, pulsait dans sa main, et une goutte claire perlait à son extrémité, tombant sur le sable en une tache sombre. Il murmura, sa voix rauque et chargée de vice :
— Touche-toi encore. Fais-le pour moi, petite salope.
Ces mots, crus et humiliants, frappèrent Élisa comme une gifle, mais ils rallumèrent une flamme qu’elle ne pouvait éteindre. Ses doigts, tremblants, glissèrent entre ses cuisses, caressant sa chatte humide avec une maladresse désespérée. La sensation était brutale, addictive, et un gémissement timide s’échappa de ses lèvres alors qu’elle se caressait, ses yeux fermés pour fuir son regard. Bernard grogna plus fort, ses doigts accélérant sur son sexe, son souffle rauque devenant un râle animal.
— Écarte plus, ordonna-t-il, sa voix tremblante d’impatience. Je veux voir dedans.
Élisa, submergée par une honte brûlante, obéit malgré elle, écartant les jambes davantage, exposant ses lèvres intimes béantes, rouges et luisantes de mouille. Bernard se pencha en avant, son visage ridé à quelques centimètres de son entrejambe, ses yeux brillant d’une lueur perverse alors qu’il fixait son intimité avec une avidité brutale. Il murmura, presque pour lui-même :
— T’es trempée… une vraie petite pute.
Élisa sentit une larme couler sur sa joue, mais ses doigts continuèrent, plongeant dans ses plis humides avec un bruit doux et obscène. Elle jouit une seconde fois, un cri étouffé s’échappant de sa gorge, son jus sucré coulant sur ses cuisses en une pluie perverse, éclaboussant le sable sous elle. Bernard, excité par le spectacle, grogna et jouit à nouveau, son sperme épais giclant sur le sable près de ses pieds, une odeur ammoniaquée envahissant l’air.
Mais il ne s’arrêta pas là. Il tendit une main tremblante, ses doigts noueux frôlant l’intérieur de sa cuisse, laissant une traînée de sueur sur sa peau pâle. Élisa tressaillit, partagée entre la peur et une fascination malsaine, mais elle ne bougea pas, figée par ce contact interdit. Bernard murmura, sa voix rauque et suppliante :
— Laisse-moi toucher… juste un peu.
Elle ferma les yeux, incapable de refuser, et sentit ses doigts calleux effleurer sa toison, puis glisser sur ses lèvres intimes, caressant sa chatte humide avec une lenteur perverse. Une odeur rance – sueur et tabac – se mêla à son propre parfum sucré, et elle gémit malgré elle, son corps trahissant sa honte. Bernard grogna de plaisir, ses doigts explorant ses plis avec une avidité brutale, son souffle rauque frôlant ses cuisses.
— T’aimes ça, hein ? murmura-t-il, glissant un doigt épais à l’intérieur d’elle, la pénétrant avec une lenteur calculée.
Élisa hurla doucement, un mélange de douleur et de plaisir la traversant, ses hanches se soulevant malgré elle pour accueillir cette intrusion. Bernard accéléra, son doigt plongeant plus profondément, son autre main branlant son sexe avec une frénésie vicieuse. Il murmura des mots obscènes – « petite pute », « chatte trempée » – qui la firent rougir, mais aussi jouir une troisième fois, son cri rauque résonnant dans l’air salé, son jus coulant sur sa main ridée en filets chauds.
Satisfait, Bernard retira son doigt, le portant à sa bouche pour le lécher avec un grognement de plaisir, goûtant son essence sucrée mêlée de sueur. Il murmura, un sourire tordu sur les lèvres :
— T’es à moi maintenant, petite. Tu vas revenir.
Élisa, épuisée, s’effondra sur la serviette, ses cuisses tremblantes, son esprit noyé dans un chaos de honte et d’extase. Elle sentit une pulsion perverse la pousser à aller plus loin. D’une main hésitante, elle attrapa le sexe flasque de Bernard, encore luisant de sperme, et le caressa avec une maladresse désespérée, ses doigts glissant sur sa peau ridée. Bernard grogna de surprise, puis de plaisir, son sexe durcissant à nouveau sous ses mains inexpérimentées.
— Suce-moi, ordonna-t-il, sa voix rauque et autoritaire.
Élisa, rouge de honte, se pencha en avant, ses lèvres frôlant son gland avec une gêne palpable. Une odeur forte – sueur, sperme séché, et une pointe ammoniaquée – envahit ses narines, mais elle obéit, sa langue timide goûtant sa peau salée. Bernard grogna plus fort, ses mains noueuses saisissant ses cheveux pour guider sa bouche, la forçant à le prendre plus profondément. Elle étouffa un haut-le-cœur, mais continua, ses lèvres serrées autour de lui, son souffle court mêlé de gémissements honteux.
Il jouit rapidement, son sperme tiède giclant dans sa bouche en jets faibles, une saveur âcre et salée envahissant ses sens. Élisa toussa, recrachant une partie sur le sable, le reste coulant sur son menton en filets collants. Bernard, haletant, caressa sa joue avec une tendresse perverse.
— T’es une bonne petite salope, murmura-t-il. On recommencera.
Élisa, à bout de souffle, s’essuya le visage avec sa robe, ses yeux brillant de larmes et d’un éclat sombre qu’elle ne reconnaissait pas. L’odeur de leurs plaisirs – sueur, sperme, et son propre parfum intime – flottait autour d’elle comme un voile brûlant. Elle se rhabilla en silence, ses gestes précipités, mais une partie d’elle savait qu’elle avait basculé, entraînée dans une spirale perverse qu’elle ne pouvait plus fuir.
Autour d’eux, la plage reprenait son souffle, les vagues roulant doucement sur le rivage, indifférentes aux murmures de vice qui s’évanouissaient dans la brise. Pour Élisa, cette journée n’était qu’un début, une descente honteuse et troublante sous un soleil implacable, un secret qu’elle porterait comme une marque invisible.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
La première partie était prometteuse, mais là il y a beaucoup trop de répétitions, de descriptions identiques. Dommage...

"Pour Élisa, cette journée n’était qu’un début, une descente honteuse et troublante sous un soleil implacable, un secret qu’elle porterait comme une marque invisible." A l'évidence, ce magnifique texte appelle une suite.



Texte coquin : Elisa découvre seule le naturisme (suite et fin)
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