Histoire vraie - 1ere escorte domina

Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 20 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passions_secrètes ont reçu un total de 116 894 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 243 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Histoire vraie - 1ere escorte domina
Nuit avec Christina - pute domina BBW, trouvée sur site d’escortes.
Je n’avais jamais imaginé en arriver là. Payer une escorte. L’idée m’avait consumé pendant des semaines, un cocktail brûlant de curiosité, de frustration et d’un désir que je n’osais pas nommer, même dans mes pensées les plus secrètes. À 35 ans, marié depuis cinq ans, ma vie intime était devenue un désert aride. Ma femme, douce et prévisible, ne comprenait pas les fantasmes qui me hantaient la nuit. Alors, après des semaines d’insomnie, de doutes et de recherches furtives, j’avais craqué. J’avais trouvé Christina sur un site discret, et son profil m’avait ensorcelé : 45 ans, des courbes voluptueuses, des seins lourds, un cul rond qui semblait sculpté pour le péché, et une promesse qui m’avait fait basculer : « Je vais t’emmener au-delà de tes limites, là où le plaisir devient une obsession. »
Elle m’avait donné rendez-vous dans son appartement, un immeuble cossu au cœur de la ville, avec une façade en pierre taillée et un portier discret. En montant l’ascenseur, mon cœur cognait si fort que je craignais qu’il explose. Mes mains étaient moites, mon estomac noué, une sueur froide coulait le long de ma nuque. Et si elle me trouvait pathétique ? Et si je ne savais pas quoi faire ? Je jetai un coup d’œil à mon reflet dans le miroir de l’ascenseur : Nicolas, cheveux châtains en bataille, yeux noisette, un mec banal, ni laid ni exceptionnel, avec une chemise froissée et un jean trop serré. Pourquoi une femme comme elle perdrait son temps avec moi ?
La porte de son appartement s’ouvrit avant que je puisse frapper. Christina se tenait là, plus impressionnante que sur ses photos, une présence magnétique qui emplissait l’espace. Elle portait une robe de soie noire qui épousait ses formes généreuses, soulignant ses seins opulents, son ventre rond, et ses hanches larges. Ses cheveux bruns cascadaient en vagues soyeuses sur ses épaules, et ses lèvres, peintes d’un rouge sang, esquissaient un sourire à la fois doux et carnassier. Ses yeux, perçants, semblaient lire en moi comme dans un livre ouvert, et je sentis mes joues s’enflammer sous leur poids.
« Nicolas, entre, » dit-elle d’une voix chaude, légèrement rauque, en s’effaçant pour me laisser passer. L’appartement était un écrin de luxe : des lumières tamisées baignaient la pièce d’une lueur dorée, des meubles en velours bordeaux invitaient à la détente, et un immense lit à baldaquin trônait au fond, drapé de soie noire, entouré de miroirs aux cadres dorés. Une odeur de jasmin flottait dans l’air, mêlée d’une note plus sauvage, presque animale, qui me fit frissonner. Un paravent en soie noire se dressait dans un coin, à peine visible dans la pénombre, et une table basse supportait une bouteille de champagne et deux coupes, scintillant sous la lumière. Je restai figé près de l’entrée, mes jambes refusant d’avancer, mon souffle court, mon cœur battant à tout rompre.
Elle referma la porte avec un claquement doux et s’approcha, ses talons claquant sur le parquet ciré, un son rythmé qui résonnait comme un compte à rebours. « Tu es nerveux, chéri, » murmura-t-elle, posant une main sur ma poitrine. La chaleur de sa paume traversa ma chemise, et je sentis mon visage s’enflammer, mes joues probablement écarlates. « C’est ta première fois, pas vrai ? »
Je hochai la tête, incapable de parler. Ma gorge était sèche, mes mots coincés quelque part entre la honte et l’excitation. Elle éclata d’un rire franc, pas moqueur, mais vibrant d’une énergie débordante qui me désarma. « Oh, mon pauvre, » dit-elle en s’asseyant sur un fauteuil en velours, croisant les jambes avec une grâce calculée. Sa robe remonta légèrement, révélant la peau douce et crémeuse de ses cuisses, et je dus détourner les yeux pour ne pas fixer. « Tu es venu parce que tu veux plus, » continua-t-elle, son regard ne quittant pas le mien. « Parce que ta femme ne te donne pas ce que tu désires vraiment. Dis-moi, Nicolas, qu’est-ce qui te fait vibrer ? »
Je déglutis, cherchant mes mots, ma voix tremblante. « Je… je veux essayer des choses. Des choses… différentes, » bredouillai-je, me sentant ridicule, exposé, comme un gamin pris en faute. Christina pencha la tête, son regard me transperçant, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres rouges.
« D’accord, » murmura-t-elle, se levant pour s’approcher, son souffle frôlant mon oreille, envoyant un frisson le long de ma colonne vertébrale. « Ce soir, je vais être ta belle-mère. Une belle-mère très exigeante, qui va t’apprendre tout ce que tu dois savoir pour satisfaire une femme. » Elle recula, son sourire s’élargissant, une lueur espiègle dans les yeux. « Mais d’abord, tu vas devoir me prouver que tu es prêt à obéir. »
Mon cœur s’emballa, un mélange de terreur et d’excitation me submergeant. Le jeu de rôle qu’elle proposait était à la fois intimidant et électrisant, une promesse de quelque chose que je n’avais jamais osé imaginer. Elle me guida vers un canapé en velours, ses doigts serrant doucement mon poignet, sa peau chaude contre la mienne. « Assieds-toi, » ordonna-t-elle, et je m’exécutai, les jambes tremblantes, m’effondrant sur le coussin moelleux. Elle se tenait devant moi, ses courbes à quelques centimètres de mon visage, son parfum – jasmin et quelque chose de plus sauvage – m’enveloppant comme une caresse. Lentement, elle fit glisser sa robe sur ses épaules, la laissant tomber au sol dans un froissement de soie, révélant un ensemble de lingerie en dentelle noire. Le soutien-gorge transparent laissait deviner ses mamelons sombres, durcis, et son string minuscule couvrait à peine sa chatte lisse, luisante d’une humidité qui me fit déglutir.
« Dis-moi, Nicolas, » dit-elle, sa voix prenant une teinte plus autoritaire, « tu as déjà touché une femme comme moi ? Une femme qui sait ce qu’elle veut ? » Je secouai la tête, la gorge nouée, mes yeux incapables de se détacher de son corps voluptueux. Elle sourit, s’approchant encore, ses hanches ondulant légèrement, chaque mouvement calculé pour me captiver. « Alors, on va commencer doucement. Touche-moi. »
Mes mains tremblaient alors que je posais mes doigts sur ses hanches. Sa peau était chaude, douce comme du satin, et je sentis une décharge électrique me parcourir, mon sexe durcissant douloureusement dans mon jean. Elle guida mes mains vers ses seins, et je sentis leur poids, leur fermeté sous la dentelle, les mamelons durs pressant contre mes paumes. Mon souffle se coupa, mon pouls s’accélérant. « Pas mal, » murmura-t-elle, amusée, ses yeux pétillant de malice. « Mais tu peux faire mieux. Déshabille-moi. »
Je m’exécutai, maladroit, mes doigts s’emmêlant dans les attaches de son soutien-gorge, mes mains tremblant comme celles d’un adolescent. Quand il tomba, ses seins se libérèrent, lourds et magnifiques, leurs mamelons sombres pointant vers moi, comme une invitation. Elle retira son string d’un geste fluide, révélant sa chatte lisse, légèrement entrouverte, luisante d’excitation, son odeur musquée envahissant mes sens. Je restai figé, submergé par la vue, par son assurance, par l’intensité de l’instant, mon sexe palpitant dans mon pantalon, ma gêne luttant contre une excitation croissante.
« À genoux, » ordonna-t-elle, et je tombai sur le tapis moelleux, mon visage à la hauteur de son sexe, mes mains posées sur ses cuisses rondes pour me stabiliser. « Tu vas apprendre à me goûter, Nicolas. À me faire jouir comme une femme mérite de jouir. » Sa voix était un mélange de douceur et d’autorité, et je sentis une vague de panique mêlée d’excitation me submerger. J’approchai mes lèvres, hésitant, mon souffle chaud contre sa peau, l’odeur de son excitation m’enivrant. Puis, je commençai, doucement, ma langue explorant sa chair chaude et humide, traçant des lignes timides le long de ses lèvres lisses. Son goût était enivrant, un mélange sucré et salé qui me fit perdre la tête, comme une drogue qui s’infiltrait dans mes veines.
Christina gémit, un son grave et guttural, ses doigts s’enfonçant dans mes cheveux, me guidant avec fermeté. « Plus fort, » grogna-t-elle, et j’obéis, ma langue s’enhardissant, traçant des cercles lents autour de son clitoris, puis accélérant, explorant chaque repli de sa chair. Je sentais sa chaleur, son pouls sous ma bouche, et chaque gémissement qu’elle poussait m’électrisait, faisant monter mon excitation, mon sexe pressant douloureusement contre la couture de mon jean. Mes mains agrippèrent ses cuisses, mes doigts s’enfonçant dans sa chair ronde alors que je m’abandonnais à la tâche, ma langue alternant entre des mouvements lents et profonds et des coups rapides, précis, visant son clitoris gonflé.
Elle commença à onduler, ses hanches pressant son sexe contre mon visage, son souffle devenant plus court, plus erratique. « Oui, comme ça, » haleta-t-elle, sa voix tremblante, ses doigts tirant mes cheveux pour me maintenir en place. « Tu apprends vite, mon gendre. » Le mot « gendre » me frappa comme une décharge, renforçant le jeu de rôle, me rappelant son rôle de belle-mère autoritaire, et je redoublai d’efforts, ma langue s’enfonçant plus profondément, goûtant chaque goutte de son excitation. Ses gémissements devinrent des cris, son corps se crispant, ses cuisses tremblant contre mes joues. Je sentais son plaisir monter, son sexe devenant plus humide, plus chaud, et je m’appliquais avec une ferveur que je ne me connaissais pas, ma propre excitation atteignant des sommets.
Soudain, elle poussa un hurlement rauque, ses doigts serrant mes cheveux à m’en faire mal, et un jet chaud inonda mon menton, mon cou, ma poitrine. Elle squirta, son plaisir éclatant avec une intensité qui me laissa stupéfait, le liquide chaud coulant sur moi, trempant ma chemise. Je relevai les yeux, choqué, mais elle riait, ses joues rouges d’extase, ses yeux brillants de satisfaction, son corps encore secoué de spasmes. « Pas mal pour un début, » dit-elle, essoufflée, en me relevant. Elle essuya une goutte de son plaisir sur mon menton avec son pouce, le portant à ses lèvres avec un sourire. « Mais maintenant, c’est moi qui prends les rênes. »
Elle me poussa sur le canapé, mes vêtements arrachés en quelques gestes experts. Ma chemise vola au sol, mon pantalon suivit, et bientôt j’étais nu, exposé, ma gêne revenant en force sous son regard vorace. Mon sexe était dur, presque douloureux, dressé contre mon ventre, et elle le remarqua, un sourire diabolique aux lèvres. « Regarde-toi, » murmura-t-elle, s’agenouillant entre mes jambes. « Tout ça pour ta belle-mère. » Elle posa ses lèvres sur mon gland, un contact léger, presque taquin, qui me fit gémir, mes hanches se soulevant instinctivement. Puis, sans prévenir, elle prit mon sexe en bouche, sa langue dansant avec une expertise qui me coupa le souffle. Elle alternait entre une succion profonde, engloutissant toute ma longueur jusqu’à ce que je sente le fond de sa gorge, et des caresses légères, sa langue taquinant la base, les côtés, le bout sensible, chaque mouvement calculé pour me rendre fou.
Chaque succion envoyait des décharges de plaisir à travers mon corps, mes mains agrippant le velours du canapé, mes gémissements emplissant la pièce. Mais juste avant que je bascule, elle s’arrêta, me laissant pantelant, frustré, mon sexe palpitant dans l’air frais, mon corps tremblant de désir. « Pas encore, » dit-elle, se redressant, sa voix dure, autoritaire. « Tu jouiras quand je te le dirai. » Sa main caressa mon sexe, un contact léger mais insupportable, prolongeant ma frustration, et je gémis, incapable de me contrôler, ma tête retombant en arrière.
Elle se releva, ses yeux brillant d’une lueur nouvelle, plus sombre, plus perverse. « Tu penses que c’est juste toi et moi, pas vrai ? » murmura-t-elle, un sourire énigmatique aux lèvres. Je fronçai les sourcils, confus, mon esprit embrouillé par le désir. Elle se tourna vers le paravent dans le coin de la pièce, et d’un geste théâtral, elle le poussa. Derrière, un homme était assis sur une chaise, la trentaine, cheveux courts, vêtu d’un simple peignoir entrouvert. Ses yeux étaient fixés sur nous, brillants d’excitation, et sa main caressait lentement son sexe érigé, la peau luisante sous la lumière tamisée. Je sursautai, mon cœur s’emballant, un mélange de choc et de honte m’envahissant. « Qui… ? » bredouillai-je, mais Christina posa un doigt sur mes lèvres, me réduisant au silence.
« Lui, c’est un ami, » dit-elle, sa voix dégoulinant de malice. « Il adore regarder. Et ce soir, il va regarder nous. » Elle se tourna vers l’homme, lui adressant un clin d’œil. « N’est-ce pas, chéri ? » L’homme hocha la tête, un sourire timide sur les lèvres, sa main accélérant légèrement, un gémissement étouffé lui échappant. Je sentis mon visage s’enflammer, mais sous le choc, une étrange excitation monta en moi. Être observé, jugé, exposé… ça me terrifiait, mais ça m’électrisait aussi, une sensation nouvelle et enivrante.
Christina grimpa sur le canapé, ses cuisses encadrant mes hanches, son sexe frôlant le mien sans le toucher, une torture délicieuse. « Concentre-toi sur moi, » ordonna-t-elle, ses mains saisissant mes poignets pour les plaquer au-dessus de ma tête. « Mais sache qu’il voit tout. Chaque gémissement, chaque frisson. » Elle se pencha, ses seins lourds frôlant ma poitrine, ses mamelons durs traçant des lignes de feu sur ma peau, et murmura à mon oreille : « Et il adore ça. »
Elle relâcha mes poignets et se redressa, attrapant une petite bouteille de lubrifiant sur la table à côté. « Avant d’aller plus loin, » dit-elle, sa voix prenant une teinte plus grave, « je vais t’ouvrir à de nouvelles sensations. » Elle versa une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts, les frottant pour les réchauffer, et me fit rouler sur le ventre, ses mains fermes écartant mes cuisses. J’étais terrifié, mon cœur battant à tout rompre, mais sa voix, autoritaire et rassurante, me tenait captif. « Détends-toi, » murmura-t-elle, et je sentis un doigt glisser le long de ma raie, froid et glissant, s’attardant sur mon anus avec une douceur trompeuse.
Elle massa lentement, décrivant des cercles, la pression légère mais insistante, et je sentis mon corps se crisper, puis se relâcher sous ses caresses expertes. « Respire, » ordonna-t-elle, et j’obéis, inspirant profondément, mes muscles se détendant. Puis, son doigt s’enfonça, lentement, m’ouvrant avec une sensation étrange, à la fois intrusive et incroyablement intime. Je gémis, un mélange de douleur et de plaisir, mes mains agrippant le canapé. Elle bougea, explorant, son doigt glissant plus profondément, trouvant des zones sensibles que je n’avais jamais soupçonnées. « Tu vois ? » murmura-t-elle, sa voix rauque. « Ton corps sait ce qu’il veut. »
Elle ajouta un deuxième doigt, l’étirement plus intense, le lubrifiant rendant chaque mouvement fluide, et je sentis une chaleur se répandre dans mon bas-ventre, mon sexe durcissant encore contre le velours. Elle accéléra, ses doigts dansant à l’intérieur de moi, et je gémis plus fort, mes hanches se soulevant instinctivement pour aller à sa rencontre. Puis, elle retira ses doigts, me laissant vide, pantelant, et les porta à mes lèvres. « Goûte, » ordonna-t-elle, et je hésitai, choqué, mais son regard autoritaire me fit céder. J’ouvris la bouche, léchant ses doigts, goûtant le lubrifiant et une note musquée, un acte de soumission qui me fit frissonner d’excitation.
« Bon garçon, » murmura-t-elle, satisfaite, et elle attrapa un gode noir, long et épais, luisant sous la lumière. « Maintenant, on passe aux choses sérieuses. » Elle enduisit le jouet de lubrifiant avec des gestes lents, hypnotiques, et me fit remettre sur le ventre, ses mains écartant mes cuisses. Le voyeur, toujours dans son coin, gémissait doucement, sa main bougeant plus vite, et je sentais son regard brûlant sur moi, amplifiant chaque sensation. Christina pressa le gode contre mon anus, la pointe froide et glissante, et commença à pousser, lentement, m’ouvrant avec une pression implacable.
La sensation était intense, presque trop, mais elle murmura des encouragements, sa voix douce mais ferme. « Relaxe, laisse-moi entrer. » Je respirai profondément, et le gode glissa plus loin, m’emplissant complètement, chaque centimètre envoyant des vagues de plaisir et de douleur à travers mon corps. Elle bougea, doucement d’abord, chaque coup mesuré, puis accéléra, ses hanches claquant contre mes fesses, ses gémissements résonnant dans la pièce. Je sentais le regard du voyeur, la présence de Christina, et mon propre plaisir monter, incontrôlable. Mon sexe frottait contre le velours, chaque mouvement du gode amplifiant la friction, et soudain, je sentis une vague me submerger. Je jouis, un orgasme puissant et inattendu, mon sperme jaillissant sur le canapé, mes gémissements emplissant la pièce, mon corps tremblant sous l’intensité.
Christina rit, un son triomphant, et ralentit, me laissant reprendre mon souffle. « Oh, mon gendre, » murmura-t-elle, caressant mon dos. « Tu es plein de surprises. » Mais elle n’en avait pas fini. Elle me fit rouler sur le dos, grimpant au-dessus de moi, ses yeux brillant d’une lueur perverse. « Tu as aimé, pas vrai ? » demanda-t-elle, et sans attendre ma réponse, elle fit signe au voyeur. « Viens, » ordonna-t-elle, et l’homme se leva, son peignoir tombant au sol, révélant son corps tendu, son sexe dur dans sa main, luisant de liquide préséminal.
Il s’approcha, hésitant, mais Christina l’encouragea d’un regard autoritaire. « Montre-lui ce que tu ressens, » dit-elle, sa voix dégoulinant de malice. Je restai figé, mon cœur battant à tout rompre, mon corps encore vibrant de mon orgasme. L’homme s’arrêta à quelques centimètres de moi, sa main bougeant rapidement, ses yeux fixés sur Christina, sur moi, sur l’instant. Christina, toujours au-dessus de moi, commença à se caresser, ses doigts glissant sur sa chatte lisse, son souffle devenant erratique. « Regarde, Nicolas, » murmura-t-elle, ses yeux ne quittant pas les miens. « Regarde ce qu’on lui fait. »
L’homme gémit, son corps se crispant, et soudain, Christina attrapa ma tête, ses doigts serrant mes cheveux, et la poussa vers lui. « Ouvre la bouche, » ordonna-t-elle, et avant que je puisse réagir, l’homme jouit, un jet chaud éclaboussant mes lèvres, ma langue, ma joue. Je sursautai, choqué, humilié, mais Christina maintint ma tête, m’obligeant à avaler, le goût salé et épais envahissant ma bouche. Une partie de moi voulait résister, mais une autre, enfouie et sauvage, vibrait d’excitation, l’acte de soumission me poussant dans un territoire inconnu. Christina éclata de rire, un son triomphant, et se pencha pour m’embrasser, ses lèvres chaudes et possessives, goûtant le sperme sur ma bouche. « Tu es parfait, » murmura-t-elle, ses yeux brillant de satisfaction.
Elle ne s’arrêta pas là. Toujours à califourchon sur moi, elle écarta les lèvres de sa chatte, se caressant avec une intensité féroce, ses doigts bougeant vite, son souffle devenant erratique. « Tu veux voir ce que je peux vraiment faire ? » demanda-t-elle, et sans attendre ma réponse, elle poussa un cri, un jet chaud jaillissant, m’aspergeant le torse, le visage, un mélange de squirt et d’uro qui me laissa sans voix. Elle était déchaînée, une force de la nature, son corps tremblant alors qu’elle atteignait un nouvel orgasme, un autre jet plus puissant encore, me trempant complètement. Je sentis une étrange fierté, comme si j’avais contribué à cette explosion, mon corps vibrant d’une énergie nouvelle.
Elle s’effondra à côté de moi, essoufflée, son corps luisant de sueur, ses cheveux collés à son front, un sourire satisfait sur les lèvres. « Alors, Nicolas, » murmura-t-elle, sa main caressant mon visage, « qu’est-ce que tu as appris ce soir ? »
Je ne pouvais pas répondre. J’étais transformé, brisé et reconstruit par cette femme qui avait vu en moi des désirs que j’ignorais moi-même. Christina, ma belle-mère d’un soir, m’avait montré un monde où la gêne n’avait plus sa place, où seul le plaisir régnait. Et alors qu’elle me regardait, son souffle encore court, je sus que je ne serais plus jamais le même.
Je n’avais jamais imaginé en arriver là. Payer une escorte. L’idée m’avait consumé pendant des semaines, un cocktail brûlant de curiosité, de frustration et d’un désir que je n’osais pas nommer, même dans mes pensées les plus secrètes. À 35 ans, marié depuis cinq ans, ma vie intime était devenue un désert aride. Ma femme, douce et prévisible, ne comprenait pas les fantasmes qui me hantaient la nuit. Alors, après des semaines d’insomnie, de doutes et de recherches furtives, j’avais craqué. J’avais trouvé Christina sur un site discret, et son profil m’avait ensorcelé : 45 ans, des courbes voluptueuses, des seins lourds, un cul rond qui semblait sculpté pour le péché, et une promesse qui m’avait fait basculer : « Je vais t’emmener au-delà de tes limites, là où le plaisir devient une obsession. »
Elle m’avait donné rendez-vous dans son appartement, un immeuble cossu au cœur de la ville, avec une façade en pierre taillée et un portier discret. En montant l’ascenseur, mon cœur cognait si fort que je craignais qu’il explose. Mes mains étaient moites, mon estomac noué, une sueur froide coulait le long de ma nuque. Et si elle me trouvait pathétique ? Et si je ne savais pas quoi faire ? Je jetai un coup d’œil à mon reflet dans le miroir de l’ascenseur : Nicolas, cheveux châtains en bataille, yeux noisette, un mec banal, ni laid ni exceptionnel, avec une chemise froissée et un jean trop serré. Pourquoi une femme comme elle perdrait son temps avec moi ?
La porte de son appartement s’ouvrit avant que je puisse frapper. Christina se tenait là, plus impressionnante que sur ses photos, une présence magnétique qui emplissait l’espace. Elle portait une robe de soie noire qui épousait ses formes généreuses, soulignant ses seins opulents, son ventre rond, et ses hanches larges. Ses cheveux bruns cascadaient en vagues soyeuses sur ses épaules, et ses lèvres, peintes d’un rouge sang, esquissaient un sourire à la fois doux et carnassier. Ses yeux, perçants, semblaient lire en moi comme dans un livre ouvert, et je sentis mes joues s’enflammer sous leur poids.
« Nicolas, entre, » dit-elle d’une voix chaude, légèrement rauque, en s’effaçant pour me laisser passer. L’appartement était un écrin de luxe : des lumières tamisées baignaient la pièce d’une lueur dorée, des meubles en velours bordeaux invitaient à la détente, et un immense lit à baldaquin trônait au fond, drapé de soie noire, entouré de miroirs aux cadres dorés. Une odeur de jasmin flottait dans l’air, mêlée d’une note plus sauvage, presque animale, qui me fit frissonner. Un paravent en soie noire se dressait dans un coin, à peine visible dans la pénombre, et une table basse supportait une bouteille de champagne et deux coupes, scintillant sous la lumière. Je restai figé près de l’entrée, mes jambes refusant d’avancer, mon souffle court, mon cœur battant à tout rompre.
Elle referma la porte avec un claquement doux et s’approcha, ses talons claquant sur le parquet ciré, un son rythmé qui résonnait comme un compte à rebours. « Tu es nerveux, chéri, » murmura-t-elle, posant une main sur ma poitrine. La chaleur de sa paume traversa ma chemise, et je sentis mon visage s’enflammer, mes joues probablement écarlates. « C’est ta première fois, pas vrai ? »
Je hochai la tête, incapable de parler. Ma gorge était sèche, mes mots coincés quelque part entre la honte et l’excitation. Elle éclata d’un rire franc, pas moqueur, mais vibrant d’une énergie débordante qui me désarma. « Oh, mon pauvre, » dit-elle en s’asseyant sur un fauteuil en velours, croisant les jambes avec une grâce calculée. Sa robe remonta légèrement, révélant la peau douce et crémeuse de ses cuisses, et je dus détourner les yeux pour ne pas fixer. « Tu es venu parce que tu veux plus, » continua-t-elle, son regard ne quittant pas le mien. « Parce que ta femme ne te donne pas ce que tu désires vraiment. Dis-moi, Nicolas, qu’est-ce qui te fait vibrer ? »
Je déglutis, cherchant mes mots, ma voix tremblante. « Je… je veux essayer des choses. Des choses… différentes, » bredouillai-je, me sentant ridicule, exposé, comme un gamin pris en faute. Christina pencha la tête, son regard me transperçant, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres rouges.
« D’accord, » murmura-t-elle, se levant pour s’approcher, son souffle frôlant mon oreille, envoyant un frisson le long de ma colonne vertébrale. « Ce soir, je vais être ta belle-mère. Une belle-mère très exigeante, qui va t’apprendre tout ce que tu dois savoir pour satisfaire une femme. » Elle recula, son sourire s’élargissant, une lueur espiègle dans les yeux. « Mais d’abord, tu vas devoir me prouver que tu es prêt à obéir. »
Mon cœur s’emballa, un mélange de terreur et d’excitation me submergeant. Le jeu de rôle qu’elle proposait était à la fois intimidant et électrisant, une promesse de quelque chose que je n’avais jamais osé imaginer. Elle me guida vers un canapé en velours, ses doigts serrant doucement mon poignet, sa peau chaude contre la mienne. « Assieds-toi, » ordonna-t-elle, et je m’exécutai, les jambes tremblantes, m’effondrant sur le coussin moelleux. Elle se tenait devant moi, ses courbes à quelques centimètres de mon visage, son parfum – jasmin et quelque chose de plus sauvage – m’enveloppant comme une caresse. Lentement, elle fit glisser sa robe sur ses épaules, la laissant tomber au sol dans un froissement de soie, révélant un ensemble de lingerie en dentelle noire. Le soutien-gorge transparent laissait deviner ses mamelons sombres, durcis, et son string minuscule couvrait à peine sa chatte lisse, luisante d’une humidité qui me fit déglutir.
« Dis-moi, Nicolas, » dit-elle, sa voix prenant une teinte plus autoritaire, « tu as déjà touché une femme comme moi ? Une femme qui sait ce qu’elle veut ? » Je secouai la tête, la gorge nouée, mes yeux incapables de se détacher de son corps voluptueux. Elle sourit, s’approchant encore, ses hanches ondulant légèrement, chaque mouvement calculé pour me captiver. « Alors, on va commencer doucement. Touche-moi. »
Mes mains tremblaient alors que je posais mes doigts sur ses hanches. Sa peau était chaude, douce comme du satin, et je sentis une décharge électrique me parcourir, mon sexe durcissant douloureusement dans mon jean. Elle guida mes mains vers ses seins, et je sentis leur poids, leur fermeté sous la dentelle, les mamelons durs pressant contre mes paumes. Mon souffle se coupa, mon pouls s’accélérant. « Pas mal, » murmura-t-elle, amusée, ses yeux pétillant de malice. « Mais tu peux faire mieux. Déshabille-moi. »
Je m’exécutai, maladroit, mes doigts s’emmêlant dans les attaches de son soutien-gorge, mes mains tremblant comme celles d’un adolescent. Quand il tomba, ses seins se libérèrent, lourds et magnifiques, leurs mamelons sombres pointant vers moi, comme une invitation. Elle retira son string d’un geste fluide, révélant sa chatte lisse, légèrement entrouverte, luisante d’excitation, son odeur musquée envahissant mes sens. Je restai figé, submergé par la vue, par son assurance, par l’intensité de l’instant, mon sexe palpitant dans mon pantalon, ma gêne luttant contre une excitation croissante.
« À genoux, » ordonna-t-elle, et je tombai sur le tapis moelleux, mon visage à la hauteur de son sexe, mes mains posées sur ses cuisses rondes pour me stabiliser. « Tu vas apprendre à me goûter, Nicolas. À me faire jouir comme une femme mérite de jouir. » Sa voix était un mélange de douceur et d’autorité, et je sentis une vague de panique mêlée d’excitation me submerger. J’approchai mes lèvres, hésitant, mon souffle chaud contre sa peau, l’odeur de son excitation m’enivrant. Puis, je commençai, doucement, ma langue explorant sa chair chaude et humide, traçant des lignes timides le long de ses lèvres lisses. Son goût était enivrant, un mélange sucré et salé qui me fit perdre la tête, comme une drogue qui s’infiltrait dans mes veines.
Christina gémit, un son grave et guttural, ses doigts s’enfonçant dans mes cheveux, me guidant avec fermeté. « Plus fort, » grogna-t-elle, et j’obéis, ma langue s’enhardissant, traçant des cercles lents autour de son clitoris, puis accélérant, explorant chaque repli de sa chair. Je sentais sa chaleur, son pouls sous ma bouche, et chaque gémissement qu’elle poussait m’électrisait, faisant monter mon excitation, mon sexe pressant douloureusement contre la couture de mon jean. Mes mains agrippèrent ses cuisses, mes doigts s’enfonçant dans sa chair ronde alors que je m’abandonnais à la tâche, ma langue alternant entre des mouvements lents et profonds et des coups rapides, précis, visant son clitoris gonflé.
Elle commença à onduler, ses hanches pressant son sexe contre mon visage, son souffle devenant plus court, plus erratique. « Oui, comme ça, » haleta-t-elle, sa voix tremblante, ses doigts tirant mes cheveux pour me maintenir en place. « Tu apprends vite, mon gendre. » Le mot « gendre » me frappa comme une décharge, renforçant le jeu de rôle, me rappelant son rôle de belle-mère autoritaire, et je redoublai d’efforts, ma langue s’enfonçant plus profondément, goûtant chaque goutte de son excitation. Ses gémissements devinrent des cris, son corps se crispant, ses cuisses tremblant contre mes joues. Je sentais son plaisir monter, son sexe devenant plus humide, plus chaud, et je m’appliquais avec une ferveur que je ne me connaissais pas, ma propre excitation atteignant des sommets.
Soudain, elle poussa un hurlement rauque, ses doigts serrant mes cheveux à m’en faire mal, et un jet chaud inonda mon menton, mon cou, ma poitrine. Elle squirta, son plaisir éclatant avec une intensité qui me laissa stupéfait, le liquide chaud coulant sur moi, trempant ma chemise. Je relevai les yeux, choqué, mais elle riait, ses joues rouges d’extase, ses yeux brillants de satisfaction, son corps encore secoué de spasmes. « Pas mal pour un début, » dit-elle, essoufflée, en me relevant. Elle essuya une goutte de son plaisir sur mon menton avec son pouce, le portant à ses lèvres avec un sourire. « Mais maintenant, c’est moi qui prends les rênes. »
Elle me poussa sur le canapé, mes vêtements arrachés en quelques gestes experts. Ma chemise vola au sol, mon pantalon suivit, et bientôt j’étais nu, exposé, ma gêne revenant en force sous son regard vorace. Mon sexe était dur, presque douloureux, dressé contre mon ventre, et elle le remarqua, un sourire diabolique aux lèvres. « Regarde-toi, » murmura-t-elle, s’agenouillant entre mes jambes. « Tout ça pour ta belle-mère. » Elle posa ses lèvres sur mon gland, un contact léger, presque taquin, qui me fit gémir, mes hanches se soulevant instinctivement. Puis, sans prévenir, elle prit mon sexe en bouche, sa langue dansant avec une expertise qui me coupa le souffle. Elle alternait entre une succion profonde, engloutissant toute ma longueur jusqu’à ce que je sente le fond de sa gorge, et des caresses légères, sa langue taquinant la base, les côtés, le bout sensible, chaque mouvement calculé pour me rendre fou.
Chaque succion envoyait des décharges de plaisir à travers mon corps, mes mains agrippant le velours du canapé, mes gémissements emplissant la pièce. Mais juste avant que je bascule, elle s’arrêta, me laissant pantelant, frustré, mon sexe palpitant dans l’air frais, mon corps tremblant de désir. « Pas encore, » dit-elle, se redressant, sa voix dure, autoritaire. « Tu jouiras quand je te le dirai. » Sa main caressa mon sexe, un contact léger mais insupportable, prolongeant ma frustration, et je gémis, incapable de me contrôler, ma tête retombant en arrière.
Elle se releva, ses yeux brillant d’une lueur nouvelle, plus sombre, plus perverse. « Tu penses que c’est juste toi et moi, pas vrai ? » murmura-t-elle, un sourire énigmatique aux lèvres. Je fronçai les sourcils, confus, mon esprit embrouillé par le désir. Elle se tourna vers le paravent dans le coin de la pièce, et d’un geste théâtral, elle le poussa. Derrière, un homme était assis sur une chaise, la trentaine, cheveux courts, vêtu d’un simple peignoir entrouvert. Ses yeux étaient fixés sur nous, brillants d’excitation, et sa main caressait lentement son sexe érigé, la peau luisante sous la lumière tamisée. Je sursautai, mon cœur s’emballant, un mélange de choc et de honte m’envahissant. « Qui… ? » bredouillai-je, mais Christina posa un doigt sur mes lèvres, me réduisant au silence.
« Lui, c’est un ami, » dit-elle, sa voix dégoulinant de malice. « Il adore regarder. Et ce soir, il va regarder nous. » Elle se tourna vers l’homme, lui adressant un clin d’œil. « N’est-ce pas, chéri ? » L’homme hocha la tête, un sourire timide sur les lèvres, sa main accélérant légèrement, un gémissement étouffé lui échappant. Je sentis mon visage s’enflammer, mais sous le choc, une étrange excitation monta en moi. Être observé, jugé, exposé… ça me terrifiait, mais ça m’électrisait aussi, une sensation nouvelle et enivrante.
Christina grimpa sur le canapé, ses cuisses encadrant mes hanches, son sexe frôlant le mien sans le toucher, une torture délicieuse. « Concentre-toi sur moi, » ordonna-t-elle, ses mains saisissant mes poignets pour les plaquer au-dessus de ma tête. « Mais sache qu’il voit tout. Chaque gémissement, chaque frisson. » Elle se pencha, ses seins lourds frôlant ma poitrine, ses mamelons durs traçant des lignes de feu sur ma peau, et murmura à mon oreille : « Et il adore ça. »
Elle relâcha mes poignets et se redressa, attrapant une petite bouteille de lubrifiant sur la table à côté. « Avant d’aller plus loin, » dit-elle, sa voix prenant une teinte plus grave, « je vais t’ouvrir à de nouvelles sensations. » Elle versa une généreuse quantité de lubrifiant sur ses doigts, les frottant pour les réchauffer, et me fit rouler sur le ventre, ses mains fermes écartant mes cuisses. J’étais terrifié, mon cœur battant à tout rompre, mais sa voix, autoritaire et rassurante, me tenait captif. « Détends-toi, » murmura-t-elle, et je sentis un doigt glisser le long de ma raie, froid et glissant, s’attardant sur mon anus avec une douceur trompeuse.
Elle massa lentement, décrivant des cercles, la pression légère mais insistante, et je sentis mon corps se crisper, puis se relâcher sous ses caresses expertes. « Respire, » ordonna-t-elle, et j’obéis, inspirant profondément, mes muscles se détendant. Puis, son doigt s’enfonça, lentement, m’ouvrant avec une sensation étrange, à la fois intrusive et incroyablement intime. Je gémis, un mélange de douleur et de plaisir, mes mains agrippant le canapé. Elle bougea, explorant, son doigt glissant plus profondément, trouvant des zones sensibles que je n’avais jamais soupçonnées. « Tu vois ? » murmura-t-elle, sa voix rauque. « Ton corps sait ce qu’il veut. »
Elle ajouta un deuxième doigt, l’étirement plus intense, le lubrifiant rendant chaque mouvement fluide, et je sentis une chaleur se répandre dans mon bas-ventre, mon sexe durcissant encore contre le velours. Elle accéléra, ses doigts dansant à l’intérieur de moi, et je gémis plus fort, mes hanches se soulevant instinctivement pour aller à sa rencontre. Puis, elle retira ses doigts, me laissant vide, pantelant, et les porta à mes lèvres. « Goûte, » ordonna-t-elle, et je hésitai, choqué, mais son regard autoritaire me fit céder. J’ouvris la bouche, léchant ses doigts, goûtant le lubrifiant et une note musquée, un acte de soumission qui me fit frissonner d’excitation.
« Bon garçon, » murmura-t-elle, satisfaite, et elle attrapa un gode noir, long et épais, luisant sous la lumière. « Maintenant, on passe aux choses sérieuses. » Elle enduisit le jouet de lubrifiant avec des gestes lents, hypnotiques, et me fit remettre sur le ventre, ses mains écartant mes cuisses. Le voyeur, toujours dans son coin, gémissait doucement, sa main bougeant plus vite, et je sentais son regard brûlant sur moi, amplifiant chaque sensation. Christina pressa le gode contre mon anus, la pointe froide et glissante, et commença à pousser, lentement, m’ouvrant avec une pression implacable.
La sensation était intense, presque trop, mais elle murmura des encouragements, sa voix douce mais ferme. « Relaxe, laisse-moi entrer. » Je respirai profondément, et le gode glissa plus loin, m’emplissant complètement, chaque centimètre envoyant des vagues de plaisir et de douleur à travers mon corps. Elle bougea, doucement d’abord, chaque coup mesuré, puis accéléra, ses hanches claquant contre mes fesses, ses gémissements résonnant dans la pièce. Je sentais le regard du voyeur, la présence de Christina, et mon propre plaisir monter, incontrôlable. Mon sexe frottait contre le velours, chaque mouvement du gode amplifiant la friction, et soudain, je sentis une vague me submerger. Je jouis, un orgasme puissant et inattendu, mon sperme jaillissant sur le canapé, mes gémissements emplissant la pièce, mon corps tremblant sous l’intensité.
Christina rit, un son triomphant, et ralentit, me laissant reprendre mon souffle. « Oh, mon gendre, » murmura-t-elle, caressant mon dos. « Tu es plein de surprises. » Mais elle n’en avait pas fini. Elle me fit rouler sur le dos, grimpant au-dessus de moi, ses yeux brillant d’une lueur perverse. « Tu as aimé, pas vrai ? » demanda-t-elle, et sans attendre ma réponse, elle fit signe au voyeur. « Viens, » ordonna-t-elle, et l’homme se leva, son peignoir tombant au sol, révélant son corps tendu, son sexe dur dans sa main, luisant de liquide préséminal.
Il s’approcha, hésitant, mais Christina l’encouragea d’un regard autoritaire. « Montre-lui ce que tu ressens, » dit-elle, sa voix dégoulinant de malice. Je restai figé, mon cœur battant à tout rompre, mon corps encore vibrant de mon orgasme. L’homme s’arrêta à quelques centimètres de moi, sa main bougeant rapidement, ses yeux fixés sur Christina, sur moi, sur l’instant. Christina, toujours au-dessus de moi, commença à se caresser, ses doigts glissant sur sa chatte lisse, son souffle devenant erratique. « Regarde, Nicolas, » murmura-t-elle, ses yeux ne quittant pas les miens. « Regarde ce qu’on lui fait. »
L’homme gémit, son corps se crispant, et soudain, Christina attrapa ma tête, ses doigts serrant mes cheveux, et la poussa vers lui. « Ouvre la bouche, » ordonna-t-elle, et avant que je puisse réagir, l’homme jouit, un jet chaud éclaboussant mes lèvres, ma langue, ma joue. Je sursautai, choqué, humilié, mais Christina maintint ma tête, m’obligeant à avaler, le goût salé et épais envahissant ma bouche. Une partie de moi voulait résister, mais une autre, enfouie et sauvage, vibrait d’excitation, l’acte de soumission me poussant dans un territoire inconnu. Christina éclata de rire, un son triomphant, et se pencha pour m’embrasser, ses lèvres chaudes et possessives, goûtant le sperme sur ma bouche. « Tu es parfait, » murmura-t-elle, ses yeux brillant de satisfaction.
Elle ne s’arrêta pas là. Toujours à califourchon sur moi, elle écarta les lèvres de sa chatte, se caressant avec une intensité féroce, ses doigts bougeant vite, son souffle devenant erratique. « Tu veux voir ce que je peux vraiment faire ? » demanda-t-elle, et sans attendre ma réponse, elle poussa un cri, un jet chaud jaillissant, m’aspergeant le torse, le visage, un mélange de squirt et d’uro qui me laissa sans voix. Elle était déchaînée, une force de la nature, son corps tremblant alors qu’elle atteignait un nouvel orgasme, un autre jet plus puissant encore, me trempant complètement. Je sentis une étrange fierté, comme si j’avais contribué à cette explosion, mon corps vibrant d’une énergie nouvelle.
Elle s’effondra à côté de moi, essoufflée, son corps luisant de sueur, ses cheveux collés à son front, un sourire satisfait sur les lèvres. « Alors, Nicolas, » murmura-t-elle, sa main caressant mon visage, « qu’est-ce que tu as appris ce soir ? »
Je ne pouvais pas répondre. J’étais transformé, brisé et reconstruit par cette femme qui avait vu en moi des désirs que j’ignorais moi-même. Christina, ma belle-mère d’un soir, m’avait montré un monde où la gêne n’avait plus sa place, où seul le plaisir régnait. Et alors qu’elle me regardait, son souffle encore court, je sus que je ne serais plus jamais le même.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passions_secrètes
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

