Muriel cocufieuse suite !

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : Muriel cocufieuse suite ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Muriel cocufieuse suite !
La nuit qu’ils avaient passée à trois avait été une plongée brutale dans une luxure crue et débridée, une toile de sensations où les corps s’étaient mêlés dans une danse perverse, défiant toute morale. Murielle, au centre de ce tableau vivant, avait été une prêtresse de chair, son corps de femme mûre vibrant sous les assauts de Nicolas, tandis que son mari, noyé dans un mélange d’alcool et de soumission fascinée, avait partagé leur extase avec une passivité troublante. La chambre avait été saturée de leurs odeurs : la sueur âcre de leurs peaux échauffées, l’arôme musqué et salin de l’intimité humide de Murielle, et la fragrance épaisse, presque suffocante, du foutre de Nicolas qui s’était répandu en elle. Quand il s’était libéré, son sperme chaud avait coulé entre ses cuisses, glissant en filets visqueux sur la peau douce de ses jambes, et le mari, poussé par les doigts autoritaires de Murielle, avait exploré cette offrande avec sa langue, goûtant ce mélange interdit de semence étrangère et de l’excitation sucrée de sa femme. Chaque gémissement de Murielle, chaque claquement humide de leurs corps, avait résonné comme une symphonie profane dans l’air lourd de la nuit.

Le lendemain matin, le soleil filtrait à peine à travers les rideaux épais, jetant une lumière pâle sur la cuisine où ils prenaient le petit déjeuner, nus et exposés dans une intimité sans filtre. Nicolas, assis à la table en bois brut, sentait encore les échos de la nuit dans ses muscles tendus, son torse marqué de griffures rouges laissées par les ongles de Murielle, son sexe reposant lourdement contre sa cuisse, encore imprégné d’une odeur saline et animale. Sa peau luisait légèrement de sueur matinale, et une toison brune descendait en une ligne sombre jusqu’à son bas-ventre, où des traces séchées de leurs plaisirs nocturnes subsistaient. Murielle, debout près du comptoir, était une vision impudique et magnifique : ses seins généreux, en forme de poire, pendaient avec une sensualité naturelle, leurs aréoles larges et sombres durcies par l’air frais, tandis que sa toison pubienne, épaisse et trempée des excès de la veille, brillait sous un rai de lumière. Une goutte de transpiration glissait lentement entre ses seins, traînant avec elle une odeur piquante, un mélange de sueur et de sexe qui semblait s’accrocher à chaque mouvement. Le mari, avachi sur une chaise bancale, affichait un corps flasque et usé : une bedaine molle luisant de sueur, une pilosité grisonnante clairsemée sur son torse, et son sexe flétri niché dans un buisson désordonné. Il sirotait son café noir, les yeux mi-clos, un filet de salive au coin de la bouche, un sourire vague flottant sur son visage comme s’il savourait encore le goût pervers de leur nuit.

Nicolas brisa le silence, sa voix grave et chargée d’une autorité naturelle.

— Ton mari sait maintenant, Murielle. Il a senti mon foutre en toi, il l’a sucé sur ses doigts, il a avalé ce que je t’ai donné. Je suis ton maître, et il l’accepte, cocu et fier de l’être.

Le mari releva les yeux, croisant ceux de Nicolas avec une lueur trouble, avant de hocher la tête lentement, ses doigts encore collants du souvenir gluant de la veille. Murielle s’approcha, ses seins frôlant l’épaule de Nicolas, sa peau chaude et moite contre la sienne, et murmura d’une voix rauque :

— Il aime ça… savoir que tu me prends, que tu me remplis comme il ne peut plus le faire. Ça le fait bander, même s’il ne l’avoue pas.

Nicolas posa une main possessive sur sa cuisse nue, sentant la chair tendre frémir sous ses doigts, puis glissa jusqu’à effleurer sa toison humide, encore poisseuse de leur union. Il se tourna vers le mari, son ton ferme et sans appel.

— Demain, je l’emmène. Toute la journée, rien que nous deux. On partira en voiture, direction la grande ville voisine, et je la ramènerai vers minuit, peut-être plus tard. Tu resteras ici, à attendre, à imaginer ce que je lui fais. Ça te va, cocu ?

Le mari acquiesça, ses yeux brillant d’une étrange excitation mêlée de résignation. Il passa une main tremblante sur son sexe mou, comme s’il cherchait à raviver une flamme éteinte, et marmonna :

— Faites ce que vous voulez… Je serai là.

Murielle glissa ses doigts dans les cheveux de Nicolas, un sourire complice et provocant sur les lèvres, son souffle chaud caressant son oreille.

— Une journée entière avec toi… Qu’est-ce que tu me réserves, mon maître ?

— Des plaisirs que tu n’as jamais osé rêver, répondit-il, ses doigts s’enfonçant légèrement dans sa chair, frôlant son intimité encore sensible. Tu jouiras jusqu’à en perdre la tête.


Le lendemain, ils partirent à l’aube, alors que la brume flottait encore sur les routes désertes. Murielle avait choisi une robe légère, presque indécente, un tissu fin et blanc qui collait à ses courbes humides de transpiration matinale. Ses seins ballottaient librement dessous, leurs tétons sombres pointant à travers l’étoffe comme des appels silencieux, et une odeur sucrée et salée – son excitation naturelle mêlée de sueur – emplissait l’habitacle de la voiture. Nicolas, vêtu d’un jean usé et d’une chemise entrouverte, sentait son sexe durcir contre la toile rêche, excité par cette femme qui semblait prête à se donner sans limites.

Sur l’autoroute, à mi-chemin de la ville, il bifurqua vers une aire de repos isolée, bordée de pins noueux et d’un parking poussiéreux où stationnait un vieux camion rouillé. Il gara la voiture à l’écart, un sourire sombre sur les lèvres, et murmura à Murielle :

— Descends, salope. On va jouer un peu.

Elle obéit, ses yeux brillant d’anticipation, et le suivit jusqu’à l’ombre des arbres. Un routier en sortit du camion – un homme massif, la quarantaine burinée, avec une barbe hirsute et des mains sales de graisse. Il puait la sueur rance et le tabac froid, son pantalon taché tendu par une érection naissante. À ses côtés, une surprise inattendue : une femme, la trentaine, descendit du camion derrière lui. Petite, trapue, avec des cheveux blonds décolorés et un visage marqué par la route, elle portait une jupe en cuir élimée et un haut moulant qui laissait deviner des seins lourds et flasques. Ses yeux perçants détaillèrent Murielle avec une curiosité vorace.

Nicolas attrapa Murielle par la nuque et ordonna d’une voix rauque :

— Déshabille-toi. Montre-leur tout.

Murielle défit sa robe avec une lenteur provocante, la laissant tomber dans la terre sèche. Nue, elle écarta les jambes, exposant sa toison trempée où perlait une humidité épaisse, son odeur musquée se mêlant à celle des pins. Le routier grogna, sa main plongeant dans son pantalon pour se branler avec une sauvagerie animale, tandis que la femme, un sourire tordu sur les lèvres, s’approcha de Murielle. Sans un mot, elle glissa une main entre ses cuisses, ses doigts calleux explorant sa vulve béante, étalant son jus sur sa peau avec des bruits humides et obscènes.

— Elle mouille comme une chienne, lança la blonde d’une voix éraillée, avant de cracher sur ses propres doigts et de les enfoncer brutalement dans Murielle, la faisant gémir de douleur et de plaisir.

Nicolas, appuyé contre un arbre, ramassa la robe abandonnée et la porta à son visage, inhalant profondément l’odeur forte de sueur et de sexe qui s’en dégageait. Il ordonna à Murielle :

— Fais-toi jouir devant eux. Montre-leur ce que tu es.

Murielle, enhardie, se caressa avec frénésie, ses doigts plongeant dans sa chatte dégoulinante tandis que la blonde la doigtiait sans ménagement. Un jet clair jaillit soudain d’elle, une explosion de jouissance qui éclaboussa la terre et les bottes du routier, son cri rauque résonnant dans l’air. Le routier, haletant, éjacula dans un râle guttural, son sperme épais giclant en arcs désordonnés sur le sol, une odeur ammoniaquée et âcre envahissant l’espace. La blonde, excitée par la scène, releva sa jupe pour révéler une culotte tachée, se branla à travers le tissu jusqu’à trembler de plaisir, son souffle court et sifflant.

Nicolas s’approcha, saisit Murielle par les cheveux et l’embrassa sauvagement, goûtant sur sa langue le sel de sa jouissance et l’amertume de la salive de la blonde. Il murmura contre sa bouche :

— T’es une pute magnifique. Mais ce n’est que le début.

Ils laissèrent le couple de routiers pantelants et remontèrent en voiture, Murielle nue et dégoulinante sur le siège passager, son odeur de sexe emplissant l’habitacle comme un parfum de débauche.


Dans la ville, ils s’arrêtèrent devant un sauna libertin, un lieu sombre et moite où les vapeurs chaudes portaient des effluves de sueur et de sperme séché. Débarrassés de leurs vêtements dans le vestiaire, ils entrèrent nus dans la grande salle principale. Nicolas, son sexe dressé luisant de sueur, pulsait d’une excitation brute, tandis que Murielle, ses seins lourds brillant sous la lumière tamisée, avançait avec une démarche provocante, sa vulve gonflée et rouge laissant une traînée humide sur ses cuisses.

Deux hommes les repérèrent immédiatement : un quinquagénaire trapu, au regard vicieux, son sexe épais déjà suintant de liquide pré-séminal, et un jeune maigre, nerveux, la queue fine mais raide comme une lame. Mais une troisième silhouette émergea de la vapeur – une femme d’une quarantaine d’années, grande et élancée, avec des cheveux noirs coupés court et une peau mate luisante de transpiration. Ses seins fermes pointaient sous un piercing argenté à chaque téton, et une touffe de poils noirs dépassait entre ses cuisses musclées. Elle portait un sourire carnassier, une lueur de domination dans les yeux.

Nicolas installa Murielle sur un banc en pierre chaude, écartant ses cuisses pour exposer sa chatte béante, dégoulinante de mouille et encore imprégnée de l’odeur salée de la route. Le trapu s’agenouilla devant elle, sa barbe râpeuse frottant contre ses lèvres intimes alors qu’il la léchait avec une voracité bestiale, aspirant son clitoris gonflé jusqu’à ce qu’elle hurle, son jus coulant en filets épais sur son menton poilu. L’odeur de sa mouille, âcre et sucrée, se mêlait à celle de la sueur rance qui saturait le sauna. Le jeune, derrière elle, malaxait ses seins avec une brutalité maladroite, tirant sur ses tétons jusqu’à les faire rougir, puis glissa son sexe entre ses fesses, frottant son gland contre son anus humide de sueur, laissant une traînée collante de pré-sperme sur sa peau.

La femme brune s’approcha, ses doigts longs et manucurés attrapant le menton de Murielle pour l’obliger à la regarder. Elle cracha sur son visage, un filet de salive tiède coulant sur ses joues, et murmura d’une voix grave :

— T’es à moi aussi, salope.

Elle enfonça deux doigts dans la bouche de Murielle, la forçant à les sucer, puis les retira pour les plonger dans son propre sexe, se masturbant devant elle avec des mouvements lents et provocants, son odeur forte et métallique emplissant l’air. Nicolas, excité par ce chaos de chair, se branla lentement, son gland luisant sous ses doigts, et ordonna au trapu :

— Baise-la. Remplis-la.

L’homme obéit, enfonçant son sexe épais dans la chatte trempée de Murielle avec un bruit humide et obscène, ses couilles claquant contre ses fesses à chaque coup de reins. Elle cria, ses seins tressautant sauvagement, tandis que le jeune, encouragé par la brune, cracha sur son anus et y glissa son sexe fin, la pénétrant brutalement par derrière. La double pénétration arracha un hurlement à Murielle, son corps secoué de spasmes alors que les deux hommes la pilonnaient sans retenue, leurs grognements bestiaux résonnant dans la pièce.

La brune, impérieuse, grimpa sur le banc et plaqua sa chatte dégoulinante sur le visage de Murielle, l’étouffant sous son poids. Elle se frotta contre sa bouche, ordonnant :

— Lèche-moi, pute, ou je te fais avaler ma pisse.

Murielle, submergée, obéit, sa langue plongeant dans les plis humides de la femme, goûtant son jus âcre et salé tandis que son nez s’enfonçait dans sa toison poisseuse. Nicolas, au bord de l’explosion, attrapa les cheveux de Murielle et força sa queue dans sa gorge entre deux suffocations, son foutre jaillissant en jets brûlants qu’elle avala à moitié, le reste dégoulinant sur son menton et ses seins.

Le trapu jouit dans un rugissement, son sperme épais giclant dans le vagin de Murielle, débordant en filets blancs qui coulèrent sur ses cuisses, tandis que le jeune, dans son cul, se libéra avec un cri aigu, son foutre chaud remplissant son anus jusqu’à ce qu’il ressorte en bulles collantes. La brune, secouée par un orgasme violent, trembla sur le visage de Murielle, un jet de liquide clair – un mélange de jouissance et d’urine – éclaboussant sa bouche et son cou dans une humiliation finale.

Murielle, épuisée mais rayonnante, jouit une dernière fois, son cri rauque étouffé par la chatte de la brune, son corps convulsant sous les assauts multiples, sa peau luisant de sueur, de sperme et de pisse mêlés.


Sur le chemin du retour, la nuit tombait, et ils s’arrêtèrent sur une autre aire déserte. Dans la voiture, Nicolas la prit sauvagement sur la banquette arrière, ses doigts enfoncés dans sa chatte encore pleine du foutre du trapu, son odeur de sexe rance et de sperme séché saturant l’espace. Il la força à le sucer, ses lèvres engloutissant son sexe encore couvert des restes de la brune, et il jouit une dernière fois dans sa gorge, la laissant tousser et cracher son sperme sur le siège.

Ils rentrèrent vers minuit, trouvant le mari endormi sur le canapé, une bière renversée sur son ventre nu. Murielle, nue sous sa robe tachée de sueur et de foutre, s’approcha de lui, laissant une traînée collante sur sa joue lorsqu’elle l’embrassa.

— On a vécu, murmura-t-elle à Nicolas, ses yeux brillant d’un éclat sauvage et insatiable.

Il sourit, caressant son cul encore rouge des claques de la journée.

— Et ce n’est que le début, salope. Prépare-toi pour la suite.

Dehors, la nuit était calme, mais dans leurs corps, une tempête de vice continuait de gronder, prête à éclater à nouveau.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Toujours aussi érotique. Muriel a encore tant de choses à découvrir. Je fais confiance à l'imagination de Nocolas. Vite la suite.



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