Murielle n’a plus de limite

- Par l'auteur HDS Passions_secrètes -
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Récit libertin : Murielle n’a plus de limite Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Murielle n’a plus de limite
Les semaines qui suivirent leur descente dans la débauche avaient transformé la maison de Murielle en un sanctuaire de luxure brute, un lieu où les murs semblaient vibrer des échos de leurs excès. Le mari, parti pour un séjour prolongé chez un ami à l’autre bout du pays – une excuse fragile pour fuir l’intensité de ce qu’il avait vu et goûté – laissait Murielle et Nicolas seuls, libres d’explorer des abysses encore plus profonds. La nuit où tout bascula à nouveau, une chaleur lourde pesait sur la maison, l’air saturé d’une odeur de sueur tiède et d’encens bon marché que Murielle avait allumé pour l’ambiance.

Nicolas, torse nu, son corps musclé luisant sous la lumière tamisée, entra dans le salon où Murielle l’attendait, vêtue d’une simple nuisette légère qui collait à ses courbes mûres. Ses seins généreux, en forme de poire, pendaient avec une sensualité naturelle, leurs aréoles larges et sombres visibles sous le tissu fin, et sa toison noire dépassait entre ses cuisses, exhalant une fragrance musquée et sucrée qui emplissait la pièce. Il posa un sac en cuir noir sur la table, un sourire sombre sur les lèvres, et murmura d’une voix grave :

— Ton homme est parti, Murielle. On est que deux. Ce soir, je vais te faire découvrir des choses que tu n’as jamais osé imaginer.

Elle frissonna, un mélange d’excitation et d’appréhension dans les yeux, et répondit, sa voix rauque :

— Montre-moi, Nicolas. Fais-moi tout.

Il sortit du sac un collier en cuir noir, large et orné d’un anneau métallique, qu’il passa autour de son cou avec une lenteur calculée, ses doigts frôlant sa peau moite alors qu’il le bouclait. Murielle sentit le cuir serrer légèrement sa gorge, une sensation nouvelle qui la fit rougir, son souffle s’accélérant. Nicolas attacha une laisse à l’anneau, un long cordon de cuir qu’il tira d’un coup sec, la forçant à se redresser.

— À quatre pattes, salope, ordonna-t-il, son ton ferme et autoritaire. Tu vas te déplacer comme ça maintenant. Ma chienne.

Murielle, troublée mais envoûtée, obéit, ses mains et ses genoux touchant le sol avec une maladresse gênée. Ses seins ballottaient sous la nuisette, son cul rond exposé alors qu’elle avançait à quatre pattes dans le salon, la laisse tendue dans la main de Nicolas. L’odeur de son excitation – âcre, sucrée, profondément féminine – monta dans l’air, mêlée à celle de la sueur rance de Nicolas, qui la guida vers la cuisine, puis le couloir, son sexe dur pulsant sous son jean usé.

— T’aimes ça, hein ? murmura-t-il, tirant sur la laisse pour la faire tourner autour de lui, ses yeux brillant d’une lueur perverse. Une vraie bête à dresser.

Elle hocha la tête, pantelante, et il la força à s’arrêter près du canapé, où il s’assit, la laisse enroulée autour de son poing. Il glissa une main entre ses cuisses, caressant sa chatte trempée avec une brutalité possessive, son jus coulant sur ses doigts alors qu’elle gémissait, à quatre pattes devant lui.

L’après-midi s’étira dans cette danse perverse, Murielle toujours à quatre pattes, la laisse claquant contre ses cuisses à chaque mouvement. Nicolas la fit ramper dans toute la maison, du salon à la chambre, son corps luisant de sueur, ses seins frôlant le sol, son odeur saturant chaque pièce. Mais alors que le soleil déclinait, un bruit de moteur troubla le silence. Murielle releva la tête, surprise, et murmura :

— Qu’est-ce que…

Nicolas, un sourire tordu sur les lèvres, répondit :

— Une surprise, salope. Reste à quatre pattes.

La porte s’ouvrit, révélant un homme qu’elle ne connaissait pas. Karim, 45 ans, était un Arabe massif au visage dur, patron d’un sex-shop clandestin en ville. Sa peau mate luisait de sueur, ses cheveux noirs coupés ras, et une barbe épaisse encadrait un sourire carnassier. Il portait un sac en toile rempli d’objets, une odeur forte – cuir, huile et tabac – émanant de lui alors qu’il entrait, ses yeux sombres fixant Murielle avec une avidité brutale.

— T’as commandé des trucs, dit-il à Nicolas, posant le sac sur la table. Et t’as une belle chienne, on dirait.

Nicolas tira sur la laisse, forçant Murielle à se redresser légèrement, ses seins exposés sous la nuisette déchirée par ses mouvements.

— Habille-la, ordonna-t-il à Karim. Fais-la belle pour nous.

Karim grogna de plaisir, vidant le sac pour révéler une tenue en cuir noir : un harnais qui laissait ses seins apparents, les anneaux métalliques serrant sa chair mûre, des bottes hautes lacées jusqu’aux cuisses, et des bracelets en cuir pour ses poignets et chevilles, ornés de crochets pour d’éventuelles attaches. Il s’approcha de Murielle, ses mains calleuses frôlant sa peau alors qu’il la déshabillait complètement, jetant la nuisette au sol. Elle rougit, gênée par ce regard étranger, mais Nicolas tira sur la laisse, la forçant à rester immobile.

Karim passa le harnais sur son corps, serrant les sangles jusqu’à ce que ses seins débordent, ses tétons durcis exposés sous la lumière crue. Il enfila les bottes, ses doigts s’attardant sur ses cuisses, puis fixa les bracelets, un cliquetis métallique résonnant dans la pièce. Enfin, il sortit un gode anal orné d’une queue de renard, longue et rousse, qu’il cracha dessus avant de l’enfoncer brutalement dans son cul, arrachant un cri rauque à Murielle. L’odeur de son jus – sucré, musqué – se mêla à celle du cuir neuf et de la sueur rance de Karim.

— T’es notre jouet maintenant, murmura Nicolas, tirant sur la laisse pour la faire ramper vers Karim. Montre-lui ce que tu sais faire.

Murielle, à quatre pattes, avança vers Karim, son cul orné de la queue de renard tressautant à chaque mouvement. Il baissa son pantalon, révélant un sexe épais et noueux, déjà luisant de pré-sperme, une odeur forte – sueur et musc brut – envahissant l’air. Elle le prit dans sa bouche, ses lèvres s’étirant autour de lui avec une maladresse perverse, tandis que Nicolas, derrière elle, glissait une main sous la queue pour caresser sa chatte trempée, son foutre de la journée encore collant sur ses doigts.

Karim grogna, ses mains saisissant ses cheveux pour la forcer à le sucer plus profondément, son sperme giclant dans sa gorge en jets brûlants alors qu’elle toussait, le surplus coulant sur son menton en filets collants. Nicolas, excité, la pénétra par derrière, son sexe dur s’enfonçant dans sa chatte avec une sauvagerie brutale, la queue de renard claquant contre ses cuisses à chaque coup de reins. Elle jouit dans un hurlement, son jus éclaboussant le sol, tandis que Karim, insatiable, décida de rester pour la nuit, un sourire tordu sur les lèvres.

Le lendemain, un dimanche lourd et orageux, Nicolas et Karim transformèrent le grenier en un antre de vice. Ils installèrent une croix de Saint-André, un cadre en bois brut fixé au mur, et y attachèrent Murielle, ses poignets et chevilles liés aux bracelets en cuir, son corps exposé dans le harnais, ses seins lourds et son cul orné de la queue de renard offerts à leurs regards. Elle n’avait pas les yeux bandés, ses yeux brillant d’une excitation mêlée de peur alors qu’ils la fixaient, leurs sexes durcissant sous leurs vêtements.

— T’es à notre merci, salope, murmura Nicolas, saisissant des pinces métalliques qu’il fixa sur ses tétons, les serrant jusqu’à la faire gémir de douleur et de plaisir.

Karim, audacieux, attacha d’autres pinces aux grandes lèvres de sa chatte, les écartant brutalement pour exposer son clitoris gonflé, une odeur sucrée et âcre montant d’elle alors qu’elle hurlait, son corps tremblant contre la croix. Ils se branlèrent devant elle, leurs foutres giclant sur son ventre et ses cuisses en jets chauds, une pluie ammoniaquée qui la recouvrit alors qu’elle jouissait sous la douleur, son jus coulant sur le bois brut.

Mais l’audace ne s’arrêta pas là. Nicolas ouvrit la porte du grenier, laissant entrer deux nouveaux venus qu’il avait conviés en secret. L’un, Bruno, 50 ans, était un ours velu, un colosse barbu au torse couvert de poils noirs, son sexe massif pendant entre des cuisses épaisses, une odeur rance – sueur et bière – émanant de lui. L’autre, Thierry, 55 ans, était un gros lard au ventre flasque débordant sur son sexe court mais gros, une fragrance âcre de graisse et de transpiration saturant l’air autour de lui.

— Regardez notre jouet, lança Nicolas, un éclat dément dans les yeux. Prenez-la.

Bruno s’approcha, saisissant Murielle par les hanches pour la pénétrer par devant, son sexe massif s’enfonçant dans sa chatte avec une brutalité bestiale, ses grognements résonnant dans le grenier alors que ses poils râpeux frottaient contre sa peau. Thierry, pervers, se plaça derrière, arrachant le gode anal pour le remplacer par son sexe gros, forçant son cul avec une sauvagerie maladroite, son ventre flasque claquant contre ses fesses. Karim, excité, pissa un jet clair sur ses seins, l’urine coulant sur son ventre alors qu’elle hurlait, submergée par les assauts triples.

Nicolas, maître du chaos, se branla devant elle, son foutre giclant sur son visage en filets brûlants, tandis que Bruno et Thierry jouissaient en elle, leurs spermes épais débordant de sa chatte et de son cul en traînées collantes. Elle jouit encore, son cri rauque emplissant le grenier, son corps convulsant contre la croix, son jus sucré éclaboussant le sol en une pluie perverse.

Les jours suivants, leur jeu devint une routine brutale. Régulièrement, Murielle était attachée à la croix, prise par Nicolas, Karim, Bruno ou Thierry, leurs foutres et leurs pisses l’arrosant sans relâche, son corps marqué par les pinces et les coups. Un soir, Nicolas invita un cinquième homme, un maigrelet de 30 ans au sexe fin mais infatigable, qui la força à le sucer pendant que les autres la pénétraient, son sperme giclant sur ses seins alors qu’elle hurlait, à la merci de leurs désirs.

Murielle, transformée en jouet vivant, vivait dans une transe de vice, son corps saturé de leurs odeurs – sueur, sperme, pisse, cuir – et son esprit noyé dans une extase terrible. Nicolas, un sourire sombre sur les lèvres, murmura un soir, caressant son visage poisseux :

— T’es notre chienne éternelle, Murielle. Ça ne s’arrêtera jamais.

Et dans l’ombre du grenier, sous les regards brûlants de ses bourreaux, elle acquiesça, un éclat sauvage dans les yeux, prête à plonger encore plus loin dans l’inimaginable.

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