Elle avait vraiment faim - histoire érotique

Eliane venait de doubler le cap de la quarantaine, grande, élancée, divorcée, elle aurait dû être une cible privilégiée pour tous les queutards du secteur, mais sa situation de cadre supérieur et son allure altière la rendait "lointaine" pour la plupart des mâles disponibles. C'est ce réveillon organisé par et pour des célibataires qui fut le point de départ. Sa copine Nénette (pour Bernadette) l'avait pratiquement suppliée pour l'accompagner car c'était le genre de soirée où une femme ne se rend pas toute seule.
N'ayant aucune expérience réelle de ces évènements, et qui plus est aucune garde robe adaptée, Eliane était allée sur internet chercher un loueur de vêtements pour cette occasion.
Elle avait été surprise par le nombre de loueurs, mais surtout par le fait que les locations étaient très sectorisées, en gros il y avait les costumes de carnaval (costumes de clowns, père noël, clochards ou policiers) et les costumes pour soirées, et dans ce sous-groupe il y avait deux catégories: soirées type opéra ou concert classique, et catégorie soirée dansante. C'était cette option qui avait été retenue; prudente Eliane avait écarté l'option "mini" et l'option "décolletée" en fournissant ses mensurations.
Le costume lui fut livré l'après midi même de la soirée, trop tard pour le moindre échange.
Effectivement la robe descendait jusqu'aux genoux, mais les deux fentes latérales remontaient bien au-dessus des hanches. Pour le bas c'était une paire de collants ouverts qui était prévue. Le haut des collants imitant des fausses jarretelles laissant sa peau visible à partir de la mi-cuisse par des ouvertures nombreuses et généreuses, son sexe et ses fesses étant totalement accessibles. Le string qui s'accordait avec la fausse dentelle du collant était un string ouvert au niveau du pubis, et d'une discrétion absolue, ne pas en mettre ne faisait pas une grande différence.
Du côté de la poitrine, effectivement ils avaient respecté son souhait "pas décolleté", mais la dentelle de la face avant était totalement transparente, et le soutien gorge prévu était également très discret, tout juste demi-sein .
Devant son miroir elle s'estimait "déguisée", elle n'était pas déguisée en clown ou en agent de police, mais c'était tout comme "je suis déguisée en salope" se dit elle.
Elle entendit le klaxon de la voiture de sa copine, enfila son manteau, descendit la rejoindre. Sa copine semblait surexcitée, elle annonça qu'elle avait bien l'intention de commencer l'année en baisant. A cet effet elle portait une mini robe qui ne lui couvrait pas l'intégralité des fesses et dont le décolleté était plus que généreux, mais comme elle ne portait pas de soutien gorge mais uniquement un grand collier, le tout semblait très correct si l'on y regardait pas de trop près.
Et effectivement leurs robes ne détonnaient pas auprès de toutes les autres robes, toutes plus exubérantes les unes que les autres.
Par contre chez les hommes le costume cravate faisait fureur. L'apéritif était très très généreux, et lorsqu'elles s'approchèrent du buffet la plupart des convives étaient très imbibées.
Eliane se retrouva avec deux chevaliers servants très dévoués, qui à tour de rôle lui offrait une coupe de champagne.
Du coin de l'oeil Eliane surveillait sa copine et la brièveté de sa robe, et effectivement elle vit une main masculine s'engager entre les fesses et y rester avec insistance. Eliane se dit "tant mieux pour elle, c'est qu'elle fait encore bander un mec" .A cet instant là, l'homme qui lui apportait une coupe de champagne posa sa main de libre sur ses fesses, par dessus sa robe.
Voulant dire quelque chose elle dit "et vous, vous ne buvez pas?" il lui répondit, tout en caressant ses fesses "je suis au whisky, vous voulez goûter?", elle entrouvrit la bouche pour dire "je ne mélange pas" et elle se retrouva avec une langue qui venait lui caresser la sienne. L'idée qu'elle avait eu pour sa copine: "elle fait encore bander" lui vint à l'esprit et elle répondit activement à ce baiser.
Quelqu'un la débarrassa de sa coupe de champagne, le baiser se prolongeait et la main écartait le string de la raie des fesses. Elle se dit "ce n'est pas convenable"L'homme dut avoir besoin de reprendre son souffle et cessa de l'embrasser. Elle s'aperçut alors que le deuxième compère était là, souriant, et demandait "et moi dans tout ça?" Elle eut un sourire, croyant qu'elle venait de faire un choix; mais le deuxième individu se pencha sur sa bouche pour l'embrasser avec autant de ferveur que le premier. Elle lui répondit de la même façon, se rendant compte que le second avait introduit sa main sur le devant et lui caressait le pubis tandis que la main côté fesses lui titillait l'anus.
Elle se dit, "ce n'est pas convenable tout ça" au moment où les bouches se succédaient. Les deux hommes l'embrassaient à tour de rôle, ne lui laissant aucun répit. Son sexe complètement trempé avait offert l'entrée de son vestibule à deux doigts qui s'y activaient. Le doigt de l'anus avait lui aussi franchi le sphincter. Elle s'aperçut qu'elle était en train de glisser dans un orgasme; cela faisait des années qu'elle n'avait plus jouis.
Celui qui terminait son baiser était en train de lui dire "on va te baiser à tour de rôle toute la nuit" quand elle entendit la voix de sa copine lui dire "ben tu ne t'emmerdes pas toi". Sa copine venait lui remettre les clés de sa voiture car le mec qu'elle avait levé la ramenait chez lui terminer la nuit. "je te laisse ma voiture pour que tu puisses rentrer".
Les clés à la main elle regarda son partenaire dans les yeux et lui dit "c'est moi qui vais vous baiser à tous les deux"L'homme éclata de rire tandis que son compère embrassait Eliane à son tour.
Elle les ramena jusqu'à la voiture de sa copine; là les deux hommes l'embrassèrent encore et pendant que l'un l'embrassait l'autre lui défit sa robe qu'il lança sur le siège arrière. Celui qui l'embrassait lui défit son soutien gorge qui finit lui aussi sur le siège arrière. Par défi elle leur lança "y a qu'à tout enlever alors!", et elle baissa collant et string en s'asseyant sur le siège conducteur. Ils l'aidèrent à ôter chaussures et collant, elle se dit "je pars en couille", installée sur le siège conducteur elle était branlée par le mec du siège passager, tandis que l'autre, à l'extérieur de la voiture l'embrassait goulument. Elle eut ainsi un nouvel orgasme, branlée par deux doigts.
C'est en conduisant toute nue qu'elle les ramena chez elle, le dieu des paillards fit que les gendarmes ne se trouvèrent pas sur leur chemin. Et c'est toute nue qu'elle descendit du véhicule pour ouvrir la porte de son domicile.

Elle les fit se déshabiller, en fit allonger un sur son lit et entreprit de lui faire une fellation pour le mettre en érection .Lorsqu'elle eut obtenu une rigidité acceptable elle l'enfourcha et s'empala sur ce sexe dont elle avait provoqué la vigueur.
L'autre se mit debout devant elle, au dessus de son copain, et lui présenta son sexe demi mou devant la bouche. Et tout en chevauchant le premier elle se mit à sucer le second. Elle senti bien le sperme éclater dans son vagin, elle fit coucher le second à côté du premier et l'enfourcha à son tour en clamant "je vous baise tous les deux!" Lorsque le deuxième éclata dans son vagin le premier s'était endormi. Elle alla prendre une douche, lorsqu'elle revint les deux dormaient. Elle alla se coucher sur la banquette du salon.
Au petit matin elle se réveilla sans courbatures, elle s'attendait à être fracassée, pas du tout, et en plus elle se souvenait de tout dans les moindre détails.
Les deux hommes dormaient à poings fermés. Toujours nue (ce qu'elle ne faisait jamais habituellement) elle prépara du café très fort. Lorsque les deux hommes émergèrent elle le leur servit, ils ne se souvenaient de rien. Elle leur dit "et vous ne croyez pas vous en sortir comme ça?"Et à nouveau après les avoir sucé elle leur monta dessus à tour de rôle, elle leur fit cracher leur sperme dans son vagin. Elle aurait voulu qu'ils la prennent en levrette à tour de rôle pour la faire jouir, mais apparemment ils étaient "vidés".
Elle se rhabilla, et les ramena sur les lieux de la fête où ils avaient leurs voitures. Rentrée chez elle Eliane se précipita sur son ordinateur pour se procurer des vêtements appropriés à ce qui allait être sa nouvelle vie.

Et c'est ainsi que le vendredi suivant elle se retrouva devant la porte d'un club libertin, vêtue comme une salope, en se disant qu'elle avait du temps à rattraper.
Elle était accoudée au comptoir, ses seins moulés dans un chemisier noué sur le devant. Sa micro jupe pouvait passer pour une ceinture un peu large. Elle sentit une présence derrière elle, un bassin s'appuyait contre ses fesses, elle pencha sa tête en arrière et glissa à l'homme qui l'embrassait dans le cou "vous êtes tout seul?"Elle avait fermement l'intention de se faire baiser et de jouir. Elle entraina l'homme dans un grand salon, elle commença par se faire faire un cunnilingus qui lui procura un premier orgasme. Un homme en érection s'approcha de sa bouche, elle l'invita à se coucher et s'empala sur ce sexe, elle attira son premier partenaire, entama une fellation et dès qu'elle jugea l'érection convenable elle lui dit "encules moi!"Et là elle sentait bien les deux sexe en elle, celui qu'elle chevauchait, et celui qui la sodomisait. Ce dernier éjacula trop vite avant qu'un orgasme la satisfasse. Alors elle "descendit" de sa monture; l'embrassant avec vigueur elle lui dit "prends moi en levrette". L'homme un peu déstabilisé s'exécuta, la prenant presque avec brutalité en la tenant par les seins.
Elle eut un premier orgasme, mais comme l'homme était toujours en érection elle lui ordonna "ne t'arrêtes pas, continue à me baiser", et elle éprouva un deuxième orgasme.
Comme l'homme était toujours en érection, elle se mit sur le dos, en position de l'enclume, et se fit prendre une nouvelle fois. Ce troisième orgasme fut fantastique. Elle le chevaucha une dernière fois pour le faire jouir.
Ceci fait elle le conduisit au comptoir où elle lui demanda "tu viens souvent ici?" il lui répondit qu'il n'était que de passage et qu'il n'était pas de la région.
Contrariée par cette information elle le ramena vers le grand salon en marmonnant, "toi tu vas pas t'en tirer comme ça".