Elle s’exhibe au supermarché
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle s’exhibe au supermarché
Cela fait maintenant plus de 10 jours que je n’ai pas eu un moment d’intimité avec quelqu’un d’autre que ma main. Je dois bien avouer que chez moi c’est plutôt inhabituel. J’ai beau relancer mes plans réguliers, répondre à des annonces mais je ne trouve personne avec qui passer un moment câlin.
En plus comme tout le monde est en vacances je peux même pas miser sur une soirée pour faire une rencontre. Je me résous à encore passer une soirée en solitaire après cette longue journée de boulot où j’étais presque seul dans les bureaux de la société. Seul avantage je n’ai pas mon patron sur le dos vu que lui aussi est en vacances.
J’attends avec impatience la vrai reprise du travail avec mes déplacements qui sont régulièrement aussi des moments de réjouissance sexuelle. Ca fait longtemps que je n’ai pas eu des nouvelles de mon pote Julien. Lui qui a souvent des bons plans, va surement me sortir de cette mauvaise passe. Je décide de l’appeler pour lui demander de l’aide.
Quelle drôle d’idée j’ai eu! L’amour de sa vie vient de lui briser le coeur. Il faut quand même préciser que ça faisait que deux semaines qu’ils étaient ensemble mais Julien est, encore une fois, fou amoureux. Cette relation a été tellement courte que non seulement je n’ai jamais rencontré « sa moitié » mais je n’ai même jamais entendu parler d’elle.
Du coup je passe 40 minutes à écouter ses malheurs, alors que j’espère qu’il allait me trainer à une nouvelle partouze ou qu’il serait partant pour qu’on partage sa copine du moment. C’est définitif ça sera une autre journée sans sentir la chaleur d’un corps contre le mien puisque je viens de lui promettre de passer le voir et d’apporter de quoi diner.
Ce coup de fil me fait quand même bien rire quand je demande à mon pote ce qu’il s’est passé. Sans se dérober il me dit:« Elle m’a chopé au lit avec sa meilleure amie. »Je me retiens de rire mais quand il se met à pleurer pour m’expliquer que depuis elle a dit que tout est fini entre eux, je suis obligé de couper mon micro pour ne pas qu’il m’entende. Il a vraiment une étrange notion d’amour!
Je quitte le boulot un peu après 18h30, je roule jusqu’au centre commercial en périphérie de la ville pour faire un petit ravitaillement pour la soirée mais aussi la maison. Une fois dans le supermarché je pousse mon caddie avec une certaine nonchalance en pensant à la soirée qui m’attend.
Je vais directement au rayon de l’alcool, je prends de la bière, une bouteille de rhum et un pastis que j’amènerai chez Julien vu que tous les deux nous aimons ça. Ensuite je vais prendre de la viande pour la soirée, j’en profite pour m’occuper aussi de mon ravitaillement.
Je vais au rayon des fruits et légumes, parce qu’il faut au moins en manger 5 par jour. Je commence à réfléchir au diner puis à ce qu’il me manque à la maison quand je vois les courbes d’une charmante dame. Elle doit être proche de la cinquantaine alors que je suis au milieu de la trentaine. Mais en voyant ses formes, bien mise en valeur, je n’arrive pas à détourner le regard.
Elle porte un chemisier rose pale presque transparent, son soutien gorge noir ressort encore plus en dessous. Elle porte une jupe noire qui lui arrive à mi cuisses, et laisse apparaitre de longues et fines jambes enveloppées de bas nylon très bien tirés. Elle porte des chaussures à talons hauts qui sont dans les tons de son chemisier et allongent encore plus sa silhouette.
Quand elle se penche pour attraper les oranges en haut de l’étalage, son petit cul bien rebondi, moulé par le tissu de sa jupe, ressort encore plus. Je sens naître une érection dans mon pantalon, je quitte pas des yeux son postérieur. Une fois qu’elle a pris le nombre de fruits qu’elle voulait, elle fait un noeud au sachet et avance lentement en poussant ses courses.
Malgré le bruit de fond ambiant, j’entends nettement ses talons claquer sur le carrelage du supermarché. Elle déambule tout doucement en faisant remuer son petit popotin comme si elle savait que je la mater. Je délaisse totalement la suite de mes courses et je la suis dans l’allée qu’elle emprunte.
A chaque fois qu’elle se penche pour attraper un article, j’ai l’impression qu’elle fait exprès pour me faire profiter du spectacle. Il faut que je me mette en tête que ce n’est pas parce que j’ai un côté voyeur, mais aussi exhibe, que tout le monde est comme moi. Ce n’est pas grave je continue à profiter du spectacle qu’elle m’offre en oubliant pas de rajouter de temps en temps des produits dans mon caddie pour ne pas me faire remarquer.
Plus je la suis dans les différents rayons plus je me dis qu’elle a remarqué ma présence et fait exprès de faire ressortir ses fesses à ce point ou faire remonter sa jupe encore un peu plus. Dans cette allée, elle se cambre d’abord pour attraper un produit sur le rayon le plus bas. Son cul est magnifiquement dans le tissu de la jupe qui est bien tiré.
Puis elle se relève et se met sur la pointe des pieds pour attraper l’article le plus haut. Elle lève tellement les bras que ses habits suivent le mouvement vers le haut. Grâce à cette élévation, je découvre qu’elle a des portes jarretelles, mon entrejambe manifeste encore plus son engouement. Je profite qu’elle soit encore de profil pour passer devant elle et frôler son corps au passage.
Je m’arrête quelques mètres plus loin mais toujours dans le même rayon. Je fais semblant de regarder les thés pour guetter sa réaction. Elle avance et s’arrête à ma hauteur, tout en restant derrière moi, mais quand même un peu en décalé, elle se penche et prend une boite de thé. Son geste est rapide mais je sens nettement son sein presser contre mon dos.
Avant je pouvais croire qu’à cause de mon manque de sexe mon cerveau me jouait des tours mais maintenant il y a plus aucun doute, elle s’amuse avec moi. Cette magnifique dame, aux cheveux grisonnants, fait bien exprès de m’exhiber son cul très attirant. Elle veut jouer, ça tombe bien dans ce domaine je suis très joueur.
Alors qu’elle continue à avancer je la suis, quand elle s’arrête je la double en effleurant son dos avec ma main relevée. Je m’arrête à mon tour et comme précédemment elle stop à mon niveau, mais cette fois elle plaque tout son corps contre le mieux pour attraper des coton pour se démaquiller. Après avoir profiter de sa caresse rapide je me rassure en me disant que j’ai bien fait de ne pas m’arrêter aux serviettes hygiénique.
Quand j’entreprends de la doubler de nouveau, je sens une forte gêne dans mon boxer. La caresse suivante est plus appuyée, en plus cette fois c’est son postérieur que je tâte. Je vois un homme rentrer dans notre rayon alors je retire ma main et continue à avancer. Il nous regarde fixement, ma belle dame me dépasse et empoigne fermement ma fesse gauche avant d’aller déposer un bisou sur la joue de l’homme.
Ils avancent, lentement et ensemble alors qu’elle lui prend le bras, elle lui parle longuement à l’oreille. Ils s’arrêtent, se retournent vers moi et le couple me sourit. Quand ils continuent d’avancer, je les suis. Régulièrement madame tourne la tête pour vérifier que je reste bien derrière eux.
Ils se rendent directement aux caisses, je m’installe à trois tapis d’eux pour ne pas les perdre. Pendant que je range mes courses que la caissière vient de scanner je me rend compte que j’ai acheté du produit pour le lave vaisselle alors que je n’en ai pas. Je vois le couple passer devant moi, tous les deux me fixent, ils avancent lentement vers la sortie.
Je me dépêche de tout ranger et payer pour les rejoindre. Ils attendent juste devant les portes et quand ils me voient approcher, ils avancent. Malheureusement je suis garé assez loin de leur voiture, je me dépêches de rejoindre ma bagnole et vider le caddie. Je mets tout dans le coffre et laisse le charriot sur place, un bon moment vaut plus qu’un euro et ça fera un heureux.
Je démarre le moteur et roule jusqu’à leur place, ils sont toujours là. Le pot d’échappement fume mais ils n’ont pas bougé. Je fais un appel de phare et leur voiture commence à avancer, je les suis. Nous roulons un moment mais restons dans la zone industrielle. Il s’arrête enfin devant une sorte d’usine, l’endroit est désert.
Je me gare perpendiculairement à eux et en marche arrière pour pouvoir les observer. La porte côté conducteur s’ouvre, c’est monsieur qui sort, il ouvre le coffre et en sort un appareil photo, il me fait signe de le rejoindre. Il se dirige côté passager et je me poste derrière lui. La portière s’ouvre et me dévoile la belle dame du supermarché, sauf que maintenant elle porte ni jupe ni culotte.
Elle sort une de ses jambes et écarte bien les cuisses pour nous exposer sa chatte complètement lisse. Ce n’est pas ce dont je suis le plus fan, j’aime quelques poils surtout sur une femme mûre mais ça ne m’empêche d’immédiatement bander. L’homme vise avec son appareil et prend sa femme en photo.
Une fois qu’il est content de ses clichées, il se décale pour me laisser une encore meilleure vue. Il ne m’en faut pas plus pour ouvrir ma braguette et sortir ma queue qui est déjà bien raide. Monsieur m’imite et s’approche de madame, elle ouvre la bouche et lui s’enfonce en elle. Ses lèvres courent sur cette tige avec beaucoup de sensualité et de passion.
Je me caresse devant ce beau spectacle qu’ils m’offrent, c’est tellement mieux que de se branler seul sur mon lit derrière un écran. En plus de le sucer elle pose ses deux mains sur les couilles de son mari et les malaxe à une puissance parallèle à la vitesse des allers retours de sa bouche. L’homme gémit et me tend l’appareil photo pour que j’immortalise ce moment.
Après une bonne quinzaine de clichés j’arrête et avec ma main de libre je reprends la branlette. Comme monsieur n’entend plus le déclics, il se retourne et me fait signe d’approcher. Il garde la main tendue pour que je lui rende l’appareil. D’ici je n’ai plus de plan large pour admirer l’action comme j’aime mais c’est beau quand même.
Madame abandonne une des couilles de son homme et remplace ma main par la sienne. Elle fait courir ses doigts au même rythme que ses lèvres sur la bite de son homme. Effectivement les gros plans ont pas mal d’avantages! Alors qu’il se fait toujours lécher, sucer, aspirer et surement même mordiller l’homme prend en photo la main de madame sur ma tige.
Quand il en a pris suffisamment il me demande:« Tu veux bien que je prenne aussi ton visage en photo. »S’il veut mon autorisation c’est que ça promet plus d’action alors je lui réponds:« Si c’est que pour un usage personnel, d’accord. »Il me sourit et m’explique qu’ils se font des albums souvenirs.
C’est quand même étrange de parler d’albums photos pendant que sa femme lui fait une pipe et à moi une branlette. C’est alors que madame recrache son mari pour se jeter sur ma queue et me sucer à mon tour. Monsieur recule doucement et nous photographie pendant qu’elle me lèche le gland, mais aussi quand elle le gobe et m’enfonce dans sa bouche.
Ses deux mains sont de la partie, elle en pose une sur mes couilles pour les titiller et l’autre sur mes fesses pour me faire encore plus la pénétrer. Je glisse une main dans son chemisier et je masse son sein, j’avais pas remarqué qu’elle avait aussi enlever son soutien gorge. Mes doigts se rapprochent rapidement de son téton et quand je commence à le pincer je la sens frémir. Je suis dans le même état qu’elle et peut être même pire, vu mon abstinence.
Malgré ma retenue, je commence à frétiller de la bite je pense qu’elle la senti aussi parce qu’elle s’excite encore plus sur moi. Je la préviens quand même pour ne pas la surprendre en éjaculant dans sa bouche, si elle ne désire pas. Elle appuie encore plus fort sur mes fesses pour bien me maintenir en elle. Sa langue et ses dents se focalisent sur mon frein.
Je n’en peux plus, ma bite et mes veines gonflent, je sens un spasme me parcourir et une première giclée sortir. Mon inconnue ne ralentis pas le rythme et avale chaque gorgée au fur et à mesure. Ses lèvres reprennent leur course sur mon membre et une fois que je me suis vidé elle pose sa langue sous mon urètre et m’aspire.
Quand j’admire sa bouche, je remarque de petits filets blanchâtres sur ses lèvres. Evidement son mari ne manque de photographier tout ça. Quand madame a fini de me nettoyer, je culpabilise d’avoir joui si vite. Mais elle me sourit avec son rouge à lèvres blanc et son homme me tend l’appareil photo.
Sans qu’il n’est rien à lui demandé, elle se met à 4 pattes sur le siège où elle était assise. Elle reste un moment comme ça pour que nous puissions admirer son magnifique fessier. Je prends quelques clichés et quelques autres quand elle écarte bien les cuisses et dévoile sa fente.
Vu la technique de sa fellation je m’attendais à ce que son abricot soit plus lâche et distendu que ça. Son mari vient derrière elle et enfonce sa bite bien droite d’un coup sec dans sa grotte qui perle de plaisir. Je passe de l’autre côté de la portière pour mieux admirer, mais aussi photographier, cette belle pénétration. Je vais quelques gros plans pour bien voir l’humidité de leur rapport.
Il la lime de plus en plus rapidement, tous les clichés sont flous du coup je ne fais que les observer. Le ventre de monsieur claque de plus belle les fesses de sa belle. Les deux se mettent à gémir en coeur et très rapidement il se vide, je photographie son visage pendant l’orgasme mais aussi je fais des gros plans quand il se retire.
Je continue de mitrailler alors que nous admirons des filets de spermes couler de cette grotte que j’aimerai pouvoir visiter. Je reste bien derrière l’appareil photo parce que j’ai très envie de me mettre à genoux derrière elle et la lécher. Alors que je continue à appuyer régulièrement sur le déclencheur mon autre main se pose sur sa cuisse.
Je la remonte tout doucement vers ses belles lèvres luisantes, monsieur prend l’appareil en main. Il appuie sur mon bras pour m’encourager et prend le relai dans le rôle du photographe. Je reste debout pour ne pas être trop tenté d’utiliser ma langue et je commence à masser les grandes lèvres en étalant le jus blanc de son mari.
J’introduis délicatement mon pouce dans son con déjà bien ouvert alors que mon index va titiller son clito que je sens bien gonflé. Elle ronronne rapidement, puis gémit et se met enfin à crier. Je sens son sexe se contracter autour de mes doigts, avec mon puce j’appuie bien sur son point G pour encore plus la faire décoller.
Quand les convulsions de son corps diminuent, je ralentis le rythme de mes doigts puis les retire délicatement. Une fois libre elle s’avachit, dans une position encore plus provocante. Il prend encore quelques photos et me tend la main comme pour me remercier. Bien que je commence à rebander, je range mon matériel.
Il se penche vers sa femme pour lui dire de se rassoir, c’est la première fois que j’entends sa voix, il a un accent italien. Elle remet son string et sa jupe et ferme la portière, elle me sourit, derrière la vitre, en me faisant un signe de la main. L’italien me serre encore une fois la main, remonte dans sa voiture est démarre. Je regarde leur plaque, ils viennent du nord de la France donc il y a très peu de chance que je les revois.
Une fois que leur véhicule n’est plus a porter de vue, je remonte dans le mien. Avant de démarrer je sens mes doigts et me remet immédiatement à bander. Je me dépêches de rentrer chez moi sans essuyer ma main pour me branler avec cette odeur, mélange du plaisir de ce couple. Je dois dire que je suis de meilleur attaque pour rejoindre Julien et écouter ses malheurs.
En plus comme tout le monde est en vacances je peux même pas miser sur une soirée pour faire une rencontre. Je me résous à encore passer une soirée en solitaire après cette longue journée de boulot où j’étais presque seul dans les bureaux de la société. Seul avantage je n’ai pas mon patron sur le dos vu que lui aussi est en vacances.
J’attends avec impatience la vrai reprise du travail avec mes déplacements qui sont régulièrement aussi des moments de réjouissance sexuelle. Ca fait longtemps que je n’ai pas eu des nouvelles de mon pote Julien. Lui qui a souvent des bons plans, va surement me sortir de cette mauvaise passe. Je décide de l’appeler pour lui demander de l’aide.
Quelle drôle d’idée j’ai eu! L’amour de sa vie vient de lui briser le coeur. Il faut quand même préciser que ça faisait que deux semaines qu’ils étaient ensemble mais Julien est, encore une fois, fou amoureux. Cette relation a été tellement courte que non seulement je n’ai jamais rencontré « sa moitié » mais je n’ai même jamais entendu parler d’elle.
Du coup je passe 40 minutes à écouter ses malheurs, alors que j’espère qu’il allait me trainer à une nouvelle partouze ou qu’il serait partant pour qu’on partage sa copine du moment. C’est définitif ça sera une autre journée sans sentir la chaleur d’un corps contre le mien puisque je viens de lui promettre de passer le voir et d’apporter de quoi diner.
Ce coup de fil me fait quand même bien rire quand je demande à mon pote ce qu’il s’est passé. Sans se dérober il me dit:« Elle m’a chopé au lit avec sa meilleure amie. »Je me retiens de rire mais quand il se met à pleurer pour m’expliquer que depuis elle a dit que tout est fini entre eux, je suis obligé de couper mon micro pour ne pas qu’il m’entende. Il a vraiment une étrange notion d’amour!
Je quitte le boulot un peu après 18h30, je roule jusqu’au centre commercial en périphérie de la ville pour faire un petit ravitaillement pour la soirée mais aussi la maison. Une fois dans le supermarché je pousse mon caddie avec une certaine nonchalance en pensant à la soirée qui m’attend.
Je vais directement au rayon de l’alcool, je prends de la bière, une bouteille de rhum et un pastis que j’amènerai chez Julien vu que tous les deux nous aimons ça. Ensuite je vais prendre de la viande pour la soirée, j’en profite pour m’occuper aussi de mon ravitaillement.
Je vais au rayon des fruits et légumes, parce qu’il faut au moins en manger 5 par jour. Je commence à réfléchir au diner puis à ce qu’il me manque à la maison quand je vois les courbes d’une charmante dame. Elle doit être proche de la cinquantaine alors que je suis au milieu de la trentaine. Mais en voyant ses formes, bien mise en valeur, je n’arrive pas à détourner le regard.
Elle porte un chemisier rose pale presque transparent, son soutien gorge noir ressort encore plus en dessous. Elle porte une jupe noire qui lui arrive à mi cuisses, et laisse apparaitre de longues et fines jambes enveloppées de bas nylon très bien tirés. Elle porte des chaussures à talons hauts qui sont dans les tons de son chemisier et allongent encore plus sa silhouette.
Quand elle se penche pour attraper les oranges en haut de l’étalage, son petit cul bien rebondi, moulé par le tissu de sa jupe, ressort encore plus. Je sens naître une érection dans mon pantalon, je quitte pas des yeux son postérieur. Une fois qu’elle a pris le nombre de fruits qu’elle voulait, elle fait un noeud au sachet et avance lentement en poussant ses courses.
Malgré le bruit de fond ambiant, j’entends nettement ses talons claquer sur le carrelage du supermarché. Elle déambule tout doucement en faisant remuer son petit popotin comme si elle savait que je la mater. Je délaisse totalement la suite de mes courses et je la suis dans l’allée qu’elle emprunte.
A chaque fois qu’elle se penche pour attraper un article, j’ai l’impression qu’elle fait exprès pour me faire profiter du spectacle. Il faut que je me mette en tête que ce n’est pas parce que j’ai un côté voyeur, mais aussi exhibe, que tout le monde est comme moi. Ce n’est pas grave je continue à profiter du spectacle qu’elle m’offre en oubliant pas de rajouter de temps en temps des produits dans mon caddie pour ne pas me faire remarquer.
Plus je la suis dans les différents rayons plus je me dis qu’elle a remarqué ma présence et fait exprès de faire ressortir ses fesses à ce point ou faire remonter sa jupe encore un peu plus. Dans cette allée, elle se cambre d’abord pour attraper un produit sur le rayon le plus bas. Son cul est magnifiquement dans le tissu de la jupe qui est bien tiré.
Puis elle se relève et se met sur la pointe des pieds pour attraper l’article le plus haut. Elle lève tellement les bras que ses habits suivent le mouvement vers le haut. Grâce à cette élévation, je découvre qu’elle a des portes jarretelles, mon entrejambe manifeste encore plus son engouement. Je profite qu’elle soit encore de profil pour passer devant elle et frôler son corps au passage.
Je m’arrête quelques mètres plus loin mais toujours dans le même rayon. Je fais semblant de regarder les thés pour guetter sa réaction. Elle avance et s’arrête à ma hauteur, tout en restant derrière moi, mais quand même un peu en décalé, elle se penche et prend une boite de thé. Son geste est rapide mais je sens nettement son sein presser contre mon dos.
Avant je pouvais croire qu’à cause de mon manque de sexe mon cerveau me jouait des tours mais maintenant il y a plus aucun doute, elle s’amuse avec moi. Cette magnifique dame, aux cheveux grisonnants, fait bien exprès de m’exhiber son cul très attirant. Elle veut jouer, ça tombe bien dans ce domaine je suis très joueur.
Alors qu’elle continue à avancer je la suis, quand elle s’arrête je la double en effleurant son dos avec ma main relevée. Je m’arrête à mon tour et comme précédemment elle stop à mon niveau, mais cette fois elle plaque tout son corps contre le mieux pour attraper des coton pour se démaquiller. Après avoir profiter de sa caresse rapide je me rassure en me disant que j’ai bien fait de ne pas m’arrêter aux serviettes hygiénique.
Quand j’entreprends de la doubler de nouveau, je sens une forte gêne dans mon boxer. La caresse suivante est plus appuyée, en plus cette fois c’est son postérieur que je tâte. Je vois un homme rentrer dans notre rayon alors je retire ma main et continue à avancer. Il nous regarde fixement, ma belle dame me dépasse et empoigne fermement ma fesse gauche avant d’aller déposer un bisou sur la joue de l’homme.
Ils avancent, lentement et ensemble alors qu’elle lui prend le bras, elle lui parle longuement à l’oreille. Ils s’arrêtent, se retournent vers moi et le couple me sourit. Quand ils continuent d’avancer, je les suis. Régulièrement madame tourne la tête pour vérifier que je reste bien derrière eux.
Ils se rendent directement aux caisses, je m’installe à trois tapis d’eux pour ne pas les perdre. Pendant que je range mes courses que la caissière vient de scanner je me rend compte que j’ai acheté du produit pour le lave vaisselle alors que je n’en ai pas. Je vois le couple passer devant moi, tous les deux me fixent, ils avancent lentement vers la sortie.
Je me dépêche de tout ranger et payer pour les rejoindre. Ils attendent juste devant les portes et quand ils me voient approcher, ils avancent. Malheureusement je suis garé assez loin de leur voiture, je me dépêches de rejoindre ma bagnole et vider le caddie. Je mets tout dans le coffre et laisse le charriot sur place, un bon moment vaut plus qu’un euro et ça fera un heureux.
Je démarre le moteur et roule jusqu’à leur place, ils sont toujours là. Le pot d’échappement fume mais ils n’ont pas bougé. Je fais un appel de phare et leur voiture commence à avancer, je les suis. Nous roulons un moment mais restons dans la zone industrielle. Il s’arrête enfin devant une sorte d’usine, l’endroit est désert.
Je me gare perpendiculairement à eux et en marche arrière pour pouvoir les observer. La porte côté conducteur s’ouvre, c’est monsieur qui sort, il ouvre le coffre et en sort un appareil photo, il me fait signe de le rejoindre. Il se dirige côté passager et je me poste derrière lui. La portière s’ouvre et me dévoile la belle dame du supermarché, sauf que maintenant elle porte ni jupe ni culotte.
Elle sort une de ses jambes et écarte bien les cuisses pour nous exposer sa chatte complètement lisse. Ce n’est pas ce dont je suis le plus fan, j’aime quelques poils surtout sur une femme mûre mais ça ne m’empêche d’immédiatement bander. L’homme vise avec son appareil et prend sa femme en photo.
Une fois qu’il est content de ses clichées, il se décale pour me laisser une encore meilleure vue. Il ne m’en faut pas plus pour ouvrir ma braguette et sortir ma queue qui est déjà bien raide. Monsieur m’imite et s’approche de madame, elle ouvre la bouche et lui s’enfonce en elle. Ses lèvres courent sur cette tige avec beaucoup de sensualité et de passion.
Je me caresse devant ce beau spectacle qu’ils m’offrent, c’est tellement mieux que de se branler seul sur mon lit derrière un écran. En plus de le sucer elle pose ses deux mains sur les couilles de son mari et les malaxe à une puissance parallèle à la vitesse des allers retours de sa bouche. L’homme gémit et me tend l’appareil photo pour que j’immortalise ce moment.
Après une bonne quinzaine de clichés j’arrête et avec ma main de libre je reprends la branlette. Comme monsieur n’entend plus le déclics, il se retourne et me fait signe d’approcher. Il garde la main tendue pour que je lui rende l’appareil. D’ici je n’ai plus de plan large pour admirer l’action comme j’aime mais c’est beau quand même.
Madame abandonne une des couilles de son homme et remplace ma main par la sienne. Elle fait courir ses doigts au même rythme que ses lèvres sur la bite de son homme. Effectivement les gros plans ont pas mal d’avantages! Alors qu’il se fait toujours lécher, sucer, aspirer et surement même mordiller l’homme prend en photo la main de madame sur ma tige.
Quand il en a pris suffisamment il me demande:« Tu veux bien que je prenne aussi ton visage en photo. »S’il veut mon autorisation c’est que ça promet plus d’action alors je lui réponds:« Si c’est que pour un usage personnel, d’accord. »Il me sourit et m’explique qu’ils se font des albums souvenirs.
C’est quand même étrange de parler d’albums photos pendant que sa femme lui fait une pipe et à moi une branlette. C’est alors que madame recrache son mari pour se jeter sur ma queue et me sucer à mon tour. Monsieur recule doucement et nous photographie pendant qu’elle me lèche le gland, mais aussi quand elle le gobe et m’enfonce dans sa bouche.
Ses deux mains sont de la partie, elle en pose une sur mes couilles pour les titiller et l’autre sur mes fesses pour me faire encore plus la pénétrer. Je glisse une main dans son chemisier et je masse son sein, j’avais pas remarqué qu’elle avait aussi enlever son soutien gorge. Mes doigts se rapprochent rapidement de son téton et quand je commence à le pincer je la sens frémir. Je suis dans le même état qu’elle et peut être même pire, vu mon abstinence.
Malgré ma retenue, je commence à frétiller de la bite je pense qu’elle la senti aussi parce qu’elle s’excite encore plus sur moi. Je la préviens quand même pour ne pas la surprendre en éjaculant dans sa bouche, si elle ne désire pas. Elle appuie encore plus fort sur mes fesses pour bien me maintenir en elle. Sa langue et ses dents se focalisent sur mon frein.
Je n’en peux plus, ma bite et mes veines gonflent, je sens un spasme me parcourir et une première giclée sortir. Mon inconnue ne ralentis pas le rythme et avale chaque gorgée au fur et à mesure. Ses lèvres reprennent leur course sur mon membre et une fois que je me suis vidé elle pose sa langue sous mon urètre et m’aspire.
Quand j’admire sa bouche, je remarque de petits filets blanchâtres sur ses lèvres. Evidement son mari ne manque de photographier tout ça. Quand madame a fini de me nettoyer, je culpabilise d’avoir joui si vite. Mais elle me sourit avec son rouge à lèvres blanc et son homme me tend l’appareil photo.
Sans qu’il n’est rien à lui demandé, elle se met à 4 pattes sur le siège où elle était assise. Elle reste un moment comme ça pour que nous puissions admirer son magnifique fessier. Je prends quelques clichés et quelques autres quand elle écarte bien les cuisses et dévoile sa fente.
Vu la technique de sa fellation je m’attendais à ce que son abricot soit plus lâche et distendu que ça. Son mari vient derrière elle et enfonce sa bite bien droite d’un coup sec dans sa grotte qui perle de plaisir. Je passe de l’autre côté de la portière pour mieux admirer, mais aussi photographier, cette belle pénétration. Je vais quelques gros plans pour bien voir l’humidité de leur rapport.
Il la lime de plus en plus rapidement, tous les clichés sont flous du coup je ne fais que les observer. Le ventre de monsieur claque de plus belle les fesses de sa belle. Les deux se mettent à gémir en coeur et très rapidement il se vide, je photographie son visage pendant l’orgasme mais aussi je fais des gros plans quand il se retire.
Je continue de mitrailler alors que nous admirons des filets de spermes couler de cette grotte que j’aimerai pouvoir visiter. Je reste bien derrière l’appareil photo parce que j’ai très envie de me mettre à genoux derrière elle et la lécher. Alors que je continue à appuyer régulièrement sur le déclencheur mon autre main se pose sur sa cuisse.
Je la remonte tout doucement vers ses belles lèvres luisantes, monsieur prend l’appareil en main. Il appuie sur mon bras pour m’encourager et prend le relai dans le rôle du photographe. Je reste debout pour ne pas être trop tenté d’utiliser ma langue et je commence à masser les grandes lèvres en étalant le jus blanc de son mari.
J’introduis délicatement mon pouce dans son con déjà bien ouvert alors que mon index va titiller son clito que je sens bien gonflé. Elle ronronne rapidement, puis gémit et se met enfin à crier. Je sens son sexe se contracter autour de mes doigts, avec mon puce j’appuie bien sur son point G pour encore plus la faire décoller.
Quand les convulsions de son corps diminuent, je ralentis le rythme de mes doigts puis les retire délicatement. Une fois libre elle s’avachit, dans une position encore plus provocante. Il prend encore quelques photos et me tend la main comme pour me remercier. Bien que je commence à rebander, je range mon matériel.
Il se penche vers sa femme pour lui dire de se rassoir, c’est la première fois que j’entends sa voix, il a un accent italien. Elle remet son string et sa jupe et ferme la portière, elle me sourit, derrière la vitre, en me faisant un signe de la main. L’italien me serre encore une fois la main, remonte dans sa voiture est démarre. Je regarde leur plaque, ils viennent du nord de la France donc il y a très peu de chance que je les revois.
Une fois que leur véhicule n’est plus a porter de vue, je remonte dans le mien. Avant de démarrer je sens mes doigts et me remet immédiatement à bander. Je me dépêches de rentrer chez moi sans essuyer ma main pour me branler avec cette odeur, mélange du plaisir de ce couple. Je dois dire que je suis de meilleur attaque pour rejoindre Julien et écouter ses malheurs.
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