Elle se croyait frigide - histoire érotique

Cela faisait plusieurs fois que dès son arrivée dans le club libertin, Béatrice m'abandonnait pour aller vers le coin des hommes seuls où elle se faisait baiser par tous les orifices.
De mon côté, me retrouvant de fait, "homme seul" je me réfugiais à côté d'une femme seule qui s'asseyait toujours au même endroit. Nous avions discuté et elle m'avait confié qu'elle venait dans ce club pour prendre du plaisir par tous les moyens, mais qu'hélas elle était frigide.
Je trouvais cette affirmation paradoxale, elle m'affirmait éprouver du bien être à flirter, c'était agréable, mais qu'elle ne parvenait jamais à l'orgasme. Sautant sur l'occasion je lui proposais un flirt; elle embrassait très bien, et même très très bien, je profitais de notre proximité pour lui caresser les seins et le sexe (qui était bien humide).
Nous venions de passer dans un petit salon où nous nous étions installés en "côte à côte" à proximité d'un couple en train de baiser en levrette.
Je me faisais fort, avec ma technique du cunnilingus, de l'amener à un orgasme normal. Je m'appliquais donc avec ma langue à écarter ses petites lèvres pour remonter au capuchon du clitoris. Je passais ainsi au moins vingt minutes à lui titiller le clitoris avec ma langue et à chercher à lui exciter le point G avec deux doigts.
Devant l'apparente inefficacité de mes actions je remontais jusqu'à sa bouche pour l'embrasser. Elle me dit "c'est bon, c'est agréable mais pas plus". J'étais à la limite d'être vexé. Elle me proposa "à moi maintenant!" et je me retrouvais allongé sur le dos avec cette magnifique partenaire en train de me faire une fellation.
Ne voulant pas craquer avant elle, pour éviter d'éjaculer dans sa bouche je lui tirais gentiment les cheveux pour qu'elle remonte m'embrasser à pleine bouche. M'embrassant à nouveau avec avidité elle me dit "j'adore flirter avec toi".
La dame du couple voisin qui venait de jouir s'empara de mon sexe en érection pour le mettre en contact avec le sexe de cette femme qui m'embrassait.
Je fis quelques mouvements du bassin pour montrer mon désir de pénétration, et notre voisine guida mon sexe pour une pénétration vaginale.
Amusée ma partenaire interrompit son baiser pour me dire "j'aime bien ton sexe en moi, c'est bon, mais ce n'est qu'un flirt poussé".
Puis je senti un haut le corps de sa part, et immédiatement le contact d'un membre contre mon sexe au travers de la paroi vaginale. Elle se jeta de nouveau sur ma bouche pour un baiser passionné alors que je sentais bien que notre voisin était en train de la sodomiser. Alors que je ne pouvais faire que de petits mouvements du bassin pour occuper la totalité du vagin avec mon sexe, je sentais bien que notre partenaire avait de grands mouvements, sortant pratiquement son phallus pour l'enfoncer complètement en plaquant son bassin contre les fesses de la femme.
Celle-ci eut un tressaillement, interrompi son baiser pour s'écrier "je suis en train de jouir, je JOUIIIS du CUUUL !"L'homme poursuivi ses mouvements quelques secondes puis cessa ses mouvements en se cambrant, il jouissait dans son préservatif (et dans le cul de ma partenaire). Il se retira, ma compagne se laissa aller contre moi en me disant "Putain, j'ai joui du cul!"Elle se remit à califourchon au dessus de moi et se mit à se baiser avec mon sexe au dessus de mon bassin. Au bout de quelques minutes elle me fit jouir à l'intérieur de son vagin (je n'avais pas de préservatif) sans qu'elle même ne puisse obtenir un nouvel orgasme.
J'étais un peu contrit de ne pas avoir réussit à la faire jouir, ni avec ma bouche en cunnilingus, ni avec mon sexe en pénétration vaginale.
Elle se retira d'au dessus de moi en essayant de retenir le sperme qui s'échappait de son sexe. Elle eut un petit rire en me disant "ben, je ne suis pas frigide, refais moi un cunni!"Elle se mit sur le dos, les jambes écartées en me disant "viens!"Je regardais son sexe d'où s'échappait un peu de mon sperme, cela ne me tentait guère, toutefois je me mis à quatre pattes pour lui lécher le clitoris, avec des mouvements de ma langue alternant des mouvements circulaires et des coups de langue de haut en bas et de bas en haut.
J'introduisis deux doigts dans son vagin, trouvant assez rapidement son point G, et en moins de dix minutes elle eut des tremblements puis des spasmes; elle jouissait en gémissant.
Je l'embrassais à nouveau, elle murmura "putain que c'est bon!" puis se redressant elle me dit "à moi maintenant!" et me remettant sur le dos elle entreprit de me faire une fellation.
Je me laissais aller, les yeux fermés, puis je sentis un changement de mouvement de sa part, j'ouvrais les yeux, un homme était à genoux derrière elle et la tenait par les hanches, aucun doute, il la baisait en levrette. Elle eut comme un sanglot autour de mon sexe, suivi d'un tremblement et d'un long gémissement. L'homme accéléra ses mouvements en augmentant l'amplitude de ses gestes. Elle se mit carrément à crier, et cela dura un bon moment.
Il se retira, il avait un préservatif dans lequel il avait éjaculé. Et il nous quitta sans dire un mot.
Elle revint vers moi à quatre pattes pour m'embrasser profondément, je profitais de la position pour lui saisir les deux seins et les caresser tout en lui pinçant de temps en temps les mamelons.
Tout en continuant de m'embrasser elle eut quelques convulsions, je sentais bien la pointe de ses seins durcir et s'allonger, je la senti crier à l'intérieur de ma bouche. Je me suis dit "elle n'est pas en train de jouir des nichons?" et je continuais à malaxer ses seins tout en me disant que ce n'était pas possible.
Elle eut encore quelques spasmes, interrompit son baiser pour me dire "arrêtes, c(est trop, c'est trop!" mais en laissant sa poitrine à disposition de mes mains.
Je lui pinçais à nouveau les deux mamelons, presqu'avec violence et elle se mit à crier "OUIII" pour se jeter à nouveau sur ma bouche pour m'embrasser.
Elle me dit "c'est pas possible, c'était jamais arrivé, j'ai dû rêver, c'est pas possible".
Je lui proposais "viens on va faire un tour dans un des grands salons, puis on va recommencer pour vérifier si ça marche".
Et c'est ce que nous fîmes, et elle eut une demi-douzaine d'orgasmes (avec divers partenaires) et en conclusion elle me dit "j'aime bien baiser avec toi, même si la plupart du temps ce n'est pas toi qui me fait jouir"Je me suis demandé longtemps si cette phrase était flatteuse pour moi, mais nous avons continué quelques mois ce partenariat au terme duquel je pouvais garantir qu'elle n'était pas frigide.