ÉMILIE ENCEINTE
Récit érotique écrit par André Bernard24 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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ÉMILIE ENCEINTE
Un changement dans notre vie de couple
Les années avaient passé et notre famille allait s’agrandir, j’avais à présent 35 ans et j’étais enceinte de 6 mois. Mes seins avaient presque doublé de volume et mon ventre était vraiment rond.
Nous étions heureux mais nul doute que notre vie sexuelle en était un peu bouleversée.
Dan était prévenant mais, il ne me sollicitait plus autant qu’avant pour avoir des rapports sexuels.
J’avais beau le câliner la réponse était souvent la même « il ne faut pas te surmener avec cette chaleur » nous étions au mois de mai et c’est vrai, le printemps était très chaud.
Je portais en général des robes légères relativement décolletées. Malgré mon ventre, je ne supportais pas qu’elles descendent en dessous du genou, mais qu’elles s’arrêtent à mi-cuisses.
Bien sûr j’avais abandonné les talons hauts pour des sandalettes confortables.
J’avais changé de métier, j’étais secrétaire administrative dans une école privée qui allait du primaire au secondaire.
C’est peut-être le contact fréquent avec tous ces enfants qui m’avaient donné l’envie de devenir mère.
Le midi je déjeunais à la cantine à la table des surveillants.
Il y avait deux jeunes dans la vingtaine Joris et Fred et un couple dans la cinquantaine Jacques et Nadia qui était à mi-temps. Je retrouvais régulièrement ma place entre Jacques et Nadia et face à Joris et Fred. L’ambiance était tonique et les plaisanteries allaient bon train sur les liaisons qui pouvaient se créer entre les instits et les profs qui déjeunaient deux tables plus loin.
Le jour du regard des élèves de seconde :
Le mardi nous avions à la table la plus proche les élèves de seconde. Ils regardaient régulièrement en notre direction.
Joris – Tu as vu Fred comme les secondes mattent les cuisses de Nadia !
Fred – ah oui là il n’y a pas photo, c’est le syndrome des belles matures qui les atteint !
Jacques – Si ça leur fait plaisir de mater les cuisses de ma femme, mais vous êtes bien affirmatif messieurs, rien de vous dit qu’ils ne regardent pas les cuisses d’Émilie.
Fred – Arrête Jacques Émilie est enceinte tout de même.
Nadia – Vous n’y connaissez rien les jeunes, une femme enceinte est hyperbandante pour les hommes et en général, elle donne tout au lit à celui qui sait la prendre. Et généralement désolé mais ce n’est pas son mari.
Je restais sans voix devant cette affirmation et Joris et Fred étaient rouges comme les tomates que nous mangions à ce moment, pour autant Joris relançait le débat.
Joris – non mais comment sais-tu cela Nadia ne nous dit pas que tu as trompé Jacques lorsque tu étais enceinte ?
Nadia – Tu parles sans savoir mon petit Joris, d’une part nous n’avons pas d’enfant donc désolée mais je n’ai jamais été enceinte. Mais au cas où tu l’ignorerais, nous sommes à mi-temps ici. J’ai une autre activité à mon domicile un cabinet de massage. Parmi ma clientèle j’ai eu bon nombre de femmes enceintes et entre femmes, les confidences ça existe.
Joris – Excuse cette réflexion de ma part elle était stupide. Tu en penses quoi de tout ça Émilie.
– Je pense que je vais prendre rendez-vous avec Nadia car ça me fera le plus grand bien.
Pendant toute cette conversation j’avais bizarrement senti à plusieurs reprises le genou de Jacques se presser contre ma cuisse gauche. Certainement un geste involontaire au regard des bancs bien inconfortables de la cantine scolaire.
Nadia me confirmait que vu mon état un bon massage serait bénéfique, me précisant pour finir de me persuader que son cabinet était climatisé et faisait face à une baie vitrée donnant sur la piscine dont ses clients bénéficiaient dans le prix de la prestation qui était très raisonnable.
Rendez-vous au salon de massage chez Nadia :
Isolée en pleine campagne, la villa de Jacques et Nadia était desservie par une longue allée de gravier blanc bordée de cyprès. Un portail électrique et sur le pilier de droite une très belle plaque de cuivre indiquait Bienvenue chez Jacques et Nadia Relaxation massage et hypnothérapie.
Je pressais le bouton de l’Interphone caméra. Le portail s’ouvrait me permettant de garer mon véhicule à l’ombre de sapins centenaires. Une magnifique demeure du siècle dernier s’offrait à ma vue.
Je franchissais les marches du perron la très belle porte de bois laquée s’ouvrait et Nadia me souhait la bienvenue. Elle me faisait pénétrer dans son salon joliment décoré
• Veux-tu prendre un thé bien chaud ma belle
• Oui volontiers
Je m’enfonçais dans les coussins moelleux du fauteuil, ma mini-robe remontait à mi-cuisses ce qui me provoquait une remarque de mon hôte qui était installée en face sur le sofa deux places.
• Tu sais que tu as de magnifiques jambes Émilie.
• Je confirme
C’était la voix grave de Jacques qui venait de pénétrer dans la pièce et qui s’installait au côté de sa femme.
Je m’avançais, pour attraper ma tasse de thé, mon ventre rond m’obligeait à écarter mes jambes. J’offrais à ce moment à l’évidence une vue plongeante sur ma petite culotte. Ce qui n’échappait pas au couple qui me faisait face.
Le thé terminé Nadia m’invitait à la suivre dans la salle dans son cabinet.
La table de massage était tournée tête vers la baie vitrée donnant sur le parc et la majestueuse piscine.
• Allez Émilie tu te mets en petite culotte dans la cabine et tu t’installes sur le dos sur la table.
Je pénétrais dans une confortable cabine aux murs intégralement couverts de miroirs.
Je pouvais sans peine contempler mon corps et très franchement, je me trouvais jolie.Mon ventre rond, mes longues jambes, mes reins très cambrés donnant sur mon petit cul bien ferme. Sans oublier mes seins qui avaient doublé de volume.
Je m’allongeais sur la table un petit coussin moelleux sous la nuque.
Nadia était au-dessus de ma tête, elle faisait à présent couler de l’huile tiède sur mes seins et mon ventre.
Elle me massait les épaules les bras jusqu’au poignet et remontait sur mon ventre en large cercle et finissait par pétrir mes seins avec une délicatesse que je n’avais jamais connue.
Après plusieurs passages, elle se dirigeait vers mes pieds.
Avec la même douceur, ses mains parfumées me massaient les pieds puis remontaient mes mollets pour venir caresser mes cuisses en frôlant les bords de ma culotte. J’étais si bien que je sentais très clairement mes lèvres intimes s’humidifier par l’excitation que provoquaient les caresses que je recevais.
Ma respiration était plus profonde, je fermais les yeux totalement détendue lorsque la voix douce de Nadia me dit
• Mon petit ange, il serait dommage de tacher une si jolie culotte non .
Joignant le geste à la parole, elle saisissait les bords de mon sous-vêtement, en guise d’accord, je soulevais légèrement mes fesses afin qu’elle puisse le faire glisser vers mes pieds et me l’ôter définitivement.
• Quelle jolie petite chatte que voilà et délicatement épilée, félicitation Émilie.
• Merci
Ses mains agiles m’avaient légèrement écarté les cuisses et massaient les lèvres gonflées de désir de ma chatte, elle titillait adroitement mon clitoris que je sentais se dresser. Je gémissais lorsque Nadia cessa ses agréables caresses.
• Tu sais que tu es installé sur une table très spéciale adaptée aux femmes enceintes.
• Non ! En quoi est-elle adaptée.
Elle m’aidait à me relever me demandait de descendre de la table. Elle ôtait le petit coussin de nuque. Elle enlevait dégageait alors deux caches.
Au niveau de la tête et au niveau du ventre et me priais de m’installer sur le ventre.
C’était incroyablement confortable mon visage était calé comme mon ventre dans les deux emplacements prévus à cet effet.
• Tu te sens bien ma belle
• Oui c’est génial, j’ai l’impression que mon ventre est tout léger, c’est incroyable.
Je vais te mettre un petit casque sur les oreilles avec une musique relaxante et j’attaquerai le massage de ta nuque à tes pieds.
La musique était totalement géniale, les mains de Nadia caressaient ma nuque, virevoltaient sur mes reins, mes fesses les écartant pour masser ma raie culière, puis elles taquinaient mes voutes plantaires, et mes doigts de pieds. J’étais très excitée.
Nadia venait de se mettre au-dessus de ma nuque je sentais à présent son ventre contre mes cheveux.
Ses mains descendaient de part et d’autres de ma colonne vertébrale pour finir sur mes globes fessiers qu’elles écartaient, puis elles remontaient et recommençaient ainsi sans arrêt.
J’étais tout à mon plaisir et ma rêverie lorsque deux nouvelles mains se saisissaient de mes pieds, je sursautais ! J’entendais alors la voix de Nadia proche du casque me rassurer.
• Laisse toi aller ma chérie, profite d’un instant merveilleux, tu vas voir, mon Jacques fait des miracles.
La voix douce et chaude de Nadia doublée de ses caresses avait raison de toute réticence, je vivais le temps présent.
Je sentais à présent clairement Jacques poser sur mes pieds son sexe dont la longueur était sans nul doute hors normes, car ses couilles reposaient sur mes doigts de pieds, son gland dépassant de mes talons !
Bloquant mes pieds avec le bord de la table, il faisait de mes deux pieds un fourreau dans lequel sa queue glissait. Son gland doux et chaud suintait sur la plante de mes pieds, il étalait et massait mes pieds tendrement pendant que Nadia massait et huilait mes fesses et ma raie culière.
Elle dessinait de petits cercles autour de mon anus qui frémissait, à chaque passage elle pénétrait délicatement d’une phalange mon petit cul. J’accompagnai cette pénétration d’un petit coup de reins et mes gémissements en disaient long sur mon état d’excitation
La musique douce dans mes oreilles ne m’empêchait pas d’entendre et de sentir que Jacques venait de monter sur la table de massage.
Ses genoux à présent reposaient de part et d’autres de mes hanches, il était de cette manière, assis sur l’arrière de mes cuisses.
Ses mains puissantes à présent écartaient mes globes fessiers dégageant le petit œil brun anal sur lequel il reposait immédiatement son gland.
Par de long et doux mouvement dans ma raie culière, il étalait son liquide séminal qui huilait un peu plus à chaque passage, mon anus qui se détendait un peu à peu.
Mon souffle s’accélérait et mes gémissements résonnaient dans la pièce.
Jacques venait d’ôter ses mains de mes fesses laissant ainsi son sexe emprisonné dans mon sillon culier. A présent il était immobile.
D’une main délicate, Nadia soulevait mon casque.
Je sentais à présent à mon oreille ses lèvres murmurer :
• Mon Jacques maintenant si tu le veux, va t’enculer comme personne ne te l’a jamais fait. Lorsque tu souhaiteras recevoir cette sodomie, tu lui donneras ton feu vert en écartant toi-même tes si jolies fesses.
J’étais totalement excitée, aussi je glissais mes mains sur mes hanches pour enfin me saisir de mes fesses que j’écartais le plus largement possible.
C’était le signal pour Jacques dont je sentais le pouce et l’index forcer sur son gland pour le faire pénétrer millimètre par millimètre dans mon fondement.
Je poussais un petit cri lorsqu’il franchissait mon premier anneau.
Il venait de s’immobiliser et à présent, par de larges mouvements circulaires de hanches puis de droite à gauche, Jacques élargissait mon anus de droite à gauche et de haut en bas sans me pénétrer plus profondément.
J’avais beau avoir déjà pratiqué la sodomie, jamais je n’avais ressenti cela. Je sentais mon anus s’ouvrir comme une fleur. Jacques continuait encore et encore sans pénétrer plus avant.
Minutes après minutes je sentais ce gland grossir encore et encore.
Dans un petit « plop » ce gland sortait de mon cul pour y revenir la seconde suivante.
J’étais comme folle et je tremblais et m’entendais dire à cet amant extraordinaire
• Encule-moi Jacques, encule-moi plus profond, je t’en supplie.
D’une poussée rectiligne et ininterrompue, je sentais alors son sexe franchir et élargir mes anneaux internes.
C’est dans un cri entre douleur et extase que je sentais les couilles de mon amant frapper l’arrière de ma chatte qui éjaculait sans retenue.
Nadia m’arrachait le casque et j’entendais maintenant clairement Jacques qui s’adressait à elle
• Regarde Nadia comme j’encule notre petite Émilie, je te l’avais dit, son cul est une invitation à la jouissance.
• Allez mon amour plus vite, plus vite, fait la crier de plaisir. Encule là plus vite, plus profond ça m’excite tellement.
Nadia me claquait les fesses à chaque aller-retour de son mari, je jouissais comme jamais.
Ce long sexe sortait régulièrement et totalement de mon anus qui restait alors béant
• Non mais regarde ce cul ma Nadia, regarde, je vais jouir … ha ! je jouis.
Je sentais alors en moi, se déverser un flot de sperme au plus profond de mon anus, suivi de quatre salves supplémentaires.
Jacques libérait mon cul qui ruisselait de sa jouissance. J’étais épuisée par le plaisir qu’il m’avait procuré.
Le couple m’aidait à me retourner et à m’asseoir. Je voyais alors Nadia lécher le sexe de son mari puis elle m’embrassait tendrement en déclarant.
• Alors ma chérie, tu vois la jouissance que tu peux connaître pendant ta grossesse. Et je crois une fois de plus affirmer que toi, comme les autres, vous jouissez du cul sans aucune retenue. Le plaisir anal est sublime.
Ce à quoi Jacques ajoutait
• Dieu que les maris sont stupides, mais soyons leurs reconnaissants de nous offrir leurs femmes pour vivre de si grands moments.
Les années avaient passé et notre famille allait s’agrandir, j’avais à présent 35 ans et j’étais enceinte de 6 mois. Mes seins avaient presque doublé de volume et mon ventre était vraiment rond.
Nous étions heureux mais nul doute que notre vie sexuelle en était un peu bouleversée.
Dan était prévenant mais, il ne me sollicitait plus autant qu’avant pour avoir des rapports sexuels.
J’avais beau le câliner la réponse était souvent la même « il ne faut pas te surmener avec cette chaleur » nous étions au mois de mai et c’est vrai, le printemps était très chaud.
Je portais en général des robes légères relativement décolletées. Malgré mon ventre, je ne supportais pas qu’elles descendent en dessous du genou, mais qu’elles s’arrêtent à mi-cuisses.
Bien sûr j’avais abandonné les talons hauts pour des sandalettes confortables.
J’avais changé de métier, j’étais secrétaire administrative dans une école privée qui allait du primaire au secondaire.
C’est peut-être le contact fréquent avec tous ces enfants qui m’avaient donné l’envie de devenir mère.
Le midi je déjeunais à la cantine à la table des surveillants.
Il y avait deux jeunes dans la vingtaine Joris et Fred et un couple dans la cinquantaine Jacques et Nadia qui était à mi-temps. Je retrouvais régulièrement ma place entre Jacques et Nadia et face à Joris et Fred. L’ambiance était tonique et les plaisanteries allaient bon train sur les liaisons qui pouvaient se créer entre les instits et les profs qui déjeunaient deux tables plus loin.
Le jour du regard des élèves de seconde :
Le mardi nous avions à la table la plus proche les élèves de seconde. Ils regardaient régulièrement en notre direction.
Joris – Tu as vu Fred comme les secondes mattent les cuisses de Nadia !
Fred – ah oui là il n’y a pas photo, c’est le syndrome des belles matures qui les atteint !
Jacques – Si ça leur fait plaisir de mater les cuisses de ma femme, mais vous êtes bien affirmatif messieurs, rien de vous dit qu’ils ne regardent pas les cuisses d’Émilie.
Fred – Arrête Jacques Émilie est enceinte tout de même.
Nadia – Vous n’y connaissez rien les jeunes, une femme enceinte est hyperbandante pour les hommes et en général, elle donne tout au lit à celui qui sait la prendre. Et généralement désolé mais ce n’est pas son mari.
Je restais sans voix devant cette affirmation et Joris et Fred étaient rouges comme les tomates que nous mangions à ce moment, pour autant Joris relançait le débat.
Joris – non mais comment sais-tu cela Nadia ne nous dit pas que tu as trompé Jacques lorsque tu étais enceinte ?
Nadia – Tu parles sans savoir mon petit Joris, d’une part nous n’avons pas d’enfant donc désolée mais je n’ai jamais été enceinte. Mais au cas où tu l’ignorerais, nous sommes à mi-temps ici. J’ai une autre activité à mon domicile un cabinet de massage. Parmi ma clientèle j’ai eu bon nombre de femmes enceintes et entre femmes, les confidences ça existe.
Joris – Excuse cette réflexion de ma part elle était stupide. Tu en penses quoi de tout ça Émilie.
– Je pense que je vais prendre rendez-vous avec Nadia car ça me fera le plus grand bien.
Pendant toute cette conversation j’avais bizarrement senti à plusieurs reprises le genou de Jacques se presser contre ma cuisse gauche. Certainement un geste involontaire au regard des bancs bien inconfortables de la cantine scolaire.
Nadia me confirmait que vu mon état un bon massage serait bénéfique, me précisant pour finir de me persuader que son cabinet était climatisé et faisait face à une baie vitrée donnant sur la piscine dont ses clients bénéficiaient dans le prix de la prestation qui était très raisonnable.
Rendez-vous au salon de massage chez Nadia :
Isolée en pleine campagne, la villa de Jacques et Nadia était desservie par une longue allée de gravier blanc bordée de cyprès. Un portail électrique et sur le pilier de droite une très belle plaque de cuivre indiquait Bienvenue chez Jacques et Nadia Relaxation massage et hypnothérapie.
Je pressais le bouton de l’Interphone caméra. Le portail s’ouvrait me permettant de garer mon véhicule à l’ombre de sapins centenaires. Une magnifique demeure du siècle dernier s’offrait à ma vue.
Je franchissais les marches du perron la très belle porte de bois laquée s’ouvrait et Nadia me souhait la bienvenue. Elle me faisait pénétrer dans son salon joliment décoré
• Veux-tu prendre un thé bien chaud ma belle
• Oui volontiers
Je m’enfonçais dans les coussins moelleux du fauteuil, ma mini-robe remontait à mi-cuisses ce qui me provoquait une remarque de mon hôte qui était installée en face sur le sofa deux places.
• Tu sais que tu as de magnifiques jambes Émilie.
• Je confirme
C’était la voix grave de Jacques qui venait de pénétrer dans la pièce et qui s’installait au côté de sa femme.
Je m’avançais, pour attraper ma tasse de thé, mon ventre rond m’obligeait à écarter mes jambes. J’offrais à ce moment à l’évidence une vue plongeante sur ma petite culotte. Ce qui n’échappait pas au couple qui me faisait face.
Le thé terminé Nadia m’invitait à la suivre dans la salle dans son cabinet.
La table de massage était tournée tête vers la baie vitrée donnant sur le parc et la majestueuse piscine.
• Allez Émilie tu te mets en petite culotte dans la cabine et tu t’installes sur le dos sur la table.
Je pénétrais dans une confortable cabine aux murs intégralement couverts de miroirs.
Je pouvais sans peine contempler mon corps et très franchement, je me trouvais jolie.Mon ventre rond, mes longues jambes, mes reins très cambrés donnant sur mon petit cul bien ferme. Sans oublier mes seins qui avaient doublé de volume.
Je m’allongeais sur la table un petit coussin moelleux sous la nuque.
Nadia était au-dessus de ma tête, elle faisait à présent couler de l’huile tiède sur mes seins et mon ventre.
Elle me massait les épaules les bras jusqu’au poignet et remontait sur mon ventre en large cercle et finissait par pétrir mes seins avec une délicatesse que je n’avais jamais connue.
Après plusieurs passages, elle se dirigeait vers mes pieds.
Avec la même douceur, ses mains parfumées me massaient les pieds puis remontaient mes mollets pour venir caresser mes cuisses en frôlant les bords de ma culotte. J’étais si bien que je sentais très clairement mes lèvres intimes s’humidifier par l’excitation que provoquaient les caresses que je recevais.
Ma respiration était plus profonde, je fermais les yeux totalement détendue lorsque la voix douce de Nadia me dit
• Mon petit ange, il serait dommage de tacher une si jolie culotte non .
Joignant le geste à la parole, elle saisissait les bords de mon sous-vêtement, en guise d’accord, je soulevais légèrement mes fesses afin qu’elle puisse le faire glisser vers mes pieds et me l’ôter définitivement.
• Quelle jolie petite chatte que voilà et délicatement épilée, félicitation Émilie.
• Merci
Ses mains agiles m’avaient légèrement écarté les cuisses et massaient les lèvres gonflées de désir de ma chatte, elle titillait adroitement mon clitoris que je sentais se dresser. Je gémissais lorsque Nadia cessa ses agréables caresses.
• Tu sais que tu es installé sur une table très spéciale adaptée aux femmes enceintes.
• Non ! En quoi est-elle adaptée.
Elle m’aidait à me relever me demandait de descendre de la table. Elle ôtait le petit coussin de nuque. Elle enlevait dégageait alors deux caches.
Au niveau de la tête et au niveau du ventre et me priais de m’installer sur le ventre.
C’était incroyablement confortable mon visage était calé comme mon ventre dans les deux emplacements prévus à cet effet.
• Tu te sens bien ma belle
• Oui c’est génial, j’ai l’impression que mon ventre est tout léger, c’est incroyable.
Je vais te mettre un petit casque sur les oreilles avec une musique relaxante et j’attaquerai le massage de ta nuque à tes pieds.
La musique était totalement géniale, les mains de Nadia caressaient ma nuque, virevoltaient sur mes reins, mes fesses les écartant pour masser ma raie culière, puis elles taquinaient mes voutes plantaires, et mes doigts de pieds. J’étais très excitée.
Nadia venait de se mettre au-dessus de ma nuque je sentais à présent son ventre contre mes cheveux.
Ses mains descendaient de part et d’autres de ma colonne vertébrale pour finir sur mes globes fessiers qu’elles écartaient, puis elles remontaient et recommençaient ainsi sans arrêt.
J’étais tout à mon plaisir et ma rêverie lorsque deux nouvelles mains se saisissaient de mes pieds, je sursautais ! J’entendais alors la voix de Nadia proche du casque me rassurer.
• Laisse toi aller ma chérie, profite d’un instant merveilleux, tu vas voir, mon Jacques fait des miracles.
La voix douce et chaude de Nadia doublée de ses caresses avait raison de toute réticence, je vivais le temps présent.
Je sentais à présent clairement Jacques poser sur mes pieds son sexe dont la longueur était sans nul doute hors normes, car ses couilles reposaient sur mes doigts de pieds, son gland dépassant de mes talons !
Bloquant mes pieds avec le bord de la table, il faisait de mes deux pieds un fourreau dans lequel sa queue glissait. Son gland doux et chaud suintait sur la plante de mes pieds, il étalait et massait mes pieds tendrement pendant que Nadia massait et huilait mes fesses et ma raie culière.
Elle dessinait de petits cercles autour de mon anus qui frémissait, à chaque passage elle pénétrait délicatement d’une phalange mon petit cul. J’accompagnai cette pénétration d’un petit coup de reins et mes gémissements en disaient long sur mon état d’excitation
La musique douce dans mes oreilles ne m’empêchait pas d’entendre et de sentir que Jacques venait de monter sur la table de massage.
Ses genoux à présent reposaient de part et d’autres de mes hanches, il était de cette manière, assis sur l’arrière de mes cuisses.
Ses mains puissantes à présent écartaient mes globes fessiers dégageant le petit œil brun anal sur lequel il reposait immédiatement son gland.
Par de long et doux mouvement dans ma raie culière, il étalait son liquide séminal qui huilait un peu plus à chaque passage, mon anus qui se détendait un peu à peu.
Mon souffle s’accélérait et mes gémissements résonnaient dans la pièce.
Jacques venait d’ôter ses mains de mes fesses laissant ainsi son sexe emprisonné dans mon sillon culier. A présent il était immobile.
D’une main délicate, Nadia soulevait mon casque.
Je sentais à présent à mon oreille ses lèvres murmurer :
• Mon Jacques maintenant si tu le veux, va t’enculer comme personne ne te l’a jamais fait. Lorsque tu souhaiteras recevoir cette sodomie, tu lui donneras ton feu vert en écartant toi-même tes si jolies fesses.
J’étais totalement excitée, aussi je glissais mes mains sur mes hanches pour enfin me saisir de mes fesses que j’écartais le plus largement possible.
C’était le signal pour Jacques dont je sentais le pouce et l’index forcer sur son gland pour le faire pénétrer millimètre par millimètre dans mon fondement.
Je poussais un petit cri lorsqu’il franchissait mon premier anneau.
Il venait de s’immobiliser et à présent, par de larges mouvements circulaires de hanches puis de droite à gauche, Jacques élargissait mon anus de droite à gauche et de haut en bas sans me pénétrer plus profondément.
J’avais beau avoir déjà pratiqué la sodomie, jamais je n’avais ressenti cela. Je sentais mon anus s’ouvrir comme une fleur. Jacques continuait encore et encore sans pénétrer plus avant.
Minutes après minutes je sentais ce gland grossir encore et encore.
Dans un petit « plop » ce gland sortait de mon cul pour y revenir la seconde suivante.
J’étais comme folle et je tremblais et m’entendais dire à cet amant extraordinaire
• Encule-moi Jacques, encule-moi plus profond, je t’en supplie.
D’une poussée rectiligne et ininterrompue, je sentais alors son sexe franchir et élargir mes anneaux internes.
C’est dans un cri entre douleur et extase que je sentais les couilles de mon amant frapper l’arrière de ma chatte qui éjaculait sans retenue.
Nadia m’arrachait le casque et j’entendais maintenant clairement Jacques qui s’adressait à elle
• Regarde Nadia comme j’encule notre petite Émilie, je te l’avais dit, son cul est une invitation à la jouissance.
• Allez mon amour plus vite, plus vite, fait la crier de plaisir. Encule là plus vite, plus profond ça m’excite tellement.
Nadia me claquait les fesses à chaque aller-retour de son mari, je jouissais comme jamais.
Ce long sexe sortait régulièrement et totalement de mon anus qui restait alors béant
• Non mais regarde ce cul ma Nadia, regarde, je vais jouir … ha ! je jouis.
Je sentais alors en moi, se déverser un flot de sperme au plus profond de mon anus, suivi de quatre salves supplémentaires.
Jacques libérait mon cul qui ruisselait de sa jouissance. J’étais épuisée par le plaisir qu’il m’avait procuré.
Le couple m’aidait à me retourner et à m’asseoir. Je voyais alors Nadia lécher le sexe de son mari puis elle m’embrassait tendrement en déclarant.
• Alors ma chérie, tu vois la jouissance que tu peux connaître pendant ta grossesse. Et je crois une fois de plus affirmer que toi, comme les autres, vous jouissez du cul sans aucune retenue. Le plaisir anal est sublime.
Ce à quoi Jacques ajoutait
• Dieu que les maris sont stupides, mais soyons leurs reconnaissants de nous offrir leurs femmes pour vivre de si grands moments.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La grossesse ne fait pas disparaitre la libido. Il est même des femmes chez qui elle est exacerbée, comme pour Emilie
Elle est conne et egoiste, elle nique sans capotes pour bien se contaminer elle même , le fœtus et son mari.