Florence de femme mariée à callgirl 1

- Par l'auteur HDS André Bernard24 -
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Récit libertin : Florence de femme mariée à callgirl 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Florence de femme mariée à callgirl 1
Florence de femme mariée à callgirl 1

Une vie de couple paisible et harmonieuse
Je m'appelle Florence j'ai 28 ans, mon mari Michel à 35 ans.
Nous habitons dans une grande ville du sud-ouest de la France ou nous travaillons tous deux pour le même patron qui possède plusieurs grands magasins de meubles et de produits électroniques.

Michel est responsable des rayons vidéo télé et autres matériels informatiques avec un très bon salaire.Moi je suis vendeuse au rayon libre-service, petits objets de décoration, luminaires et autres babioles.
Je suis grande brune aux yeux verts. Mon mari me dit toujours que j'ai un corps de rêve qui attire le regard des hommes. Il ajoute qu'ils sont légion à se retourner sur ma généreuse poitrine, mes longues jambes et ma douce chute de reins cambrée qui souligne mon joli petit cul.

A vrai dire malgré mon âge, il me fait rougir car je n'ai connu qu'un seul homme lui.
Il m'a fait découvrir l'amour physique en m'épousant.
Issue d'une famille traditionnelle, il n'était pas de mise chez mes parents de parler kamasutra.

A entendre les collègues ou mes amies parler de leurs liaisons, je n'avais aucune peine à me rendre compte que notre façons de faire l'amour, était des plus classique.
C'était évident qu'avec Michel c'était rapidement quelques préliminaires baisers humides et immédiatement passage à la traditionnelle position du missionnaire. Le tout n'excédant pas les dix minutes. Mais j'étais heureuse, nous nous aimions.
Michel le samedi soir avait rendez-vous avec ses copains pour de longues parties de tarots.
De mon côté je pratiquais la gymnastique en club, où je côtoyais d'ailleurs régulièrement Françoise la femme de Marc notre patron.
Notre vie était long fleuve tranquille jusqu'à ce lundi fatidique de décembre où tout allait basculer pour nous faire rentrer dans une autre dimension.
Lundi matin à la première heure dans le bureau de Marc
Marc à 55 ans, ce rugbyman brun aux yeux gris, du haut de son mètre quatre-vingt-cinq ne passait pas inaperçu. Dans l'entreprise son autorité et son charisme s'imposait à tous.
J'avoue que je me demandais quelle mouche l'avait piquée samedi soir, pour me déclarer d'un ton autoritaire : «  Florence je veux vous voir lundi matin à la première heure. »
Ce lundi matin j'enfilai une jupe noire sobre et un chemisier blanc mes collants et mes chaussures à talons plats je me préparais à mon rendez-vous.
J'étais donc à la première heure en compagnie de sa secrétaire Nathalie quand l'Interphone résonnait : Nathalie, faites entrer Florence immédiatement et que personne ne nous dérange, sous aucun prétexte.
J'entrais dans l'immense bureau. Sur la gauche un petit salon avec deux fauteuils était destiné aux invités de marque. Sur la droite l'immense bibliothèque avec le bar imposant ou un choix impressionnant d’alcool s'offrait aux désirs des plus exigeants.


- Bonjour Florence, asseyez-vous.
- Bonjour Monsieur
- Florence je vous ai convoquée à propos d'une affaire très délicate qui concerne votre mari Michel. Savez-vous qu'il joue aux cartes ?
- Oui bien sûr, depuis des années tous les samedis, il joue aux tarots avec ses copains, mais à vrai dire je ne vois pas le rapport avec notre travail.
- Votre mari ne joue pas aux Tarots ma petite Flo, vous permettez que je vous appelle Flo ?

J'étais un peu surprise, mais après tout c'était le diminutif que mes amis et collègues me donnaient.

- Oui monsieur, si vous le souhaitez.
- Bien, je disais donc Flo, votre mari notre cher Michel ne joue pas aux Tarots mais au poker.
- Au poker monsieur ! Cela me surprend vraiment vous êtes sûr.
- Vous me traitez de menteur Flo !
- Non monsieur, je ne sais pas quoi penser.
- Ma petite Flo, non seulement votre mari joue au poker, mais il joue de très grosses sommes d'argent. Malheureusement pour lui, il perd gros, très gros. Il vous a tenu informée ?
- Mais non, je ne sais rien de tout ça, c'est un cauchemar.
- Comme vous dites Flo, c'est un cauchemar. Le plus grave, c'est que pour payer ses dettes de jeu, il a tapé dans les stocks du magasin. Il a volé des Caméscopes des ordinateurs et bien d'autres choses. Il a même détourné des livraisons fournisseurs pour les revendre à des concurrents. Il fait cela depuis plusieurs années, des centaines de milliers d'euros qu'il masquait en falsifiant les inventaires.
- Non non ce n'est pas Michel, ce n'est pas possible.
- J'ai toutes les preuves croyez-moi Florence. Constats d'huissiers, rapport de détective privé, témoignages et le montant astronomique de ce qu'il m'a volé.

Je craquais, ma vie se dérobait sous mes pieds, je fondais en larmes, mon monde s'écroulait.

- Monsieur je suis anéantie, que va-t-il se passer ?
- Je suis dans l'obligation de déposer plainte et je crains fort que votre mari ne se retrouve en prison. Je vais procéder à son licenciement pour faute grave sans indemnité bien évidemment.
- Non monsieur, vous ne pouvez pas me faire ça, je vous en supplie, c'est ma vie que vous ruinez à jamais si vous faites ça.
- Non Flo ce n'est pas moi qui ruine votre vie comme vous le dites, mais c'est votre mari je suis désolé.
- Monsieur, vous savez que je vous respecte et que je suis travailleuse. Il n'est pas possible de passer un accord pour éviter ce cauchemar. Envisager que je vous rembourse chaque mois.

- Mais Flo le montant de cette dette est énorme c'est impossible.
- Mais dites-moi combien doit-il ?
- Deux cent mille euros Flo voilà ce qu'il a volé..
- Je n'y arriverai jamais, ma vie et celle de ma fille est foutue.

Je fondais en larmes Marc mon patron après un long silence me dit

- Vous faites toujours de la gymnastique avec Françoise ma femme ?
- Oui
- Elle ne vous a jamais parlé de son activité avant de me connaître.
- Non, vous savez, nous parlons surtout de notre sport. Je m'entends bien avec votre femme elle est très gentille à mon égard.
- Je sais. Bon vous allez à la salle de sport ce soir.
- Avec ce que vous venez de m'apprendre je n'en ai pas vraiment envie.
- Allez-y, parlez avec mon épouse. Nous nous revoyons après. Pour l'instant je ne préviens pas les autorités judiciaires, ça vous va comme ça ?
- Oui, merci monsieur.

Entretien avec Françoise à la salle de sport

Après l'entrainement et la douche, Françoise m'invitait à boire un coup au bar de la salle de sport. Nous étions à une petite table à l'écart.

- Florence, mon mari m'a informé de vos problèmes. J'en suis vraiment peinée d'autant que j'ai beaucoup d'affection pour vous. Savez-vous quel était mon métier avant de connaître Marc.
- Non vous ne m'en avez jamais parlé.
- J'avais alors votre âge et comme vous j'étais une très belle femme. Je travaillais ponctuellement pour de grands groupes. J'avais pour mission d'accompagner les PDG dans des réunions des diners ou des soirées ou d'importants contrats devaient se signer. J'apportais un peu de joie de vivre et un petit peu par séduction, je facilitais la signature des contrats. C'est d'ailleurs lors d'un tel diner que j'ai fait la connaissance de Marc. Quelques années plus tard il demandait ma main.

- C'est incroyable ce que vous me dites là Françoise, et ça vous plaisait.
- Énormément, j'y prenais beaucoup de plaisirs, je voyageais souvent en jet privé et j'étais logé dans des palaces. J'avais une garde-robe magnifique des vêtements et des bijoux de luxe étaient mis à ma disposition. Coiffeurs instituts de beauté bref tout était fait pour que je plaise aux invités.
- Mais pourquoi vous avez arrêté Françoise.
- Tu es charmante Florence, mais comme je te l'ai dit j'étais jeune et belle. Malheureusement tu n'es pas sans savoir que ces choses ne durent pas.
- Oui bien sûr. Mais pourquoi vous me parlez de cette vie de rêve.

- Florence tu sais que mon mari à des magasins aux quatre coins du monde. Il négocie de très gros contrat d'achats ou de vente et en toute confidence, il fait appel à des jeunes femmes pour l'aider. Aussi j'ai pensé que plutôt que de faire appel à des agences spécialisées, tu pourrais remplir ces missions. Bien sûr si tu le souhaite. Une chose est certaine, c'est que cela te permettrait de résoudre tout tes problèmes financiers.

- Non c'est impossible les bêtises de Michel se chiffrent par centaines de milliers d'euros.
Florence, je gagnais parfois 5 000€ dans une soirée.
- Ouah. C'est dingue. Si j'accepte comment cela se passerait-il ?

- Tout d'abord nous monterons sur Paris pour te constituer ta garde-robe, puis je te formerai pour tes premières soirées. Ensuite tu serais amené à accompagner mon mari en France ou à l'étranger pour l'aider dans ces négociations.
- Mais mon job au magasin, et Michel mon mari.
- Tu plaisantes j'espère, Michel sera muté dans une autre succursale après avoir reconnu ses malversations. Et pour toi nous te trouverons, un appartement payé, à Paris pour te préparer à tes voyages. Bien sûr vis à vis de tes collègue nous dirons que tu as une promotion dans une autre région.

- Françoise je passe d'un cauchemar à un rêve. Je ne sais comment te remercier.
- Tu sais le scandale des malversations de Michel n'est bon pour personne. Ce n'est pas un rêve que nous te proposons mais une fonction importante dans des négociations profitables à l'entreprise. Et bien sûr tu seras au fil du temps en mesure d'éponger les dettes de ton mari. Saches que jamais il ne te seras imposée quoique ce soit. Et que tu pourra à tous moments mettre un terme à ton nouveau métier. Prend le temps de réfléchir.

- C'est tout réfléchi. Je suis partante, et pleinement d'accord.

Mes premiers pas dans le luxe mon nouveau contrat de travail.

Tout se déroulait comme me l'avait dit Françoise. Michel avait été muté à 100 kilomètres et s'était bien abstenu de me dire la vérité. Il avait manifestement enrobé son mensonge dans une promotion qu'il aurait obtenue.
J'avais signé un contrat qui mettait en avant ma mission lors des futures réunions ou soirées ou je serais conviée.
Je m'engageais à mettre tous mes talents d'animatrice afin de faciliter les signatures des contrats qui seraient proposés aux invités.
J'y indiquais comprendre que mes charmes étaient susceptibles de provoquer parfois certaines avances de dames ou de messieurs.
J'acceptais et reconnaissait par avance que c'est sans aucune contraintes et volontairement que je me prêterai volontiers aux souhaits de nos invités tout en disposant de la possibilité de refuser.

Mon relooking

Trois jours de shopping à Paris avec Françoise, ma garde-robe était méconnaissable.
À la poubelle les vieilles fringues. Terminé les collants et sous-vêtements de femme prude.
Terminé les chaussures à talons plats et le maquillage fade.
Je me retrouvai avec des dizaines de corsages plus décolletés les uns que les autres. Des mini-jupes aux robes de soirées fendues jusqu'à l'aine aux décolletés plongeants et aux dos nus dévoilant la naissance de mon sillon fessier.
Des centaines de bas auto-fixant et portes jarretelles en tous genres.
Des dizaines de paires de chaussures avec des talons d'une hauteur vertigineuse redessinant le galbe de mes mollets tout autant qu'elle m'obligeait à cambrer mes reins mettant en relief mon joli fessier sur lequel, les hommes ne manquaient pas de se retourner.

Dernier jour à l'institut de beauté.

Françoise m'avait indiqué que ce dernier jour serait consacré à me former à l'art du maquillage et à la mise en valeur de mon corps.
J'étais devant la magnifique porte de l'hôtel particulier qui abritait l'institut de beauté qui allait me transformer.
Une très jolie jeune femme asiatique nous invitait à rejoindre un premier salon.
J'étais invitée à me mettre nue et à m’allonger à plat ventre sur une moelleuse table de massage.
Françoise avait investi un confortable fauteuil qui se trouvait face à moi. Ses jambes croisées me laissaient entrevoir le haut de ses bas et la naissance de sa culotte.
La porte s'ouvrait et la jeune Asiatique était accompagnée d'un grand blond type nordique tous deux était revêtue de pantalon de toile et tunique blanche.

- Bonjour Florence, je m'appelle Igor et avec mademoiselle Jia qui m'accompagne, nous allons procéder à votre épilation intime. Ensuite vous rejoindrez les équipes de maquillage qui vous formeront à cet art.

Igor se positionnait en face de moi et en s'avançant positionnant ses deux mains sur ma nuque, ses pouces de part et d'autre de ma colonne vertébrale décrivaient de petits cercles de massage. Ils descendaient lentement vers mes reins.

- Florence, détendez-vous, nous allons plier la table de massage au niveau de vos hanches afin que Jia puisse commencer son travail.

Igor, se penchait en avant, permettant ainsi à ses deux mains d'atteindre mes globes fessiers.
À ce moment précis, je ne pouvais ignorer que c'était son sexe qui s'agitait dans le haut de ma chevelure. Une chaire de poule me traversais de la tête au pied trahissant mon émoi.

Jia avait plié le bas de la table. Mes pieds s’enfonçaient moelleusement dans l'épais tapis sur lequel reposait la table de massage.
Les paumes des puissantes des mains d'Igor reposaient sur le bas de mes reins. Ses doigts écartaient maintenant mes globes fessiers pour dégager la raie culière et offraient à Jia une vue dégagée de mon anus.

Je sentais alors la caresse de la mousse tiède et parfumée qu'elle étendait autour de mon petit oeillet brun. Son visage était tellement près, que je sentais son souffle chaud provoquer des frémissement sur cet endroit resté vierge de toute caresse.

- Florence je vous prie de ne pas bouger, je vais procéder au rasage
Cette voix douce avec ce léger accent asiatique me mettait sur un nuage de sensations uniques.
Je sentais mon excitation montée d'autant plus intensément, que l'emprunte d'un début d'érection du sexe d'Igor se dessinait maintenant clairement sur le haut de ma tête.

Je sentais à présent, les mouvements précis du minuscule rasoir, qui rendait maintenant imberbe ma raie culière jusqu'à la limite de ma chatte. Une serviette moelleuse et chaude venait terminer l'opération. Jia avait rétablie la position original de la table

- Très bien Florence, à présent vous allez vous retourner. Allongez-vous sur le dos.

- Maintenant, écartez largement vos cuisses, laissez vos jambes pendre de part et d'autre de la table de massage merci.

Allongée de tout mon long, je voyais au-dessus de moi le visage agréable d'Igor qui me souriait. Inclinant légèrement ma tête vers le bas, je constatais au renflement de son pantalon, qu'il n'était resté insensible à la vue des charmes de mon joli cul.
Mon cœur battait plus fort et je sentais une légère humidité envahir mon entrejambe.
Jamais je n'avais ressenti un tel bien-être.

Mes cuisses largement écartées, j'offrais à présent à Jia une vue dégagée sur mon intimité. Je me sentais un peu gênée, l'humidité des lèvres de ma vulve ne pouvait lui échapper.

Françoise se levait et rejoignait la table de massage. Elle se penchait vers moi et, me caressant les cheveux me dit à l'oreille.

- Florence, ce qui est important maintenant et à l'avenir, ce n'est pas ce que tu vois ou ce que tu entends, mais ce que tu peux imaginer.

Elle enlevait alors son foulard de soie noir, le transformant en un bandeau qu'elle me mit devant les yeux le nouant à l'arrière de ma tête. J'étais maintenant plongée dans le noir. Je sentais le souffle de Françoise dans mes cheveux, sur ma tempe gauche. Ses mains me caressait les épaules et descendaient le long de mes bras jusqu'à mes poignets et remontaient lentement me provocant des frissons de bien-être

- À toi de jouer Florence, laisse ton imagination vagabonder, plus tard tu me raconteras ce moment.

Je sentais les deux mains de Jia qui m'écartaient un peu plus les cuisses. Sa main droite étendait à présent la douce mousse sur ma toison. Son pouce ne manquait pas une occasion de s'égarer souvent sur le haut de mes lèvres effleurant ainsi mon clitoris.
Dans le même temps les mains de Françoise descendaient sur mes seins pour leur prodiguer un massage circulaire, laissant ses pouces titiller mes tétons qui se dressaient au centre de leurs aréoles frissonnantes.

J'entendais des bruits de pas feutrés sur la moquette, quelqu'un s'avançait vers la table. Les mains de Françoise avaient laissé place à des mains d'homme était-ce Igor difficile à dire, les doigts me paraissaient plus longs et plus fins. Ils délaissaient à présent mes seins pour délicatement venir sur ma bouche caresser mes lèvres les invitants à s'écarter.
Je frissonnais et me laissais aller à suçoter le bout de cet index qui s'investissait plus largement et titillait délicatement le bout de ma langue.

L'autre main de cet inconnu me caressait la nuque et me massait le cuir chevelu.
Jia avait terminé le rasage de ma toison. Elle avait délicatement tamponné les lèvres de mon sexe de sa serviette douce et chaude.

J'étais à présent pris d'un petit tremblement en sentant ses doigts écarter les lèvres de ma chatte afin de permettre à sa langue humide de me lécher de la naissance de mon anus à mon clitoris qu'elle ne manquait pas de taquiner par petits baisers suçons.
Je gémissais d'un plaisir que je découvrais et tout mon corps était électrisé par la caresse buccale de Jia.

L'une des mains me massant la nuque s'éloignait, et je percevais le bruissement d'un tissu glissant vers l'épaisse moquette.
Je sentais alors un doux parfum musqué précédant la chaleur douce d'un sexe d'homme dont le gland se déposait délicatement sur mes lèvres.
Cet inconnu se tenait à ma droite, sa main gauche me massait délicatement la nuque pendant qu'il faisait coulisser de droite à gauche son sexe sur mes lèvres fermées.
Son lent mouvement avant se terminait lorsque je percevais ses testicules qui caressait ma joue droite.
Chaque aller-retour était l'occasion de déposer et d'étaler sur mes lèvres le doux liquide séminal que m'offrait son gland.

Mon excitation me faisait desserrer les lèvres. Mon bel inconnu introduisait alors son sexe dans ma bouche accueillante, le gland venant frapper et gonfler l'intérieur de ma joue gauche.
Sa main gauche avait délaissée ma nuque pour se poser sur mon front, m'incitant à tourner la tête afin de recevoir ce pénis en direction de ma gorge.

Ma chatte ruisselait à présent sur la langue de Jia et les coup de reins de mon bel inconnu projetait son sexe au fond de ma gorge. C'est à ce moment que je sentais un autre pénis me caresser le seins gauche.
Je sentais que ce nouvel inconnu se masturbais sur le bout de mon sein.

Les rythmes s’accéléraient, odeurs et gémissements envahissaient le silence feutré de la pièce.
Un cri étouffé accompagnait la projection de plusieurs jets de sperme sur ma poitrine inondant mes deux seins d'une douce chaleur.

Mon gémissement était accompagné par le gland qui à ce moment là, tapissait ma gorge de trois abondantes éjaculations.
L'inconnu me maintenant délicatement la tête, je n'avais d'autre choix que d'avaler sa liqueur de jouissance. Je lui octroyait ainsi, un privilège que j'avais toujours refusé à mon mari.

Je venais de faire le premier pas vers ma vie future.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très excitant.
Avez vous vécu, vous ou votre femme une expérience similaire......

Histoire Erotique
C'est excellent à lire (à défaut de tenter l'aventure)

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Une suite ?

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