Florence de femme mariée à callgirl 3

- Par l'auteur HDS André Bernard24 -
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Récit libertin : Florence de femme mariée à callgirl 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Florence de femme mariée à callgirl 3
DE MOSCOU A NICE OU LE CONTRAT DE FLORENCE

Le ronronnement de l'avion avait laissé place aux discussions vives entre Marc Igor et Tao. Je somnolais lorsque Nathalie notre interprète venait me chuchoter à l'oreille.

- Florence tu m'écoutes
- Oui Nathalie que se passe-t-il.
- Marc a conclu ses contrats au-delà de ses espérances, mais... comment te dire, la finalité dépend de toi.
- Que veux-tu dire, soit plus précise.
- Ben voilà, j'ai surpris une conversation entre le Russe et le Chinois ils sont particulièrement malins et vicieux, car tiens-toi bien, ils parlent tous les deux un français impeccable.
- Non c'est incroyable !

- Marc m'a dit qu'ils avaient accepté de signer le contrat à ses conditions financières, mais ils avaient ajouté une condition suspensive. Si elle n'était pas respectée à la lettre, tout tombait à l'eau et le contrat deviendrait nul.
- Et tu les as entendus en parler entre eux.
- C'est délicat à te dire, mais Tao disait à Igor qu'une nuit complète à Nice avec la petite Florence, valait bien un effort financier sur les accords avec Marc.

Igor lui répondant du tac au tac, qu'un cul comme celui de cette petite Française nous offrira des plaisirs multiples.
Tao ajoutant, elle nous a défiés avec son histoire de porte-jarretelles.
Aussi à Nice il va falloir qu'elle assume.
Igor émettait des doutes et dit alors à Tao, si le contrat tombe à l'eau Marc sera totalement ridicule. Ils rigolaient leurs verre à la main.

- Merci de m'avoir averti Nathalie. C'est vrai que je les ai vraiment provoqués. Marc t'as parlé à mon propos.
- Il m'a dit que tout dépendait de toi. Je l'ai senti un peu stressé. Ce contrat est énorme pour lui, sans sa validation l'entreprise sera confrontée à une passe très délicate. Surtout ne dit pas à Marc ce que je viens de te dire. Je te laisse et bon courage.

Nathalie avait rejoint Marc depuis une vingtaine de minutes. Je fermais les yeux et songeais à la responsabilité qui pesait sur mes épaules.
Nos deux clients pensant que je m'étais assoupie s'étaient déplacés à pas feutrés, pour investir les deux places en face de moi.
Mon fauteuil étant en position nuit, j'avais les jambes relevées, leur permettant ainsi d'avoir une vue éclairée de ma culotte. Igor s'adressait en chuchotant à Tao :

- Elle est canon la petite oie blanche, tu imagines mon Tao une nuit entière avec elle pour satisfaire nos fantasmes.
- Tu as raison, regarde Igor elle dort, tu as vu sa bouche et ses lèvres, une véritable invitation à la fellation.
- Oui elle doit sucer comme une reine.
- Si elle ne sait pas, t'inquiète Igor nous saurons lui apprendre.
- D'après mes informateurs, elle est totalement naïve, il paraît même que du côté pile, elle serait encore vierge.
- Non, si c'est le cas, je crains que l'entreprise de notre Marc ne soit d'ici peu en légère difficulté. Car je n'imagine pas cette petite satisfaire à nos exigences.

Leurs rires étouffés de ces deux hommes d'affaires faisaient monter en moi une colère froide. Je les avais effectivement provoqués, et à présent je ne pouvais douter qu'ils aient l'intention de me le faire payer.
La question était de savoir si je serai capable de faire face. J'avais encore si peu d'expérience que le doute et la crainte de ne pas être à la hauteur m'envahissaient.
Aussitôt je pensais à ce qu'avait fait Michel mon mari. Dans quelle situation je me retrouverais si je renonçais à me soumettre aux désirs de ces deux hommes.

En attendant j'avais envie de leur faire payer l'instant présent.
Les yeux fermés, ils me croyaient endormie. Très bien, alors je gémissais en écartant plus largement mes cuisses. Je descendait lentement ma main droite pour atteindre ma culotte et la glissait sous l'élastique, je caressais alors tendrement mon petit abricot, afin d'exciter ces messieurs.
Igor avait les yeux exorbités.

- Regarde Tao, cette petite pute se caresse, c'est insupportable, elle me fait bander comme un âne.
- Tu as raison Igor, elle doit être chaude comme la braise.
- Elle ne perd rien pour attendre. Nous allons lui apprendre qu'il ne fait pas bon nous défier.

Mes yeux mi-clos me permettaient de voir que mes deux prétendants affichaient une bosse naissante au niveau de l'entrejambe. Je pouvais me rendre compte que mère nature les avait généreusement dotés à ce niveau.
Il me semblait même que le pénis d'Igor montrait le bout de son gland au-dessus de sa ceinture. Tao lui, c'était la cuisse gauche de son pantalon qui laissait deviner un sexe moins long qu'Igor, mais dont la circonférence était manifestement importante.

J'étais profondément excitée et fière de constater le pouvoir que j'avais sur ces deux hommes excités à l'idée de me posséder. Aussi, c'est à cet instant que je prenais ma décision.
J'irais jusqu'au bout de mon engagement, quel-qu’en fut le prix à payer.

DANS LE PALACE A NICE

Après l’atterrissage, une vaste limousine nous transportait vers notre destination finale. Une occasion supplémentaire pour mes deux prétendants de discrètement me caresser le dos la nuque, ou de me frôler les jambes de leurs genoux ou leurs chevilles.

Le palace était magnifique baigné de soleil face à la mer. J'avais les yeux pleins d'étoiles. Jamais je n'avais imaginé un jour pénétrer dans un tel établissement de luxe.
Une véritable petite armée affectée à notre service nous invitait à emprunter l'ascenseur qui nous menait au dernier étage. Deux larges portes s'ouvraient, nous laissant découvrir une suite royale.

Un immense salon en arc de cercle permettait d'accéder à sept chambres et salle de bains privatives. En avançant nous accédions à une vaste salle à manger ornée d'une table en marbre gris entourée de chaises cuir. Sur la droite, à nouveau un très grand salon comportait des fauteuils et des canapés.
L'un d'eux, immense et totalement rond avait des dossiers en forme de pétales qui, en s'inclinant totalement, devenait alors un immense lit.
Le plus impressionnant dans ce salon était la gigantesque baie vitrée s'ouvrant sur la piscine surplombant la baie. Cette terrasse nous offrait alors, une vue majestueuse du couché de soleil sur la mer.

J'étais comme une gamine devant un pot de confiture. Même si en réalité, je n'avais pas conscience que pour ces hommes, le pot de confiture c'était moi.
Ma rêverie fut interrompue par la voix de Marc.

- Mesdames et messieurs, je vous propose de nous retirer quelques instants dans nos chambres, afin de nous rafraîchir et de passer nos tenues de soirée pour savourer notre repas. Je vous propose de nous retrouver dans une petite heure.

Les traductrices enchainaient :

- (Igor) Mon cher Marc vous ne nous avez pas menti sur la qualité de ce palace, et vous nous offrez manifestement ce qui se fait de mieux en la matière.
- (Tao) il est vrai très cher Marc que vous nous impressionnez par la qualité de cette suite. Souhaitons que le reste de vos promesses pour cette nuit soit du même niveau.
- Soyez assuré messieurs que je respecte mes engagements en toutes choses.

L'établissement était d'un tel niveau que des plaques de cuivre gravés à nos noms figuraient sur la porte de nos appartements respectifs.

Je poussais celle de ma chambre avec une boule au ventre, les paroles de Tao résonnaient dans ma tête comme une claque. J'ouvrais la porte du dressing, le personnel avait installé ma garde-robe et je devais faire mon choix pour le repas.
J'étais en pleine réflexion, lorsque la discrète sonnette m'avertissait de la présence d'un visiteur.
J'ouvrais, c'était Marc il pénétrait rapidement et refermait sans délai la lourde porte.

- Florence, je me dois d'être honnête avec vous. Les clients ont exigé un paragraphe exceptionnel pour valider le contrat, cette clause vous concerne.
- Que contient ce document ?
- Ils exigent pour valider la vente de pouvoir, comment dire, disposer de vous toute la nuit.
- Et vous craignez de me voir refuser ou de ne pas être à la hauteur.

- Ce n'est pas ça Florence, je crains que leurs exigences vis-à-vis de vous ne soient insupportables. Ils ne m'ont pas caché que vous les aviez chagrinés avec votre intervention sur le porte-jarretelles. En même temps votre prestance et les mouvements de votre corps les affolent.

- Monsieur je vais être également franche avec vous. Savez-vous qu'ils parlent un français impeccable ?
- Vous êtes sérieuse.
- Absolument, dans l'avion ils me croyaient assoupie, et ils n'ont cessé de parler de moi dans des termes, qui ne laissent aucun doute sur leurs intentions pour la nuit à venir.
- Florence je ne sais quoi vous dire. Sinon que ce contrat est d'une importance capitale pour notre société.
- Je sais monsieur, j'irais jusqu'au bout de la nuit je m'y engage.
- Merci Florence.

Pendant toute la conversation mes yeux s'égaraient sur mes robes. Mon choix était fait.
Je serais vêtue de bleu. Robe longue fendue côté droit jusqu'à mi-cuisse. Je la porterais sans soutien-gorge. Culotte, porte-jarretelles et bas assortis en couleur. Je trancherais avec des escarpins rouge à talons haut.
Je soulignait mes paupière du même bleu que la robe et mes lèvre du même rouge que mes chaussures.
J'avais donc pris un bain relaxant dans l'immense baignoire balnéo qui équipait la salle de bain. Habillée, j'étais à présent en tenue pour affronter les exigences de ces messieurs.

LE REPAS

La table dressée était le reflet du chef étoilé qui menait la brigade en cuisine. Nos clients étaient en smoking blanc, les interprètes en robes de soirée. Marc avait opté pour un smoking noir.
Le maître d’hôtel était un grand métis très classe qui répondait au nom de Max. Il nous invitait à prendre place. Je me retrouverais évidemment entre Tao et Igor.

Au rythme des plats et des grands crus, leurs mains s'égaraient sur mes genoux et parfois un peu plus haut sur mes cuisses. Leurs yeux ne perdaient pas une occasion de plonger dans mon décolleté.Je sentais à ce moment que les grands crus me mettait dans un état légèrement euphorique.
L'heure du dessert avait sonné et les coupes de champagnes se succédaient. Jusqu'à présent ça discutais affaires, cours de bourse, bateaux, grosses berlines et villas paradisiaques.
C'est à ce moment que Tao créa la surprise en s'exprimant en Français :

- Alors mon cher Marc avez-vous informé votre amie Florence de notre marché
- Mais vous parlez Français ! Et vous Igor
- Bien sûr Marc, comme Tao je manie la langue de Molière.
- Vous cachez bien votre jeu messieurs.

- (Tao) c'est très bien Marc, mais vous n'avez pas répondu à ma question.
- Oui j'ai parlé à Florence de votre souhait. Elle a accepté mais je lui ai précisé qu'à tout moment elle gardait la faculté de refuser et de renoncer.

Igor sans pudeur introduisait alors sa main par la fente de ma robe, la paume sur le plat intérieur de ma cuisse, ses doigts quasiment à la naissance de ma culotte en déclarant :

- Vous confirmez ma chère Florence
- Oui.
- (Tao) : il paraît que vous avez peu d'expérience dans le genre de mission que vous a confiée notre ami Marc.
- C'est possible, il conviendra d'en reparler demain matin.
- Ho ! Mais c'est que vous vous braquez facilement, à ce que je constate au ton de votre voix.
- Pas du tout, mais vous mettez en doute ma détermination
- Non ma chère, je ne mets pas en doute votre détermination mais votre expérience. Tenez, je vous propose un petit jeu. J'ai ici quelques objets que je vais vous présenter. Dites nous ce que c'est, et vous nous confirmerez ainsi une partie de votre expérience. D'accord ?

- Je suis là pour vous satisfaire, alors allons-y.

Je n'imaginais pas que j'allais à ce moment, subir une première humiliation. J'allais payer à mes dépens, ma totale ignorance des pratiques sexuelles débridées et sans limites.
Les rires que j'allais déclencher dans l'assistance allaient vite me mettre face à ma naïveté.
Tao sortait de son petit sac de cuir rouge les objets.

- Allons-y ma petite Florence vous êtes prête ?
- Allons-y mon cher Tao.
Le premier objet :
C'était une série de cinq boules en métal qui allaient d'une petite à une très grosse. Elles étaient reliées par une ficelle :
- Ça ressemble à un bilboquet mais je ne sais pas trop ?
Le second
C'était un petit canard jaune au bec noir, Tao me le mettait dans la main et il vibrait
- C'est un jouet vraisemblablement.
Le troisième objet une petite boule rouge était manifestement inséré dans une mini-ceinture
- On dirait un nez de clown.

Cette fois, je déclenchais des rires aux larmes. Même les serveuses et Max le maître d'hôtel avait esquissé un sourire.
Igor n'en pouvait plus de pouffer en s'adressant à l'assemblée

- Pas de doute Marc, vous nous avez déniché la perle rare. C'est une nuit comique que vous nous offrez.
- Igor, un proverbe français dit que c'est à la fin du match que l'on compte les points.

- Florence ma chère, il n'y a pas de mal à ne pas connaître la vraie définition et l'utilité de ces objets. Mais rassurez-vous demain, nous vous aurons aidé à être une experte.
Allez une chance supplémentaire avec quelques objet de plus.
Il sortait de son sac un martinet
- Ça aucun doute c'est un martinet.

À présent, c'est Igor qui sortait du petit sac rouge, quatre paires de menottes.
Ce sont des menottes mon cher Igor.

-Bravo ma chère petite Florence. Demain matin, je puis vous assurer que vous connaitrez tous les noms des objets que nous vous avons présentés. Vous aurez également découvert l'épanouissement et la jouissance qu'ils peuvent vous apporter. Plus tard, lorsque vous raconterez cette nuit à vos amis et à ceux présents ce soir, je doute fort qu'ils éclatent de rire.

À cet instant, le silence de Marc et des interprètes m'inquiétait tout autant que les larges sourires d'Igor et de Tao qui lança immédiatement

- Marc, il est temps de nous laisser seuls avec Florence. Emmenez donc nos charmantes interprètes visiter Nice. La nuit s'annonce si longue et si belle.
-Très bien nous vous laissons messieurs à demain matin,

Le regard de Marc en quittant la suite, en disait long sur son stress et son inquiétude. Nathalie me faisait la bise en me murmurant à l'oreille courage tient bon, nous comptons sur toi.
Dans l'immense salle à manger, nous restions tous trois avec Max le maître d'hôtel et les trois serveuses. Boris prenait la parole :

- Max vous nous mettez au salon face à la piscine 2 bouteilles de champagne, une bouteille de vodka et d'alcool de riz. Ensuite vous resterez avec le personnel à notre disposition ici dans la salle à manger. Nous resterons dans le salon et vous appellerons si nous avons besoin de vos services. Aussi, vous voudrez-bien diffuser dans le salon les quatre saisons de Vivaldi.
- Bien Monsieur

- Vous connaissez ma chère Florence les quatre saisons de Vivaldi.
- Non monsieur.
- Cette musique délicieuse, le printemps, l'hiver l'automne et l'été accompagnera vos prestations.
Venez maintenant passons dans le salon.
Max refermait les deux lourdes portes derrière nous. Les violons de Vivaldi résonnaient sous l'immense plafond décoré d'or et de lumières indirect. Les Spots de la piscine se reflétaient dans l'immense baie vitrée passant des bleus aux verts des jaunes aux rouges. C'était un arc-en-ciel qui défilait devant mes yeux tournés vers l'horizon.
Ma rêverie devait être de courte durée.

PREMIÈRE LEÇON A GORGE DÉPLOYÉE 

Tao venait de se coller à mon dos, les mains plaquées sur le plat de mon ventre, il me chuchotait qu'il était l'heure de remplir mon contrat.
En face de moi Igor tout sourire, se déshabillait. Il déposait avec précaution pantalon, veste et chemise, sur l'un des valets de chambre en bois précieux qui entourait l'immense lit rond.
Tao venait de libérer les bretelles de ma robe, me dénudant des seins aux hanches.
Igor appréciait le tableau. Face à moi, son boxer, pour unique vêtement, était gonflé d'un renflement témoin de son excitation. Je ne pouvais ignorer le même émoi chez Tao, dont je sentais le sexe grossir et s'allonger, doucement caler entre mes fesses.

Igor se rapprochait et, avec force, m'appuyait sur les épaules m'obligeant à me mettre à genoux.
Au travail ma chère Florence
Je baissais son boxer, son sexe était déjà à moitié bandé et touchait mon menton. Je me saisissais de ce pénis et m'employais à en dégager le gland violacé.
Je déposais un filet de salive sur le méat. Son érection avait en un éclair doublé de volume.
La main virile d'Igor m'invitait à une pénétration buccale plus importante de son sexe.
Je sentais entre mes dents, sur ma langue et mon palais, ce sexe puissant avancer et reculer, au rythme des petits coups de reins de son maître.

Mes yeux apercevaient Tao se dévêtir comme l'avait fait Igor.
Maintenant, les pénétrations de plus en plus profondes d'Igor me faisaient saliver intensivement. Son gland touchait parfois la naissance de mon arrière-gorge me provoquant un haut-de-cœur.
Lors de ces pénétrations plus importantes, je remarquais que je n'avais que la moitié de son sexe en bouche.
C'est lors de cet épisode que Tao entièrement nu se rapprochant me dit en riant:

- Ma petite oie blanche, il va falloir faire mieux. Igor et moi ne sommes pas là pour nous faire sucer la moitié de la queue.
- Tu as raison Tao, ma petite Florence il va te falloir faire un sérieux effort et nous ouvrir ta gorge en profondeur.
- Mais c'est impossible.

Tous les deux riaient de ma réflexion.

- Nous allons t'apprendre, et il te faudra voir nos couilles reposer sur ton menton pour nous satisfaire. Tu as compris, c'est clair.
- Oui monsieur.
En même temps je n'avais pas le choix.

Tao avait remplacé Igor. Comme je le présentais, son sexe était plus court mais sa circonférence était importante. Les deux mains derrière ma tête il rentrait et sortait de ma bouche avec une rapidité incroyable. Ma bouche était ouverte au maximum et mes mâchoires douloureuses. Son gland très rond butait de plus en plus fort le fond de ma gorge.
Igor passait derrière moi, et sans aucun ménagement m'enfonçait violemment son majeur en entier dans mon anus.
L'effet était immédiat ma gorge s'ouvrait pour pousser un cri, mais à ce moment, c'est le sexe de Tao qui enfin entrait en entier dans ma bouche et s'immobilisait. Son ventre touchait mon nez et ses testicules reposaient alors sur mon menton luisant de salive.

La main d'Igor avait empoigné la totalité de mon cou. Ses doigts exerçaient de petites pressions sur ma gorge qui se rétrécissait alors pressant le gland de Tao qui grossirait encore.

- Alors Florence, tu la sens bien la bite de mon ami au fond de ta gorge
- Igor je crois que nous allons pouvoir bientôt, prendre totalement cette gorge qui devient accueillante.
- Attends mon Tao notre petite pute semble manquer d'air.

Tao d'un coup de rein arrière me libérait. Je toussais violemment et déversais un flot de salive.
Igor le remplaçait immédiatement s'enfonçant à son tour au plus profond de ma gorge. Ses allers-retours devenaient rapides et encore plus profonds. Au fil des minutes, je sentais par réflexe ma gorge s'élargir et s'ouvrir volontairement à la chaleur de ce gland.
Les deux hommes alternaient leur pénétration se partageant ma gorge.
Tao à un moment se baissait et soulevant le bas de ma robe touchait ma culotte.

- Devine Igor
- Quoi
- La petite mouille sa culotte, ta queue est si longue que ça

Certes j'étais humiliée par cette réflexion, mais c'était vrai. Ces pénétrations, ces odeurs, ces perles de liquides sur ma langue et au fond de ma gorge, m'apportaient à présent une certaine jouissance que ma chatte révélait à ces deux machos.

À ce moment ils étaient côte à côte devant moi. Ils m'obligeaient à emboucher en même temps leurs deux sexes. Péniblement ma bouche s'élargissait au maximum et j'accueillais sur ma langue les deux pénis. Je salivais abondamment et avec ma langue, je léchais le dessous de leurs glands.
En quelques minutes, mes mains posées sur leurs couilles sentaient des contractions qui m'avertissaient que leurs jouissances étaient proches.
Deux cris étouffés venaient couvrir les violons de Vivaldi. Je sentais alors sur ma langue l'éjaculation libératrice. J'avalais à plusieurs reprise le sperme de ces deux hommes qui à présent me dominaient.
Ma bouche libérée, j'étais totalement essoufflée mais consciente de n'avoir passée qu'une première épreuve.
Je pensais alors être tranquille pour un moment.
C'était sans compter sur les accessoires et le secours des petites pilules qu'Igor et Tao venaient de prendre avec une rasade de Vodka.

DEUXIÈME LEÇON CANARD ET BILBOQUET LA DÉCOUVERTE

Mes deux hommes étaient assis sur le lit.
Igor regarde, Florence tu exagères, tu as bavé sur ta magnifique robe de soirée.
Tu as raison mon Tao, je crois bien que sa robe a également goûté à notre sperme.

- Allez Florence tu nous enlèves ça tout vite.
Je m'exécutais, j'étais à présent couverte de mes escarpins, mes bas, mon porte-jarretelles et ma culotte. A moité avachi sur le lit ils me demandaient de tourner sur moi-même. Lorsque je leur tournais le dos il me disaient Stop.
- Tu vois Tao, c'est le genre de cul que j'adore. Au bas d'une chute de reins vertigineuse, ces fesses remontent vers le haut avec arrogance.
- Tu as raison Igor et la raie est bien serrée, elle cache bien au chaud un petit anneau qui ne demande à être choyé. Mais au fait, tu lui as glissé un doigt tout à l'heure.
- Oui, et crois-moi c'était plus que serré.
- Florence, répond et ne ment pas, car ça fait partie du contrat. C'est vrai que tu es vierge de ce côté-là.
- Oui monsieur
- Non ! Personne ne t'a jamais sodomisée ! Un petit doigt peut être avant celui d'Igor.
- Celui de Marc monsieur.

Ils rigolaient en marmonnant que Marc n'allait jamais au fond des choses. À ce moment Igor fouillant dans la poche de sa veste en sortait un cran d'arrêt.

-Viens ici Florence, approches
- Que faites-vous avec ce couteau monsieur, je vous en prie, ne me faites pas de mal.

Il se levait et se précipitait sur moi, en un éclair la lame du couteau se glissait sous l'élastique de ma culotte le tranchant net. Il repartait avec son trophée rejoindre son ami.
J'avais vraiment eu peur.
Il ne me restait à présent que mes bas mon porte-jarretelles et mes escarpins rouges. Ils me demandaient d'approcher du lit et de m'étendre sur le dos entre eux.
Leurs mains me caressaient les seins, le ventre, les cuisses. Leurs doigts agaçaient les lèvres humides de ma chatte. Ils me prodiguait maintenant des baisers profonds et me susurraient à l'oreille des mots de plus en plus crus.

- Tu aimes nos caresses petite pute, dès que je tentais de répondre je recevais un « chut tais-toi ». « Réserves ta bouche pour sucer ou crier. » « Tu te souviens de ta leçon sur les porte-jarretelles. » « C'est à notre tour de te donner une bonne leçon. »

Inutile de faire la fière, à ce moment là, j'avais vraiment peur.
Tao attrapait le petit sac de cuir rouge dont le contenu m'avait passablement ridiculisé en début de soirée.
Pendant que les doigts agiles d'Igor, me faisaient abondamment mouiller en me masturbant le clito et le vagin, Tao me souriait en agitant le petit canard jaune au bec noir.
Tous deux riaient en me disant maintenant nous allons jouer.

La main d'Igor à peine sortie de mon vagin, Tao y introduisait la grosse tête du canard. Le temps d'entendre un petit bruit de moteur électrique et mes reins décollaient du lit.
J'étais prise de convulsions mes jambes se soulevaient, je griffais le cuir du lit. Mes cris couvraient la musique classique. Jamais je n'avais ressenti cela.
Igor aussi rapidement retirait le canard pour me le faire sucer.
À nouveau, il l'enfonçait plus profondément dans mon vagin qui coulait comme une fontaine. Le flot de cyprine ruisselait jusque sur mon anus.
Il stoppait le canard et le jetait par terre. Ils me précisaient que ce n'étais pas un jouet mais un vibro-masseur.

C'était maintenant au tour du « bilboquet » de sortir du sac. C'est Igor qui tenait la longue ficelle ou le chapelet des cinq boules d’acier s'entrechoquaient.
A ce moment j'étais vraiment stressé par ma naïveté.
Tao recommençait à bander, il me demandait d'allonger mes bras au dessus de ma tête. Il s'agenouillait alors sur eux à la hauteur de mes aisselles.
J'étais totalement immobilisée. Son sexe reposait sur mon front.
Igor faisais cliquer les billes d'acier au dessus de mes yeux. Il déposait le chapelet sur ma bouche le tirait lentement vers le bas. Le froid des billes d'acier passait entre mes seins. La petite chenille descendait vers mon ventre pour atteindre mon sexe.

- Alors Florence, toujours convaincu que c'est un bilboquet
- Je vous en prie, qu'allez-vous me faire
- Que du bien ma petite oie blanche. Maintenant Florence écarte largement tes jambes. Et ne bouge pas.

Igor de sa main gauche écarte les lèvres de ma chatte. Sa main droite glisse la plus petite boule à l'entrée de mon vagin. Une très légère poussée et dans un petit ploc, elle s'installe à l'intérieur. Il accélère la pénétration des autres, deux trois et quatre sont dans ma partie la plus intime.
Tao me caresse les seins, il tire mes tétons vers le haut. A chaque fois que je cri, il relâche. Mais aussitôt il recommence et ça l'excite le bougre. Il s'est avancé, se sont maintenant ses couilles qui ont envahis mon front. Son sexe s'est allongé il repose à présent sur mon nez.
Je pousse un cri, Igor vient de faire pénétrer la dernière boule, la plus grosse dans mon vagin. Seul la ficelle taquine mon clito.
Alors Igor se recule, attrape mes chevilles, et referme le compas de mes jambes. Tao se recule également et attrape mes poignets. Les deux hommes dans un seul et même mouvement me retournent pour m'installer sur le ventre.
Tao glisse alors un énorme coussin sous mon ventre et disparaît de ma vue. J'ai alors devant moi l'immense baie vitrée et la piscine. Le coussin m'a cambré les reins et au moindre mouvement de mon postérieur, je sent les billes dans mon vagin s'entrechoquer violemment.

- Florence, vois-tu, ce n'était pas un bilboquet, mais des boules de geisha. À chacun de tes mouvements elles vont accroitre ton plaisir tu verras.
Prête à découvrir le nouvel objet.
S'il vous plait.

LES MENOTTES OU LA DÉCOUVERTE D'UN NOUVEAU PLAISIR

Je voyais alors deux paires de menottes sortir du petit sac de cuir rouge. Ma respiration s’accélérait et je ressentais un stress important. Je ne devais pas me laisser envahir par la peur. Qu'allaient ils faire me faire à l'aide de ces menottes.

- Vraiment prête où tu préfères renoncer Florence.
- Cela vous ferait plaisir de me voir abandonner et de pouvoir humilier Marc.
Cela ne nous déplairait pas pour tout dire
- Je ne vous donnerais pas ce plaisir
- Mais ma chère tu vas nous en donner bien d'autres. Maintenant Florence met immédiatement tes deux mains derrière ton dos. Et ne bouges plus.

Je m'exécutais, mes deux poignets reposaient sur mes reins, le dos de mes mains sur le rebond de mes fesses. J'entendais alors le cliquetis des paires de menottes.

Tao menottait mes poignets sur mes reins et Igor en faisait de même avec mes chevilles.
Dans cette position, le coussin sous mon ventre avait pour effet d'étirer mon vagin stimulant les boules de geisha, il me faisait cambrer les reins au maximum.
Mes fesses, dans cette posture s'écartaient et dégageait ma raie culière. J'exposais ainsi à la vue des deux hommes une vision de mon petit œillet brun.

Tao interpellait Igor

- Tu vois Igor, dans cette position, Florence va pouvoir jouir de la vue du le ciel étoilé se reflétant dans la piscine.
- Tu as raison Tao et franchement, n'est-ce pas un vrai bonheur. Pouvoir de se faire enculer pour la première fois en admirant un paysage de rêve.
- Non vous n'allez pas faire ça je vous en prie.
- Comment ça Florence, tu ne veux pas admirer le paysage ou c'est le refus de te faire pénétrer le cul pour la première fois. Il faut que tu sois claire ma petite, car je peux t'affirmer que le contrat de Marc lui est limpide. Alors.
- Non mais vous n'êtes pas obligé de me faire ça franchement.

Sans un mot, Igor se mettait face à moi, et muni du petit sac de cuir rouge en extrayait le martinet.

- Tu sais ce que c'est ça.
- Oui je sais.
- Bien. Hier, dans l'avion, tu nous as expliqué l'origine du porte-jarretelles. Alors laisse-moi te conter aujourd'hui celle de cet objet.
C'est un colonel de l'armée du roi Louis XIV, du nom de Martinet, qui est à l'origine de cette invention. Indigné des cruautés dont il fut souvent témoin, il eut l'idée de remplacer le fouet par de petites lanières fixées sur un manche. Cet instrument a donc pris le nom de son inventeur qu'il porte encore de nos jours. C'est bien ça Tao.

- Tu as parfaitement raison Igor, et ce fameux martinet a longtemps été utilisé par les parents ou les éducateurs notamment en Angleterre pour rappeler aux élèves les conventions qu'il convient de respecter. Un peu comme toi aujourd'hui. Tu sembles ne pas avoir bien saisi les règles imposées par le contrat que nous avons signé avec Marc. Aussi Igor, il me paraît indispensable de mettre les points sur les i et quelques coups de martinets sur cet adorable petit cul.

- Attends Tao, Florence peut à tout moment dire stop. Elle va nous dire stop ou excusez-moi messieurs pour poursuivre son engagement. Alors ça vient cette réponse !

Le temps que de prononcer les mots « excusez-moi... » Le premier coup de martinet s'abattait sur ma fesse droite. Mon premier cri était immédiatement étouffé par le second coup sur ma fesse gauche.
Tao Intervenait

- Stop Igor, ces cris sont insupportables. Je pense qu'il est temps de sortir le nez de clown de Florence.
- Tu as raison Tao

Tao tout sourire, agenouillé devant moi, agitait l'objet que j'avais pris pour un nez de clown.

- Ma petite Florence ce n'est pas un nez de clown, c'est un bâillon. Alors je vais te permettre de le tester. Comme tu ne pourras plus te faire entendre, si tu veux tout arrêter, il te suffira de plier tes jambes vers le haut. Tout s'arrêtera, car tu as le pouvoir d'annuler ce contrat. Tu as compris.

- Je vous le répète, je ne vous donnerais pas ce plaisir. Mais ce bâillon vous privera des plaisirs de ma gorge.
- Igor, elle a un sacré caractère cette petite et de l'arrogance à revendre.
Tao ne perd pas de temps le petit jour va dans quelques heures pointer son nez et nous cesserons de profiter de notre chère petite soumise.

La boule rouge était immédiatement introduite dans ma bouche la petite ceinture de cuir bouclée dans mes cheveux.
À présent, les coups de martinet se succédaient. J'avais une étrange impression. J'étais partagée entre la douleur et la chaleur des coups sur mes fesses et les mouvements des boules de geisha qui me procurait maintenant un certain plaisir.
Au sixième coup, je voyais le martinet jeter sur le lit loin devant moi. Tao m'enlevait le bâillon. Mes yeux brillaient mais je ne lui offrais pas le plaisir d'une seule larme.

LA DÉCOUVERTE D'UNE NOUVELLE JOUISSANCE

Il me chuchota à l'oreille que le moment était venu de leur offrir mon pucelage anal. Il glissait alors ses cuisses sous mon ventre, remplaçant ainsi le coussin.
Il me caressait tendrement le postérieur.
Tao ouvrait un petit flacon, un liquide doux et tiède coulait abondamment sur mes fesses. Il écartait alors mes généreux globes fessiers pour permettre de dégager mon anus.
Je sentais à présent Igor poser le gland de son pénis sur mon œillet jusqu'à présent inviolé.

Tao appuyait avec force sur mes fesses. Ils les écartaient au maximum, afin de dégager ma raie culière pour satisfaire son ami.
Igor tenait fermement son sexe et dessinait de son gland, de petits cercles sur ma rose anale. Par petites pressions, il ouvrait lentement la petite porte du plaisir qu'il convoitait.
Je sentais à présent mon anus lubrifié s'ouvrir lentement. Mon expérience avec Marc dans l'avion et ses conseils me revenait comme un flash, je poussais alors sur mon sphincter à chaque fois qu'Igor tentait de me pénétrer plus profondément.

Lors d'un coup de reins plus importants, je poussais et sentais clairement ma corolle s'ouvrir.
Igor poussait un ah .. de plaisir au moment où mon anus absorbait l'intégralité de son gland.

Je ne pouvais retenir un..ah ! suivi long gémissement qui accompagnait cette pénétration anale qui, s'immobilisait lorsque je sentais les couilles d'Igor frapper mes fesses.
Igor entamait un lent va et vient, sa longue verge me pénétrait maintenant en profondeur et faisait danser les boules de métal dans mon vagin.
Mes gémissements devenaient autant de témoignage d'un début de jouissance extrême.
Jamais dans mes rêves, je n'avais un seul instant fantasmé sur une telle situation et pourtant, je me surprenait à présent à m'entendre murmurer .. oui c'est bon..mon dieu.

Igor laissait sa place à Tao qui m'avait repositionné sur l'énorme coussin. Sa verge était plus large et je poussais à nouveau pour aspirer cette colonne de chair dans mon anus.
Il me tenait à présent par les hanches et m'enculait à fond. Ses testicules claquaient mes fesses à un rythme soutenu. Ses mains bougeait mon cul de droite à gauche. Les effets sur les boules de geishas me provoquait une jouissance extrême et tout mon corps frémissait de mille soubresauts.

Igor était à présent agenouillé devant moi. Il me présentais son sexe luisant du plaisir qu'il avait pris en s'offrant ma virginité anale. J'avalais son sexe, il s'offrait pour la seconde fois d'une poussée rectiligne ma gorge profonde. Mes yeux se levait et lorsque son regard me croisait je contractais ma gorge pour accentuer la pression sur son gland. Il fermait les yeux et gémissait.

Au bout de quelques minutes, Tao et Igor libéraient ma bouche et mon anus. Ils m’ôtaient les menottes.
Igor lentement sortait une à une les boules de métal de mon sexe. Chaque sortie me provoquait un orgasme qui se matérialisait par une éjaculation de cyprine.
La plus grosse boule de geisha extraite, Tao s'allongeait sur le dos et m'invitait à m'installer sur lui.
Sa queue investissait ma chatte.
Igor s'installait derrière moi et son sexe rejoignait celui de Tao élargissant les mes lèvres intimes ils coordonnaient leurs mouvements me faisant jouir et crier de plaisir.
Igor non content de gratifier ma chatte d'une double pénétration, introduisait deux doigts dans mon anus qui était déjà plus largement accueillant, au regard des précédentes pénétrations.

Je gémissais de plus en plus fort. Je me surprenais à m'entendre murmurer : oh..Oui..ah... C'est bon... .
D'un seul coup ils sortaient tous deux de mon sexe. Ils m'appuyaient fortement sur les reins afin que Tao puisse me pénétrer à nouveau par le cul.
L'inimaginable alors survenait Igor positionnait sa queue sur celle de Tao et ils investissaient en cœur mon fondement.
À présent, ils m'enculaient tous les deux à grand coups de reins pendant de longues minutes. D'un coup, ils sortaient de ce puits de plaisir. Igor alors m'écartait largement les fesses pour contempler mon anus béant qui frissonnait et luisait du plaisir qu'ils m'offraient.
Ils me pénétraient à nouveau leurs verges puissantes élargissant un peu plus cet anus qu'ils avaient défloré. Nous gémissions tous trois de plus en plus fort.

Tao décidait d'abandonner mon cul pour réinvestir ma chatte.
L'un me baisait, l'autre m'enculait et je jouissait comme une folle remuant la tête comme un pantin désarticulé, griffant la poitrine de Tao ou les fesses d'Igor.
Ma réaction décuplait leur plaisirs, ils saisissaient de mes seins et mes fesses qu'ils gratifiaient de milles caresses mais également de claques provocant des spasmes de tout mon corps.

J'étais véritablement dans un état second lorsque je recevais leurs éjaculations. Ils tapissaient mon anus et mon vagin de leur sperme brûlant en trois ou quatre jets puissants.
Les deux hommes s'étant retirés de mes puits de plaisirs, ils étaient à présent assis sur le lit face à la baie vitrée.
Je me levais et me dirigeais vers la piscine au moment où Igor poussa un cri.

UNE GRATIFICATION AU PERSONNEL

- Ou vas-tu petite pute, non mais regardes ça Tao, le jour n'est pas encore levé qu'elle se croit libérée de son contrat.
- Tu as raison Igor alors pour qui tu te prends Florence.
- Je suis désolé messieurs mais il me semble qu'il vous faut peut-être prendre un peu de repos, j'allais faire quelques brasses dans la piscine.

- Elle est amusante Igor, tu ne trouves pas. Viens ici tout de suite et mets toi à quatre pattes sur la moquette devant nous.

Je faisais demi-tour. Je me mettais donc à quatre pattes face à eux. Je me demandais bien ce qu'ils allaient encore pouvoir me faire subir. J'avais le visage au niveau de leurs genoux. S'offrait alors à ma vue leurs sexes flasques et totalement débandés.

- Tu vois Igor, cette petite regarde nos queues fatiguées et elle se dit que c'est terminé.
- Elle n'a pas tort Tao, mais elle manque d'éducation et ignore la tradition des palaces
- C'est vrai au fait, tu connais la tradition des palaces chère Florence.
- Non et vous le savez puisque vous vous êtes si bien renseigné sur moi

La musique classique avait cessé, et l'immense salon était plongé dans un silence qui à présent m'angoissait. C'est un cri puissant d'Igor qui brisait ce silence pesant.

- Max ...Maaax venez s'il vous plait merci.

La lourde porte s'ouvrait et j'entendais dans mon dos les pas du maître d'hôtel

- Messieurs vous désirez.

-Mon cher Max notre amie Florence souhaite vous remercier pour la qualité de votre service. Mais comme vous pouvez le constater sa nudité ne lui permet pas de vous remettre les quelques billets qui vous prouveraient sa satisfaction.
- Certes Igor mais en Chine il existe la possibilité de payer en nature
- Mais Tao en Russie également on parle alors de donner de sa personne. Max que pensez-vous de notre petite Florence ici présente.

- Madame est une très jolie femme monsieur.
- Tu vois Tao, Max est un homme de goût. Mon cher Max vous vous souvenez de notre accord.
- Oui monsieur.
- Alors qu'attendez-vous pour vous mettre à l'aise.

Igor se penchait vers mon oreille et me chuchotait
- « Hé oui ma petite Florence nous avons aussi un contrat avec Max »
« J'ai la nette impression que Max va vous enculer ma chère ».
Je le suppliais de renoncer en lui disant que c'était humiliant pour Max qui n'avait rien à voir avec le contrat qu'ils avaient signé dans l'avion.

Mes deux tourmenteurs éclataient de rire et Tao à son tour me chuchotait :

«Florence tu as eu le temps d'apprécier la longueur de la queue de mon ami Igor, et la grosseur de la mienne. Hé bien vois-tu, dans la vie, il faut faire preuve d'humilité et pour être honnête avec toi je vais te dire la vérité. »
Penché en il se saisissait mes bouts de seins qu'il pressait en étirant mes globes mammaires vers le bas. La douleur me faisait gémir lorsqu'il ajoutait

« À côté du sexe que Max a entre les cuisses, les nôtres sont ridiculement petits. Je suis certain que tu es ravie de cette confidence»

« Tao, Igor je vous ai tout donné, par pitié, vous ne prendrez même pas de plaisir. »
« Décidément ma chère Florence tu reste une petite oie blanche »

Très distinctement, j'entendais derrière moi Max ôter ses vêtements. En tournant la tête vers la droite, je le voyais de dos les disposer sur un serviteur. Habillé je n'avais pas perçu que c'était un véritable géant tout en muscles.
Mon regard se posait à présent sur ses talons, je remontais lentement pour découvrir des mollets fermes surmontés de puissantes cuisses qui menaient à un cul, dont les fesses se contractaient à chacun de ses mouvements.
Ses habits rangés, ce n'est que de profil et très brièvement que j'entrevoyais son sexe épais qui, à demi bandé arrivait déjà à mi-cuisse. Il me contournai et je sentais sa présence derrière moi.

J'imaginais aisément, que ma pose lui offrait à ce colosse, une vue panoramique et excitante de ma chatte et de mon cul dont le petit petit anus fraichement ouvert était une invitation à la jouissance.
Tao avait ouvert la grande baie vitrée et l'air frais caressait mon corps lui procurant une chair de poule. Je frissonnait de la tête au pied lorsque la voix d'Igor résonnait avec écho.

- Max je vous prie, posez vos couilles sur le haut des fesses de notre ami. Allongez confortablement votre magnifique sexe le long de sa colonne vertébrale. Afin de permettre à Florence de mesurer à l'avance l'objet qui va lui pénétrer son si petit cul.

Je sentais alors deux énormes boules chaudes se positionner de part et d'autres de ma raie culière à la naissance de mes reins. Max déposait alors son sexe dans la cambrure de mes reins.
Mes lèvres s'arrondissaient, ma bouche dessinait un O lorsque je découvrais que le gland de cet énorme sexe me chatouillait à mi-dos. Je me rendais compte à la pression de ce bâton de chair, que ce que j'avais vécu depuis le début de la nuit n'était rien.

Les visages d'Igor et de Tao étaient tétanisés. Ils avaient une vue plongeante sur le sexe de Max dont le gland à présent reculait vers ma raie culière. Il suintait son doux liquide transparent et chaud sur mes reins.
À présent les deux mains puissantes de Max écartaient mes fesses au maximum afin d'y insérer son sexe. Malgré ça, elles ne s'écartaient pas suffisamment pour que la pointe humide de son gland entre en contact avec le centre de mon œillet qui pourtant bâillait encore des précédentes pénétrations.
La respiration de Max remplissait le silence de la pièce.

Le pouce et l'index de sa main gauche écartaient puissamment mon anneau. Je sentais à présent la pointe du gland presser l'ouverture de mon œillet. Maintenant cette queue à elle seule suffisait à tenir mes fesses largement ouvertes.
Max posait ses larges mains à plat sur mes reins et sur mon dos me contraignait à poser ma tête au sol. Mes seins étaient écrasés sur l'épaisse moquette et je sentais mon cul relevé très haut.

Les pieds de Tao et d'Igor se posaient sur ma nuque, sur mes épaules, devant mon visage. Tao poussait ma tête vers le pied d'Igor qui sans gêne tentait d'introduire son gros orteil dans ma bouche.

Je sentais à ce moment une pression énorme sur mon anus. J'avais beau pousser encore et encore, je n'arrivais pas à avaler l'énorme sexe qui tentait de forcer ma petite porte entrouverte.
Max dans un grognement donnait un coup de rein rageur. Je poussais un véritable hurlement que l'espace piscine me renvoyait comme un boomerang.
Tao et Igor riaient et applaudissaient à la vue de ce pieu qui s'enfonçait inexorablement dans mon fondement.
Tao s’exclamait

- Ma petite Florence j'ai bien l'impression que Max vous casse le cul. Max à ce que je vois seul un tiers de votre joli sexe s'est introduit dans ce petit cul de vierge. Allez mon vieux un effort enculez-là à fond
- Non je vous en supplie non arrêtez !
- Florence vous préférez casser le contrat de Marc pas de problème vous confirmez
- Allez vous faire foutre. Pas question.
- Vous avez compris Max elle préfère se faire casser le cul. Alors vite, faites-nous jouir cette pucelle du cul.

Je serrais les dents, ma respiration était intense et courte. Mon corps s'agitait tentant d'échapper à cette sodomie hors norme. Abandonnant dans un mouvement de désespoir ma position à quatre pattes, je pensais éjecter le sexe du métis en plongeant à plat ventre sur la moquette.
Peine perdue Max suivait le mouvement, et dans un bruit sourd ses deux genoux frappaient le sol de part et d'autre de mes hanches. Je sentais sa poitrine se coucher sur mon dos. Le souffle chaud de sa bouche à mon oreille s'accompagnait alors de chuchotement.

- «Je n'ai jamais joui d'un cul aussi serré. » « Calme-toi, respire à fond et caresse ta chatte » « Voilà Florence, c'est bien on va y aller maintenant »

J'avais à peine eu le temps de me calmer qu'une nouvelle poussée intense et rectiligne agrandissait mon anus pour s'enfoncer dans mon rectum. Enfin je sentais comme une première délivrance les couilles de mon baiseur claquaient sur mes fesses.
Max ne bougeait plus, son sexe était calé au fond de mon cul. La pression qu'il exerçait sur mon vagin faisait jaillir mon clito et je ruisselais comme une fontaine. Et à nouveau sa voix grave me chuchotait

- « Ton petit cul est chaud comme la braise. Mais il serre comme un étau. Maintenant je vais vraiment t'enculer afin que tu jouisses comme jamais »

D'un ample mouvement de rein, il déculait lentement pour mieux réinvestir la place. À chaque coup de reins, mon anus s'ouvrait et s'assouplissait, il électrisait tout mon corps qui tremblait. Je sentais clairement sous l'effet de ses poussées les lèvres de mon sexe s'ouvrir et se refermer à chaque aller-retour.

Au bout d'une vingtaine de va-et-vient, Max déculait au son d'un petit «plop » qui laissait mon anus totalement dilaté. J'avais à peine le temps de l'entendre me dire

- « C'est bien petite tu t'ouvres bien »

qu'il replongeait son gland qui ruisselait au plus profond de moi facilitant de plus en plus la tâche de mon enculeur.
Il me tirait comme une poupée afin de me remettre à quatre pattes afin de me pénétrer encore plus profondément. Il était maintenant déchainé et me claquait les fesses et criait

- « Allez bouges-moi ce cul, empale-toi sur ma queue »

J'étais maintenant comme anesthésiée, mécaniquement je poussais sur mes bras et projetais mes fesses en arrière afin de me sodomiser sur cette énorme queue. Mon anus comme ma chatte ruisselait et j'étais agitée de convulsions.
J'avais en face de moi la vision incroyable d'Igor et de Tao qui se masturbaient frénétiquement devant mon visage.
Je voyais les voyais dans l'instant éjaculer et projeter à trois ou quatre reprises leurs spermes qui venaient tapisser mon visage. Au moment où ils s'effondraient définitivement épuisés sur le lit, j'entrevoyais le lever du jour.

Dans un cri guttural Max tapissait mon cul de son éjaculation. Dans un dernier «poc » il sortait de mon anus qui se libérait lentement du trop plein de liqueur.

Je me levais Max avait disparu. Je me dirigeais lentement vers la piscine, laissant derrière moi ce lit immense, ou ces deux hommes qui se croyaient si puissants venaient de s'assoupir.
Je plongeais dans l'eau bleue et chaude. Au rythme de mes brasses, je pensais au chemin de cette petite femme de province que j'étais.

Mon esprit vagabondait. Il était habité tour à tour par ma colère contre Michel mon mari et par ma nouvelle vie qui éveillait mon corps et me dévoilait une addiction naissante aux plaisirs sexuelles.

Le jour était à présent levé, je sortais de la piscine et en haut des marches, Marc était là. Il me couvrait d'une épaisse sortie-de-bain. Igor et Tao avaient disparus. Je regagnais ma chambre et me blottissais sous les draps chaud. Marc venait de refermer la porte.

L'avenir me réservait bien d'autres surprises.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
On sent vraiment que c'est un petit coq frustré qui a écrit ça. C'est pas bandant.

Florence découvre son hypersexualité. Ca va lui rendre les choses plus faciles!

Histoire Erotique
A quand la suite

Histoire Erotique
Beaucoup trop de fautes de conjugaison pour captiver le lecteur et le faire bander !

Kevin



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