Notre couple à la montagne :Une chute de ski la rencontre avec un médecin très particulier

- Par l'auteur HDS André Bernard24 -
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Récit libertin : Notre couple à la montagne :Une chute de ski la rencontre avec un médecin très particulier Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Notre couple à la montagne :Une chute de ski la rencontre avec un médecin très particulier
Notre couple au ski une chute agréable

En ce mois de février Daniel et moi nous avions pour la première fois décidé de nous offrir des vacances à la montagne.
Pour ceux qui ont lu nos aventures, si notre expérience en matière de vie sexuelle était bien avancée, il n'en était pas de même pour les sports d'hiver.
Si Dan avait un peu pratiqué le ski, pour ma part j'étais totalement novice.
Ayant loué un appartement au cœur des pistes pyrénéennes, j'avais décidé de prendre des cours.
C'est avec Max prof de ski que j'entamais les premières descentes en « chasse-neige ». Malgré ce moniteur assez séduisant, je n'étais manifestement pas vraiment douée.
C'est ainsi qu'au troisième jour, en fin d'après-midi, je tombais me retrouvant avec une douleur à la cheville droite.
Max nous indiquait un de ses copains Phil, qui dans le village était masseur-kinésithérapeute en ajoutant avec un petit sourire « et même un peu gourou » !
Daniel me ramenait au chalet. Le temps de prendre un bon bain chaud, de troquer ma combinaison de ski pour un pantalon et un chemisier j'étais prête.
En route pour le cabinet du docteur Philippe qui se situait à la sortie du village dans un très beau chalet.
Arrivé, Daniel me dit qu'il m'attendait dans la voiture.
Dans la salle d'attente
La secrétaire m'invita à m'asseoir me précisant que j'étais la dernière patiente le cabinet fermant à 19h
Après avoir prévenu le docteur Philippe de ma présence, elle quitta son poste en refermant la porte à clef derrière elle.
Mon esprit divaguait, je pensais à Max mon séduisant prof de ski, joli blond aux yeux noisette, bien bâti tout en muscle et je me disais que si
le docteur Philippe était du même standard, il ne serait pas désagréable de se faire manipuler, tout en appréhendant un peu la douleur.
L'ouverture de la porte capitonnée mit fin à ma rêverie.
C'est un homme d'une soixantaine d'années qui venait de m'apparaitre. Très grand, les cheveux grisonnants des yeux gris.
Une carrure de rugbyman, il était vêtu tout de blanc. Tunique et pantalon de toile blanc et sabots assortis.
Sa voix grave résonna dans la salle d'attente

Dans le silence du cabinet médical

– Émilie, c'est à vous.

Je me levais et ma cheville me faisant mal j'avançais à cloche pied. Immédiatement le docteur s'avança sa main droite enserrant ma taille.

– Émilie, passez votre bras gauche autour de mon cou je vais vous aider.

Voyant que j'avais toujours des difficultés ni une ni deux, il me prit dans ses bras me soulevant comme une plume. Son bras gauche était
passé sous mes épaules sa main étant clairement sur le côté de mon sein gauche. Pour ce qui est de son bras droit si normalement il aurait
dû se trouver sous mes cuisses là, c'était le plat de sa main droite qui était carrément posé sur mes fesses.
Une drôle de façon de me porter qui m'impressionnait au regard de la force de ses mains.
Il refermait la porte d'un coup de pied et m'allongeait sur la table de massage.

– Émilie, détendez-vous, Max m'a dit que vous aviez fait une chute pendant votre cour de ski
– Oui c'est ça docteur.
– Bon je vais voir ça.

Ses mains, glissaient sous le bas de mon chemisier et avec assurance et habilité, dégrafaient mon pantalon.
En un clin d'oeil je me retrouvais en culotte et débarrassée de mes chaussettes.
Il réglait alors la hauteur de la table de telles façons que je me retrouvais au niveau de son pantalon légèrement en dessous de sa ceinture.
Sa voix grave bien qu'étant douce ne pouvait dissimuler une autorité certaine.

– C'est votre cheville droite qui vous fait mal ?
– Oui c'est ça.
– La douleur s'étend de l'intérieur du mollet vers le haut de votre cuisse.
– Oui
– Si votre mari vous attend, téléphonez-lui. Dites-lui que nous en avons au moins pour 2 heures.
– Quoi, vous voulez bien être soulagée non ! Alors téléphonez.
– Bien sûr docteur, je lui téléphone

Pendant que je téléphonais à Daniel, je voyais le docteur approcher un tabouret et une petite table garnit d'instruments. Il était maintenant assis à mes pieds.
Pendant que je parlais à mon chéri, il se saisissait de mon pied droit et le massait. Ses pouces délicatement massaient le creux de ma voute plantaire et remontaient vers mes doigts de pieds.

– Allo mon chéri, tu es toujours sur le parking
– Oui pourquoi
– Le docteur me dit que je vais être ici pour 2 heures
– 2 heures !

À ce moment je me raidis en poussant un petit gémissement de surprise.
Le docteur venait de porter mon pied à ses lèvres. Il venait de déposer un baiser sur mon pouce qu'il faisait maintenant pénétrer dans sa bouche. Une sensation étrange me saisissait, je frissonnais au contact de cette langue agile qui tournoyait sur mes orteils. Ma respiration s’accélérait tout comme mon rythme cardiaque.

– Qu'est-ce que tu as ma chérie ?
– Rien, c'est le docteur qui me masse la cheville
– Ben dit donc, ça à l'air de te faire de l'effet.
– Oui, son massage me soulage, c'est extraordinaire. Je t'appelle lorsque je suis libérée.

J'avais été prévenu par Max du côté original de son ami Phil le kiné, mais je ne m'attendais pas à ça.
Phil continuait à pratiquer cette sorte de fellation sur mes orteils, soutenant ma cheville de sa main gauche. A présent, il se levait m'obligeant à maintenir ma jambe à l'équerre.
Sa main droite descendait de l'intérieur de mon mollet à celui de ma cuisse pour atteindre ma culotte. Ses doigts agiles taquinaient le satin noir de mon sous-vêtement qui, humide de mon excitation dessinait les lèvres de ma vulve gonflée de désir.

Le doc, reposait délicatement ma jambe sur la table de massage.

– Décontractez-vous Émilie, fermez les yeux et gardez vos bras bien le long du corps, vous avez compris ?
– Oui docteur

J'obéissais comme hypnotisée par cette voix douce et ferme.
Ses mains à présent déboutonnaient lentement mon chemisier, avec une dextérité déconcertante il m'avait débarrassé de ce haut, laissant apparaître mon soutien-gorge.

– Charmante Émilie, vos sous-vêtements prouvent votre goût pour les plaisirs érotiques. Au premier regard j'ai vu que vous étiez une coquine. Je vois que vous tentez d'ouvrir les yeux. Je vais vous aider à respecter mon souhait.

Il me passait à présent un bandeau noir qu'il nouait derrière ma tête.

– Voilà comme ça c'est mieux. Êtes-vous obéissante ma chère Émilie ?
– Que voulez-vous dire docteur ?
– Aimez-vous vous soumettre.
– Je ne sais quoi vous répondre

Tournez-vous et installez-vous sur le ventre mettez cet oreiller sous votre tête. J'étais à présent sur le ventre et dans le noir du bandeau qui couvrait mes yeux. Je sentais à présent que Phil dégrafait mon soutien-gorge. J'avais à présent les seins nus sur la table de massage.

– Je vous repose la question Émilie, aimez-vous vous soumettre. Pour être plus clair êtes-vous prêtes à exécuter tous mes ordres et jouir de mes exigences.
– Si vous le souhaitez, je suis déjà excitée.
– Bien très bien.

Il réglait maintenant la table afin que mes pieds dépassent de la table.
A présent, j'entendais le bruit d'une ceinture qui se déboucle et un froissement de tissu.

– Dites-moi Émilie, vous avez aimé ma langue sur vous charmants doigts de pieds ?
– Oui docteur, c'était étrangement agréable.
– Ce que je vais vous faire gravera votre mémoire ma petite.

Je sentais à présent clairement ses mains saisir mes chevilles et mes pieds. Le toubib venait de caler son sexe entre mes voutes plantaires.
Son gland glissait de mes doigts de pieds et remontait jusqu'à mes talons, il déposait à présent, de petites gouttelettes chaudes de liquide séminal. Elles perlaient au creux de chaque pied, et lentement, venaient s'échouer entre mes doigts de pieds.
Lorsque son gland atteignait le haut de mes talons, je sentais ses grosses couilles reposer sur mes doigts de pieds.
Jamais personne ne m'avait fait ça. Ma chatte réagissait à ce nouveau plaisir, mes lèvres intimes humidifiaient le tissu de ma culotte et mon clitoris se dressait. Je gémissais

– Gardez vos jambes serrées et ne bougez pas. C'est compris !
– Oui docteur

Son sexe coulissait entre mes pieds humides, ses mains quittaient mes pieds et j'entendais des bruits métalliques sur la table qui m'inquiétaient.

– Docteur que faites-vous ?
– Depuis quand posez-vous des questions ! J'ai pourtant été clair non ! Taisez-vous

Je sentais alors une lame froide se poser sur le bas de mon mollet droit.

– Docteur vous me faites peur
– Ma chère, la peur fait partie du plaisir parfois, tout l'art est de savoir la dominer. Je vous conseille de ne pas bouger. C'est le froid de mon scalpel que vous sentez sur votre mollet. Si vous suivez mes directives à la lettre, il ne vous arrivera rien de mal. Allez-vous obéir à la fin.
– Oui docteur

Le toubib, tout en continuant ses lents mouvements de masturbation entre mes pieds, se penchait se courbait sur mon dos sa tête était à présent calée sur ma culotte au creux de mes reins. Sa main gauche reposait sur ma fesse gauche. Je sentais le froid du scalpel remonter lentement sur mon mollet droit, il franchissait mon genou et poursuivait sa route sur ma cuisse.
Il glissait à présent sous l'élastique de ma culotte de satin. Un coup sec tranchait le sous-vêtement. Le toubib venait de jeter le scalpel sur la table.
Il saisissait avec les dents le doux satin de cette culotte en s'en débarrassant, il découvrait mon cul. Ses mains sur mes fesses, il augmentait le rythme de sa masturbation entre mes pieds. Ses mains puissantes écartaient mes fesses pour laisser sa langue humidifier et pénétrer mon petit anneau brun.
Je gémissais de plus en plus fort au fur et à mesure que sa langue pénétrait mon anus. Ma chatte ruisselait sur la table d'auscultation.
Je sursautais en entendant clairement la porte du cabinet s'ouvrir.
Pas une parole des bruits de pas sur la moquette, des bruissements de vêtements que l'on quitte. J'étais tétanisée.

Mon anus était dilaté par la langue agile de ce diable de médecin. Il écartait largement mes fesses avec ses deux mains lorsque je sentais clairement un doigt me pénétrer.
Je poussais un petit cri de surprise
– Chut petite, ne me dites pas que ce petit cul n'a jamais été pénétré, je ne vous croirai pas. C'est clairement celui d'une petite enculée pour s'ouvrir aussi facilement. Et cette petite chatte ruisselante pourra accueillir dignement mes invités.

Le toubib en me parlant, venait de délaisser mes fesses les abandonnant à l'inconnu qui me gratifiait à présent de deux doigts en aller-retour dans mon fondement.
Ce pervers de médecin venait de se saisir de mes deux poignets et me les attachait dans le dos. Dans le même temps un pouce appuyait sur mon menton m'invitant à ouvrir la bouche et un homme forçait mes lèvres, son gland suintait déjà sur ma langue et se projetait au fond de ma gorge.
L'homme qui jusqu'à présent avait agité son index dans mon cul enjambait mes reins, ses fesses reposaient sur le haut de mes cuisses et, les deux mains dégageant ma raie culière sans attendre il se mettait à m'enculer profondément.
Le toubib lui, se branlait entre mes pieds, de plus en plus vite, ses grosses couilles se pressaient de plus en plus fort sur mes doigts de pieds.
Un grognement sourd accompagnait une abondante éjaculation sur ma langue.

J'entendais à nouveau la porte s'ouvrir et des chuchotements

– Salut les gars, franchement vous n'allez pas regretter l'invitation du Doc, il nous a dégoté une sacrée vicieuse.

J'entendais des bruits de fringues tombant au sol au moment même où mon cul recevait une abondante éjaculation. Le Doc tapissait généreusement mes orteils de son sperme.

– Docteur je vous en prie libérez-moi
– Ma chère Émilie, vous ne voulez pas priver mes amis de vos talents de baiseuse.

Deux bras puissants m'attrapaient et l'on m'installait à genoux sur la moquette. Un homme me détachait les poignets et me tirait les bras en avant. Deux autres mains se saisissaient par les hanches, me soulevant me décollant du sol. Un homme, manifestement allongé sur le sol m'écartait les genoux, ainsi je me retrouvais à cheval sur lui. Sa queue sans attendre investissait ma chatte ruisselante.
Celui qui m'avait saisie les hanches m'écartait à présent les fesses et c'est un gland imposant qui forçait mon anus ruisselant de la précédente pénétration.
Je gémissais sous les coups de boutoir des allers-retours de ces sexes qui se partageaient mon anus et ma chatte.
J'étais secouée de bas en haut au son des couilles qui frappaient mon sexe et mes fesses. L'homme qui m'enculait s'avançait en avant dégageant au maximum la vue que pouvait avoir le toubib ces sexes qui entraient et sortaient de ma chatte et de mon cul.
Mes gémissements se muaient en petits cris qui avaient pour effet de faire encore grossir les sexes qui s'agitaient en moi. Malgré le bandeau il me semblait voir des éclairs.

– Docteur vous êtes là, je vois des éclairs
– C'est le flash de mon smartphone qui immortalise votre chatte et votre magnifique cul qui s'agite de plaisir. Nul doute que vous allez faire un tabac sur le web. Mais rassurez-vous dans le plus parfait anonymat. Mais je dois vous dire que ces photos m'ont remis en pleine forme et vous savez lorsqu'il y en a pour deux, il y en a pour trois. Je suis certain que votre cul peut encore s'élargir.
– Docteur vous n'y pensez pas non pas ça
– Chut mon petit vous laissez vous aller.

Les deux hommes avaient cessé leur aller-retour les mains de celui qui était dans ma chatte me relevaient les fesses au maximum. Mon enculeur était penché au maximum en avant ses lèvres touchait mon oreille gauche.
Je sentais à présent le gland du docteur s’immiscer en force dans mon oeillet au côté de son ami qui me chuchotait « Une double anale, une vraie première ».
Je poussais un cri lorsque le docteur d'un coup de rein profond m'enculait.
Par petites poussées les trois hommes s'agitaient et dans un « ho ! oui » je sentais ma chatte inonder le sexe qui me pénétrait.

Mon baiseur sortait alors de ma chatte pendant que ses deux amis déculaient. Ils me saisissaient et m'installaient allongée sur le dos.
Jambes écartées, le toubib gratifiait ma chatte d'une masturbation trois doigts dans mon vagin à chaque aller-retour me faisait éjaculer.
Ses deux amis se masturbaient sur mes bouts de seins.

Dans un dernier mouvement, le toubib remplaçait sa main par son sexe. Je sentais clairement son gland libérer son sperme à quatre reprises sur mes lèvres intimes.
De la même manière, les deux autres inondaient généreusement mes seins de leur liqueur.

En quelques minutes j'entendais les hommes s'éloigner et la porte se refermer.

La main du médecin m'aidait à me relever. Sans me demander mon avis il me remettait mon pantalon mes chaussettes et mon chemisier. Il me guidait pour m'asseoir.
Et terminait en m'ôtant le bandeau. Le temps de m'habituer à l'éclairage de la pièce je voyais le médecin derrière son bureau.

– Bien, ma chère je vous fais une ordonnance pour votre cheville, que vous présenterez au pharmacien, c'est un ami. Je conserve votre culotte, je vous rends votre soutien-gorge je n'ai pas jugé utile de vous le remettre. Vos seins sont superbe luisant à souhait au-dessous de votre chemisier. Le sperme est excellent pour les bouts de seins. Je suis certain que vous saurez expliquer les deux heures que vous avez passées dans mon cabinet.
– Il faut que je l'appelle pour qu'il vienne me chercher.
– Inutile ma chère il est dans la salle d'attente
– Mais comment … Qui l'a prévenu nous ne connaissons personne ici
– Votre mari ne vous a peut-être pas tout dit … Allez savoir s'il ne ferait pas partie de mes amis. J'ai votre adresse email, je me ferai un plaisir de vous envoyer le lien vers la vidéo qui vous rendra célèbre sur le net. Sans pour autant que personne ne puisse vous reconnaître. Nul doute que comme beaucoup d'autres patientes, vous serez totalement excitée en revivant cette après-midi là. Je sais ce que vous pensez, mais non vous ne pourrez pas reconnaître les hommes présents leurs visages seront floutés. Mais qui sait peut-être que vous en reconnaitrez un à son sexe.

Effectivement, quelques semaines plus tard je pouvais voir totalement exciter la vidéo. Et j'étais certaine de reconnaître l'un des hommes. Devinez lequel.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Comme si quand on a de fortes douleurs , on a envi de niquer tout le quartier le tout sans capotes !!!

Histoire Erotique
Excellente histoire qui m’a fait bander a mort ❤️❤️

Matthieu



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