Escapade en Espagne notre couple rencontre une artiste peintre sensuelle.

- Par l'auteur HDS André Bernard24 -
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Récit libertin : Escapade en Espagne notre couple rencontre une artiste peintre sensuelle. Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Escapade en Espagne notre couple rencontre une artiste peintre sensuelle.
Notre escapade espagnole allait nous faire découvrir tous les talents les plus secrets de Françoise artiste peintre à la sensualité surprenante.
Une grande et belle rouquine met notre jeune couple en émoi

NOTRE COUPLE FRANCHIT UNE NOUVELLE ÉTAPE

La rencontre avec Fabio avait bouleversé notre vie amoureuse, Émilie était transformée, j’avais moi-même intégré l’excitation extraordinaire que nous avait procuré, cet après-midi torride dans la suite de cet hôtel de luxe sous le soleil du printemps.
Nous étions maintenant malgré notre jeunesse, ouverts à de nouvelles expériences.
Nous avions décidé de faire une escapade du côté espagnol, et pour ce faire, retenu dans un petit village à cinquante kilomètres de la frontière, une agréable chambre d’hôtel avec vue sur mer.

En cette fin d’après-midi, nous étions peu nombreux sur cette petite plage.
Quelques rares baigneurs et des artistes peintres avaient planté leurs chevalets, voulant immortaliser les bateaux multicolores du petit port de pêche, que l’on distinguait dans le soleil couchant.

Ma chérie était allongée à une dizaine de mètres de moi, dans son joli maillot de bain deux pièces.
Bercé par le clapotis des vagues, je ne me lassais pas de la regarder et de goûter ses charmes.
Sa jolie poitrine se soulevait délicatement au rythme lent de sa respiration, laissant pointer ses petits bouts de seins au travers des balconnets humides de sa dernière baignade.
Je parcourrai avec délice le galbe de ses hanches, et le V que formaient ses magnifiques jambes bronzées.
De son petit nombril, mon regard naviguait lentement vers le bas. Son petit triangle de tissu blanc m’offrait le dessin des lèvres de ce petit abricot que j’aimais tant lécher.

LA RENCONTRE

À ce moment, je vis une artiste peintre qui regardait régulièrement Émilie. Ses yeux la détaillaient visiblement d’un regard sensuel, de la tête aux pieds.
Cette jolie rouquine aux cheveux longs n’était vêtue que d’une simple tunique blanche, qui la couvrait des épaules jusqu’à la naissance de ses cuisses.
Le léger vent soulevait parfois le bas de ce vêtement. C’était pour moi, l’opportunité de découvrir, à intervalles réguliers, son charmant slip de bain noir, maintenu par deux petits nœuds, fixés sur ses hanches larges et généreuses.
Le haut de mon artiste n’était pas en reste, les embruns avaient rendu le tissu de sa tunique transparent, laissant deviner deux seins fermes et lourds, libre de tout soutien-gorge.

Troublé par cette femme mûre, je sentais poindre une excitation doublée de curiosité.
Son regard bleu poursuivait avec insistance, chaque geste d’Émilie qui, pendant ma rêverie, avait changé de position. Allongée maintenant sur le ventre, elle offrait ainsi son dos et sa chute de reins à notre artiste peintre.
Cette dernière à l’évidence appréciait la vue de ces jolies fesses uniquement séparées par la fine cordelette du string.
Je décidais de forcer le destin, m’approchant de la belle et envoutante rouquine.
J’engageai la conversation, elle était française se prénommait Françoise et venait régulièrement peindre les paysages catalans.
Nous poursuivions nos échanges, je jetais discrètement des regards dans l’échancrure de sa tunique, dont le col largement ouvert me laissait entrevoir le sillon qui séparait les deux seins de sa généreuse poitrine.

- De loin Françoise, j’imaginai que vous étiez en train de peindre mon épouse.
- Ah oui, votre épouse serait donc cette jolie brune, allongée sur le ventre en face de moi .
- Oui, j’ai ce privilège.
- Vous tournez le dos à mon chevalet, vous n’avez donc pas jeté un œil à mon tableau .
- Non, je respecte les artistes qui, en général, détestent être observés lorsqu’ils travaillent.
- Certes, mais en l’occurrence, je crois pouvoir dire, que les circonstances vous y autorisent. Venez à côté de moi Daniel.

Me mettant à sa droite, la vision de son esquisse me laissait bouche bée.
La toile était partagée en deux, dans le sens de la largeur. Ses coups de crayons talentueux représentaient effectivement Émilie.
Sur la partie haute elle était allongée sur le dos, et sur la partie basse dans sa position actuelle, sur le ventre. Ce qui par contre me laissait sans voix, c’est que sur les deux dessins, elle était représentée totalement nue.

Le talent évident de Françoise, ne s’arrêtait pas donc pas à son coup de crayon, mais mettait en évidence, une imagination érotique plus que troublante et pour le moins excitante.
J’avais les yeux rivés sur le tableau et mon souffle était court.

Côté face : Les cheveux, le visage, les grands yeux, la courbe des seins, la taille des aréoles brune, les petits tétons pointus étaient là.
Les hanches généreuses, la toison soigneusement taillée, les lèvres du sexe légèrement écartées et surmontées du petit bouton d’amour, les longues jambes tombant sur ses deux si jolis pieds. Tout y était.

Côté pile : la joue droite et les cheveux posés sur le sable, la nuque gracieuse, le long dos qui menait à cette cambrure de rein, faisant saillir ce magnifique petit cul bombé.
Toute la sensualité et le charme érotique de ma femme était au rendez-vous.

- C’est diabolique Françoise, je reste sans voix, c’est incroyable, votre imagination est redoutable et je suis à la fois troublé et ému par votre toile.
- Si ce tableau vous plaît Daniel, je suis prête à vous l’offrir, enfin presque.
- Ce qui veut dire ?
- Rien de bien méchant, un repas arrosé de bons vins par exemple, la compagnie de votre adorable femme, serait pour moi un ravissement des plus agréables.
- À notre hôtel ce soir à 20 h cela vous conviendrait-il ?
- Avec plaisir Daniel
- Mais dites-moi Françoise, vous dessinez souvent les inconnues que vous observez, en laissant votre imagination les dénuder ?
- Non, mon cher, les très rares fois où je me m’adonne à cet exercice, c’est parce que je suis envahie d’une pulsion érotique et sensuelle. J’ajoute et je dois l’avouer, d’une envie secrète de posséder ce corps que le destin met sur mon chemin.
- Est-ce à dire que vous êtes charmée par ma femme et que votre fantasme imaginatif vous permet de la posséder ?
- Devinez Daniel. Les fantasmes les plus jouissifs sont ceux que nous avons le courage de réaliser non.
- Vous me troublez Françoise, acceptez de me suivre.

Je me rapprochai d’Émilie

- Chérie je te présente Françoise, artiste peintre, que j’ai invitée à partager notre repas ce soir, elle te réserve une surprise que tu découvriras à cette occasion.
- Enchantée Françoise, une surprise d’une belle inconnue sur une plage d’Espagne, je suis impatiente et excitée par cette perspective. On se fait la bise et on se retrouve ce soir.
L’initiative de la bise fût prise d’emblée par Françoise. Après avoir posé délicatement ses longues mains sur les joues de ma chérie, elle lui appliquait deux baisers sur les bords extérieurs de ses lèvres, provoquant un léger trouble, que je perçus chez ma compagne.
- À ce soir Émilie à ce soir Daniel.
Françoise tournait les talons et s’éloignait dans un joli balancement de hanche, qui accentuait la beauté de ce magnifique cul, que notre artiste offrait à notre vue.
- Chéri Françoise est réellement une très jolie femme non .
- C’est certain, et elle a flashé sur toi, elle te dévorait des pieds à la tête.
- Non, mais tu délires ! Tu fantasmes.
- Ah oui, je fantasme, les deux bises qui se muent en deux baisers humides sur le coin de tes lèvres, tu appelles ça comment ? Ne me dis pas que tu n’as pas remarqué.
- Oui, j’avoue, j’ai été surprise, ceci dit c’était très agréable. J’ai même un instant crus sentir un petit bout de langue humide à la commissure de mes lèvres.
- Ah ! Tu vois. Je te dis qu’elle brule de désir pour toi. Elle aime les femmes, ça se sent, ça se voit et, manifestement tu es canon pour sa libido.
- Non, mais tu délires. Et puis je n’ai jamais eu de relations avec une femme.
- Oh ! ça j’ai du mal à le croire. Pas même quelques attouchements avec des copines à la fac ?
- Mais nous étions à peine sortis de l’adolescence, ça n’a rien à voir.
Cette réponse m’était donnée avec des joues plus roses que d’habitude.
- Ma chérie, tu verras, mais tu sais que pour moi, rien n’est plus important que ton plaisir. Je te connais si bien. Ces deux petits baisers de Françoise t’ont provoqué un frémissement. Tu sais, celui qui part de ta nuque jusqu’au bas de tes reins, il est toujours annonciateur d’un futur plaisir.
- Je t’aime Daniel, je sais que mon corps n’a plus aucun secret pour toi.

AU RESTAURANT

Sans problème à l’heure dite, nous étions à table au resto de notre hôtel avec Françoise.
Elle avait troqué sa tunique pour un chemisier blanc dont les mouvements révélaient une poitrine libre de toute contrainte.Une jupe plissée noire très classe, dont le bas s’arrêtait à mi-cuisse, et en coordonnés des bas noirs, que je supposais accrochés à un porte-jarretelles assorti.

Émilie avait opté pour sa longue robe rouge. Décolleté profond dans le dos jusqu’à la naissance du sillon fessier. Fendue très haute sur le côté, elle laissait entrevoir également ses fins bas noirs et parfois même un petit bout de sa culotte transparente.

Les hommes et les femmes présentes, jetaient de furtifs regards et envieux, sur ces deux beautés qui se dévoilaient sans complexe.
Après un délicat repas arrosé de bons vins, le dessert consommé, trois coupes de champagne en main, Émilie totalement désinhibée s’adressait à Françoise

LE CADEAU

- Alors ce cadeau ?
- Je crains fort ne pouvoir te l’offrir dans cette salle de restaurant, Daniel qui est dans la confidence peut te le confirmer.
- Comme ça mon amour tu as des secrets pour moi. Quel est ce cadeau qui ne peut être exposé en public ?
- Mon amour, ce présent ne peut être dévoilé que dans notre chambre. Si Françoise accepte ce lieu, il me semble le seul en harmonie avec l’essence même de ce cadeau.
- Ton mari à raison, je ne peux t’offrir cet objet que dans votre chambre.
- Ouah, je suis totalement excitée et impatiente , et toi chéri tu sais ce que c’est .
- Oui, je sais.
- Alors qu’attendons-nous, montons dans notre nid d’amours.

La porte de notre chambre refermée, Françoise tenait à la main sa toile, délicatement emballée dans un joli papier bleu. Elle adossait le présent contre le lit sur lequel elle s’assit.

- Je crois Daniel qu’il est temps d’expliquer la teneur de ce cadeau à Émilie.
- Ma chérie, Françoise cet après-midi a fait un portrait de toi allongée sur la plage.
- Géniale, je suis impatiente de le découvrir, je peux.
- Je pense que c’est Françoise qui va te le faire découvrir. Elle va t’expliquer, comment elle puise son inspiration, pour peindre ce type de tableau. Elle ne le fait que très rarement.
Pour jouir de la beauté de cette toile lève-toi ma chérie et regarde.

UN TABLEAU JOUISSIF

Je me positionnais tendrement derrière elle, mes mains sur ses hanches, je me collai contre ses reins, en l’incitant à se tourner vers Françoise qui, devant nous et déballait délicatement la toile.

- Émilie, sache que je ne réalise ce type d’œuvre que pour des modèles qui me font vibrer sensuellement. Cet après-midi, j’étais éblouie par la beauté de ton corps, c’est pour cette raison que je t’offre une partie de mes sentiments et de mon trouble dans ce tableau.
Ma femme se découvrait alors totalement nue sur cette magnifique toile. Mes mains glissaient alors sous ses bras, me permettant ainsi de lui masser tendrement le dessous des seins. Je lui taquinais de mes lèvres le lobe de l’oreille et lui susurrait « Tu es franchement excitante sur ce tableau ma chérie. Et nul doute que notre belle rouquine te désire» .

- Françoise, ton cadeau est magnifique, il me séduit totalement, je ne sais comment …
Françoise ne lui laissait pas le temps de terminer sa phrase, l’embrassant tendrement, ses mains descendaient les bretelles de sa robe qui dans un froissement tombait à ses pieds.
Françoise découvrait mon ange en sous-vêtements.
Sans plus attendre, elle libérait avec dextérité les seins d’Émilie la libérant de son soutien-gorge.
Délaissant sa bouche pour se consacrer à une succion humide de ses tétons qui, sous les lèvres expertes de notre artiste, se dressaient accompagnés des petits gémissements de plaisir de ma femme.
François se recula d’un pas nous adressant un regard d’un érotisme profond.
Elle se déshabillait lentement. Ôtant son chemisier, elle mettait à nu ses deux seins lourds, leurs larges aréoles entourées de petites taches de rousseur, mettait en scène les généreux tétons qui pointaient avec arrogance. Une véritable invitation à la succion.
La jolie jupe plissée volait dans la pièce, laissant notre artiste en bas et porte jarretelle. C’est avec surprise et plaisirs que nous constations alors, l’absence totale de culotte.
La belle, nous dévoilait son joli petit triangle roux, qui surmontait élégamment la longue fente de son sexe, dont les grandes et petites lèvres brillaient déjà du nectar de son excitation.
Nous pouvions aisément voir le petit bout rose de son clito. Ce mini-gland frémissait, exprimant déjà clairement son désir de caresse et d’amour.

- Daniel s’il te plait, veux-tu bien mettre ta femme à nu. Puis fais-moi plaisir, déshabille-toi et assieds-toi à côté de nous dans le petit fauteuil.

Je bandais très fort, calé contre les fesses de mon petit bout de femme, troublé par la voix suave et sensuelle de Françoise. Je m’exécutais et libérais ma chérie de ses derniers sous-vêtements.
Obéissant à notre invité, j’ôtais maintenant mes vêtements, tout en plongeant dans son regard, je terminai lentement par mon slip, libérant mon sexe déjà tendu par l’intensité érotique qui régnait.
Françoise alors nous tourna le dos, se dirigeant vers le lit.
Elle nous donnait ainsi, le loisir d’admirer son cul de déesse, ses deux fesses bandantes, dressées par une cambrure de reins exceptionnelle.
Elle se saisit d’un oreiller, qu’elle déposait délicatement au sol, sur l’immense tapis moelleux qui ornait notre chambre.

- Assieds-toi Daniel, je vois au frémissement de ta verge que tu es excité, j’en suis ravie. Émilie vient, allonge-toi sur le dos petit ange et écarte tes jolies jambes, tu sais comme cet après-midi à la plage.

De mon fauteuil, j’avais une vision panoramique de ces deux magnifiques créatures.
À ma gauche Françoise de profil, seins arrogants, cul bombé et rebondi à souhait, surplombaient ma femme allongée moelleusement au sol.
Émilie, jambes largement ouvertes offraient à son amante, une vue plongeante sur sa jolie chatte humide d’excitation. Sa respiration était courte et ses seins gonflés frémissaient de désirs.

- Lève ta jambe droite à l’équerre et vient poser ton talon sur mon épaule gauche ma petite pute.

Dans sa bouche, avec la douceur de sa voix et de manière étrange ce mot n’avait rien de vulgaire.
Émilie ouvrit ses grands yeux clairs, elle était totalement sous le charme de cette grande et belle femme qui la dominait de toute sa hauteur.

Françoise, lui offrait alors, une vision totale de sa magnifique vulve dont les lèvres charnues laissaient en partie haute se dresser son joli clito.
Les yeux humides de désirs, ma chérie s’exécutait lentement, elle soulevait sa jambe reposant délicatement son talon sur l’épaule de sa dominatrice.

Immédiatement, Françoise la caressait, partant du mollet et en se penchant, ses doigts excitaient l’intérieur de la cuisse jusqu’à la naissance de l’aine.
Sous l’effet de cette jambe à l’équerre, sa chatte s’était allongée au maximum et, les petites et grandes lèvres s’ouvraient au rythme du massage de Françoise.
Je regardais cette scène incroyablement érotique, mon sexe dressé rendait hommage à ces belles amazones de l’amour, qui m’offrait une excitation totale.
Françoise, tout en massant cette longue jambe, avait mis son pied droit sur le ventre de ma chérie.
La plante de ce joli pied se déplaçait en langoureux allers-retours, de son nombril à sa chatte.
Cette caresse totalement inédite provoquait chez Émilie de long gémissements accompagnés de spasmes soulevant ses reins et décollant ainsi ses fesses du tapis.

J’étais subjugué par l’érotisme de ce pied, offrant tant de plaisir à ma chérie.
Ma main gauche instinctivement frôlait mes testicules frissonnants. Ma main droite, elle entamait une délicate et lente masturbation, mettant à jour mon gland rouge dont perlaient quelques gouttes séminales.
C’est ce moment que choisit Françoise, pour caresser de son gros orteil le sexe qui s’offrait à elle.
Je voyais très clairement ce doigt, pénétrer et investir de plus en plus profondément la chatte de ma femme.
Comme un petit sexe luisant de cyprine, ce doigt maintenant, masturbait littéralement Émilie dont les gémissements, ne pouvait masquer son plaisir. Chaque fois que cet orteil titillait son clito, elle décollait ses reins et ses fesses du tapis. Ce pied inquisiteur en profitait alors, pour glisser sur son anus, esquissant parfois même, par une légère pression sur le charmant œillet, une très légère pénétration.

- Daniel prend deux coussins, glisse les sous les reins de ta petite gourgandine.

J’étais pétrifié, le sexe à l’équerre je m’exécutais. Les deux coussins en place avaient pour effet de projeter très haut la chatte et le cul de ma femme.
Françoise poussait plus avant son pied. La voute plantaire courbée comme une parenthèse, tous les doigts pénétraient maintenant le sexe. Le vagin se contractait et ruisselait de plaisir sur ce pied.
Lors d’un spasme plus violent, Françoise sortie du sexe pour masser plus bas le petit anneau brun, et le pénétrer d’une phalange experte.
Le gros orteil franchissait maintenant régulièrement l’anus d’Émilie qui gémissait bruyamment. Elle accentuait son excitation en massant elle-même ses seins, excitant de ses doigts ses tétons dressés par le plaisir.
- Daniel vient fermer cette jolie bouche en la baisant s’il te plait.
- Oui, viens mon chéri, viens dans ma bouche.

Je me mettais à genoux, je masturbai lentement ma queue que je fis pénétrer entre les lèvres humides de ma bien-aimée. En levant les yeux je voyais Françoise qui nous dominait de son regard profond. Je sentais alors, qu’elle accélérait le rythme de ses pénétrations. La chatte de ma bien-aimée faisait entendre maintenant le doux clapotis de l’élixir d’amour qui s’en échappait.
Les coups de boutoir du pied de Françoise avaient pour effet de précipiter la bouche d’Émilie qui avalait mon sexe de plus en plus profondément. Mes testicules étaient maintenant luisants de la chaude salive de ma bien-aimée.

Françoise cessa alors ses pénétrations, ne souhaitant pas me voir jouir immédiatement.
- Daniel laisse-moi profiter de la bouche de ta femme.

Mon sexe me faisait terriblement mal, la pipe magistrale d’Émilie rendait mon érection encore plus intense.
Françoise m’écarta et se mis en position de 69 sur Émilie. Elle se délectait du plaisir qui coulait abondamment de ce sexe qu’elle avait pénétré de son pied. C’était à présent sa langue gourmande qui s’enfonçait profondément dans le vagin. Les doigts de sa main droite ne restaient pas inactifs. Ils venaient individuellement ou en groupe, s’introduire dans l’anus dont l’anneau souple s’élargissait un peu plus à chaque pénétration.

Cette scène hallucinante poussait ma main droite à accélérer son mouvement de bas en haut sur ma verge. Mon pouce titillant en position haute mon gland qui suintait abondamment.
Émilie enserrait la chute de reins de notre artiste, l’obligeant à se cambrer au maximum.
Sa langue pénétrait alternativement et profondément la chatte et l’œillet brun de notre rouquine qui vibrait sous ces caresses.

Assis sur le lit, j’avais vraiment face à moi une vision de rêve.
Le magnifique cul de Françoise avec en dessous, le visage de ma femme qui lui prodiguait un cunnilingus orgasmique. La chambre était ambiancée par les gémissements des deux amantes. Les caresses pratiquées faisaient clapoter leurs sexes ruisselant de leurs nectars de jouissance.
La langue d’Émilie investissait maintenant entièrement le sexe de Françoise, et c’est avec deux doigts qu’elle réalisait de longues pénétrations de son anus qui, sous l’effet de ce traitement, s’élargissait de plus en plus.

Je ne pouvais résister plus longtemps, je m’agenouillais et chevauchant la tête de ma femme, je glissais délicatement mon gland suintant, dans l’entrejambe de Françoise. Sans la pénétrer, je réalisais de longs allers-retours entre les lèvres ouvertes de cette douce chatte. C’est un flot d’amour qui se déversait sur ma verge. D’un côté la cyprine de ma rouquine et de l’autre, la langue de ma femme qui me léchait du gland jusqu’aux couilles.

Mes deux mains écartaient au maximum les fesses de Françoise. Mes deux pouces se joignaient alors aux deux doigts d’Émilie, pour élargir, masser et pénétrer un peu plus ce petit anneau. Cet adorable anus trônait royalement au sein de cette belle raie culière, auréolée de mille taches de rousseur.
Ses gémissements, de plus en plus fort à chacune de nos pénétrations, étaient la preuve du plaisir que nous procurions à la belle mâture.
Sortant mes pouces du doux conduit anal, je déplaçais mes deux mains vers le haut pour appuyer aux creux des reins obligeant Françoise à se cambrer au maximum.
Émilie sentait la chatte de son amante se presser plus fortement sur sa bouche. Elle devinait immédiatement mon intention.
Libérant à son tour l’œillet de Françoise, elle se saisit de mon sexe qu’elle orientait vers cet anus frémissant.
Elle se servait de mon sexe comme d’un plug anal. Sa main délicate, collait mon gland contre ce cul de rêve. Elle le pressait, le faisait perler en petits cercles sur les anneaux de la belle.
Je me rapprochai de cette pénétration dont je rêvais.

J’enculais lentement cet espace vierge et brûlant de désir. Les gémissements de notre belle rouquine laissaient place à de petits cris. Sa respiration s’accélérait, elle haletait, des frissons et des spasmes l’agitaient des pieds à la tête.
Je pénétrai son cul d’une poussée lente et régulière. Je m’arrêtai à mi-chemin, dans ce boyau qui comprimait ma verge à la limite de la douleur. Je repositionnai mes deux mains et j’écartai au maximum ses deux fesses. J’avais maintenant une vision extrême de son trou du cul qui s’élargissait sous les assauts de ma verge.
Dans une dernière poussée, j’enculais à fond notre belle rouquine. Le dessous de mes couilles touchait à présent les lèvres d’Émilie qui ne manquait pas de les gober avec gourmandise.
L’effet de mes longs coups de reins avait totalement assoupli l’anus de la belle.
En avant en arrière, j’arrivai maintenant à déculer puis à enculer sans peine. À chaque sortie totale, je voyais avec excitation et délectation l’arrondi du petit œillet s’élargir et se rétracter de plus en plus lentement. Luisant de mon liquide séminal, je constatai en déculant qu’il restait maintenant grand ouvert.
La belle Françoise était au septième ciel, elle m’implorait lorsque ma queue était absente de son anus

- Oh non Daniel revient ...

Je m’en amusais et la taquinais en laissant mon gland à l’orée de son œillet sans bouger. La divine rouquine se projetait alors violemment en arrière pour s’empaler d’elle-même. Je sentais les petits spasmes anaux qu’elle déployait pour me faire jouir.
La chambre était totalement envahie par nos cris et gémissements. Les odeurs capiteuses de nos parfums se mélangeaient aux effluves de nos sexes.

- Oh oui, oui Daniel, je jouis mon dieu.
Françoise venait d’éjaculer amoureusement sur le visage d’Émilie qui, de concert, se répandait à son tour dans la bouche de Françoise.
Je me crispais à cet instant, mes mains et mes pouces écartaient au maximum l’anus de Françoise.
Je déculais très lentement, et je jouissais intensément à la vue mon gland qui libérait par saccades mon sperme, qui disparaissait en longs filets, dans ce puits sombre d’amour et de bonheur.
Chacune, de mes éjaculations, faisait trembler Françoise, qui tentait en vain de s’enculer une dernière fois sur ma verge.
Peine perdue, Émilie s’en était emparée immédiatement. Les doigts de sa main droite me stimulaient l’anus. Son autre main pressait adroitement mon gland, pour en extraire les dernières gouttes de liqueur blanche, afin de les déposer délicatement sur sa langue gourmande.

J’étais à présent allongé entre mes deux jouisseuses. Les bras tendus, mes mains posées à plat sur leurs chattes que je taquinais avec tendresse. Nous nous reposions heureux de nos ébats. Seul le bruissement de nos respirations à l’unisson résonnait dans la chambre.

C’est alors qu’Émilie prononçait cette phrase, qui déclencha notre fou rire général, et qui restera à jamais gravée dans nos mémoires.

- Tu sais Françoise, aujourd’hui je viens de comprendre ce que signifie « prendre son pied ».
Nous nous retrouvions tous trois sous la douche, avant de partager une coupe de champagne.

Je croisai alors le regard coquin d’Émilie, nos yeux partageaient déjà l’idée de nouvelles aventures sensuelles que peut nous offrirait la vie.

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