Et ça coule coule sur mes cuisses
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Et ça coule coule sur mes cuisses
Moi j’ai toujours aimé ça, la dèche. Le sperme qui dégorge mêlé de mes propres humeurs, fluide et visqueux et qui nappe mes cuisses et mes fesses et inonde fort le lit.
C’est la trace la preuve la vérité de la réalité vraie qui s’est vraiment produite.
Pas un fantasme de rêves érotiques de mitan de la nuit, non, du réel. Pas une carte de France sur le drap de l’ado de douze ans, relique de pensées virtuelles d’instinct de race plus que tendres espérances romantiques.
C’est comme garantie que j’ai bien et bel été baisée à fond et que l’on a été deux à aimer ça, à prendre notre pied, à taquiner les cieux et les anges et même le Bon Dieu là haut.
Qui maintenant nous regardent tous et se marrent.
La vierge Marie, la première, main dans la main de Joseph, le cocu magnifique. Un peu coquine, Marie...
Le foutre du garçon est chaud est bon quand il coule de mon papillon béant, imbibant le velu du bas de fente et s’insinuant tout naturellement par simple gravité le long du périnée pour baigner mon derrière. Et mon cul tout tendre s’ouvre doucement en compulsions lentes de ses deux sphincters pour avaler et se gorger du bon jus de mon ami de mon cher ami de mon très cher ami.
Les spasmes de mon cul sont comme suites continuations de mon orgasme vaginal et disent ma félicité et le bonheur que j’ai de ne rien perdre de l’offrande de mon partenaire.
Partenaire de passage sex-friend, oui ... et alors ?
Rien n’est meilleur qu’une opportunité comme ça en passant ... et vivre toute une après-midi d’éternité les cuisses trempées du souvenir du plaisir qu’on a pris, comme ça, tout simplement.
Tout simplement. Vous ne pouvez pas comprendre combien c’est bon... Mais si ! Vous comprenez, vous savez vous aussi, toutes, le plaisir d’être trempée du nombril au coccyx et d’en revouloir et de chercher dans les bras du garçon un regain un ultime revenez-y.
On lui fait caresses de thorax à pleines paumes douces et chaudes, manipulation des cervicales dans le cou tel le masseur pro un peu Kiné en thérapie, agacement du gland tout dégarni et porté de tige molle prépuce en col roulé, et tant d’autres choses à même de rendre à la vie le gars désormais réfractaire.
Du bout de la langue on inspecte le méat. Des deux lèvres tendues en avant on avale le gland pour lui offrir la chaleur et la tendresse humide du palais. Un petit va et vient en aller retour sur la hampe en serrant fort au pubis et voilà l’énergie qui revient.
On glisse à l’oreille de l’impétrant qu’on est OK pour faire le boulot tout le boulot et on le grimpe en amazone. Le ventre est tellement accueillant que l’on sent à peine la présence du bitos. En revanche on est en condition idéale pour prendre son pied par frottis du clito à vif et trempé au milieu des poils de l’une et de l’un.
On se penche sur le gars et en un gros palot baveux on lui dit deux choses. D’abord, goûte les arômes du zizi plein de foutre que je viens de sucer, le tien. Ensuite, ami tu es prié de ne pas t’éclater avec moi ce coup-ci car je te veux dans mon fion en suivant. Et pour ce faire tu devras avoir bonne rigidité de jeune homme. Alors laisse moi mener ma danse perso et prendre mon pied à ma guise sans te sentir obligé de suivre ni la cadence ni l’aboutissement.
Le résultat de ce discours est que le gars devient plus gros et plus long. L’idée de sodomie est un remède redoutable contre l’avachie érectile. En deux mots, parlez-lui de votre désir d’enculage et il bandera comme jamais.
Je pensais, mais ne lui ai pas dit, que de toutes façons vue la quantité de jus divers qui garnissaient mon vagin, fluides et gluants, il aurait du mal à chauffer sa couronne et son frein pour y prendre pied orgasmique et m’accompagner au septième ciel.
L’idée qu’il garde réserve de libido pour une enculade me seyait fort et je me suis concentrée sur mes propres turpitudes et ma satisfaction perso.
Je pensais, avec tout ce que j’ai avalé de ma rondelle ouverte, l’affaire se fera facilement malgré ce bitos un peu trop épais qu’il trimbale. Heureusement le dit bitos est également de bonne longueur et pourra sans difficulté atteindre en mon postérieur le cap de profondeur de mes jouissances.
Enfin, tout en me frottant ardemment le bitmini à vif et tout englué de sperme sur le garçon, pour bientôt ma propre satisfaction, j’imaginais l’étape suivante où je serai le nez dans l’oreiller et le bassin en l’air, les mains de mon cavalier crochées dans le doux élastique de mes hanches, ramonée jusqu’au coude du colon par une tige puissante et raide.
J’étais trempée dans ma tête encore plus que dans mon cul et mon vagin.
C’est la trace la preuve la vérité de la réalité vraie qui s’est vraiment produite.
Pas un fantasme de rêves érotiques de mitan de la nuit, non, du réel. Pas une carte de France sur le drap de l’ado de douze ans, relique de pensées virtuelles d’instinct de race plus que tendres espérances romantiques.
C’est comme garantie que j’ai bien et bel été baisée à fond et que l’on a été deux à aimer ça, à prendre notre pied, à taquiner les cieux et les anges et même le Bon Dieu là haut.
Qui maintenant nous regardent tous et se marrent.
La vierge Marie, la première, main dans la main de Joseph, le cocu magnifique. Un peu coquine, Marie...
Le foutre du garçon est chaud est bon quand il coule de mon papillon béant, imbibant le velu du bas de fente et s’insinuant tout naturellement par simple gravité le long du périnée pour baigner mon derrière. Et mon cul tout tendre s’ouvre doucement en compulsions lentes de ses deux sphincters pour avaler et se gorger du bon jus de mon ami de mon cher ami de mon très cher ami.
Les spasmes de mon cul sont comme suites continuations de mon orgasme vaginal et disent ma félicité et le bonheur que j’ai de ne rien perdre de l’offrande de mon partenaire.
Partenaire de passage sex-friend, oui ... et alors ?
Rien n’est meilleur qu’une opportunité comme ça en passant ... et vivre toute une après-midi d’éternité les cuisses trempées du souvenir du plaisir qu’on a pris, comme ça, tout simplement.
Tout simplement. Vous ne pouvez pas comprendre combien c’est bon... Mais si ! Vous comprenez, vous savez vous aussi, toutes, le plaisir d’être trempée du nombril au coccyx et d’en revouloir et de chercher dans les bras du garçon un regain un ultime revenez-y.
On lui fait caresses de thorax à pleines paumes douces et chaudes, manipulation des cervicales dans le cou tel le masseur pro un peu Kiné en thérapie, agacement du gland tout dégarni et porté de tige molle prépuce en col roulé, et tant d’autres choses à même de rendre à la vie le gars désormais réfractaire.
Du bout de la langue on inspecte le méat. Des deux lèvres tendues en avant on avale le gland pour lui offrir la chaleur et la tendresse humide du palais. Un petit va et vient en aller retour sur la hampe en serrant fort au pubis et voilà l’énergie qui revient.
On glisse à l’oreille de l’impétrant qu’on est OK pour faire le boulot tout le boulot et on le grimpe en amazone. Le ventre est tellement accueillant que l’on sent à peine la présence du bitos. En revanche on est en condition idéale pour prendre son pied par frottis du clito à vif et trempé au milieu des poils de l’une et de l’un.
On se penche sur le gars et en un gros palot baveux on lui dit deux choses. D’abord, goûte les arômes du zizi plein de foutre que je viens de sucer, le tien. Ensuite, ami tu es prié de ne pas t’éclater avec moi ce coup-ci car je te veux dans mon fion en suivant. Et pour ce faire tu devras avoir bonne rigidité de jeune homme. Alors laisse moi mener ma danse perso et prendre mon pied à ma guise sans te sentir obligé de suivre ni la cadence ni l’aboutissement.
Le résultat de ce discours est que le gars devient plus gros et plus long. L’idée de sodomie est un remède redoutable contre l’avachie érectile. En deux mots, parlez-lui de votre désir d’enculage et il bandera comme jamais.
Je pensais, mais ne lui ai pas dit, que de toutes façons vue la quantité de jus divers qui garnissaient mon vagin, fluides et gluants, il aurait du mal à chauffer sa couronne et son frein pour y prendre pied orgasmique et m’accompagner au septième ciel.
L’idée qu’il garde réserve de libido pour une enculade me seyait fort et je me suis concentrée sur mes propres turpitudes et ma satisfaction perso.
Je pensais, avec tout ce que j’ai avalé de ma rondelle ouverte, l’affaire se fera facilement malgré ce bitos un peu trop épais qu’il trimbale. Heureusement le dit bitos est également de bonne longueur et pourra sans difficulté atteindre en mon postérieur le cap de profondeur de mes jouissances.
Enfin, tout en me frottant ardemment le bitmini à vif et tout englué de sperme sur le garçon, pour bientôt ma propre satisfaction, j’imaginais l’étape suivante où je serai le nez dans l’oreiller et le bassin en l’air, les mains de mon cavalier crochées dans le doux élastique de mes hanches, ramonée jusqu’au coude du colon par une tige puissante et raide.
J’étais trempée dans ma tête encore plus que dans mon cul et mon vagin.
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