Exhibition en voiture
Récit érotique écrit par Antonin de Villeroy [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Exhibition en voiture
Lise, une jeune femme mince, blonde, aux yeux bleus, très belle, âgée de 19 ans et dotée d'une poitrine généreuse, se gare près d'un parc et verrouille les portières de sa voiture. Elle commence à se caresser sur le siège passager, effectuant un strip-tease, les pieds posés sur le tableau de bord. Des hommes entourent la voiture et se masturbent. Lise les observe et se masturbe pour eux avec ses doigts, puis avec un vibromasseur jusqu'à atteindre l'orgasme. Les hommes aspergent la voiture de leur sperme.
Le soleil de fin d'après-midi traversait le pare-brise, projetant une lumière dorée sur les cuisses nues de Lise, allongée sur le siège passager. Le cuir craquait doucement sous elle, encore chaud de la chaleur estivale. Elle laissa ses doigts tracer des cercles paresseux à l'intérieur de son genou, puis plus haut, le plus léger des effleurements juste sous l'ourlet de sa robe d'été. Une lente inspiration. L'air à l'intérieur de la voiture était chargé du parfum de sa fragrance - vanille et fleur d'oranger - mélangé à quelque chose de plus sombre, de plus musqué, l'anticipation de ce qui allait arriver.
Avec une lenteur délibérée, elle posa un pied sur le tableau de bord, puis l'autre, la voûte plantaire se cambrant tandis qu'elle retirait ses sandales. Les hommes dehors interrompirent leur promenade du soir, le regard accroché au mouvement derrière la vitre. Elle pouvait les voir à travers ses paupières mi-closes : leurs mâchoires se crispaient, leur posture s'ajustait subtilement.
Ses doigts trouvèrent le premier bouton de sa robe et le défit d'un geste rapide. Le tissu s'ouvrit, révélant la courbe de ses seins à peine contenus par la dentelle. Elle déboutonna le bouton suivant, puis le suivant, la robe glissant d'une épaule, puis de l'autre, jusqu'à ce qu'elle tombe autour de sa taille. Les hommes à l'extérieur se penchèrent plus près, les paumes appuyées contre les vitres de la voiture, leur souffle embuant le verre.
Elle laissa sa main glisser vers le bas, suivant le contour de sa culotte à travers la soie humide. Un soupir s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle passa un doigt sous la ceinture, la faisant glisser juste assez pour exposer le premier signe brillant de son excitation. Quelqu'un à l'extérieur gémit ; elle entendit le bruissement du tissu, le bruit caractéristique d'une fermeture éclair.
Ses doigts descendirent plus bas, écartant ses lèvres d'un mouvement lent et délibéré. La douceur de son propre désir recouvrait le bout de ses doigts, chaude et parfumée. Elle renversa la tête en arrière, les lèvres entrouvertes, tandis qu'elle se caressait paresseusement en cercles, ses hanches se soulevant légèrement pour aller à la rencontre de ses propres doigts.
Puis, le vibromasseur. Elle le sortit de son sac à main, le plastique lisse et frais contre sa peau brûlante. Dès qu'elle l'alluma, les hommes à l'extérieur s'immobilisèrent, leurs mains se déplaçant à l'unisson vers leur braguette. Elle pressa la tête vibrante contre son clitoris, un frisson parcourant son corps alors que le plaisir s'enroulait étroitement dans son ventre.
Sa respiration s'accéléra, ses cuisses tremblèrent. Les vitres de la voiture étaient couvertes de buée, l'air à l'intérieur était chargé de l'odeur de son excitation. Dehors, les mains bougeaient à un rythme effréné, des gémissements étouffés s'échappant entre les dents serrées.
Quand elle jouit, ce fut dans un halètement, le dos cambré, les orteils recroquevillés contre le tableau de bord. Les hommes à l'extérieur suivirent, leur éjaculation éclaboussant les vitres de traînées épaisses et nacrées. Les dernières pulsations de son orgasme s'estompèrent en un soupir lent et satisfait, la voiture remplie du son de son propre cœur et de la respiration saccadée des hommes derrière la vitre.
Le soleil de fin d'après-midi traversait le pare-brise, projetant une lumière dorée sur les cuisses nues de Lise, allongée sur le siège passager. Le cuir craquait doucement sous elle, encore chaud de la chaleur estivale. Elle laissa ses doigts tracer des cercles paresseux à l'intérieur de son genou, puis plus haut, le plus léger des effleurements juste sous l'ourlet de sa robe d'été. Une lente inspiration. L'air à l'intérieur de la voiture était chargé du parfum de sa fragrance - vanille et fleur d'oranger - mélangé à quelque chose de plus sombre, de plus musqué, l'anticipation de ce qui allait arriver.
Avec une lenteur délibérée, elle posa un pied sur le tableau de bord, puis l'autre, la voûte plantaire se cambrant tandis qu'elle retirait ses sandales. Les hommes dehors interrompirent leur promenade du soir, le regard accroché au mouvement derrière la vitre. Elle pouvait les voir à travers ses paupières mi-closes : leurs mâchoires se crispaient, leur posture s'ajustait subtilement.
Ses doigts trouvèrent le premier bouton de sa robe et le défit d'un geste rapide. Le tissu s'ouvrit, révélant la courbe de ses seins à peine contenus par la dentelle. Elle déboutonna le bouton suivant, puis le suivant, la robe glissant d'une épaule, puis de l'autre, jusqu'à ce qu'elle tombe autour de sa taille. Les hommes à l'extérieur se penchèrent plus près, les paumes appuyées contre les vitres de la voiture, leur souffle embuant le verre.
Elle laissa sa main glisser vers le bas, suivant le contour de sa culotte à travers la soie humide. Un soupir s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle passa un doigt sous la ceinture, la faisant glisser juste assez pour exposer le premier signe brillant de son excitation. Quelqu'un à l'extérieur gémit ; elle entendit le bruissement du tissu, le bruit caractéristique d'une fermeture éclair.
Ses doigts descendirent plus bas, écartant ses lèvres d'un mouvement lent et délibéré. La douceur de son propre désir recouvrait le bout de ses doigts, chaude et parfumée. Elle renversa la tête en arrière, les lèvres entrouvertes, tandis qu'elle se caressait paresseusement en cercles, ses hanches se soulevant légèrement pour aller à la rencontre de ses propres doigts.
Puis, le vibromasseur. Elle le sortit de son sac à main, le plastique lisse et frais contre sa peau brûlante. Dès qu'elle l'alluma, les hommes à l'extérieur s'immobilisèrent, leurs mains se déplaçant à l'unisson vers leur braguette. Elle pressa la tête vibrante contre son clitoris, un frisson parcourant son corps alors que le plaisir s'enroulait étroitement dans son ventre.
Sa respiration s'accéléra, ses cuisses tremblèrent. Les vitres de la voiture étaient couvertes de buée, l'air à l'intérieur était chargé de l'odeur de son excitation. Dehors, les mains bougeaient à un rythme effréné, des gémissements étouffés s'échappant entre les dents serrées.
Quand elle jouit, ce fut dans un halètement, le dos cambré, les orteils recroquevillés contre le tableau de bord. Les hommes à l'extérieur suivirent, leur éjaculation éclaboussant les vitres de traînées épaisses et nacrées. Les dernières pulsations de son orgasme s'estompèrent en un soupir lent et satisfait, la voiture remplie du son de son propre cœur et de la respiration saccadée des hommes derrière la vitre.
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