Une métisse apprend la soumission

- Par l'auteur HDS Antonin de Villeroy -
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Récit libertin : Une métisse apprend la soumission Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une métisse apprend la soumission
Délia se tenait droite, les mains jointes devant elle, son regard baissé vers le sol. Sa tenue de soubrette, avec son soutien-gorge pigeonnant qui mettait en valeur sa poitrine menue et l’absence de culotte, laissait peu de place à l’imagination. La soie noire moulante de sa robe courte collait à sa peau, soulignant les courbes délicates de son corps svelte. Ses boucles noires, habituellement rebelles, étaient aujourd’hui domptées en une queue de cheval basse, révélant la finesse de son cou et la douceur de ses pommettes. Sophie, assise sur un canapé de velours rouge, la dévorait des yeux, un sourire narquois aux lèvres. La pièce, baignée d’une lumière tamisée, était un mélange de luxe et de décadence, avec des miroirs dorés et des bougies parfumées qui diffusaient une odeur enivrante.

« Délia, » murmura Sophie, sa voix veloutée mais ferme, « tu sais ce que j’attends de toi. » Elle croisa les jambes, sa robe ajustée glissant le long de ses cuisses pour révéler un aperçu de dentelle noire. Délia hocha la tête, son cœur battant la chamade. Elle adorait ces moments, cette soumission qui la faisait se sentir vivante, exposée, désirée. « Oui, Maîtresse, » répondit-elle d’une voix timide, ses mains tremblant légèrement.

Sophie se leva d’un mouvement gracieux, sa silhouette élancée dominant la pièce. Elle s’approcha de Délia, ses talons claquant sur le parquet, et posa une main sur la joue de la jeune femme. « Tu es si belle, ma chérie, » chuchota-t-elle, ses doigts glissant le long de la nuque de Délia pour défaire l’élastique de sa queue de cheval. Les boucles noires tombèrent en cascade, encadrant son visage. « Mais la beauté ne suffit pas. Tu dois me prouver que tu es digne de moi. »

Délia sentit un frisson parcourir son échine. Elle savait ce qui allait suivre. Elle s’agenouilla devant Sophie, ses mains posées sur les cuisses de sa maîtresse. Sophie porta une main à sa nuque, la guidant vers elle. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser lent, profond, chargé de désir. La langue de Sophie explora la bouche de Délia, la dominant, la possessant. Délia gémit doucement, ses mains se crispant sur le tissu de la robe de Sophie.

« Plus, » ordonna Sophie, se reculant légèrement. Délia acquiesça, ses yeux brillants de soumission. Elle glissa ses mains le long des hanches de Sophie, soulevant lentement sa robe. La dentelle noire apparut, puis la peau nue. Délia posa ses lèvres sur le ventre plat de Sophie, traçant un chemin de baisers légers jusqu’à la taille de sa maîtresse. Sophie ferma les yeux, un sourire satisfait aux lèvres, tandis que Délia continuait son exploration, ses lèvres effleurant la peau douce, ses dents pinçant délicatement la chair.

« Ne m’oublie pas, » murmura Sophie, guidant la tête de Délia entre ses cuisses. Délia obéit sans hésiter, ses lèvres se posant sur la dentelle humide. Elle glissa la langue le long de la couture, goûtant la douceur de Sophie. Cette dernière gémit, ses doigts s’enfonçant dans les cheveux de Délia. « Oui, comme ça, ma chérie. Fais-moi jouir. »

Délia redoubla d’ardeur, ses lèvres et sa langue travaillant en harmonie pour satisfaire Sophie. Ses mains caressaient les cuisses de sa maîtresse, la tiraient plus près d’elle. Sophie se cambra, ses gémissements remplissant la pièce. « Plus vite, Délia, » ordonna-t-elle, sa voix tremblante. Délia obéit, ses mouvements devenant plus rapides, plus intenses. Sophie atteignit son apogée avec un cri étouffé, son corps se raidissant avant de s’affaisser, épuisée.

Délia se releva, son visage rougi, ses lèvres brillantes. Sophie la regarda avec un sourire satisfait. « Tu as été parfaite, ma chérie. Mais la soirée ne fait que commencer. » Elle sortit son téléphone et envoya un message rapide. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvrit, révélant trois femmes, toutes aussi séduisantes les unes que les autres.

« Mes amies, » annonça Sophie avec un sourire malicieux, « voici Délia. Elle est à votre disposition. »

Les femmes s’approchèrent, leurs regards affamés fixés sur Délia. Cette dernière sentit un mélange d’excitation et de nervosité l’envahir. Elle savait ce qui allait suivre, et elle l’acceptait avec joie. La première femme, une brune aux yeux de braise, attira Délia vers elle et l’embrassa avec passion, ses mains explorant chaque recoin de son corps. Les rires et les gémissements remplirent la pièce tandis que Délia passait d’une femme à l’autre, chacune la utilisant pour son plaisir.

Les heures passèrent, et Délia était épuisée mais comblée. Elle était étendue sur le canapé, ses membres lourds, son esprit embrumé de plaisir. Sophie se tenait devant elle, un sourire triomphant aux lèvres. « Ce n’est pas fini, ma chérie, » murmura-t-elle. Elle fit un signe de tête vers la porte, et trois hommes musclés entrèrent, leurs regards intenses fixés sur Délia.

Délia sentit son cœur s’accélérer. Les hommes l’entourèrent, leurs mains caressant son corps avec une intensité qui la fit frissonner. L’un d’eux se pencha pour embrasser son cou, tandis qu’un autre glissa une main le long de sa cuisse, soulevant sa robe. Délia gémit, ses sens en éveil. Elle sentait le désir monter en elle, une vague de plaisir qui la submergeait.

Les hommes travaillaient en harmonie, leurs touches synchronisées, leurs baisers et caresses la poussant vers le bord de l’extase. Délia se cambra, ses mains agrippant les draps, ses yeux fermés dans un abandon total. Elle était sur le point d’atteindre l’orgasme, de se laisser emporter par la vague de plaisir qui la consumait.

Et puis, tout s’arrêta.

Les hommes s’immobilisèrent, leurs mains suspendues dans les airs, leurs regards fixés sur Sophie. Délia ouvrit les yeux, son corps tendu, son souffle court. Elle les supplia silencieusement de continuer, mais ils restèrent immobiles, comme des statues.

Sophie s’avança, un sourire cruel aux lèvres. « Pas encore, ma chérie, » murmura-t-elle, sa voix douce mais ferme. « Tu as encore beaucoup à apprendre. »

Délia gémit, son corps tremblant, son désir insatisfait la consumant. Elle était au bord de l’explosion, ses sens en éveil, son esprit embrumé de plaisir. Elle regarda Sophie, ses yeux suppliants, mais sa maîtresse ne céda pas.

La tension dans la pièce était palpable, l’air vibrant d’anticipation. Délia savait que ce n’était qu’un début, que Sophie avait encore beaucoup de plans pour elle. Et malgré la frustration qui la dévorait, elle ne pouvait s’empêcher de sourire.

Car elle adorait chaque instant

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