Laura fait son cinéma - histoire érotique

Laura, une jeune femme célibataire mène une vie simple dans une grosse ville de province. Côté sexe, elle a des relations discrètes de loin en loin mais celles-ci ne sont que sensuelles, elles ne durent pas, elle refuse de s’engager, son cœur est toujours libre. Elle plaît beaucoup aux hommes comme aux femmes mais par dessous tout, elle adore s’exhiber.

Elle a rencontré Marc la veille à la sortie d’une salle de cinéma, où situé un peu en arrière d’elle, il l’a regardée tout le temps du film. À la sortie, le devançant, elle a laissé tomber ses clés. Il s’est empressé de les lui ramasser.

- Merci, vous êtes aimable. Qu’avez-vous pensé du film ? 
- Je ne l’ai pas regardé, je ne voyais que vous et votre magnifique chevelure. »
Un peu interloquée, elle l’a regardé. C’est un beau jeune homme au visage mystérieux avec des yeux d’un noir profond.
« Votre compliment me touche. »
« Maintenant que je vois mieux votre visage, je suis entièrement séduit. »

Il est vrai que Laura est belle. Les traits de son visage sont doux, ses yeux verts luisent et ses lèvres pleines sont magnifiques. Elle lui a répondu :
« J’habite tout près. Je t’offre un verre demain soir si tu es disponible ? »
« Je suis entièrement libre et à ta disposition. Je m’appelle Marc. »
« Et moi Laura. Retrouvons-nous donc demain soir devant cette salle à 22 heures. »

Elle s’était détournée et était rentrée chez elle.

Le lendemain, il est là devant le cinéma. Elle ne dit pas un mot et l’entraîne jusqu’à son studio. Dans la pénombre, une lumière tamisée caresse les contours attirants de corps. Assise sur un fauteuil en velours rouge, elle domine l’espace avec une grâce naturelle, son regard fixé sur Marc, assis sur le bord du lit. L’air est chargé d’une tension, mêlée de désir. Elle porte une robe bleue moulante, qui met en valeur ses courbes parfaites, et ses longs cheveux noirs cascadent sur ses épaules.
— « Je voudrais que tu m’obéisses à la lettre. Tu n’as pas le droit de me toucher, ni de me parler, je veux que tu me regardes mais tu peux te caresser si tu veux. Cela augmentera mon plaisir. »

Marc acquiesce. Laura se lève et commence à mouvoir son corps dans la pièce, chaque mouvement qu’elle fait est une invitation. Lentement, elle commence à se caresser, ses doigts effleurant la soie de sa robe comme si elle voulait la faire disparaître par la seule force de son désir. Ses yeux ne quittent pas ceux de Marc, cherchant à capturer son attention, à le plonger dans son univers sensuel.

Avec une lenteur calculée, elle pose ses mains sur ses hanches et commence à faire glisser la robe bleue le long de son corps. Le tissu tombe doucement, révélant sa peau nue. Elle laisse la robe s’effondrer à ses pieds, se tenant désormais en lingerie fine, un ensemble de dentelle noire qui contraste parfaitement avec sa peau claire. Marc, captivé, ne peut détacher son regard de son corps svelte, de chacune de ses courbes.

Laura avance d’un pas, se rapprochant du fauteuil, et pose une main sur le dossier. Elle se penche, offre une vue plongeante sur son décolleté. Avec une lenteur délibérée, elle déboutonne son soutien-gorge, laissant les bretelles glisser le long de ses bras. Le tissu tombe, révèle ses petits seins fermes, couronnés de tétons rosés qui se dressent sous l’effet de l’excitation puis elle empoigne ses seins, les soupesant dans ses mains, avant de caresser ses tétons avec une douceur infinie. Ses yeux verts brillent d’un désir intense, son souffle commence à s’accélérer.
Marc, assis sur le lit, sent son cœur battre la chamade quand elle s’assoit dans le fauteuil. Il ne peut détacher son regard de Laura, chaque mouvement qu’elle fait le plongeant un peu plus dans un état de transe érotique. Elle se redresse, cherche à nouveau son regard, comme pour s’assurer qu’il est entièrement à elle. Leurs yeux se croisent et dans ce silence chargé de tension, une conversation muette s’instaure.

Laura pose une main sur un sein, le caressant doucement, tandis que l’autre main descend le long de son ventre plat. Ses doigts effleurent la taille fine de son string, avant de l’agripper et de le faire glisser le long de ses hanches. Le tissu tombe, la laissant entièrement nue, son sexe épilé exposé à la vue de Marc, il est beau, rose et luisant, elle écarte les cuisses pour mieux l’exhiber.

Avec une main toujours posée sur son sein, elle laisse l’autre descendre entre ses cuisses. Ses doigts touchent son clitoris, déjà gonflé et sensible, et elle pousse un soupir de plaisir. Elle ferme les yeux un instant, savoure la sensation, avant de les rouvrir et de fixer à nouveau Marc. Ses doigts continuent leur danse sensuelle, décapuchonnent son clitoris et le caressent avec une douceur infinie. Son autre main quitte son sein pour descendre le long de son ventre et écarter ses grandes lèvres et explorer les petites lèvres humides.

Laura pousse un gémissement étouffé, son corps réagissant à chaque toucher. Elle enfonce deux doigts dans son sexe, les bougeant avec un rythme lent et régulier, comme si elle voulait savourer chaque sensation. Ses hanches se soulèvent légèrement, son corps ondule au rythme de sa masturbation. Elle halète, le souffle court et saccadé, ses yeux toujours dans les yeux de son invité.

Soudain, elle se détourne, ouvre un tiroir à côté du fauteuil et en sort un gode rose, lisse et brillant, comme son sexe. Marc frémit. Avec un gémissement de plaisir, elle l’introduit, le faisant glisser lentement, savourant chaque millimètre. Elle commence des va-et-vient, son corps se cambre à chaque poussée. Ses doigts continuent à caresser son clitoris, la font frissonner de plaisir.

Marc, incapable de rester passif plus longtemps, le regard toujours fixé sur Laura, enlève sa chemise, déboutonne son pantalon, le fait glisser le long de ses jambes, l’ôte de ses chevilles en enlevant ses chaussettes, baisse son boxer révélant un sexe dur et gonflé, son désir est évident, palpable. Sa main commence à aller et venir sur son membre.

Laura, sentant son excitation monter, accélère le rythme de ses mouvements. Le gode glisse maintenant plus rapidement, ses doigts dansent sur son clitoris avec une urgence croissante. Ses gémissements remplissent la pièce, mélodieux et envoûtants. Elle s’accroupit sur le fauteuil, une main agrippe l’accoudoir, son corps est arqué, offert dans une posture d’exhibition totale.
Elle regarde Marc droit dans les yeux pendant qu’il se masturbe. Le gode glisse maintenant à une vitesse frénétique, les doigts travaillent son clitoris avec une intensité qui la fait frissonner.
Leurs respirations correspondent, leurs corps se répondent en harmonie. Laura sent l’orgasme monter, une vague de plaisir la submerge, ses lèvres se gonflent. Elle pousse un cri étouffé, son corps se raidit, ses muscles se contractent autour du gode. Marc, sentant son excitation, accélère son propre rythme, sa main serrant son membre avec force.

Dans un dernier mouvement, Laura se laisse tomber en arrière, son corps abandonnant tout contrôle. Un orgasme l’envahit, une explosion de plaisir qui la fait vibrer jusqu’au fond du sexe, son corps tremblant sous l’intensité. Marc, captivé par sa beauté et son abandon se laisse lui aussi emporter. Il se caresse à un rythme frénétique et son sperme jaillit, il retient ses gémissements.

Laura se laisse tomber sur le fauteuil, le corps couvert de sueur, le souffle court. Marc s’assit à côté d’elle, la prenant dans ses bras, il la serre contre lui, leurs respirations se calment lentement.
Laura lève les yeux vers lui, un sourire satisfait sur ses lèvres. « Ce n’est que le début, » murmure-t-elle, le regard brillant de désir. Marc sourit en retour, il sait désormais que cette première nuit est une promesse.