La puissance de l’obscurité.

- Par l'auteur HDS Antonin de Villeroy -
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Récit libertin : La puissance de l’obscurité. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La puissance de l’obscurité.
Le soleil déclinait derrière les cimes de la forêt équatoriale, teintant le ciel de pourpre et d’orange, comme si la jungle elle-même retenait son souffle. Tu te tenais près de la fenêtre entrouverte de ton bungalow, la chaleur humide collant à ta peau comme une seconde couche. L’air était lourd, chargé de l’odeur de terre mouillée et de fleurs exotiques, mais aussi de quelque chose de plus primitif—une tension électrique, presque animale. Tu le sentais. Lui.
Depuis combien de temps était-il là, tapis dans les buissons épais, à quelques mètres à peine de ta porte ? Une heure ? Deux ? Tu n’en avais aucune idée, mais peu importait. Ce qui comptait, c’était la façon dont son regard te brûlait, comme des doigts invisibles traçant des sillons sur ton corps. Tu n’avais pas besoin de le voir pour savoir qu’il était grand, large d’épaules, sa peau noire luisant sous les derniers rayons du soleil filtrant à travers les feuilles. Tu l’avais entrevu hier, près de la rivière, quand tu étais allée te baigner. Il t’avait observée alors, aussi, mais de loin. Aujourd’hui, il s’était rapproché. Beaucoup plus près.
Un frisson te parcourut l’échine, non pas de peur, mais d’une excitation sourde, presque douloureuse. Tu n’étais pas du genre à te cacher, encore moins à fuir ce qui te faisait vibrer. Au contraire. Tu aimais ça—être regardée, désirée, dévorée des yeux. Et lui, il avait faim. Tu le sentais dans la façon dont l’air semblait se densifier entre vous, comme si chaque molécule était chargée de son désir.
Tu tournai lentement le dos à la fenêtre, feignant l’indifférence, mais tes doigts tremblaient légèrement en effleurant le bord de ton débardeur en coton fin. Le tissu, déjà humide de sueur, collait à tes seins, soulignant leurs courbes sous la lumière dorée. Tu pris une inspiration profonde, laissant tes épaules se relâcher, comme si tu n’avais rien de plus important à faire que de profiter de cette fin de journée. Puis, d’un geste délibérément lent, tu saisis l’ourlet du vêtement et le fis glisser vers le haut.
La brise tiède caressa ton ventre nu, puis tes côtes, avant que le tissu ne libère enfin tes seins, lourds et fermes, leurs pointes déjà durcies par l’excitation. Tu ne portais jamais de soutien-gorge—à quoi bon, ici, au milieu de nulle part ?—et la sensation de l’air sur ta peau te fit gémir doucement. Un son à peine audible, mais assez pour qu’il l’entende, là-bas, dans l’ombre. Tu jetas le débardeur sur le sol en bois, où il atterrit dans un froissement léger, puis tu passas une main dans tes boucles brunes, les soulevant pour laisser courir tes doigts le long de ta nuque, comme si tu avais chaud. Comme si tu n’avais pas conscience d’être observée.
Mais bien sûr que si.
Tu savais exactement où il se trouvait. Juste là, derrière ce buisson de fougères géantes, à demi caché par les lianes pendantes. Tu pouvais presque sentir son souffle, rapide et profond, son corps tendu comme un arc prêt à décocher. L’idée qu’il te regarde, qu’il bande peut-être déjà en imaginant ses mains sur toi, te fit serrer les cuisses. Ta chatte palpitait, humide, et tu ne pus t’empêcher de laisser glisser une main le long de ton ventre, effleurant la peau douce avant de t’arrêter juste au-dessus de ton short en jean moulant.
Attends.
Tu devais le faire durer. Le faire souffrir, comme tu souffrais toi-même de cette attente.
D’un mouvement fluide, tu te tournai à moitié vers la fenêtre, offrant à son regard avide le profil de tes seins, leur poids naturel les faisant légèrement osciller alors que tu faisais mine de chercher quelque chose sur l’étagère près de toi. Tes doigts effleurèrent un livre—Les Fleurs du Mal, ironiquement—avant de le laisser tomber par terre avec un petit bruit sourd. Tu te penchai pour le ramasser, cambrant exagérément le dos, les fesses tendues vers lui, comme une offrande. Le jean épousait chaque courbe, chaque creux, et tu savais qu’il devait voir la façon dont le tissu s’étirait sur ton cul, presque transparent à la lumière rasante.
Un grognement étouffé parvint jusqu’à toi, ou peut-être était-ce juste le vent dans les feuilles. Peu importait. Tu souris, les lèvres entrouvertes, et te redressai lentement, laissant tes mains glisser le long de tes hanches avant de saisir le bouton de ton short.
Le clic du métal se dégrafeant résonna comme un coup de feu dans le silence du bungalow.
Tu fis glisser la fermeture Éclair avec une lenteur calculée, centimètre par centimètre, révélant le tissu noir de ta culotte en dentelle, déjà humide à l’entrejambe. Le jean tomba à tes chevilles, et tu l’enjambai avec grâce, te retrouvant en petite tenue, les pieds nus sur le plancher tiède. La culotte moulait ton sexe, laissant deviner la fente de ta chatte, gonflée et luisante de désir. Tu passai un doigt sous l’élastique, le tirant légèrement avant de le lâcher avec un petit snap qui fit vibrer ta peau.
Il doit être à genoux maintenant, pensai-tu, le cœur battant. À se demander s’il ose sortir de sa cachette. À se demander si je vais lui donner ce qu’il veut.
Mais tu n’allais pas lui faciliter les choses.
D’un geste théâtral, tu fis glisser tes doigts sous les bretelles de ta culotte, les faisant descendre le long de tes cuisses avec une lenteur insupportable. Le tissu glissa sur ta peau, s’accrochant un instant à tes poils fins avant de tomber enfin à tes pieds. Tu l’écartai d’un coup de pied, te retrouvant entièrement nue, offerte à la lumière dorée—et à lui.
Tu ne bougeai pas tout de suite. Tu laissai le silence s’installer, lourd de promesses, tandis que le vent faisait danser les feuilles autour du bungalow. Puis, lentement, tu levai une main vers tes seins, paume ouverte, comme pour les lui présenter. Tes doigts se refermèrent sur ta chair ferme, pétrissant doucement, tirant sur tes tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent deux pointes dures, presque douloureuses. Un gémissement s’échappa de tes lèvres, bas et rauque, et tu fermai les yeux, laissant ta tête tomber en arrière alors que tes doigts descendaient, traçant un chemin brûlant sur ton ventre, puis plus bas…
Tes cuisses s’écartèrent légèrement, comme d’elles-mêmes, et tu glissai une main entre elles, les doigts frôlant ta chatte trempée. Tu étouffai un cri en sentant à quel point tu étais excitée—tes lèvres gonflées, ton clito pulsant sous tes doigts, prêt à exploser au moindre contact. Tu commençai à te caresser, d’abord doucement, en cercles lents autour de ton bouton sensible, puis plus vite, plus fort, tes hanches se soulevant pour rencontrer tes doigts comme si tu baisais l’air lui-même.
« Putain… » murmurai-tu, la voix brisée, les yeux toujours clos. Tu imaginai ses mains à lui—grandes, rugueuses—remplaçant les tiennes, te pénétrant, te prenant sans pitié. L’idée te fit gémir plus fort, et tes doigts s’enfoncèrent en toi, deux, puis trois, te doigtant avec frénésie tandis que ton autre main malmenait tes seins, les tordant, les pinçant, comme si tu voulais te punir pour cette attente insoutenable.
Tu t’approchai de la fenêtre, les jambes tremblantes, jusqu’à ce que ton souffle embue la vitre. Tu savais qu’il était là, juste de l’autre côté, peut-être même assez près pour sentir ton odeur—celle de ta sueur, de ton excitation, de ta chatte qui réclamait sa bite. Tu collai ton front contre le bois tiède du cadre, cambrant le dos, offrant ton cul à son regard, les fesses serrées, la peau luisante. Tes doigts continuaient leur travail, en toi, sur toi, et tu te mis à haleter, les mots sortant de ta bouche en un flot incohérent :
« Tu veux me voir jouir, hein ?… Tu bandes en me regardant, sale pervers… » Ta voix était rauque, presque méchante, mais tremblante de désir. « Viens… Viens me prendre par-derrière, comme tu en as envie… »
Un craquement sec retentit dans les buissons.
Ton cœur s’arrêta.
Il bougeait.
Tu sentis une bouffée d’adrénaline te traverser, mêlée à une excitation si intense que tes genoux faillirent céder. Tu n’avais pas peur—non, c’était bien pire que ça. Tu voulais qu’il te surprenne. Qu’il te saute dessus, qu’il te plaque contre le mur et t’empale sans prévenir. L’idée te fit jouir presque instantanément, ton corps se raidissant alors que les vagues de plaisir te submergeaient, tes doigts enfouis en toi, ton clito palpitant sous tes caresses frénétiques.
« Oh—! Putain—! » criai-tu, les yeux écarquillés, le corps secoué de spasmes. Ta chatte se contracta autour de tes doigts, et tu sentis ton jus couler le long de tes cuisses, chaud et épais. Tu t’affalai contre le mur, haletante, les seins soulevés par ta respiration saccadée, la peau couverte d’une fine pellicule de sueur.
Et puis…
Un autre craquement. Plus proche.
Tu ouvris les yeux juste à temps pour voir l’ombre d’un homme se détacher des buissons, immense, silencieuse, ses yeux brillants fixés sur toi comme une proie. Tu n’eus pas le temps de réagir. Pas le temps de crier. Pas le temps de respirer.
Une main puissante se referma sur ta bouche, étouffant ton souffle, tandis qu’un bras musclé t’enlaçait par-derrière, te plaquant contre un torse dur comme la pierre. Tu sentis son érection, énorme, brûlante, pressée contre tes fesses, et un rire étouffé vibra contre ton oreille, grave, presque bestial.
La lune perce à travers les frondaisons épaisses de la jungle, dessinant des ombres mouvantes sur le sol humide où l’herbe, écrasée par leurs corps brûlants, exhale un parfum terreux mêlé à la sueur et au désir.
Justine ne respire plus—elle *dévore* l’air, les narines frémissantes, les lèvres encore gonflées par ses propres doigts, par l’attente.
L’homme est là, adossé contre le tronc noueux d’un arbre centenaire, son torse luisant sous la lueur argentée, les muscles saillants à chaque inspiration saccadée.
Ses yeux, deux braises noires, la fixent avec une intensité qui lui serre le ventre. Elle n’a pas besoin de mots. Elle *sait*.
Un sourire carnassier étire ses lèvres tandis qu’elle avance, hanches oscillantes, les pieds nus écrasant les feuilles mortes avec une lenteur calculée.
La brise chaude soulève les boucles rebelles de ses cheveux, collées à sa nuque par la transpiration, et caresse sa peau dorée où perle encore l’humidité de son excitation.
Elle s’arrête à un mètre de lui, assez près pour sentir la chaleur qui émane de son corps, pour capter l’odeur âcre de son désir—musk, sel, et cette pointe animale qui lui fait monter l’eau à la bouche.
Ses doigts effleurent son propre ventre, remontent jusqu’à ses seins, où ils pincent légèrement ses mamelons dressés, offrant le spectacle à son regard affamé.

Justine
Tu veux me voir à genoux ?

Justine
Ou tu préfères que je te montre *à quel point* j’ai envie de ta bite ?
Il ne répond pas. Pas besoin. Ses poings se serrent contre l’écorce, les jointures blanchissant, et son bassin se soulève imperceptiblement, comme si son corps entier tendait vers elle.
Justine rit, un son bas et gourmand, avant de s’agenouiller dans la terre meuble.
Ses genoux s’enfoncent dans la mousse, ses cuisses s’écartent légèrement, offrant un aperçu de sa chatte luisante, déjà gonflée, déjà *prête*.
Ses mains glissent le long de ses flancs, puis se referment autour de la base de son sexe à elle, qu’elle caresse une dernière fois avant de se pencher en avant.
Ses lèvres frôlent d’abord le bout de son gland, humide de précum, et elle entend son souffle se bloquer.
Elle sourit contre sa peau brûlante, puis ouvre grand la bouche.
*Engloutir*.
Sa langue s’enroule autour de lui comme un serpent, traçant des cercles serrés sur la couronne avant de plonger dans le sillon, là où la peau est la plus sensible.
Ses joues se creusent quand elle aspire, fort, et ses doigts—agiles, impitoyables—massent ses couilles, les roulant entre ses paumes avec une pression qui le fait grogner.
Il est *énorme*, épais, veiné, et chaque centimètre qu’elle avale lui arrache un gémissement étouffé.
Sa salive coule le long de ses lèvres, dévale sur ses doigts, sur ses seins, et elle s’en fout. Elle veut qu’il la *voie* se noyer pour lui.

Homme
Putain, Justine…
Elle gémit en réponse, la vibration faisant trembler sa queue dans sa gorge.
Ses yeux larmoient, mais elle ne recule pas. Au contraire. Elle *plonge*, jusqu’à ce que son nez frôle les poils drus de son pubis, jusqu’à ce que sa luette frémisse contre son gland.
Puis elle remonte, lentement, en tournant la tête comme si elle voulait le *décoller*, avant de replonger, encore et encore, son rythme implacable.
Ses mains quittent ses couilles pour lui agripper les fesses, les ongles s’enfonçant dans la chair ferme tandis qu’elle le *baiser* avec sa bouche, ses joues claquantes, ses lèvres boursouflées.

Homme
Je vais… Je vais jouir
Elle ne s’arrête pas. Elle *accélère*.
Et puis il explose.
Un grognement sourd, presque bestial, déchire la nuit tandis que son sperme jaillit en jets épais, chauds, striant son visage, son cou, avant de s’écraser sur ses seins.
La première giclée la frappe entre les yeux, épaisse et blanche, puis une autre, et une autre, jusqu’à ce que sa peau dorée soit *badigeonnée* de lui, collante, obscène.
Elle recule légèrement, la bouche entrouverte, la langue sortant pour lécher une traînée qui coule le long de sa lèvre supérieure.
Ses doigts tremblent quand elle en récolte une noisette, qu’elle porte à ses lèvres avant de sucer goulûment, les paupières mi-closes.

Justine
Tu as bon goût

Justine
Mais je veux plus
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre.
D’un mouvement fluide, elle se redresse, tourne le dos et s’appuie contre l’arbre, paumes à plat sur l’écorce rugueuse.
Puis elle se penche, offrant son cul rond, ses cuisses écartées, sa chatte déjà trempée qui brille sous la lune.
Elle ondule des hanches, lentement, comme une invitation. Comme un *défi*.

Justine
Allez, montre-moi ce que tu vaux

Justine
Baise-moi. *Défonce-moi*.
Il n’a pas besoin qu’on le lui dise deux fois.
Un grognement, puis le craquement des branches sous ses pas précipités.
Ses mains s’abattent sur ses hanches, doigts s’enfonçant dans sa chair comme des griffes, et elle *sent* la chaleur de son corps derrière elle, *immense*, écrasante.
Puis—
*—ÇA*.
Un coup de boutoir brutal, sans avertissement.
Sa bite—*monstrueuse*, brûlante—lui écorche l’entrée, la force, la *remplit* d’un seul coup de reins.
Justine hurle, le son déchiré entre douleur et extase, ses ongles labourant l’écorce tandis que son corps tout entier se tend, arc-bouté entre l’arbre et lui.
Il est *trop* gros, *trop* long, et pourtant—
*—Putain, oui !*
Elle pousse en arrière, *avide*, tandis qu’il commence à la marteler, chaque coup de bite la soulevant presque du sol.
Ses seins ballottent, son cul claque contre son bassin, et le son *obscène* de leurs corps qui s’entrechoquent résonne dans le silence de la jungle.
Elle est *mouillée*, si mouillée que sa cyprine dévale le long de ses cuisses, goutte sur les feuilles en dessous.
Chaque fois qu’il s’enfonce, elle sent son ventre se contracter, son clito frotter contre l’écorce, et—

Justine
*Plus fort !*

Justine
*Déchire-moi, bordel !*
Il obéit.
Ses coups deviennent *sauvages*, désordonnés, ses hanches cognant contre ses fesses avec une force qui devrait la faire hurler—et pourtant, tout ce qui sort de sa gorge, ce sont des râles, des supplications, des *merci, merci, putain, oui*— jusqu’à ce que son corps tout entier se raidisse, ses orteils se recroquevillent dans la terre, et—

Justine
*JE JOUIS !*
L’orgasme la frappe comme un éclair, *blanc*, *brûlant*, lui arrachant un cri qui se répercute entre les arbres.
Son corps se convulse, ses muscles internes se contractant autour de lui, le serrant, le *traitant* comme si elle voulait le vider à son tour.
Il grogne, les doigts enfoncés dans sa chair à en laisser des marques, mais il ne s’arrête pas.
Il *continue*, la pilonnant à travers les vagues de son plaisir, jusqu’à ce qu’elle s’effondre en avant, haletante, le front contre l’arbre, son propre sperme et sa cyprine maculant ses cuisses.
Elle n’a pas le temps de récupérer.
D’un mouvement vif, elle se retourne, le pousse contre le sol avec une force qui le surprend.
Il atterrit sur le dos, le souffle coupé, et avant qu’il ne puisse réagir, elle est déjà à califourchon sur lui, ses genoux enfoncés dans la terre de chaque côté de ses hanches.
Ses doigts tremblent en attrapant sa queue—*encore dure*, encore *prête*—et elle la guide vers son autre trou, celui qu’elle a *tellement* envie de sentir *déchiré*.

Justine
Tu veux mon cul ?

Justine
Prends-le.
Et sans attendre, elle s’empale.
Un cri lui échappe, strident, tandis que son anus—serré, brûlant—s’étire autour de lui, centimètre par centimètre.
C’est *douloureux*, c’est *parfait*, et quand elle s’assoit enfin sur lui, le prenant *entièrement*, ses yeux roulent dans leurs orbites.

Justine
*Putain de merde…*
Elle commence à chevaucher.
Ses hanches roulent en cercles serrés, puis en mouvements de va-et-vient frénétiques, ses fesses claquantes contre son bassin.
Chaque fois qu’elle s’abaisse, elle le sent *plus profond*, *plus large*, et le plaisir—*noir*, *sale*—l’envahit, lui faisant perdre toute notion de temps, d’espace.
Ses seins rebondissent, son ventre se couvre d’une fine pellicule de sueur, et ses doigts s’enfoncent dans ses propres cuisses, là où la peau est tendre, là où ça *fait mal*.

Justine
*Tu kiffes ça, hein ?*

Justine
*Tu kiffes me voir me faire défoncer le cul comme une chute.*
Il grogne, ses mains agrippant ses hanches, la guidant, l’*enfonçant* sur lui à chaque descente.
Leurs souffles se mélangent, chauds, désespérés, et quand elle sent ses couilles se contracter contre son cul, elle *sait*.

Justine
*Jouis en moi*

Justine
*Remplis-moi. Marque-moi.*
Et il obéit.
Un dernier coup de reins brutal, puis il se raidit, un rugissement lui déchirant la gorge tandis que son sperme jaillit en elle, *brûlant*, *épais*, la remplissant jusqu’à ce qu’elle sente chaque pulsation de sa queue en elle, chaque jet qui la *marque*.
Elle jouit en même temps, son corps se cambrant, ses doigts s’enfonçant dans la terre tandis qu’un orgasme *monstrueux* la submerge, lui volant sa voix, sa vue, tout—
Puis plus rien.
Que le silence.
Que leurs souffles haletants, mêlés.
Que le poids de Justine, affalée sur lui, son visage enfoui contre son cou, son corps encore tremblant de l’après-choc.
Ses doigts tracent distraitement des motifs sur sa peau moite, là où son cœur bat encore à tout rompre.
Il rit doucement, un son rauque, épuisé.

Homme
T’es… une putain de déesse.
Elle relève la tête, un sourire paillard aux lèvres, ses joues encore rouges, ses yeux brillants.

Justine
Non, corrige-t-elle en se redressant légèrement, sentant son sperme couler le long de ses cuisses.

Justine
Juste une fille qui sait ce qu’elle veut.
Elle se lève avec une grâce féline, ses muscles endoloris protestant légèrement, et lui tend une main.
Il attrape sa main, se relève, et la tire contre lui pour un dernier baiser—*sale*, *possessif*—avant de lui donner une tape sur les fesses.

Homme
À la prochaine, alors.
Elle rit, se dégageant avec un clin d’œil.

Justine
Compte là-dessus.
Et tandis qu’ils disparaissent dans la nuit, leurs rires se mêlant aux bruits de la jungle, une chose est sûre :
*Aucun des deux n’oubliera cette nuit.*

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cela devrait être encore plus long donc illisible !



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