Face à face suite
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Face à face suite
Une semaine s'était écoulées depuis cet extraordinaire face à face qui, je l'écris là, ne m'avait pas laissé indemne
Je m'étais efforcé toute la semaine de ne contacter pas cette femme, Nathalie, mais je n'avais pu m'empêcher de me masturber toutes les nuits comme un ado en pensant à ce moment de partage sexuel.
Le week-end s'engageait. Nous étions déjà vendredi début de soirée. Je me sentais comme un lion en cage. Je reconnaissais qu’une vraie obsession c'était insidieusement emparée de moi.
Je me décidais alors à envoyer un texto à cette affolante Nathalie et bien entendu je n'arrivais pas à choisir les mots. J'optais pour un peu de vulgarité, des mots déplacés, un message en phase avec ce face à face de samedi passé. De toute façon qu'est-ce que j'avais à perdre. Au pire j'allais même y gagner un silence qui pouvait avec un peu de temps me rendre la paix.
Message :
" Cc, je n'arrête pas de penser à toi. Comment va ton joli mont de Venus. Est-ce que tu as glissé un doigt en pensant à moi affolante coquine “.
Je regrettais aussitôt de l'avoir envoyé. Mais c'était trop tard. Je venais de me placer dans une position psychologique qui me faisait gamberger. C'était et surtout le peu d'information que je détenais pour tenir un raisonnement stable qui mettait dans cet état. Toute ma ‘barjoterie’ reposait sur le déroulement de la soirée passée chez elle samedi dernier. C'était peu.
Du coup j'étais vivement partagé sur l'action que je venais de mener et cette introspection calma direct mon ardeur. A-t-elle point que je pensais même avoir définitivement refoulé ce phantasme. Je redevenais raisonnable à ce qu'était en réalité ma vie. Une vie sexuelle qui se résumait ces derniers temps à pas mal de branlettes. Au final une vie bien ordinaire vécue plus ou moins sagement en attendant de revoir Loulou par épisode. Il y avait en moi un manque et les vacances étaient encore loin dans le temps.
Ce n'était pas la relation affective la plus sûr et confortable que j'avais entretenu dans ma vie. D'ailleurs à soixante ans je me trouvais bien joueur. Si physiquement je le pouvais, je savais que cette forme d'immaturité pouvait jouer des tours. À contrario,
professionnellement je ne me permettais aucune fantaisie. Ça se déroulait bien. Matériellement je ne manquais de rien. C'est ainsi que ma vie était structurée. Ma vie privé et affective n'était certainement pas des plus classique mais je devais faire avec ce que j’avais.
Une fois n'était pas coutume, j'allais chauffer un peu la belle des îles. Aussi je copiais-collais le message pour l'envoyer à Loulou.
Un laps de temps s'écoulait avant que le son de notification de mon téléphone annonce l'arrivée d'un SMS.
-" Le mont Vénus il va bien. Pas assez gravi à mon goût. :-) ".
Suivait aussitôt,
- " là je ne peux pas trop écrire. Promis je t'appelle"
À quoi j'interrogeais,
-" tu ne peux pas à cause du décalage horaire, le travail ? ".
Réponse
-" Décalage avec mon copain surtout ".
La lecture de ces derniers mots ne m’embrouillait pas. Je consultais rapidement la file de l'échange et en un instant le numéro de téléphone confirmait que je ne me faisais pas de mauvaises idées. Manifestement et je comprenais que les SMS ne provenaient pas de La Réunion, c'était Nathalie qui répondait. J'avais bien une ouverture avec Nathalie, mais quelle ouverture et quand ?
Je patientais et bien plus tard je recevais cette fois un message de Loulou des îles qui disait:
-" Excité mon Loulou du continent. J'ai bien compris l'allusion mon ticket de métro va très bien, mais je travaille là. Je t'appelle demain à midi heure métropole. Baiser chaud d'ici. "
Je lui retournais un baiser virtuel tout en acceptant le programme.
La réponse de Loulou, ramenait à l'esprit des résurgences de pensées. Pourtant elles n’avaient vraiment pas lieu d'être. Pourquoi le vieux mari de Loulou, mari que je ne connaissais absolument pas, faisait surface. Au même titre que magasin qui lui avait acheté ou encore cette magnifique demeure non loin de la Villa Club au nord de l'île dans laquelle elle vivait, enfin un série d'images et de pensées me submergeait subitement. Une pointe de culpabilité qui disparue à l'image de ce sourire qui émanait de Loulou tant au contact des gens qu’à moi. Je n'étais pas le seul à en profiter et je ne jalousais pas. Quand elle était à mes côtés je passais des moments agréables. J'aimais sa sensualité. J'aimais ses formes. Elle avait de l'humour et elle adorait le mien.
Je restais cependant sur ma faim. J'attendais le petit échange, le je ne sais quoi qui aurait dû pimenter l'instant présent, histoire de me détourner définitivement mon attention de cette envie de déchiffrage de tatouage et de cette autre femme qui me hantait. Je savais que j'avais bien trop fantasmé durant toute cette semaine en pensant à cette Nathalie pour l'oublier d'un seul coup.
Je regardais la télé qui m’avait apaisé quand mon téléphone se mit à vibrer avant de sonner. Je ne m'y attendais pas en tout cas pas ce soir. C'était Nathalie.
Après les politesses d'usages très amicales, elle m'expliquait qu'elle avait congédier son copain. Pas une rupture, non.
Elle se confiait.
Elle venait de vivre ce soir une véritable déception. En effet, après quinze jours d'absence, le gars ne lui avait pas sauté dessus. Elle qui mourrait d'envie de faire l'amour.
En même temps, reconnaissait-elle, elle ne découvrait pas la sous performance de cet homme de soixante ans. Il l’avait prévenue dès les premières rencontres. Ce n'était pas une bête de sexe. Il voulait construire sur de l’affectif de la sensualité, pas une sexualité.
Ok, disait-elle, Mais à ce point-là, après quinze jours sans s'être vu… elle estimait qu'il aurait pu faire un petit effort. Non rien... Ah si, juste une langue dans la bouche. Et encore pas longtemps.
- Oui, tu comprends, continuait-elle, je te raconte tout ça, mais après ce que nous avons fait ensemble la semaine dernière, me rappelait elle aussi, je ne vais pas jouer les saintes ni touches avec toi et peser mes mots. Il ne me baise quand même pas beaucoup, lâchait-elle.
Ben oui, elle attendait, au minimum, de se faire tripoter au moins. Ou qu'il l'a grignote peut-être. Elle en pouffait. Qu'il me... Non, et puis... Laisse tomber!
- Il était fatigué de ses quinze jours sur la route. Eh bien, je lui ai dit, va te reposer chez toi. On en reparlera. Après quoi il voulait que l’on se couche alors que moi je ne voulais plus. Il a fini par partir. Sans histoire. - On verra. Je verrais... Et puis il y a eu ton sms... termina telle sans autre explication.
Son résumé s'arrêtait là et j'avais écouté son monologue sans réagir. Je comprenais sincèrement sa déception.
Loulou avait quitté totalement de mon esprit. Sans état d'âme je profitais de la situation.
- Si tu venais chez moi, lui proposai-je, tu as compris à quel point j'ai envie de te revoir?
Sa réflexion imposait un silence qu'elle brisa par un,
- oui d'accord, mais vu l'heure il est peut-être trop tard ?
Je regardais machinalement l'heure sur mon téléphone et je rassurerais, me semble-t-il, une fausse inquiétude.
- Je ne me couche jamais à 22:00 si tu veux savoir, et demain je peux me lever sans heure, je n'ai rien à faire. Je lui donnais mon adresse. Elle m'assurait qu'elle pourrait être là, t'elle qu'elle était, dans une demi-heure. Cela m'allait, le temps d'une douche. Je décidais de la recevoir décontracté en jogging.
J'ouvrais la porte du bas et je l'attendais sur le mon pas de porte. Lorsqu'elle sortit de l'ascenseur je remarquais que les couleurs de son pantalon tranchaient avec le noir de son trench femme qui l'enveloppait. En s'approchant un joli visage au regard pétillant émergeait dans un col remonté. Je m'écartais pour la laisser entrer.
Elle était très à l'aise et souriante. Elle ne semblait absolument pas perturbée par la déception de sa journée. En tout cas rien ne le trahissait. Elle posait ses lèvres sur mes joues et posait un dernier baiser au coin de mes lèvres.
Je l'attrapais par la nuque pour diriger sa bouche vers la mienne. Elle ne refusait pas et nos langues se mélangeaient sensuellement.
Elle se dégageait de moi tout en continuant de me regarder et me dit
- tu as un truc dans le regard que je n'explique pas, alors que son "imper" tombait par terre, mais j'aime bien, conclut-elle. J'aime bien, tu es décalé ça change... Elle profitait de la proximité pour m'attraper la queue à travers mon jogging, chose à laquelle je ne m'attendais pas. Je bandais, elle souriait et continua en ajoutant.
- J'en ai rêvé.
Je répondais en posant ma main à travers son pantalon sur le mont de Venus en disant,
- combien de branlettes pour ça cette semaine. Et nos langues se retrouvaient à nouveau et par-dessus le textile mon majeur épousait la chaire de ses grandes lèvres.
Je l'attirerais dans la chambre et bascula en arrière sur le lit où je ne rencontrais aucune résistance pour lui retirais son pantalon qui était finalement qu’un pyjama en satin. C’était en toute coopération que je m'engeais entre ses jambes. Ma langue, mes lèvres parcouraient ses cuisses pour rencontrer une vulve déjà détrempée. Je me délectais. J'aimais le goût de son mucus.
Je lapais depuis un court moment à la source du plaisir quand elle décida de passer à l'action.
Mon jogging quittait mes jambes. La chaleur de sa bouche englobait mon gland pendant que une main douce maintenait mon barreau et de l’autre ma bourse. J'étais sur le dos. Je ne résistais pas. Sa vulve revenait à moi et la lumière était assez forte pour que les détails de ce joli organe entretenu apparaissent plus ouverts sous un délicieux aspect. Je n'eux aucune réticence à lécher son anus ce qui ne manquait pas de la faire réagir.
Elle continuait de diriger les opérations. Sa position changeait totalement ma verge s'enfonçait en elle et son bassin alors oscillait jusqu'à parvenir à un rythme frénétique. Je distinguais ses seins derrière le satin. Je percevais un râle contenu. Elle accédait à son orgasme. Humm mmm ! Fit-elle. Elle avait joui. J'activais mon bassin à mon tour et mon éjaculation transporta ma jouissance. Elle se posait sur moi, je l’accueillais.
Nous avions gardé nos hauts. Je déboutonnais son haut et je la dégageais de son satin. Je regardais son tatouage qui grimpait sur son bras. À son tour elle entreprenait d'enlever mon tee-shirt. Une fois fait, je l'attirais contre mon buste. Je sentais contre moi ses seins, son ventre et je profitais agréablement pendant un instant de cette douce chaleur humaine jusqu'à ce que mon sexe se rétracte et s'échappe de son vagin.
Satisfait, je l'embrassais avant de l'écarter pour ensuite la retourner. J'avais de la lecture en retard.
Je découvrais enfin les tatouages. Les fameux symboles chinois.
Je m'étais efforcé toute la semaine de ne contacter pas cette femme, Nathalie, mais je n'avais pu m'empêcher de me masturber toutes les nuits comme un ado en pensant à ce moment de partage sexuel.
Le week-end s'engageait. Nous étions déjà vendredi début de soirée. Je me sentais comme un lion en cage. Je reconnaissais qu’une vraie obsession c'était insidieusement emparée de moi.
Je me décidais alors à envoyer un texto à cette affolante Nathalie et bien entendu je n'arrivais pas à choisir les mots. J'optais pour un peu de vulgarité, des mots déplacés, un message en phase avec ce face à face de samedi passé. De toute façon qu'est-ce que j'avais à perdre. Au pire j'allais même y gagner un silence qui pouvait avec un peu de temps me rendre la paix.
Message :
" Cc, je n'arrête pas de penser à toi. Comment va ton joli mont de Venus. Est-ce que tu as glissé un doigt en pensant à moi affolante coquine “.
Je regrettais aussitôt de l'avoir envoyé. Mais c'était trop tard. Je venais de me placer dans une position psychologique qui me faisait gamberger. C'était et surtout le peu d'information que je détenais pour tenir un raisonnement stable qui mettait dans cet état. Toute ma ‘barjoterie’ reposait sur le déroulement de la soirée passée chez elle samedi dernier. C'était peu.
Du coup j'étais vivement partagé sur l'action que je venais de mener et cette introspection calma direct mon ardeur. A-t-elle point que je pensais même avoir définitivement refoulé ce phantasme. Je redevenais raisonnable à ce qu'était en réalité ma vie. Une vie sexuelle qui se résumait ces derniers temps à pas mal de branlettes. Au final une vie bien ordinaire vécue plus ou moins sagement en attendant de revoir Loulou par épisode. Il y avait en moi un manque et les vacances étaient encore loin dans le temps.
Ce n'était pas la relation affective la plus sûr et confortable que j'avais entretenu dans ma vie. D'ailleurs à soixante ans je me trouvais bien joueur. Si physiquement je le pouvais, je savais que cette forme d'immaturité pouvait jouer des tours. À contrario,
professionnellement je ne me permettais aucune fantaisie. Ça se déroulait bien. Matériellement je ne manquais de rien. C'est ainsi que ma vie était structurée. Ma vie privé et affective n'était certainement pas des plus classique mais je devais faire avec ce que j’avais.
Une fois n'était pas coutume, j'allais chauffer un peu la belle des îles. Aussi je copiais-collais le message pour l'envoyer à Loulou.
Un laps de temps s'écoulait avant que le son de notification de mon téléphone annonce l'arrivée d'un SMS.
-" Le mont Vénus il va bien. Pas assez gravi à mon goût. :-) ".
Suivait aussitôt,
- " là je ne peux pas trop écrire. Promis je t'appelle"
À quoi j'interrogeais,
-" tu ne peux pas à cause du décalage horaire, le travail ? ".
Réponse
-" Décalage avec mon copain surtout ".
La lecture de ces derniers mots ne m’embrouillait pas. Je consultais rapidement la file de l'échange et en un instant le numéro de téléphone confirmait que je ne me faisais pas de mauvaises idées. Manifestement et je comprenais que les SMS ne provenaient pas de La Réunion, c'était Nathalie qui répondait. J'avais bien une ouverture avec Nathalie, mais quelle ouverture et quand ?
Je patientais et bien plus tard je recevais cette fois un message de Loulou des îles qui disait:
-" Excité mon Loulou du continent. J'ai bien compris l'allusion mon ticket de métro va très bien, mais je travaille là. Je t'appelle demain à midi heure métropole. Baiser chaud d'ici. "
Je lui retournais un baiser virtuel tout en acceptant le programme.
La réponse de Loulou, ramenait à l'esprit des résurgences de pensées. Pourtant elles n’avaient vraiment pas lieu d'être. Pourquoi le vieux mari de Loulou, mari que je ne connaissais absolument pas, faisait surface. Au même titre que magasin qui lui avait acheté ou encore cette magnifique demeure non loin de la Villa Club au nord de l'île dans laquelle elle vivait, enfin un série d'images et de pensées me submergeait subitement. Une pointe de culpabilité qui disparue à l'image de ce sourire qui émanait de Loulou tant au contact des gens qu’à moi. Je n'étais pas le seul à en profiter et je ne jalousais pas. Quand elle était à mes côtés je passais des moments agréables. J'aimais sa sensualité. J'aimais ses formes. Elle avait de l'humour et elle adorait le mien.
Je restais cependant sur ma faim. J'attendais le petit échange, le je ne sais quoi qui aurait dû pimenter l'instant présent, histoire de me détourner définitivement mon attention de cette envie de déchiffrage de tatouage et de cette autre femme qui me hantait. Je savais que j'avais bien trop fantasmé durant toute cette semaine en pensant à cette Nathalie pour l'oublier d'un seul coup.
Je regardais la télé qui m’avait apaisé quand mon téléphone se mit à vibrer avant de sonner. Je ne m'y attendais pas en tout cas pas ce soir. C'était Nathalie.
Après les politesses d'usages très amicales, elle m'expliquait qu'elle avait congédier son copain. Pas une rupture, non.
Elle se confiait.
Elle venait de vivre ce soir une véritable déception. En effet, après quinze jours d'absence, le gars ne lui avait pas sauté dessus. Elle qui mourrait d'envie de faire l'amour.
En même temps, reconnaissait-elle, elle ne découvrait pas la sous performance de cet homme de soixante ans. Il l’avait prévenue dès les premières rencontres. Ce n'était pas une bête de sexe. Il voulait construire sur de l’affectif de la sensualité, pas une sexualité.
Ok, disait-elle, Mais à ce point-là, après quinze jours sans s'être vu… elle estimait qu'il aurait pu faire un petit effort. Non rien... Ah si, juste une langue dans la bouche. Et encore pas longtemps.
- Oui, tu comprends, continuait-elle, je te raconte tout ça, mais après ce que nous avons fait ensemble la semaine dernière, me rappelait elle aussi, je ne vais pas jouer les saintes ni touches avec toi et peser mes mots. Il ne me baise quand même pas beaucoup, lâchait-elle.
Ben oui, elle attendait, au minimum, de se faire tripoter au moins. Ou qu'il l'a grignote peut-être. Elle en pouffait. Qu'il me... Non, et puis... Laisse tomber!
- Il était fatigué de ses quinze jours sur la route. Eh bien, je lui ai dit, va te reposer chez toi. On en reparlera. Après quoi il voulait que l’on se couche alors que moi je ne voulais plus. Il a fini par partir. Sans histoire. - On verra. Je verrais... Et puis il y a eu ton sms... termina telle sans autre explication.
Son résumé s'arrêtait là et j'avais écouté son monologue sans réagir. Je comprenais sincèrement sa déception.
Loulou avait quitté totalement de mon esprit. Sans état d'âme je profitais de la situation.
- Si tu venais chez moi, lui proposai-je, tu as compris à quel point j'ai envie de te revoir?
Sa réflexion imposait un silence qu'elle brisa par un,
- oui d'accord, mais vu l'heure il est peut-être trop tard ?
Je regardais machinalement l'heure sur mon téléphone et je rassurerais, me semble-t-il, une fausse inquiétude.
- Je ne me couche jamais à 22:00 si tu veux savoir, et demain je peux me lever sans heure, je n'ai rien à faire. Je lui donnais mon adresse. Elle m'assurait qu'elle pourrait être là, t'elle qu'elle était, dans une demi-heure. Cela m'allait, le temps d'une douche. Je décidais de la recevoir décontracté en jogging.
J'ouvrais la porte du bas et je l'attendais sur le mon pas de porte. Lorsqu'elle sortit de l'ascenseur je remarquais que les couleurs de son pantalon tranchaient avec le noir de son trench femme qui l'enveloppait. En s'approchant un joli visage au regard pétillant émergeait dans un col remonté. Je m'écartais pour la laisser entrer.
Elle était très à l'aise et souriante. Elle ne semblait absolument pas perturbée par la déception de sa journée. En tout cas rien ne le trahissait. Elle posait ses lèvres sur mes joues et posait un dernier baiser au coin de mes lèvres.
Je l'attrapais par la nuque pour diriger sa bouche vers la mienne. Elle ne refusait pas et nos langues se mélangeaient sensuellement.
Elle se dégageait de moi tout en continuant de me regarder et me dit
- tu as un truc dans le regard que je n'explique pas, alors que son "imper" tombait par terre, mais j'aime bien, conclut-elle. J'aime bien, tu es décalé ça change... Elle profitait de la proximité pour m'attraper la queue à travers mon jogging, chose à laquelle je ne m'attendais pas. Je bandais, elle souriait et continua en ajoutant.
- J'en ai rêvé.
Je répondais en posant ma main à travers son pantalon sur le mont de Venus en disant,
- combien de branlettes pour ça cette semaine. Et nos langues se retrouvaient à nouveau et par-dessus le textile mon majeur épousait la chaire de ses grandes lèvres.
Je l'attirerais dans la chambre et bascula en arrière sur le lit où je ne rencontrais aucune résistance pour lui retirais son pantalon qui était finalement qu’un pyjama en satin. C’était en toute coopération que je m'engeais entre ses jambes. Ma langue, mes lèvres parcouraient ses cuisses pour rencontrer une vulve déjà détrempée. Je me délectais. J'aimais le goût de son mucus.
Je lapais depuis un court moment à la source du plaisir quand elle décida de passer à l'action.
Mon jogging quittait mes jambes. La chaleur de sa bouche englobait mon gland pendant que une main douce maintenait mon barreau et de l’autre ma bourse. J'étais sur le dos. Je ne résistais pas. Sa vulve revenait à moi et la lumière était assez forte pour que les détails de ce joli organe entretenu apparaissent plus ouverts sous un délicieux aspect. Je n'eux aucune réticence à lécher son anus ce qui ne manquait pas de la faire réagir.
Elle continuait de diriger les opérations. Sa position changeait totalement ma verge s'enfonçait en elle et son bassin alors oscillait jusqu'à parvenir à un rythme frénétique. Je distinguais ses seins derrière le satin. Je percevais un râle contenu. Elle accédait à son orgasme. Humm mmm ! Fit-elle. Elle avait joui. J'activais mon bassin à mon tour et mon éjaculation transporta ma jouissance. Elle se posait sur moi, je l’accueillais.
Nous avions gardé nos hauts. Je déboutonnais son haut et je la dégageais de son satin. Je regardais son tatouage qui grimpait sur son bras. À son tour elle entreprenait d'enlever mon tee-shirt. Une fois fait, je l'attirais contre mon buste. Je sentais contre moi ses seins, son ventre et je profitais agréablement pendant un instant de cette douce chaleur humaine jusqu'à ce que mon sexe se rétracte et s'échappe de son vagin.
Satisfait, je l'embrassais avant de l'écarter pour ensuite la retourner. J'avais de la lecture en retard.
Je découvrais enfin les tatouages. Les fameux symboles chinois.
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