Les balbutiements de l'amour

- Par l'auteur HDS Malong -
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les balbutiements de l'amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Les balbutiements de l'amour
J'ai bientôt 60 ans et je bande encore. Et si je bande encore c'est parce que le sexe m'intéresse aussi. Je ne bande pas plus que la moyenne de mes contemporains. j'ai seulement la chance de n'avoir aucun problème de ce côté-là. C'est énorme.

Les stimulus pour arriver à cette réaction physique sont divers. Alors je gonfle. J'ai la trique. Je ne fais pas allusion juste à la gaule du matin avec laquelle j'entraîne parfois la couette au saut du lit et qui découvre ma compagne. Non, je bande dur.

Un des stimulus qui entraîne cette réaction physique, c'est la vision du sacro-saint clitoris de ces dames et par dérivé de la masturbation féminine. Leurs plaisirs me fascinent. Je l'explique logiquement. Ma sexualité s'est construite, entre autres, sur une fondation d'excitations faits de plusieurs expériences lors de mon adolescence et j'en ai en mémoire.


L'été 1975, j'avais 13 ans. Je suis parti en stage de voile pendant une semaine au lac du Der. C'était un camp d'ados. Le lac du Der-Chantecoq près de Troie est une superbe étendue d'eau avec une immense plage de sable où régnait une vraie atmosphère de vacances de bord de mer. Presque balnéaire.
En pratique, il y avait deux groupes d'ados chapeautés par des 'monos' plutôt sympathiques.
Il y avait le groupe des 13 à 17 ans et les 10 -13 ans dont je faisais partie. Tout ce joli monde dormait dans plusieurs tentes de type marabout kakis installer pour l'occasion dans un camping.

Nous partagions les repas. Je me souviens que l'organisation de la vie commune prenait du temps. La bouffe, la vaisselle, etc. Mais bon c'était contraignant et puis au final c'était plutôt bien dans l'ensemble. Tout le monde mettait la main à la pâte sans trop rechigner.

Les activités quant à elle étaient distinctement organisées par groupes. L'apprentissage de la voile était à la base assez simple et quelques heures sur le bord nous avait permis d'appréhender le béa ba de la navigation et de réaliser des aller-retours devant le club. Nous avions appris également à dessaler et remettre l'embarcation à flot. La grande difficulté était de sortir la voile de l'eau.
Pour moi, c'était une vraie émancipation. Les colonies des vacances d'étés précédentes m'avaient déjà bien formatées, aussi la vie loin de mes parents ne me posait aucuns soucis, aucun manque. De ce fait, c'était une vraie période bonheur.

Plusieurs jours c'étaient déjà écoulés et un de ces après midi ensoleillé de ce super mois de juillet nous quittions cette fois-ci le rivage chacun dans une petite embarcation. C'était des Optimistes. Des petits voiliers d'apprentissage aussi fuselés qu'une boîte d'allumettes, mais qui permettaient de vivre un semblant d'aventure.
Une jolie grappe de voiles multicolore suivait le zodiaque conduit par un 'mono' et ceci en direction inconnue. L'autre côté du lac.
Une bonne heure nous permis d'atteindre une rive sauvage. De loin lance semblait vaseuse et les côtés fortement envahie de roseaux. Il était prévu que nous débarquions là pour goûter et nous y arrivions.

Une majorité des jeunes skippers avaient bien visé l'ance en suivant le Zodiac. Je les voyaient déjà débarqués. Pour ma part, je m'étais un peu excentré. Un mauvais cap et je me retrouvais dans les roseaux. C''est donc bien dans la vase que je mis les pieds en descendant de mon embarcation. J'accrochais le voilier à un bouquet de roseaux. Je m'aperçus que Catherine avait suivi ma trajectoire. Elle se retrouvait à quelques mètres de moi. Elle n'était pas à son aise, alors je n'hésitais pas à l'aider. Nous rejoignions mollets boueux le groupe.
Après un morceau de quatre-quart et une barre de chocolat le départ du retour était donné. Chacun alors rejoint sa coque de noix. Les premières embarcations parties rapidement.
En gentleman j'aidais Catherine qui peinait à repartir. Je poussais son bateau pour le dégager. Rpapidemt je la rattrapais. Cependant je constatais qu'au loin les voiles de la tête du groupe avait pris une sérieuse avance.

La voile de Catherine était battue par le vent et son voilier n'avançait pas. Je me plaçais à son niveau pour lui donner quelques conseils. Le zodiaque nous avait rejoint. Le mono attrapa nos cordes d'amarrage et il nous tira quelques minutes pour tenter de réformer le groupe. Les plus intrépides avançaient en direction du club alors que Catherine galérait encore. Le zodiaque fit un allez-retour. Le mono conseillait sans grand succès . Je le rassurait et je restais à côté de la fille. Nous étions sur le retour.

Le vent baissa d'intensité puis tomba. Le temps s'écoulait mono semblait nous avoir oublié. Il n'y avait pas de stresse. J'apercevais le club.

Nous deux voiliers n'avancaient plus. Assez proche l'un de l'autre Catherine me lança sa corde d'amarrage pour être cette fois-ci coque à coque.

Attendant le vent, affalés dans nos bateaux respectifs le soleil nous cuissait. J'appliquais à plusieurs reprises de l'eau sur ma tête. Les gouttes sur mes lunettes ne m'empêchaient pas d'estimer les jambes de cette fille et le triangle de son entrecuisse que moulé si bien son maillot de bain. Je pouvais distinguer le dessins de sa vulve. Une érection me fit changer de position pour tenter de masquer mon état.
Je ne sais pas comment elle s'en était aperçue, puisque sans complexe elle lança,- mais tu bandes.
Je ne répondis pas. Cette découvert eue effet de faire disparaître ma dureté. Je répondais sans la regarder.
- Oui tu m'as fait bander.
Puis j'essayais de reprendre le peu de brise qui glissait jusqu'à nous.

Lorsque nous arrivions à bon port avec pas mal de retard, tout le monde était déjà parti. La plage s'était vidée. Les voiliers étaient même retournés, rangés.
Le 'mono' riait de notre mésaventure et même de nous avoir oublié. Il tira les deux bateaux pour les mettre au sec et consigna de bien ranger le matériel dans la cabane et de ramener la clef. Puis s'en alla rejoindre le groupe. Nous restions là livrés à nous même.

Bon, nous savions ce qu'il y avait à faire. Alors nous décrochions les voiles avant de les rouler et nous remisions les mâts et les quilles. Puis nous retournions les coques.

Dans la cabane sur un tas de gilets de sauvetages non rangés étaient au sol. Un matelas. Catherine s'était affalée dessus. Elle me tendit sa gourde et nous partagions un fond d'antésite.
Cette fille ne parlais pas beaucoup. Et durant ces derniers jours je ne l'avais pas particulièrement approchée. Là, sans gilet je découvrais ses formes.
Son visage ovale et sa blondeur faisait ressortir ses taches de rousseur vivement illuminées par un soleil descendant qui perçait l'unique fenêtre du cabanon.
Elle ne parlait toujours pas. Puis elle me pausa une série de questions assez banales.
Puis elle s'interrogeait. Elle voulait savoir si j'avais déjà embrassé une fille. Je répondais en retournant la question.
Elle m'avoua l'avoir déjà fait. Elle avait embrassé Bruno sur la bouche.
Bruno mon meilleur copain ? J'étais surpris par cet information. J'étais surtout étonné qu'il ne m’est rien dit. Pour autant je ne réagis pas. J'allais en avoir le cœur net. Je lui demanderais.

Sans aucune raison, Catherine déclarait me trouver assez mignon.
Waouh. Je n'étais pas préparé à ce genre d'aveu. J'étais un peu désarçonné. Elle me remerciait d'être resté auprès d'elle durant le retour.
Puis elle s'était levée et s'approchée de moi et pausa sa bouche sur la mienne sans prévenir. Elle introduit sa langue dans ma bouche. Alors, bien que sans expérience, je compris rapidement comment ça fonctionnait et nos langues s'emmelères délicieusement.
Comme la situation était propice à la découverte. Je n'hésitais pas à aller à la rencontre de ses seins. J'avais instantanément gonflé.
Elle arrêta de me galocher et mis sa main sur mon short pour serrer ma verge et me dit, - tu sais bander toi. Je t' ai vu tout à l'heure.
Je ne répondis rien mon état parlait de lui-même.

Elle était vraiment curieusement excitée. Elle me demanda si j'avais du poil. Je complétais sa question.
- Du poil à... la bite.
Je n'avais pas fini ma phrase qu'elle avait baissé mon short. J'avais la gaule à l'air. Elle s'était baissée .

Je la regardais m'observer. Elle palpa les testicules et repris ma verge à pleine main. Puis avoua, - j'avais jamais vu bander, dit-elle. Et elle repris, tu jutes?
Elle réalisait quelques va-et-vients. Mon excitation libérait une goûte de mucus de mon gland.
Elle dit, ha oui il y en a.
Je luibrifiait. J'étais super excité.

Elle me proposa de regarder ses seins. Elle enleva son haut et puis le bas de son maillot de bain. Ses seins étaient bien formés et elle était bien fournie en poils. Elle pris ma main et me guida vers son pubis. À ce moment-là je voulais rien louper de la scène.
Elle me proposa de la regarder. Alors qu'elle s'allongeait je m'accroupissait. Elle écarta ses grandes lèvres. Je n'en pouvais plus.
Je touchais avec mon doigt. La zone était suave. De l'autre main je me masturbais. C'est elle qui entrepris d'introduire mon doigt dans son vagin. je m'enfonçai dans une jolie corolle bien lubrifiée.

Si extraordinaire était cet intérieur, si chaud si douillé. J'avais remarqué à la croisée comme un petit bouton que je de lisser délicatement avec l'empreinte de mon pouce. J'incitais un peu à cet endroit. La fille ferma les yeux, soupira et puis me somma d'arrêter.

Elle était immobile respirait fort et tenait mon poignet qu'elle avait saisi pour l'éloigné de son sexe.
Je pensais lui avoir fait mal.
Je lui posais la question.
Non il en était rien. Je repris mon va et vient et rapidement j'ejaculais.
Elle récupérait alors du sperme avec ses doigts, l'estimait pour les essuyer sur un gilet.

Je remontais de mon short. Elle remis son maillot.
Nous finissions de ranger et fermer la cabane dans un grand silence.

Sur le chemin du retour, nous restions sans rien dire aussi.
Catherine s'arrêta devant l'entrée du camping pour dire.
- On ne dit rien à personne.
Je le promettait et je tenais ma promesse. Finalement, je n'ai rien demandé à Bruno au sujet de cette fille.

Deux jours plus tard le camp se terminait et chacun chez soi. Nous avions réussi à nous écarter une fois quelques minutes pour nous embrasser une fois. Elle y avait mis du cœur et moi une dernière fois la main dans sa culotte.
Je n'ai jamais revu cette fille. Je gardais longtemps une imageries assez net de ce moment sexualisé dans la cabane pour alimenter mes masturbations d'ados. J'ai attendu mes 17 ans pour avoir la nouvelle chance de voir un autre clitoris de près.

Les avis des lecteurs

Très agréable ☺️



Texte coquin : Les balbutiements de l'amour
Histoire sexe : Une rose rouge
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