Un vrai feu d'artifice
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un vrai feu d'artifice
Nous attendions le feu d’artifice depuis une quinzaine de minutes sur la place du village qui surplombe la rivière. Là, un orchestre interprétait un des derniers tubes sur lequel se trémoussait le public avec plus ou moins de rythme et d'entrain.
La petite et ma femme n'étaient pas insensibles à cette musique. Elles connaissaient les paroles et dansaient. Elles s'amusaient.
Personnellement j'avais les yeux rivés sur les deux belles danseuses du groupe. Deux magnifiques silhouettes qui ondulaient sous les lumières des projecteurs de couleurs.
Nous étions là dans cette ambiance populaire pour admirer le feu d'artifice qui se faisait prier.
Une forte détonation survient ce qui annonça le premier appel. Puis à quelques minutes d'intervalles vient une deuxième détonation, suivis d'une troisième. Notre patience allait être récompensée. Nous nous rapprochions du parapet où une foule assez dense s’était amassée.
Ma femme était là elle tenait la main de ma fille qui voulait se rapprocher au plus près du bord pour ne pas être gênée par la stature des adultes. Les filles négociaient sans que j’intervienne. Ma femme avait du mal à laisser la petite seule. Je ne me mêlais pas de la tractation.
L'orchestre se tut. Les lumières du village s'éteignirent. Nous étions brusquement plongés dans le noir et je perdais de vu les deux chanteuses.
Je me tournais pour me placer face à la rivière face au tir. Je me décalais dans la pénombre pour me mettre derrière ma femme et je lui attrapais les épaules.
A mon étonnement elle saisit mes hanches se frotta contre mon bas-ventre. Ce comportement ne manquait pas de me faire sourire puisqu'elle savait que dans le noir je pouvais devenir joueur.
Venant de l'autre rive des haut-parleurs avec un son médiocre présentait des excuses au nom de l'équipe technique et demanda encore quelques minutes de patience.
Je cherchais sans grand succès à localiser ma fille. J'imaginais qu'elle s'était faufilée au plus près du parapet pour mieux voir.
Plus étonnent était l'initiative de ma femme qui mit sa main sur mon ventre. Ce qui eut pour effet de me coller un peu plus à elle. À travers nos tissus je percevais les rondeurs de ces fesses.
Était-ce là le prélude à une fête du slip qui s'annonçait ce soir ?
Je vérifiais, le noir nous isolait. J'engageais ma main au niveau de sa ceinture où je rencontrais un ventre rétracté qui dégageait un passage. Il n'y avait alors aucun doute sur l'issu du jeu. Ma main retrouvait la zone pubienne et mon index glissa entre les grandes lèvres.
Elle était lubrifiées. J'inspectais avec douceur sa corolle. Madame quant à elle avait placé son bras entre nous et pressait ma verge gonflé.
Le contrôle et la vigilance de ce qui nous entourait m’avait aveuglé. Un détail m’avait échappé un moment. Il n’y avait pas de poil. Je comprenais alors le petit manège de madame. La coquine s'était donc épilée et j’avais le droit ici à la primeur de l’apparat. C’était vraiment une merveilleuse découverte.
Le message était clair. L’endroit etait insolite mais le plan Q était avancé. Je m'attardais délicatement sur le clitoris puis mon majeur s'engageait à l'entrée du vagin. Quant à elle sa main serrait davantage ma queue. J’oubliais un instant le monde autour. Je perdais mon visage dans sa chevelure et je me frayais un passage pour rejoindre sa nuque où j’happais sa peau avec mes lèvres.
Une détonation retentis et m’arracha de cet engagement erotique ment sensuel. Ce premier tir traça une ligne lumineuse dans mon champ de vision pour bientôt illuminer le ciel. Succédèrent d'autres fusées et ces lumières exposaient notre petit jeu auquel je mis fin. Je lâchais à regret ma prise mais ce moment divin était la promesse reporté d’un câlin. Cette pensée permettait d’étrangler ma frustration.
Une belle érection était cependant toujours présente. Ma main avait repris sa liberté pour applaudir. D’autres lumières multicolores remplissaient successivement le ciel dans un tonnerre d'explosions et les commentaires des badauds. J'adorais la valse des couleurs qui canalisait mon esprit et ce spectacle apaisait mon excitation.
Une réflexion haut en timbre me fit tourner la tête.
Je fut saisi de stupeur.
À quelques mètres de moi il y avait ma femme et ma fille. Elles étaient là plus loin sur le côté. Et la salve de fusées suivantes confirmaientt que ma femme et ma fille étaient plus loin.
Un trouble m'envahi.
Mais qui était cette femme qui se retournait pour me dire en souriant.
_ j'ai bien aimé.
J'étais profondément perturbé. Une question alors me vient à l’esprit. Avions-nous été vus?
Je ne savais pas quoi dire. Je restais pétrifié dernière cette femme contre laquelle j'étais finalement encore collé.
Je m’écartais tout en m'intéressant au spectacle et je m’interdisais de regarder autour de moi. J'avais l'impression que tous les regards étaient posés sur moi.
Ce feu d'artifice était magnifique, mais je ne pouvais m'empêcher de penser à cette confusion. C’était une sacrée méprise. Délicieuse et si excitante acte d'inattention.
Les tableaux de lumières qui se succédèrent mais ne réussir pas à ôter mon trouble.
Cette femme s'était simplement laissée explorer par un l'inconnu.
Un super bouquet final clôtura l'événement. Et les lumières du village reprirent pâlemment leur fonction. La femme me lâcha "bonsoir et merci, j’ai vraiment aimé cef eu d’artifice". Et elle passa sonc hemin. Je restais muet.
Les gens se dispersèrent et ce n’était pas sans réflexion que jer etrouvais ma tribu.
Le bal reprit et les filles allèrent danser. J’etais près de la buvette et là une bière s'imposait.
J'attendais que l'on me serve. Il y avait beaucoup de monde. A mes côtés, je ne sais comment mais s'était imposée la troublante spectatrice. C'était une blonde un peu ronde au regard foncé. A bien regarder elle avait la taille de ma femme. Ce détail semblait avoir aidé à me berner. À bien regarder il me semblait la connaître mais je ne s’avais pas de où.
J'avais envie de poser une multitude de questions pour finalement synthétiser et de lâcher à son oreille des banalités.
_ Vous êtes mariés ? Vous êtes seule?
_ Je l'ai été. Répondit-elle. Et...
Je la coupais pour me délivrer un poids.
_ je suis vraiment confus.
_ Pas moi. Ça m'a même fait du bien. Souriait elle.
_ Ca m'a perturbé, avouais-je.
_ Moi, je suis en vacances avec ma fille, plaisantât-elle. Elle sourit.
Manifestement elle n'était pas gênée. Elle reprit,_ Nous nous sommes rencontrés furtivement cette semaine au marché de nuit. Vous savez à ce stand de bermudas à fleurs. Vous vous souvenez, je suis rentré dans le semblant de cabine d’essayage alors que vous étiez sans rien en bas.
C’était ça. Je me souvenais de cette anecdote. Elle continua.
_ Ça fait d'ailleurs plusieurs jours que je fantasme sur vos attributs, vos fesses, tout ça fit elle en globalisant d'un geste en direction de ma taille. Et ce soir d'ailleurs c’est l’apothéose. Je n’ai pas fini de délirer.
_ Et ce soir ? C'était…
_ Le hasard. Coupa-telle.
Je récupérais une bière. Je voyais ma femme et ma fille venir vers la buvette.
_ Ce soir je suis sous surveillance. En famille, lui dis-je. Et je demandais, tu es à quel camping? Elle répondit mais je ne captais partiellement la réponse. De tout manière il y en avait qu’un dans les alentours.
Je lançais un, à plus tard et je me frayais un passage dans la densité humaine qui c’était formée devant l’estaminet en toile.
Plus loin, portant le verre de bière à la bouche, je découvrais que j'avais le doigt légèrement parfumé, mais pas à la bière.
Envoyé depuis mon téléphone Huawei
La petite et ma femme n'étaient pas insensibles à cette musique. Elles connaissaient les paroles et dansaient. Elles s'amusaient.
Personnellement j'avais les yeux rivés sur les deux belles danseuses du groupe. Deux magnifiques silhouettes qui ondulaient sous les lumières des projecteurs de couleurs.
Nous étions là dans cette ambiance populaire pour admirer le feu d'artifice qui se faisait prier.
Une forte détonation survient ce qui annonça le premier appel. Puis à quelques minutes d'intervalles vient une deuxième détonation, suivis d'une troisième. Notre patience allait être récompensée. Nous nous rapprochions du parapet où une foule assez dense s’était amassée.
Ma femme était là elle tenait la main de ma fille qui voulait se rapprocher au plus près du bord pour ne pas être gênée par la stature des adultes. Les filles négociaient sans que j’intervienne. Ma femme avait du mal à laisser la petite seule. Je ne me mêlais pas de la tractation.
L'orchestre se tut. Les lumières du village s'éteignirent. Nous étions brusquement plongés dans le noir et je perdais de vu les deux chanteuses.
Je me tournais pour me placer face à la rivière face au tir. Je me décalais dans la pénombre pour me mettre derrière ma femme et je lui attrapais les épaules.
A mon étonnement elle saisit mes hanches se frotta contre mon bas-ventre. Ce comportement ne manquait pas de me faire sourire puisqu'elle savait que dans le noir je pouvais devenir joueur.
Venant de l'autre rive des haut-parleurs avec un son médiocre présentait des excuses au nom de l'équipe technique et demanda encore quelques minutes de patience.
Je cherchais sans grand succès à localiser ma fille. J'imaginais qu'elle s'était faufilée au plus près du parapet pour mieux voir.
Plus étonnent était l'initiative de ma femme qui mit sa main sur mon ventre. Ce qui eut pour effet de me coller un peu plus à elle. À travers nos tissus je percevais les rondeurs de ces fesses.
Était-ce là le prélude à une fête du slip qui s'annonçait ce soir ?
Je vérifiais, le noir nous isolait. J'engageais ma main au niveau de sa ceinture où je rencontrais un ventre rétracté qui dégageait un passage. Il n'y avait alors aucun doute sur l'issu du jeu. Ma main retrouvait la zone pubienne et mon index glissa entre les grandes lèvres.
Elle était lubrifiées. J'inspectais avec douceur sa corolle. Madame quant à elle avait placé son bras entre nous et pressait ma verge gonflé.
Le contrôle et la vigilance de ce qui nous entourait m’avait aveuglé. Un détail m’avait échappé un moment. Il n’y avait pas de poil. Je comprenais alors le petit manège de madame. La coquine s'était donc épilée et j’avais le droit ici à la primeur de l’apparat. C’était vraiment une merveilleuse découverte.
Le message était clair. L’endroit etait insolite mais le plan Q était avancé. Je m'attardais délicatement sur le clitoris puis mon majeur s'engageait à l'entrée du vagin. Quant à elle sa main serrait davantage ma queue. J’oubliais un instant le monde autour. Je perdais mon visage dans sa chevelure et je me frayais un passage pour rejoindre sa nuque où j’happais sa peau avec mes lèvres.
Une détonation retentis et m’arracha de cet engagement erotique ment sensuel. Ce premier tir traça une ligne lumineuse dans mon champ de vision pour bientôt illuminer le ciel. Succédèrent d'autres fusées et ces lumières exposaient notre petit jeu auquel je mis fin. Je lâchais à regret ma prise mais ce moment divin était la promesse reporté d’un câlin. Cette pensée permettait d’étrangler ma frustration.
Une belle érection était cependant toujours présente. Ma main avait repris sa liberté pour applaudir. D’autres lumières multicolores remplissaient successivement le ciel dans un tonnerre d'explosions et les commentaires des badauds. J'adorais la valse des couleurs qui canalisait mon esprit et ce spectacle apaisait mon excitation.
Une réflexion haut en timbre me fit tourner la tête.
Je fut saisi de stupeur.
À quelques mètres de moi il y avait ma femme et ma fille. Elles étaient là plus loin sur le côté. Et la salve de fusées suivantes confirmaientt que ma femme et ma fille étaient plus loin.
Un trouble m'envahi.
Mais qui était cette femme qui se retournait pour me dire en souriant.
_ j'ai bien aimé.
J'étais profondément perturbé. Une question alors me vient à l’esprit. Avions-nous été vus?
Je ne savais pas quoi dire. Je restais pétrifié dernière cette femme contre laquelle j'étais finalement encore collé.
Je m’écartais tout en m'intéressant au spectacle et je m’interdisais de regarder autour de moi. J'avais l'impression que tous les regards étaient posés sur moi.
Ce feu d'artifice était magnifique, mais je ne pouvais m'empêcher de penser à cette confusion. C’était une sacrée méprise. Délicieuse et si excitante acte d'inattention.
Les tableaux de lumières qui se succédèrent mais ne réussir pas à ôter mon trouble.
Cette femme s'était simplement laissée explorer par un l'inconnu.
Un super bouquet final clôtura l'événement. Et les lumières du village reprirent pâlemment leur fonction. La femme me lâcha "bonsoir et merci, j’ai vraiment aimé cef eu d’artifice". Et elle passa sonc hemin. Je restais muet.
Les gens se dispersèrent et ce n’était pas sans réflexion que jer etrouvais ma tribu.
Le bal reprit et les filles allèrent danser. J’etais près de la buvette et là une bière s'imposait.
J'attendais que l'on me serve. Il y avait beaucoup de monde. A mes côtés, je ne sais comment mais s'était imposée la troublante spectatrice. C'était une blonde un peu ronde au regard foncé. A bien regarder elle avait la taille de ma femme. Ce détail semblait avoir aidé à me berner. À bien regarder il me semblait la connaître mais je ne s’avais pas de où.
J'avais envie de poser une multitude de questions pour finalement synthétiser et de lâcher à son oreille des banalités.
_ Vous êtes mariés ? Vous êtes seule?
_ Je l'ai été. Répondit-elle. Et...
Je la coupais pour me délivrer un poids.
_ je suis vraiment confus.
_ Pas moi. Ça m'a même fait du bien. Souriait elle.
_ Ca m'a perturbé, avouais-je.
_ Moi, je suis en vacances avec ma fille, plaisantât-elle. Elle sourit.
Manifestement elle n'était pas gênée. Elle reprit,_ Nous nous sommes rencontrés furtivement cette semaine au marché de nuit. Vous savez à ce stand de bermudas à fleurs. Vous vous souvenez, je suis rentré dans le semblant de cabine d’essayage alors que vous étiez sans rien en bas.
C’était ça. Je me souvenais de cette anecdote. Elle continua.
_ Ça fait d'ailleurs plusieurs jours que je fantasme sur vos attributs, vos fesses, tout ça fit elle en globalisant d'un geste en direction de ma taille. Et ce soir d'ailleurs c’est l’apothéose. Je n’ai pas fini de délirer.
_ Et ce soir ? C'était…
_ Le hasard. Coupa-telle.
Je récupérais une bière. Je voyais ma femme et ma fille venir vers la buvette.
_ Ce soir je suis sous surveillance. En famille, lui dis-je. Et je demandais, tu es à quel camping? Elle répondit mais je ne captais partiellement la réponse. De tout manière il y en avait qu’un dans les alentours.
Je lançais un, à plus tard et je me frayais un passage dans la densité humaine qui c’était formée devant l’estaminet en toile.
Plus loin, portant le verre de bière à la bouche, je découvrais que j'avais le doigt légèrement parfumé, mais pas à la bière.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sans addresse mail... Je ne peux pas vous contacter aimable muse.
Piloupilou33@gmx.fr
Piloupilou33@gmx.fr
Super le récit.
Et si j'étais votre muse pour d'autres histoires? Si oui, écrivez-moi.Bises
Et si j'étais votre muse pour d'autres histoires? Si oui, écrivez-moi.Bises
Belle expérience, excitant comme récit.
Vous avez de la chance que madame était partante.
Continuez.
Vous avez de la chance que madame était partante.
Continuez.