Madame Bad Lisa

- Par l'auteur HDS Malong -
Récit érotique écrit par Malong [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Madame Bad Lisa Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Madame Bad Lisa
Le courrier précisait que je devais payer l'amende rapidement. Je venais recevoir une belle prune ajouter, à ça l'inévitable retrait de points, et lorsque l'on dépasse les trente kilomètres heures au-dessus de la vitesse imposée c'est administrativement piquant. J'échappais à un retrait de permis.

Ma sœur m'avait remis la lettre et ne me demandais rien au sujet de cette réclamation. Peut-être avait-elle décidé de lâcher l'affaire, mais depuis deux semaines l'ambiance avec elle était plutôt pesante.

J'avais disparu un Week-end complet, une éclaircie sans donner de nouvelle qui ne passait pas. Elle avait vécu une vraie inquiétude. Aussi court ce tte disparition avait-elle pu être, elle avait tourmenté ma frangine et tres dubitative au sujet des explications de ma petite absence. Bon, Je m'étais embrouillé comme une gosse pris les doigts dans la confiture avec une histoire pas possible. Alors j'avais fini par dire que je faisais un peu ce que je voulais. J'étais majeur.

Cette absence ne collait pas avec ma vie si bien rangée. Que je vive ma vie, n'était pas un sujet. Je ne l'avais pas informé et surtout je n'avais pas été joignables, disparu des radars. Et puis cette chemise déchirée que je n'avais pas intégré à l'histoire. Cette carte Sim retrouvée plusieurs jours après par hasard dans la poche arrière de mon jean's. Enfin bref, je reconnais, tous ces indices faisaient tâche. Toutes ces explications mal ficelées, c'était suspicieux. J'avais eu beau dès mon retour essayé d'arrondir les angles, rien n'y faisait. Elle ne croyait pas à mes explications.

Elle avait toujours été hyper-protectrice depuis la disparition de nos parents et cet éclipse sans donner de nouvelle l'avait vraiment fait flipper.

Mon beauf quant à lui, s'en contre-foutait. Il m'aimait bien. Je vivais avec eux depuis deux ans. Il m'avait glissé en aparté que j'avais bien fait de prendre du bon- temps. Il était persuadé que ces deux jours sans donner de nouvelle était l'heureux aboutissement d'une sauvage partie de jambes en l'air improvisée.

Avec ce courrier je comprenais pourquoi ma kidnappeuse avait subtilisé mon permis de conduire.

J'avais eu une pulsion dans ce sous-sol de parking. J'étais monté dans cette superbe voiture sans y être invitée. Je me souviens que j'allais récupérer ma vieille Audi et en passant à côté de cette voiture aux lignes concept-car supercar à la James Bond, j'avais remarqué des portes ouvertes, côté conducteur et celle du coffre. Mais je n'avais pas vu de propriétaire. Aussi curieux que cela pourrait paraître, je ne suis pas cleptomane. Cette voiture était ouverte comme une jeune fille excitée. Ca se présentait telle une invitation à visiter. J'ai disjoncté. Sans cette prise de décision inconsidérée, cette réaction inconsciente je n'aurais peut-être jamais eu l'occasion de voir ce modèle d'aussi près. Je rentrais la tête la première dans cette beauté et je prenais place dans cette magnifique voiture à deux sièges baquets qui sentaient le cuir, le neuf, l'excellence du choix des produits de la bonne manufacture. Je m'installais comme on pauserait langoureusement sa langue sur un sexe proore. Je plaçais mes mains sur le volant comme sur les hanches d'une femme pour mieux appréhender la monture. Un pur moment de bonheur.

Un bonheur qui s'évaporait lorsque ma nuque ressentie un point froid, quelque chose d'inhabituellement froid. Le bruit métallique d'un mécanisme m'incitait à pivoter la tête avec précaution pour découvrir ce que je redoutais. C'était un canon. C'était bien un pistolet qui me ramenait violemment à la réalité accompagnée par un,
- Qu'est-ce que tu fais du con ?

Merde ! Ça prenait une tournure à laquelle je ne m'attendais pas.

- Heu heu je vais vous expliquer.

- Heu heu heu. Allez, descend de là pauvre nase.

J'exécutais l'ordre. Je libérais le siège conducteur les deux mains en l'air.

C'était une jeune femme les cheveux tirés en arrière qui pointait un colt sur moi.
Si à première vue sin visage angélique présentait bien, son regard quant à lui ne présageait rien de bon.
J'étais pétrifié. J'estimais les solutions échappatoires. Pas grand chose pouvait m'aider. Je balayais l'idée d'une tentative de séduction qui se serait certainement soldée par un sourire tellement nié que ce petit jeu n'aurait certainement pas non plus modifiée la vue d'ensemble de l'évènement. Là, j'étais dans la mouise.

- Je vais appeler les flics, dit elle.

- non, non je ne suis pas un voleur, je suis qu'un pationné de voiture.

Et là, en guise de bonne foi, je déroule une bribe de connaissances techniques de cette magnifique bagnole.

- Aston Martin DB11, V8, 0/100 km/heure en 4 secondes, une bombe.

- Et alors du gland, ça te donne le droit de voler ma voiture ?

-heu, non ! je ne voulais pas la voler... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Je voulais la voir de près. Je m'excuse. C'est un bel objet, c'est beau comme...

- Je ne te crois pas roublard, coupait elle.

Elle reprit et semblait amusée,
- c'est beau comme quoi ?

Les mains un peu moins haut le désordre intellectuel précipitais une réponse que je regrettais aussitôt...

- Comme une belle chatte, heu non je veux dire un chat... ton. Un tigre un tigre...

- ha wouai, comme une chatte... Tu as un permis de conduire? Demanda-t-elle.

J'acquiesçais.

- Montre-moi.

J'obéis, le canon était toujours pointé sur moi. Elle consulta le document. Sans me le rendre elle dit,
- Alors, comme ça tu aimes les belles voitures. Prends le volant, Grégoire M., mais je t'appellerai Ducon. On va voir ce que tu vaux.... Hey! Tu essaies par n'importe quels moyens de me le faire à l'envers, je t'expose un genou. Tu abîmes mon jouet, un genou. Tu as compris ?

J'acquiesçais. Elle m'expliquait succinctement et rapidement les commandes de la voiture.

La boîte de vitesses commande électronique automatique à huit rapports ne compliquaient pas la conduite et je me senti très rapidement à l'aise avec cette petite bombes. Sorti du parking la femme me place le flingue au niveau de ma bite et me dit
- prends l'autoroute, la vitesse va me faire vibrer. C'était de la puissance du moteur dont il fallait se méfier.

Accélère... Elle mettait la pression. Il fallait que j'aille plus vite et encore plus vite. Je slalomais, piquais quelques belles pointes de vitesses. Un vrai plaisir. Tout en conduiant je me demandais cependant comment tout ceci allait bien pouvoir finir.
Je tentais d'établir une relation plus amicale en demandant son prénom. Je recevais alors une réponse sans teinte.

- Toi c'est Ducon et moi c'est Madame. Tu as compris Ducon?

Je roulais sans tenir compte de la signalisation.

Au téléphone, elle demandais à quelqu'un de l'a rejoindre avec de quoi s'amuser.

Nous étions à une heures de chez moi où nous rentrions dans un parking d'un hôtel. L'endroit semblait vide, aucune voiture. Elle me demandait de la devancer toujours sous la menace de son arme jusqu'à une chambre où une valise était ouverte sur un maxi-bed et vu l'espace de la pièce c'était une Suite.
L'histoire prenait une tournure qui ne me déplaisait pas. Je me détendais. Une idée follement sexuelle me traversa l'esprit lorsqu'une autre jolie jeune femme arrivait par l'arrière.

Après s'être mangé mutuellement la langue Madame dit en parlant de moi.

- Regarde chérie ce qui voulait voler ma voiture. Il se dit spécialiste en voitures de luxes. Bon, il conduit bien. Je te présente Ducon qui va gentillement se déshabillé que l'on puisse admirer son pot d'echappement.
Elles éclataient de rire.

Madame m'ordonnait de ne foutre à poil. Je ne discutais pas l'ordre. Pourtant, elle attrapait par le haut de la ligne de boutons et tira brutalement. Sricht ! Le tissu avait cédé. J'enlevais le reste de mes fringues et une fois en habit d'Adam mais sans la feuille de vigne, Madame sorties des menottes de la valise qu'elle me passa dans le dos. Plus rien ne me surprenait. Je me laissais faire. Même lorsque toutes les deux femmes me ligotaient sur une chaise face au lit à l'aide d'une corde.

Madame se baissa. Elle m'enleva les chaussettes que j'avais gardées aux pieds, en soulignant,
- A poil j'ai dit et en plus tes chaussettes sont moches.

Comme la position l'avait rapproché d'une queue molle elle n'hésitait pas à jouer.

- Chérie ! Regarde-moi ce bout de mou. C'est juste bon pour un chat ça, pas pour une chatte. Elle souleveva mes testicules et approcha sa bouche et goba mon gland. Une putain de suçion courte que je ne pu m'empêcher de réagir avec un- C'est tout...

Elle se releva aussitôt. Pour dire,
- Tu es propre maintenant et nous on va se préparer Ducon. Elle constata mon érection, alors elle reprit,
- Regardes chérie, enfin quelqus chose de consistant et elles disparurent de mon champ de vision.

Fixé tel un saussison sur cette foutue chaise mon sexe avait repris une taille normale. Sans pouvoir déterminer l'endroit j'entendais rire les deux filles. Je supposais que c'était la salle de bain. Le temps s'écoulait et mes liens me gênaient de plus en plus. Alors je me mis à gueuler. Je demandais de l'aide.

Madame me tapait l'épaule. Elle avait le flingue à la main. Elle me rappelait que je pouvais perdre un genou en me comportant de cette manière.

Elle était en body top sexy tout en transparent qui sublimait délicatement son corps. Ouvert sur les seins une fine dentelle les entourait et les mettaient en valeur. Un délire visuel.
La culotte possédait des froufrous qui se posaient sur ses hanches juste ce qu'il fallait pour mettre un peu de volume. La coquine. Je ne résistais pas. C'était fatal, je bandais.

Je répondais cependant à ce rappel à l'ordre par:
- Je ne suis pas à l'aise et j'ai soif.

- les voleurs je les attache, dit-elle, tout en tamisant la piece. Puis enfin elle m'abreuva avec une bouteille eau. Elle m'assistait tel un enfant pour boire au goulot et son autre main effleurait ma verge avec perversion.

Chérie, l'autre femme s'était allongée sur le lit. Habillée similairement. Un costume aussi sexy que celui de Madame.
J'avais fini de boire. Avec un sourire narquois Madame m'informait que dans un quart d'heure mes liens ne seraient plus un souci. Elle s'approcha de mon visage et sa langue remonta de mon menton jusqu'au coin de mes lèvres. C'était plutôt sensuel. J'essayais d'attraper sa langue mais elle m'échappa.
Je comprenais que je n'avais pas bu que de l'eau ou que mes liens allaient êtres bientôt enlevées. Je ne pausais pas de question. De toute façon je subissait. Je m'abandonnais à ma condition.

Lje voyais les femmes s'enfilaient plusieurs mignonnettes d'alcools. Elles riaient, se caressaient.

Chérie s'approchait de moi pour la première fois et me proposa un petit flacon de whisky. Elle était très belle aussi. Pleine de douceur. Elle se frotta à moi, m'effleurait avec ses froufrous pour enfin poser sa vulve sur un de mes genoux. Je sentais bien la chaleur de cette zone. Elle me semblait même mouillée.
Elle introduisait le petit goulot dans ma bouche où se déversait alors l'alcool. Chérie se relevait sans manquer de frôler mon visage avec ses seins pour trop vite retourner auprès de Madame qui l'enlaça. Madame lui pétri les les seins. Et une séance de doigtage me laissait imaginer la douceur de la muqueuse. Elles ne se lâchaient plus, et plus ca allait et plus elles se léchaient.

Elles perdaient bientôt l'une et l'autre leurs bodys.Et moi j'étais là avec une belle trique sans rien pouvoir faire.
Ah si, je pouvais me caresser les fesses. La corde devenait finalement fort agréable puisqu'une partie touchait l'un de mes tétons ce qui me donnait des sensations éroticoporno-psychedeliques. Et cette partie de doigtage. Ho... Les salopes. Ces belles courbes. Ces belles femmes.

Madame était un très joli et un très habile mange minou puisque Chérie venait d'avoir un orgasme.

Je me délectais de cette scène de ce moment. J'aimais de plus en plus mes fesses.

Cherie venait de mettre une ceinture... Équipée d'un énorme gode. Elle me dit,
- ça te plairait que je te l'enfonce dans ton petit cul?

Je déclinais la proposition. Elle passa cependant l'engin sous mon nez, puis le compara avec mon membre et fini par dire,
- Tu penseras à faire des exercices à ta bistouquette, regardes comme elle est toute petite à côté.

Éclats de rires des filles. Là, je ris aussi puisque pensais-je, je pouvais faire tous les exercices du monde jamais ma bite ne deviendrait jamais noir.

Cherie me fît boire encore une mignonnette d'alcool et en prime elle me caressa doucement les parties génitales avant d'aller prendre Madame par derrière.

Sous l'assaut de Chérie Madame se mis rapidement à gémir. Je trouvais cet acte illogique. J'étais là avec une vraie queue et elle ne s'en servait pas. Du pur gaspillage. Cependant ces deux corps étaient beaux dans cette mouvance. Ça m'excitais. L'oscillation mécanique transformait le râle en un joli chant. Je ne pouvais m'empêcher de les interpeller- hey les filles ! je peux le faire ca. Mais les m'ignoraient. Je restais seul avec une dureté de plus en plus préssante.

Chérie donnait des coups de butoirs et Madame jouissait de plus en plus jusqu'à ce que sa voix exprime le relâchement total de son esprit.

J'en voulais aussi du cul. De la chatte. Du frisson. Trop c'était trop. J'allais les défoncer ces coquines. Je m'élançais...
Je me défoncais surtout la gueule sur la moquette. J'avais oublié que j'étais attaché. Je restais un moment ainsi.

- Bel effort du candidat, dit Madame en remettant avec l'aide de Chérie la chaise sur ses pieds.
Et s'adressa ensuite à Cherie,
- on dirait qu'il est mûre...Elle me détacha.
J'avais une putain de soif. J'attrapais et bu une encore bouteille d'eau. Madame me suggéra d'y aller doucement avec ça. Hein ? Avec ça quoi?

J'entrainais mes kidnappeuses sur le lit et je m'enfonçaisdans Chérie sans préliminaire. Je l'abandonnais rapidement pour aller laper Madame. Je voulais tout. Tout leur faire. J'ouvrais au maximum le compas des jambes de Madame et je m'approchais d'un excitant ticket de métro. À mon tour je remontais une partie d'elle avec ma langue. De l'anus en passant par des lèvres lubrifiées j'allais à la rencontre de son clitoris. Je l'a goutais. Un vrai goinfre je l'a suçais un moment.
Je me plaçais alors sur le dos, sa petite chatte retrouvait ma bouche. Elle en voulais la garce, alors que ma verge s'enfonçait une nouvelle fois dans le fourreau de Cherie qui venait de me chevauchée. C'était chaud, c'était doux, c'était lubrifié.

Je m'abreuvais de la ciprine de Madame pendant que les deux filles s'embrassaient, se carressaient. C'était tellement bon...
Puis le grand trouble m'envahit.

Trou noir.

Je me réveillais avec un super mal de crane allongé comme un Clodos sur un banc face à la gare Aix en Provence. À ce moment-là, le soleil n'était pas mon ami. Je préférais sa compagne l'ombre.

Mais qu'est ce que je foutais là? Il fallut un bon moment pour reconstruire le puzzle de mon aventure.
J'étais déposé.

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Texte coquin : Madame Bad Lisa
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