FACE : L'arrivée à l'hôtel
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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FACE : L'arrivée à l'hôtel
Nous nous regardons dans les yeux, à genoux chacun d'un côté de la table basse. La pièce est silencieuse, pas un craquement de bois, pas une mouche. Au milieu de la table, à égale distance, une simple pièce de 2€. Nos deux regards se posent en même temps sur l'objet avec une intensité qu'on lui prête rarement.
“Tu te dégonfles ? “ il me demande, cherchant de manière flagrante une porte de sortie.
“Pas du tout, si tu craques il va falloir l’assumer.” Je lui répond, pas dupe.
“pile ou face ?” dit-il simplement, en posant sa main sur la pièce.
J’hésite bien plus qu'il ne l'aurait fallu sur une question aussi simple.
“Face”
Il prend la pièce, la pose en équilibre sur son pouce replié et marque une pause solennelle. On se regarde, on hoche la tête. Plus la peine de repousser le moment fatidique. Il détend le pouce d'un coup, éjectant le cylindre dans les airs. Celui-ci tourbillonne en l'air, s'abat d'un coup sec, tourne un peu et tombe sur le côté…
FACE.
Il me regarde avec ce qu'il pense être son sourire enjôleur.
“En trois manches ?”
Je pouffe, puis me ressaisi avant de lui envoyer une moue réprobatrice.
“Je vais faire comme si je n'avais rien entendu, ça vaut mieux pour toi je pense…”
Il hausse les épaules, me lance un clin d'œil et un :
Ça valait le coup d'essayer ! Va chercher le petit, je prépare le repas ce soir.”
Je sais à quel point il aime quand je le domine, au fond il doit être bien content d'avoir perdu…
2 SEMAINES PLUS TARD
Je trace vers la réception en arrivant dans l’hôtel, d’un pas décidé. Il me suit comme il peut, en tirant mes 2 grosses valises. Le pauvre, elles doivent peser une tonne.
“Bonjour” nous accueil la réceptionniste, “bienvenu au clos, puis-je prendre le nom utilisé pour la réservation ?”
Je l'observe une seconde, en m'attardant sur le tatouage tribal qui dépassait de son décolleté. Elle me posa une question au sujet d'un service de couverture, j'acquiesce sans réfléchir. ce tatouage devait s'enrouler autour de ses seins, peut-être même descendre vers son entre-jambes… C'est fou, je n'avais jamais été attiré par les femmes avant. Avant que nous ne pimentions notre vie sexuelle avec ces jeux je veux dire. Techniquement, je ne suis toujours pas attirée par les femmes. Mais il m'arrive plutôt de les envisager comme partie intégrante de nos jeux, sans être une finalité… et sans avoir jusque là franchi le pas.
Bref, je reprends mes esprits avant qu'il ai eu le temps de reprendre son souffle et nous filons vers la chambre.
J'ouvre la porte et le laisse passer devant. Il traverse le couloir, passe la salle de bain et arrive dans la pièce principale. Elle est composée d'un jacuzzi, d'une cheminée et de…
“A poil.”
Mon ton sec claque dans l'air comme un coup de fouet. Il se retourne, choqué par la rapidité avec laquelle la situation évolue. Je l'observe avec un air vaguement agacé, les mains sur les hanches. Oui la chambre est magnifique mais on s'en doutait, on n'est pas non plus là pour faire du tourisme !
Il reprit ses esprits et commença à se dévêtir. Très rapidement, il ne resta plus que son caleçon. Il marqua un temps d'arrêt, comme si le bout de tissu était son ultime protection contre les sévices qu'il allait subir. Puis, il finit par le faire glisser au sol comme le reste. Je le regardais d'un air satisfait.
“ Mets-toi à genou, les mains croisées dans le dos.”
Il obtempéra, toujours en soutenant mon regard. Je glissais ma main dans la poche avant de mon sac pour en sortir un foulard. Je m'agenouille devant lui, lui envoya un sourire jovial qu'il me rendit, puis l’embrassa du bout des lèvres.
“A tout à l'heure mon chéri!”
Puis je le plongeais dans le noir.
Je me relevais : il était prêt pour la suite des événements.
Mais c'était quoi la suite des événements exactement ? 2 semaines pour s'organiser, c'était bien trop long. j'avais eu le temps d'esquisser 10 plans différents, sans jamais réussir à en figer un.
Je suis sûr que si c'était lui qui avait gagné, il serait arrivé avec un plan réglé au quart d'heure bien ficelé. Moi, j'avais rempli 2 valises de tous les jouets possibles et imaginables, en stock ou achetés pour l'occasion.
J'ouvrais une desdites valises à la recherche de l'inspiration.
De fil en aiguille, d'objets en objets, je finis par esquisser une amorce de plan. Je prenais mon temps, l'attente étant un élément chargé de sensualité en soi. C'est ce que témoignait son érection qui avait commencé quelques minutes après avoir été plongé dans le noir.
Je plonge dans le sac et me mets au travail. Car oui, mon embryon de projet nécessite une préparation qui s'apparente à du BTP. Je fixe les axes de la structure entre eux à l'aide d’une clé allen, dans un grand fracas métallique. Je note avec le sourire que son expression se fait de plus en plus anxieuse et que son sexe a nettement dégonflé… ça marche dans les 2 sens l’anticipation apparemment !
J’en profite pour faire une pause dans mes préparations et dérouler l’étape suivante, qui nécessite un afflux sanguin limité dans ses corps caverneux.
Il tend l’oreille quand le fracas s’arrête et pousse un petit cri quand je lui tire soudainement les bourses. Ne lui laissant pas le temps de retrouver son excitation inéluctable quand mes mains se posent sur son corps, j'enferme le tout dans un anneau avant de lui passer la gaine métallique de taille réduite.
Avant même que le clic du cadenas ai retenti, je note que son membre avait envahi sa prison et que sa peau ressortait entre chaque barreau de de sa cage.
Ceci fait, je retourne à mes préparatifs.
5 minutes après, je me relève fièrement devant ma construction. La structure est composée d'une barre principale au sol, terminée de chaque côté par un axe perpendiculaire. l’ensemble de taille ajustable, les 4 embouts étaient équipés d'anneaux avec pour chacun un mousqueton épais. D'un côté, une barre ronde perpendiculaire au plan du sol et terminée par un anneau venait donner sa 3ème dimension à l'édifice.
L'objectif de tout ça, vous l'aurez compris, est d'immobiliser la victime à 4 pattes sans aucun moyen de se libérer, de bouger ou de protéger la moindre parcelle de son corps.
Il tendait l'oreille, alerté par le silence qui venait d'envahir la pièce. Je pris donc mon temps et, au lieu commencer directement les hostilités, enlevait mon haut et mon soutien-gorge. Après m'être agitée pendant 10min, un mince filet de transpiration faisait luire ma poitrine.
Je me glissais très discrètement derrière lui à genou. Il regardait dans toutes les directions, à la recherche du moindre bruit qui lui permettrait de me trouver dans la pièce.
Je collais subitement ma poitrine dans son dos en m'avançant et vint glisser mon visage dans son cou. Il se mit à ronronner de plaisir… j'embrassais délicatement son cou en baladant mes mains sur son buste, lui murmurant au creux de l'oreille qu'on allait passer une soirée merveilleuse. Il mit spontanément ses mains immobilisées sagement dans son dos à profit en frottant mon entre-jambe à travers mon jean. Je choisis d'ignorer pour l'instant et me contentais de lui mordiller le lobe, de glisser ma langue dans son oreille… sa queue semblait prête à exploser de sa cage.
Puis, je me redressais sur mes genoux et lui fit balancer la tête en arrière en lui tirant les cheveux. Je le surplombait, lui étant assis sur ses talons.
Je t’ai autorisé à me toucher?
Je lui lançais d’un ton glacial. Il haletait, la bouche entrouverte. J’eu subitement une envie nouvelle, rabaissante, hautaine : je me penchais sur lui et lui crachais au visage. Il en fut choqué, j'en fus considérablement excitée. Ma bave coulait du coin de ses lèvres… indécent.
Je profitais de son état d’hébêtement pour lui enfiler des bracelets en cuir molletonnés aux poignets et aux chevilles, ainsi qu'un collier identique qui serrait légèrement le cou.
“A 4 pattes !”
Il était prêt lorsque l'ordre claqua dans l'air. Il avança jusqu'à la structure, tiqua lorsqu'il passa la 1ère barre et s'immobilisa lorsque je tirai sur son collier.
Après quelques secondes, il était solidement amarré. Ses 4 menottes l'immobilisaient au sol, et son collier était fixé à un anneau. Pour tester la solidité de l'ensemble, j'envoyais une série de claques aussi fort que possible sur ses fesses exposées. Il chouina, se débattit, mais impossible de bouger d'un millimètre.
Il était en position… ne manquaient que quelques accessoires ! Je sélectionnais l'éventail le plus large possible et commençais à l'équiper. D'abord, 2 pinces à tétons avec poids aimantés. Il grimaça. Puis un petit harnais lesté autour de ses testicules pour les tirer vers le bas. Il grogna plus franchement.
“Ouvre la bouche”
Toujours le même ton froid et dominateur. Il obtempéra, pensant être bâillonné pour parfaire le tout. Mais en lieu et place d’un bâillon, c'est la boule métallique d'un plug de taille considérable qui força difficilement ses lèvres.
“Lèche bien mon chéri, c'est tout le lubrifiant auquel tu auras droit ce soir !”
Il s'appliquait autant que possible mais vu la taille du plug, sa marge de manœuvre était assez limitée. Lorsque je trouvais la quantité de bave honorable je sortis la boule et la présenta à ses fesses. Je décidais finalement d'être magnanime et cracha généreusement sur sa rondelle, cadeau de la maison. Il gémit, probablement torturé par l'humiliation. Je positionnais le plug à l’entrée et appliqua un effort constant sur sa base. Je sentis son corps se contracter, entendis ses dents grincer… il allait falloir que je remplisse cette bouche, la douleur ne faisait après tout que commencer et je ne voulais pas qu'il se blesse. Après une minute d'effort constant, la boule se fit soudainement avaler par son cul. Il poussa un petit cri de douleur. Je jouais un peu avec le plug, histoire de pousser encore un peu l’humiliation.
On y était presque. Je me positionnais devant lui. Sa bouche était ouverte, ses traits étaient crispés, quelques larmes avaient humidifiées son masque. Il y a quelques mois, cette vision m’aurait immédiatement fait tout arrêter.
Mais plus maintenant. Je savais maintenant l'état de repli sur lui-même qu’il était en train d'atteindre, la perfection de la jouissance physique qui découlait de cet état psychique d’abandon. Je savais que ma vision, ou plutôt celle reconstruite pas son imaginaire de masochiste aux yeux bandés, nourrirait ses fantasmes pendant des semaines.
Je m'agenouillais face à lui et lui susurra des mots réconfortants. Je savais que l’alternance entre position forte et position faible favorisait son abandon dans cet état de soumission total dont tout dépendait.
“ je suis fier de toi mon chéri, on va passer une soirée merveilleuse…”
Je lui caressais les cheveux doucement, comme il aimait tant. Il baissa instinctivement sa garde…
C'est à ce moment là que la première claque résonna dans la pièce. Pas forte, l'objectif n'était pas la douleur en soit, mais le déstabilisant complètement. Je lui caressais maintenant la joue qui avait rosi, puis égalisa les couleurs en envoyant une deuxième du plat de la main sur l'autre joue. Il essaya de parer, mais l'anneau attaché à son collier lui empêchait de détourner la tête.
Il ouvrit la bouche, haletant. J'en profitais pour lui lécher l'intérieur de la bouche, du palais jusqu'à la lèvres supérieure, de manière obsène. Lorsqu’il se pencha en avant pour participer au baiser, je lui crachais dans la bouche.
Il resta en place, hébété, ne sachant plus comment réagir. Chacune de ses réactions jusqu’ici avait participé à sa douleur, son humiliation.
Il était temps de le laisser mariner un peu. Je saisis un penis gag, un bâillon avec une forme vaguement phallique, et l'enfonçait dans sa bouche. Celui-ci était de taille considérable, si bien qu’il aurait du mal à s’y habitué. Je laissais volontairement un peu de marge, ne le serrant pas à fond.
Lorsqu’il le combattait, le bâillon ressortait à moitié de sa bouche avant d’être bloqué par la sangle. Mais ça demandait un effort, et ça me laissait de quoi jouer.
Je décidais donc d’installer un ultime engin de torture pour tester le concept. Et pas des moindres…
La cage que j’avais mis en place avait une particularité. On pouvait y installer une tige qui s’enfoncait dans l’urètre et se vissait à l’embout… l’ultime torture, encore inconnue pour lui.
Je lubrifiais légèrement la tige et la présenta à l’entrée de son sexe. Il grogna dans son bâillon, probablement de peur de ce que j'avais prévu… et à raison.
Lorsque je passais la première résistance et enfonçait la tige qui devait faire la taille de son penis au repos, il cria. Pas chounia, pas grogna, mais bien cria. Je tentais donc le tout pour le tout et, pendant qu'une main enfonçait inexorablement la tige source de sa douleur, l’autre saisit la sangle de son bâillon comme une poignée à l'arrière du crâne et tira. L’effet fut immédiat : le penis gag força ses résistances et s'enfonça intégralement dans sa gorge, allant jusqu’à créer un renflement visible au niveau de son collier. Plus un son ne passe. 5 secondes plus tard, je vissais la tige qui était entrée intégralement.
Lorsque la tige commença à tourner, il se rua dans sa prison dans un grand fracas métallique. Heureusement, tout tenait parfaitement. Une fois tout en place, je gardais le bâillon au fond de sa gorge quelques secondes encore impressionnée par la manière qu’il avait de s’enfoncer aussi loin.
Puis je relâchais tout. Il expulsa le bâillon autant que possible, toussa, laissa s’échapper un immense filet de bave, tenta de reprendre sa salive, échoua, laissa le penis en latex s’enfoncer accidentellement au passage, le repoussa à nouveau, toussa à nouveau.
Il essayait tant bien que mal de reprendre de grandes goulées d’air difficilement. Il pleurait. La bave s'écoulent le long de son menton.
Je me laissais attendrir, lui caressait les cheveux, lui répétait qu’on y était presque et que j'étais si fière…
Je flattais sa croupe d'une main comme on le ferait avec un cheval, pendant que l'autre jouait à étaler la bave qui coulait le long de son menton partout sur son corps.
Après une à deux minutes, il arriva à se calmer… relativement. Son souffle devint plus régulier, il laissa aller sa tête contre ma main, toujours en pleurant doucement dans son masque. Puis les pleurs s'arrêtèrent, laissant place à une légère complainte en continue.
Bravo mon chéri, tu as très bien tenu… tu peux être fier !”
Je me relevais devant lui, satisfaite de son état. Il semblait attendre quelque chose… il était en train d’ignorer à nouveau cette règle évidente de mon sadisme de formation : un réconfort laisse toujours place à une nouvelle torture.
“Maintenant que tu as l’air d’apprécier ta situation, je vais aller prendre une petite douche!”
Il se mit à se ruer dans sa prison. Apparemment, sa situation n'était pas devenue confortable pour autant. Je refixais une de ses pinces qu’il avait été arrachée, remis les poids qui étaient tombés et en ajouta quelques-uns pour la forme. Puis je lui fis un bisou sur la joue et lui chuchota dans l’oreille :
A tout à l'heure mon cœur, reposes toi bien…”
Je glissais ma langue dans son oreille un moment, avant de le retirer et d'installer un casque antibruit sur ses oreilles pour le laisser enfermé dans sa douleur. J’allais partir vers la salle de bain quand je pensais à un dernier détail : je connectais les câbles d’un petit boîtier à la base de son plug et de sa cage. Lorsqu’il senti mes mains sur ses testicules, il se lança dans une longue supplication incompréhensible dans son bâillon. il était dans un état de panique évident, négociait, suppliait en essayant de bouger sa tête de gauche à droite pour m'alerter.
Je tirais à nouveau sur la sangle pour lui faire comprendre que toute négociation était vaine. Alors que le bâillon s'enfonçait à nouveau au fond de sa gorge, j'allumais le boîtier qui commença à envoyer des impulsions électriques de manière aléatoire dans son fondement et dans son urètre.
La dernière chose que j’entendis en fermant la porte de la salle de bain était les pleurs de mon masochiste de mari…
À suivre, dans cet univers où dans un autre…
“Tu te dégonfles ? “ il me demande, cherchant de manière flagrante une porte de sortie.
“Pas du tout, si tu craques il va falloir l’assumer.” Je lui répond, pas dupe.
“pile ou face ?” dit-il simplement, en posant sa main sur la pièce.
J’hésite bien plus qu'il ne l'aurait fallu sur une question aussi simple.
“Face”
Il prend la pièce, la pose en équilibre sur son pouce replié et marque une pause solennelle. On se regarde, on hoche la tête. Plus la peine de repousser le moment fatidique. Il détend le pouce d'un coup, éjectant le cylindre dans les airs. Celui-ci tourbillonne en l'air, s'abat d'un coup sec, tourne un peu et tombe sur le côté…
FACE.
Il me regarde avec ce qu'il pense être son sourire enjôleur.
“En trois manches ?”
Je pouffe, puis me ressaisi avant de lui envoyer une moue réprobatrice.
“Je vais faire comme si je n'avais rien entendu, ça vaut mieux pour toi je pense…”
Il hausse les épaules, me lance un clin d'œil et un :
Ça valait le coup d'essayer ! Va chercher le petit, je prépare le repas ce soir.”
Je sais à quel point il aime quand je le domine, au fond il doit être bien content d'avoir perdu…
2 SEMAINES PLUS TARD
Je trace vers la réception en arrivant dans l’hôtel, d’un pas décidé. Il me suit comme il peut, en tirant mes 2 grosses valises. Le pauvre, elles doivent peser une tonne.
“Bonjour” nous accueil la réceptionniste, “bienvenu au clos, puis-je prendre le nom utilisé pour la réservation ?”
Je l'observe une seconde, en m'attardant sur le tatouage tribal qui dépassait de son décolleté. Elle me posa une question au sujet d'un service de couverture, j'acquiesce sans réfléchir. ce tatouage devait s'enrouler autour de ses seins, peut-être même descendre vers son entre-jambes… C'est fou, je n'avais jamais été attiré par les femmes avant. Avant que nous ne pimentions notre vie sexuelle avec ces jeux je veux dire. Techniquement, je ne suis toujours pas attirée par les femmes. Mais il m'arrive plutôt de les envisager comme partie intégrante de nos jeux, sans être une finalité… et sans avoir jusque là franchi le pas.
Bref, je reprends mes esprits avant qu'il ai eu le temps de reprendre son souffle et nous filons vers la chambre.
J'ouvre la porte et le laisse passer devant. Il traverse le couloir, passe la salle de bain et arrive dans la pièce principale. Elle est composée d'un jacuzzi, d'une cheminée et de…
“A poil.”
Mon ton sec claque dans l'air comme un coup de fouet. Il se retourne, choqué par la rapidité avec laquelle la situation évolue. Je l'observe avec un air vaguement agacé, les mains sur les hanches. Oui la chambre est magnifique mais on s'en doutait, on n'est pas non plus là pour faire du tourisme !
Il reprit ses esprits et commença à se dévêtir. Très rapidement, il ne resta plus que son caleçon. Il marqua un temps d'arrêt, comme si le bout de tissu était son ultime protection contre les sévices qu'il allait subir. Puis, il finit par le faire glisser au sol comme le reste. Je le regardais d'un air satisfait.
“ Mets-toi à genou, les mains croisées dans le dos.”
Il obtempéra, toujours en soutenant mon regard. Je glissais ma main dans la poche avant de mon sac pour en sortir un foulard. Je m'agenouille devant lui, lui envoya un sourire jovial qu'il me rendit, puis l’embrassa du bout des lèvres.
“A tout à l'heure mon chéri!”
Puis je le plongeais dans le noir.
Je me relevais : il était prêt pour la suite des événements.
Mais c'était quoi la suite des événements exactement ? 2 semaines pour s'organiser, c'était bien trop long. j'avais eu le temps d'esquisser 10 plans différents, sans jamais réussir à en figer un.
Je suis sûr que si c'était lui qui avait gagné, il serait arrivé avec un plan réglé au quart d'heure bien ficelé. Moi, j'avais rempli 2 valises de tous les jouets possibles et imaginables, en stock ou achetés pour l'occasion.
J'ouvrais une desdites valises à la recherche de l'inspiration.
De fil en aiguille, d'objets en objets, je finis par esquisser une amorce de plan. Je prenais mon temps, l'attente étant un élément chargé de sensualité en soi. C'est ce que témoignait son érection qui avait commencé quelques minutes après avoir été plongé dans le noir.
Je plonge dans le sac et me mets au travail. Car oui, mon embryon de projet nécessite une préparation qui s'apparente à du BTP. Je fixe les axes de la structure entre eux à l'aide d’une clé allen, dans un grand fracas métallique. Je note avec le sourire que son expression se fait de plus en plus anxieuse et que son sexe a nettement dégonflé… ça marche dans les 2 sens l’anticipation apparemment !
J’en profite pour faire une pause dans mes préparations et dérouler l’étape suivante, qui nécessite un afflux sanguin limité dans ses corps caverneux.
Il tend l’oreille quand le fracas s’arrête et pousse un petit cri quand je lui tire soudainement les bourses. Ne lui laissant pas le temps de retrouver son excitation inéluctable quand mes mains se posent sur son corps, j'enferme le tout dans un anneau avant de lui passer la gaine métallique de taille réduite.
Avant même que le clic du cadenas ai retenti, je note que son membre avait envahi sa prison et que sa peau ressortait entre chaque barreau de de sa cage.
Ceci fait, je retourne à mes préparatifs.
5 minutes après, je me relève fièrement devant ma construction. La structure est composée d'une barre principale au sol, terminée de chaque côté par un axe perpendiculaire. l’ensemble de taille ajustable, les 4 embouts étaient équipés d'anneaux avec pour chacun un mousqueton épais. D'un côté, une barre ronde perpendiculaire au plan du sol et terminée par un anneau venait donner sa 3ème dimension à l'édifice.
L'objectif de tout ça, vous l'aurez compris, est d'immobiliser la victime à 4 pattes sans aucun moyen de se libérer, de bouger ou de protéger la moindre parcelle de son corps.
Il tendait l'oreille, alerté par le silence qui venait d'envahir la pièce. Je pris donc mon temps et, au lieu commencer directement les hostilités, enlevait mon haut et mon soutien-gorge. Après m'être agitée pendant 10min, un mince filet de transpiration faisait luire ma poitrine.
Je me glissais très discrètement derrière lui à genou. Il regardait dans toutes les directions, à la recherche du moindre bruit qui lui permettrait de me trouver dans la pièce.
Je collais subitement ma poitrine dans son dos en m'avançant et vint glisser mon visage dans son cou. Il se mit à ronronner de plaisir… j'embrassais délicatement son cou en baladant mes mains sur son buste, lui murmurant au creux de l'oreille qu'on allait passer une soirée merveilleuse. Il mit spontanément ses mains immobilisées sagement dans son dos à profit en frottant mon entre-jambe à travers mon jean. Je choisis d'ignorer pour l'instant et me contentais de lui mordiller le lobe, de glisser ma langue dans son oreille… sa queue semblait prête à exploser de sa cage.
Puis, je me redressais sur mes genoux et lui fit balancer la tête en arrière en lui tirant les cheveux. Je le surplombait, lui étant assis sur ses talons.
Je t’ai autorisé à me toucher?
Je lui lançais d’un ton glacial. Il haletait, la bouche entrouverte. J’eu subitement une envie nouvelle, rabaissante, hautaine : je me penchais sur lui et lui crachais au visage. Il en fut choqué, j'en fus considérablement excitée. Ma bave coulait du coin de ses lèvres… indécent.
Je profitais de son état d’hébêtement pour lui enfiler des bracelets en cuir molletonnés aux poignets et aux chevilles, ainsi qu'un collier identique qui serrait légèrement le cou.
“A 4 pattes !”
Il était prêt lorsque l'ordre claqua dans l'air. Il avança jusqu'à la structure, tiqua lorsqu'il passa la 1ère barre et s'immobilisa lorsque je tirai sur son collier.
Après quelques secondes, il était solidement amarré. Ses 4 menottes l'immobilisaient au sol, et son collier était fixé à un anneau. Pour tester la solidité de l'ensemble, j'envoyais une série de claques aussi fort que possible sur ses fesses exposées. Il chouina, se débattit, mais impossible de bouger d'un millimètre.
Il était en position… ne manquaient que quelques accessoires ! Je sélectionnais l'éventail le plus large possible et commençais à l'équiper. D'abord, 2 pinces à tétons avec poids aimantés. Il grimaça. Puis un petit harnais lesté autour de ses testicules pour les tirer vers le bas. Il grogna plus franchement.
“Ouvre la bouche”
Toujours le même ton froid et dominateur. Il obtempéra, pensant être bâillonné pour parfaire le tout. Mais en lieu et place d’un bâillon, c'est la boule métallique d'un plug de taille considérable qui força difficilement ses lèvres.
“Lèche bien mon chéri, c'est tout le lubrifiant auquel tu auras droit ce soir !”
Il s'appliquait autant que possible mais vu la taille du plug, sa marge de manœuvre était assez limitée. Lorsque je trouvais la quantité de bave honorable je sortis la boule et la présenta à ses fesses. Je décidais finalement d'être magnanime et cracha généreusement sur sa rondelle, cadeau de la maison. Il gémit, probablement torturé par l'humiliation. Je positionnais le plug à l’entrée et appliqua un effort constant sur sa base. Je sentis son corps se contracter, entendis ses dents grincer… il allait falloir que je remplisse cette bouche, la douleur ne faisait après tout que commencer et je ne voulais pas qu'il se blesse. Après une minute d'effort constant, la boule se fit soudainement avaler par son cul. Il poussa un petit cri de douleur. Je jouais un peu avec le plug, histoire de pousser encore un peu l’humiliation.
On y était presque. Je me positionnais devant lui. Sa bouche était ouverte, ses traits étaient crispés, quelques larmes avaient humidifiées son masque. Il y a quelques mois, cette vision m’aurait immédiatement fait tout arrêter.
Mais plus maintenant. Je savais maintenant l'état de repli sur lui-même qu’il était en train d'atteindre, la perfection de la jouissance physique qui découlait de cet état psychique d’abandon. Je savais que ma vision, ou plutôt celle reconstruite pas son imaginaire de masochiste aux yeux bandés, nourrirait ses fantasmes pendant des semaines.
Je m'agenouillais face à lui et lui susurra des mots réconfortants. Je savais que l’alternance entre position forte et position faible favorisait son abandon dans cet état de soumission total dont tout dépendait.
“ je suis fier de toi mon chéri, on va passer une soirée merveilleuse…”
Je lui caressais les cheveux doucement, comme il aimait tant. Il baissa instinctivement sa garde…
C'est à ce moment là que la première claque résonna dans la pièce. Pas forte, l'objectif n'était pas la douleur en soit, mais le déstabilisant complètement. Je lui caressais maintenant la joue qui avait rosi, puis égalisa les couleurs en envoyant une deuxième du plat de la main sur l'autre joue. Il essaya de parer, mais l'anneau attaché à son collier lui empêchait de détourner la tête.
Il ouvrit la bouche, haletant. J'en profitais pour lui lécher l'intérieur de la bouche, du palais jusqu'à la lèvres supérieure, de manière obsène. Lorsqu’il se pencha en avant pour participer au baiser, je lui crachais dans la bouche.
Il resta en place, hébété, ne sachant plus comment réagir. Chacune de ses réactions jusqu’ici avait participé à sa douleur, son humiliation.
Il était temps de le laisser mariner un peu. Je saisis un penis gag, un bâillon avec une forme vaguement phallique, et l'enfonçait dans sa bouche. Celui-ci était de taille considérable, si bien qu’il aurait du mal à s’y habitué. Je laissais volontairement un peu de marge, ne le serrant pas à fond.
Lorsqu’il le combattait, le bâillon ressortait à moitié de sa bouche avant d’être bloqué par la sangle. Mais ça demandait un effort, et ça me laissait de quoi jouer.
Je décidais donc d’installer un ultime engin de torture pour tester le concept. Et pas des moindres…
La cage que j’avais mis en place avait une particularité. On pouvait y installer une tige qui s’enfoncait dans l’urètre et se vissait à l’embout… l’ultime torture, encore inconnue pour lui.
Je lubrifiais légèrement la tige et la présenta à l’entrée de son sexe. Il grogna dans son bâillon, probablement de peur de ce que j'avais prévu… et à raison.
Lorsque je passais la première résistance et enfonçait la tige qui devait faire la taille de son penis au repos, il cria. Pas chounia, pas grogna, mais bien cria. Je tentais donc le tout pour le tout et, pendant qu'une main enfonçait inexorablement la tige source de sa douleur, l’autre saisit la sangle de son bâillon comme une poignée à l'arrière du crâne et tira. L’effet fut immédiat : le penis gag força ses résistances et s'enfonça intégralement dans sa gorge, allant jusqu’à créer un renflement visible au niveau de son collier. Plus un son ne passe. 5 secondes plus tard, je vissais la tige qui était entrée intégralement.
Lorsque la tige commença à tourner, il se rua dans sa prison dans un grand fracas métallique. Heureusement, tout tenait parfaitement. Une fois tout en place, je gardais le bâillon au fond de sa gorge quelques secondes encore impressionnée par la manière qu’il avait de s’enfoncer aussi loin.
Puis je relâchais tout. Il expulsa le bâillon autant que possible, toussa, laissa s’échapper un immense filet de bave, tenta de reprendre sa salive, échoua, laissa le penis en latex s’enfoncer accidentellement au passage, le repoussa à nouveau, toussa à nouveau.
Il essayait tant bien que mal de reprendre de grandes goulées d’air difficilement. Il pleurait. La bave s'écoulent le long de son menton.
Je me laissais attendrir, lui caressait les cheveux, lui répétait qu’on y était presque et que j'étais si fière…
Je flattais sa croupe d'une main comme on le ferait avec un cheval, pendant que l'autre jouait à étaler la bave qui coulait le long de son menton partout sur son corps.
Après une à deux minutes, il arriva à se calmer… relativement. Son souffle devint plus régulier, il laissa aller sa tête contre ma main, toujours en pleurant doucement dans son masque. Puis les pleurs s'arrêtèrent, laissant place à une légère complainte en continue.
Bravo mon chéri, tu as très bien tenu… tu peux être fier !”
Je me relevais devant lui, satisfaite de son état. Il semblait attendre quelque chose… il était en train d’ignorer à nouveau cette règle évidente de mon sadisme de formation : un réconfort laisse toujours place à une nouvelle torture.
“Maintenant que tu as l’air d’apprécier ta situation, je vais aller prendre une petite douche!”
Il se mit à se ruer dans sa prison. Apparemment, sa situation n'était pas devenue confortable pour autant. Je refixais une de ses pinces qu’il avait été arrachée, remis les poids qui étaient tombés et en ajouta quelques-uns pour la forme. Puis je lui fis un bisou sur la joue et lui chuchota dans l’oreille :
A tout à l'heure mon cœur, reposes toi bien…”
Je glissais ma langue dans son oreille un moment, avant de le retirer et d'installer un casque antibruit sur ses oreilles pour le laisser enfermé dans sa douleur. J’allais partir vers la salle de bain quand je pensais à un dernier détail : je connectais les câbles d’un petit boîtier à la base de son plug et de sa cage. Lorsqu’il senti mes mains sur ses testicules, il se lança dans une longue supplication incompréhensible dans son bâillon. il était dans un état de panique évident, négociait, suppliait en essayant de bouger sa tête de gauche à droite pour m'alerter.
Je tirais à nouveau sur la sangle pour lui faire comprendre que toute négociation était vaine. Alors que le bâillon s'enfonçait à nouveau au fond de sa gorge, j'allumais le boîtier qui commença à envoyer des impulsions électriques de manière aléatoire dans son fondement et dans son urètre.
La dernière chose que j’entendis en fermant la porte de la salle de bain était les pleurs de mon masochiste de mari…
À suivre, dans cet univers où dans un autre…
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Très bon comme d'habitude...