PILE - l'arrivée à l'hôtel
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
PILE - l'arrivée à l'hôtel
Nous nous regardons dans les yeux, à genoux chacun d'un côté de la table basse. La pièce est silencieuse, pas un craquement de bois, pas une mouche. Au milieu de la table, à égale distance, une simple pièce de 2€. Nos deux regards se posent en même temps sur l'objet avec une intensité qu'on lui prête rarement.
“Tu te dégonfles ? “ je lui demande comme si je cherchais une porte de sortie.
“Pas du tout, si tu craques il va falloir l’assumer.” elle me répond, ayant compris mon bluff.
“pile ou face ?” dis-je simplement, en posant ma main sur la pièce.
Elle hésite bien plus qu'il ne l'aurait fallu sur une question aussi simple.
“Face”
Je prends la pièce, la pose en équilibre sur mon pouce replié et marque une pause solennelle. On se regarde, on hoche la tête. Plus la peine de repousser le moment fatidique. Je détends le pouce d'un coup, éjectant le cylindre dans les airs. Il tourbillonne en l'air, s'abat d'un coup sec, tourne un peu et tombe sur le côté…
PILE.
“Alors bébé, pas trop déçu ?”
Je sais que le surnom “bébé” l'exaspère, mais je me permet de jouer un peu. Après tout, je suis maintenant bien moins à risque de représailles.
Ça ne l'empêche pas de faire la gueule. Mais pour ne pas sembler mauvaise joueuse, elle fait tout son possible pour le cacher… mal, la dissimulation de son humeur n'étant pas du tout son fort.
“je suis sur que tu as triché” dit-elle boudeuse.
Je me lève, lui fait un bisou sur le haut du crâne et répond :
“J'essayerais de ne pas trop te faire payer cette insulte à mon intégrité dans 2 semaines.”
Elle rit, m’attrape par le cou pour me tirer vers elle et m'embrasse.
“Va chercher le petit à l'école va, je prépare le repas."
2 SEMAINES PLUS TARD
Nous rentrons dans l'hôtel un peu impressionné. La tension générée par l'anticipation est à son paroxysme, nous approchons donc l'accueil avec un mélange d'appréhension et d'excitation.
“Bonjour”, nous interpelle la magnifique blonde derrière le bureau, “bienvenu au clos, puis-je prendre le nom sous lequel à été fait la réservation?”
Tout en lui répondant, je regarde ma femme détailler le tatouage dépassant du décolleté de notre interlocutrice avec une expression indéchiffrable sur le visage.
Après avoir réalisé les formalités d'accueil, nous sommes guidés vers la porte de notre chambre. Après avoir passé une superbe salle de bain, le couloir débouche sur une pièce gigantesque. A gauche, un jacuzzi pouvant accueillir 2 personnes face à une grande baie vitrée avec vue sur les montagnes. A droite, un lit king size avec à son pied une cheminée suspendue au plafond. Au milieu, un petit bureau avec 2 fauteuils.
Nous posons nos sacs dans un coin de la pièce, un peu ébahi. Sentant le thème de la soirée nous échapper, j'essaye de reprendre le dessus.
“Assied-toi”, je lui dis simplement, “on va prendre une petite coupe de champagne pour marquer le coup.”
Elle s'installe docilement sur un des fauteuils, parfaitement dans son rôle de dominée. Car c'est bien la direction que doit prendre la soirée : elle, à ma merci, pour toute la durée du séjour.
Et je n'ai pas eu trop de 2 semaines pour préparer l'événement. Après des recherches extensives sur internet, il m'a fallu réussir l'exploit de regrouper tous les jouets et accessoires identifiés en moins de 10 jours. Mais quelques frais d'expédition express plus tard, nous y étions…
POP !!
Le bruit du bouchon la fit sursauter. Les 2 coupes étant déjà sur la table, je m'approchais d’elle par derrière la bouteille à la main. Je glissais la seconde dans son décolleté et lui caressais le téton, très délicatement. Elle commença à ronronner doucement en se laissant faire, les 2 bras figés le long de l'accoudoir comme s'ils y étaient attachés. Je remontais doucement en lui caressant sein et poitrine jusqu’à son cou, avant de saisir son menton par dessous en la forçant à pencher la tête vers l'arrière à fond. Elle me fixait avec une intensité brûlante, dans l'attente de la suite. Je glissais la bouteille au-dessus de ses lèvres entrouvertes, et versais du champagne directement dans sa bouche. Elle avala une première gorgée, puis une deuxième, qui laissa ensuite place à un toussotement qui éjecta une partie du liquide sur les seins qui dépassaient de son décolleté. Elle se mit alors à rire, nous libérant de notre tension.
Je m'assis en face d’elle et nous bûmes une coupe de champagne en discutant de tout et de rien. La désinvolture dont nous faisions preuve contrastait avec la haut de sa tenue en pagaille, avec sa poitrine à moitié exposée. Mais cette situation ne pouvait durer qu'un temps, nous savions tous les deux quelle orientation la soirée allait prendre.
Quand elle me vit me resservir, elle me tendis son verre.
“Non”
Tout simplement. Elle me regarda une seconde sans comprendre. Je la fixait droit dans les yeux en maintenant le plus d'intensité possible, tout en portant ma coupe à mes lèvres. Elle attendait docilement.
Je sortis une boîte de mon sac, et la fit glisser doucement sur la table.
“Vas te préparer dans la salle de bain. Je te veux nue, maquillée, parfumée, et portant ce que tu trouvera dans cette boite. Quand tu es prête, attends moi a genou avec les mains dans le dos.”
Sans un mot elle prit la boîte, se leva et partit obéir aux ordres.
Le jeu avait débuté. Plus de retour en arrière.
Je sirotais tranquillement le contenu de ma coupe pour faire passer mon appréhension. Après quelques minutes, je me mis au travail. Je déplaçais table et chaise dans un coin de la pièce. J'allumais un feu de bois, déplaçais le petit tapis confortable de descente de lit au milieu de la pièce et observais l'ensemble.
C'était prêt.
20 minutes étaient passées, elle devait m'attendre depuis 5min maintenant. Je plongeais ma main dans ma poche et saisit la petite télécommande… c'était un moyen de vérifier comme un autre après tout !
J'allumais l'engin et tournait le variateur aux trois-quart. J'entendis immédiatement un petit cri suivi d'un gémissement de la salle de bain.
Elle était prête.
Je poussais la porte pour observer ma muse : elle m'attendait à genou à même le carrelage, les bras croisés perpendiculairement à sa colonne vertébrale dans son dos. Cette position, en plus d'être inconfortable, avait l'avantage de faire ressortir sa poitrine généreuse. Celle ci était ornée de 2 petites pinces avec clochettes, qui tombaient sur son ventre légèrement rebondi. Elle semblait se tortiller d'une jambe sur l'autre, à la fois pour soulager la douleur de ses genoux et pour apaiser son vagin en feu suite à l'activation de l'œuf vibrant. Cela devait d'ailleurs faire bouger le plug dans son fondement, augmentant d'autant son excitation et son plaisir. Son cou était décoré d’un gros collier de cuir noir moletonné qui devait légèrement lui compresser la gorge. Ses cheveux était tenus en une tresse épaisse, ses lèvres était rosies… mais c'est ses yeux qui rendait le tableau aussi magnifique.
C'était encore plus beau que je ne l’avais imaginé.
Pas tant le maquillage, qui était aussi discret que sexy. Mais bien ses yeux en eux même. Car ses pupilles, au lieu du marron pétillant habituel, étaient d’un noir de jais. La couleur de ses lentilles occultantes. L'intensité de son regard, paradoxalement, semblait être décuplé. Mais c'était une illusion.
En réalité, Sarah était dans le noir total. Pas un reflet, pas un rayon de lumière. Ses pupilles bougeaient dans tous les sens, à la recherche d’une issue. Mais elle n'en trouverait aucune.
C'est ainsi, aussi excité que terrifiée, que je découvrais ma femme.
La soirée promettait d'être merveilleuse… et probablement très longue pour elle !
À suivre, dans cet univers comme dans un autre…
“Tu te dégonfles ? “ je lui demande comme si je cherchais une porte de sortie.
“Pas du tout, si tu craques il va falloir l’assumer.” elle me répond, ayant compris mon bluff.
“pile ou face ?” dis-je simplement, en posant ma main sur la pièce.
Elle hésite bien plus qu'il ne l'aurait fallu sur une question aussi simple.
“Face”
Je prends la pièce, la pose en équilibre sur mon pouce replié et marque une pause solennelle. On se regarde, on hoche la tête. Plus la peine de repousser le moment fatidique. Je détends le pouce d'un coup, éjectant le cylindre dans les airs. Il tourbillonne en l'air, s'abat d'un coup sec, tourne un peu et tombe sur le côté…
PILE.
“Alors bébé, pas trop déçu ?”
Je sais que le surnom “bébé” l'exaspère, mais je me permet de jouer un peu. Après tout, je suis maintenant bien moins à risque de représailles.
Ça ne l'empêche pas de faire la gueule. Mais pour ne pas sembler mauvaise joueuse, elle fait tout son possible pour le cacher… mal, la dissimulation de son humeur n'étant pas du tout son fort.
“je suis sur que tu as triché” dit-elle boudeuse.
Je me lève, lui fait un bisou sur le haut du crâne et répond :
“J'essayerais de ne pas trop te faire payer cette insulte à mon intégrité dans 2 semaines.”
Elle rit, m’attrape par le cou pour me tirer vers elle et m'embrasse.
“Va chercher le petit à l'école va, je prépare le repas."
2 SEMAINES PLUS TARD
Nous rentrons dans l'hôtel un peu impressionné. La tension générée par l'anticipation est à son paroxysme, nous approchons donc l'accueil avec un mélange d'appréhension et d'excitation.
“Bonjour”, nous interpelle la magnifique blonde derrière le bureau, “bienvenu au clos, puis-je prendre le nom sous lequel à été fait la réservation?”
Tout en lui répondant, je regarde ma femme détailler le tatouage dépassant du décolleté de notre interlocutrice avec une expression indéchiffrable sur le visage.
Après avoir réalisé les formalités d'accueil, nous sommes guidés vers la porte de notre chambre. Après avoir passé une superbe salle de bain, le couloir débouche sur une pièce gigantesque. A gauche, un jacuzzi pouvant accueillir 2 personnes face à une grande baie vitrée avec vue sur les montagnes. A droite, un lit king size avec à son pied une cheminée suspendue au plafond. Au milieu, un petit bureau avec 2 fauteuils.
Nous posons nos sacs dans un coin de la pièce, un peu ébahi. Sentant le thème de la soirée nous échapper, j'essaye de reprendre le dessus.
“Assied-toi”, je lui dis simplement, “on va prendre une petite coupe de champagne pour marquer le coup.”
Elle s'installe docilement sur un des fauteuils, parfaitement dans son rôle de dominée. Car c'est bien la direction que doit prendre la soirée : elle, à ma merci, pour toute la durée du séjour.
Et je n'ai pas eu trop de 2 semaines pour préparer l'événement. Après des recherches extensives sur internet, il m'a fallu réussir l'exploit de regrouper tous les jouets et accessoires identifiés en moins de 10 jours. Mais quelques frais d'expédition express plus tard, nous y étions…
POP !!
Le bruit du bouchon la fit sursauter. Les 2 coupes étant déjà sur la table, je m'approchais d’elle par derrière la bouteille à la main. Je glissais la seconde dans son décolleté et lui caressais le téton, très délicatement. Elle commença à ronronner doucement en se laissant faire, les 2 bras figés le long de l'accoudoir comme s'ils y étaient attachés. Je remontais doucement en lui caressant sein et poitrine jusqu’à son cou, avant de saisir son menton par dessous en la forçant à pencher la tête vers l'arrière à fond. Elle me fixait avec une intensité brûlante, dans l'attente de la suite. Je glissais la bouteille au-dessus de ses lèvres entrouvertes, et versais du champagne directement dans sa bouche. Elle avala une première gorgée, puis une deuxième, qui laissa ensuite place à un toussotement qui éjecta une partie du liquide sur les seins qui dépassaient de son décolleté. Elle se mit alors à rire, nous libérant de notre tension.
Je m'assis en face d’elle et nous bûmes une coupe de champagne en discutant de tout et de rien. La désinvolture dont nous faisions preuve contrastait avec la haut de sa tenue en pagaille, avec sa poitrine à moitié exposée. Mais cette situation ne pouvait durer qu'un temps, nous savions tous les deux quelle orientation la soirée allait prendre.
Quand elle me vit me resservir, elle me tendis son verre.
“Non”
Tout simplement. Elle me regarda une seconde sans comprendre. Je la fixait droit dans les yeux en maintenant le plus d'intensité possible, tout en portant ma coupe à mes lèvres. Elle attendait docilement.
Je sortis une boîte de mon sac, et la fit glisser doucement sur la table.
“Vas te préparer dans la salle de bain. Je te veux nue, maquillée, parfumée, et portant ce que tu trouvera dans cette boite. Quand tu es prête, attends moi a genou avec les mains dans le dos.”
Sans un mot elle prit la boîte, se leva et partit obéir aux ordres.
Le jeu avait débuté. Plus de retour en arrière.
Je sirotais tranquillement le contenu de ma coupe pour faire passer mon appréhension. Après quelques minutes, je me mis au travail. Je déplaçais table et chaise dans un coin de la pièce. J'allumais un feu de bois, déplaçais le petit tapis confortable de descente de lit au milieu de la pièce et observais l'ensemble.
C'était prêt.
20 minutes étaient passées, elle devait m'attendre depuis 5min maintenant. Je plongeais ma main dans ma poche et saisit la petite télécommande… c'était un moyen de vérifier comme un autre après tout !
J'allumais l'engin et tournait le variateur aux trois-quart. J'entendis immédiatement un petit cri suivi d'un gémissement de la salle de bain.
Elle était prête.
Je poussais la porte pour observer ma muse : elle m'attendait à genou à même le carrelage, les bras croisés perpendiculairement à sa colonne vertébrale dans son dos. Cette position, en plus d'être inconfortable, avait l'avantage de faire ressortir sa poitrine généreuse. Celle ci était ornée de 2 petites pinces avec clochettes, qui tombaient sur son ventre légèrement rebondi. Elle semblait se tortiller d'une jambe sur l'autre, à la fois pour soulager la douleur de ses genoux et pour apaiser son vagin en feu suite à l'activation de l'œuf vibrant. Cela devait d'ailleurs faire bouger le plug dans son fondement, augmentant d'autant son excitation et son plaisir. Son cou était décoré d’un gros collier de cuir noir moletonné qui devait légèrement lui compresser la gorge. Ses cheveux était tenus en une tresse épaisse, ses lèvres était rosies… mais c'est ses yeux qui rendait le tableau aussi magnifique.
C'était encore plus beau que je ne l’avais imaginé.
Pas tant le maquillage, qui était aussi discret que sexy. Mais bien ses yeux en eux même. Car ses pupilles, au lieu du marron pétillant habituel, étaient d’un noir de jais. La couleur de ses lentilles occultantes. L'intensité de son regard, paradoxalement, semblait être décuplé. Mais c'était une illusion.
En réalité, Sarah était dans le noir total. Pas un reflet, pas un rayon de lumière. Ses pupilles bougeaient dans tous les sens, à la recherche d’une issue. Mais elle n'en trouverait aucune.
C'est ainsi, aussi excité que terrifiée, que je découvrais ma femme.
La soirée promettait d'être merveilleuse… et probablement très longue pour elle !
À suivre, dans cet univers comme dans un autre…
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