Ruin, tease and dental - Prologue
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ruin, tease and dental - Prologue
Hors du temps : Ce que je peux dire, c'est qu'il n'y allait pas de main morte! La boule qui ornait le bout du crochet solidement arrimé dans mon cul accentuait les sensations liées à ses vas et vients incessant, quasi-violent.
Ma jupe d'écolière était relevée sur mes reins cambrés. Mes poignets et chevilles était ligoté à une structure métallique m'immobilisant en position levrette. Mes tetons, à l'image de mes grandes lèvres, était malmené par de petites pinces particulièrement viscieuse,9 tendues par une petite chaînette en argent. La lourde chaîne qui reliait la boule dans mon cul à mes cheveux me maintenait la tête en arrière, le menton relevé fièrement. Menton luisant en raison de la bave qui me coulait du coin des lèvres, conséquence du bâillon-boule maintenu sur mon visage par un harnais. Face à moi, un miroir qui me renvoyait une image d'une catin déchaînée en train de gémir en continu…
Le pilonnement s'intensifia, les vagues de chaleurs qui me secouaient depuis le début de ma torture se muèrent en un véritable dragon qui partait de mon ventre en ondulait à travers l'ensemble de mon corps, soufflant son feu dévastateur partout où il passait.
Les vagues se rapprochaient de plus en plus, la flammes entre mes cuisses brûlait en continu maintenant, je sentais l'orgasme dévastateur monter, monter, et…
09:30 : Un ronflement un peu plus haut que les autres m'arrache à mon orgasme. Un seau d'eau glacée dans la gueule, qu'il s'est prit mon dragon.
A côté de moi, Fabrice termine de se retourner suite à son éclaircissement de gorge.
Je soupire de déception. Ou d'exaspération. Allez savoir. Probablement les 2.
Mon entre-jambe était encore moîte de mon agitation nocturne, mon shorty en dentelle trempé. Je sentais encore la braise au fond de mon ventre mais qui me semblait inaccessible, comme si cet orgasme qui m'avait été volé avait laissé une marque au fer rouge. Si proche, et pourtant si loin.
Je me lance dans la poésie de la frustration sexuelle, c'est chargé comme réveil du dimanche !
Pendant une seconde, j'envisageais de finir le travail moi même discrètement. Mais je me repris vite. Après tout, pourquoi je me contenterais d'une pathétique tripotade "en loussdé" du matin alors que je suis là victime?!
Non non non, c'est au responsable de cette frustration de se rattraper…
Je souris, commençant à vraiment me réveiller. Non seulement il va m'offrir l'orgasme qu'il m'a volé, mais il va en plus souffrir la frustration qu'il m'a imposé.
Aujourd'hui, Fabrice allait recevoir plus d'attention en une journée qu'il n'en avait jamais eu. Mais pas d'orgasme…
09:45 : ...
Ma jupe d'écolière était relevée sur mes reins cambrés. Mes poignets et chevilles était ligoté à une structure métallique m'immobilisant en position levrette. Mes tetons, à l'image de mes grandes lèvres, était malmené par de petites pinces particulièrement viscieuse,9 tendues par une petite chaînette en argent. La lourde chaîne qui reliait la boule dans mon cul à mes cheveux me maintenait la tête en arrière, le menton relevé fièrement. Menton luisant en raison de la bave qui me coulait du coin des lèvres, conséquence du bâillon-boule maintenu sur mon visage par un harnais. Face à moi, un miroir qui me renvoyait une image d'une catin déchaînée en train de gémir en continu…
Le pilonnement s'intensifia, les vagues de chaleurs qui me secouaient depuis le début de ma torture se muèrent en un véritable dragon qui partait de mon ventre en ondulait à travers l'ensemble de mon corps, soufflant son feu dévastateur partout où il passait.
Les vagues se rapprochaient de plus en plus, la flammes entre mes cuisses brûlait en continu maintenant, je sentais l'orgasme dévastateur monter, monter, et…
09:30 : Un ronflement un peu plus haut que les autres m'arrache à mon orgasme. Un seau d'eau glacée dans la gueule, qu'il s'est prit mon dragon.
A côté de moi, Fabrice termine de se retourner suite à son éclaircissement de gorge.
Je soupire de déception. Ou d'exaspération. Allez savoir. Probablement les 2.
Mon entre-jambe était encore moîte de mon agitation nocturne, mon shorty en dentelle trempé. Je sentais encore la braise au fond de mon ventre mais qui me semblait inaccessible, comme si cet orgasme qui m'avait été volé avait laissé une marque au fer rouge. Si proche, et pourtant si loin.
Je me lance dans la poésie de la frustration sexuelle, c'est chargé comme réveil du dimanche !
Pendant une seconde, j'envisageais de finir le travail moi même discrètement. Mais je me repris vite. Après tout, pourquoi je me contenterais d'une pathétique tripotade "en loussdé" du matin alors que je suis là victime?!
Non non non, c'est au responsable de cette frustration de se rattraper…
Je souris, commençant à vraiment me réveiller. Non seulement il va m'offrir l'orgasme qu'il m'a volé, mais il va en plus souffrir la frustration qu'il m'a imposé.
Aujourd'hui, Fabrice allait recevoir plus d'attention en une journée qu'il n'en avait jamais eu. Mais pas d'orgasme…
09:45 : ...
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