PILE : La suite des événements
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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PILE : La suite des événements
J'aidais Sarah à se relever et la guidait vers la chambre. Elle était déjà complètement débordée de sensation contraire… ses jambes tremblaient légèrement à chaque pas, des gémissements de plaisir sortaient de ses lèvres en continue due aux vibrations et au plug, mais ses yeux semblaient paniqués, à la recherche de lumière.
Je la guidait jusqu'au centre de la pièce et l'aidait à se mettre à genoux sur le tapis.
“Mains dans le dos.”
Elle tourna la tête dans ma direction et son regard noir se figea dans le mien… savoir que malgrés son regard perçant, elle était apeurée dans le noir complet me fis immédiatement bander.
Je pris une corde et me lançais dans son bondage. Je commençais par lui attacher les mains croisées dans le dos. Je fis ensuite passer une corde sous sa poitrine, ce qui fis tinter les clochettes. Je passais ensuite la corde au-dessus, avant de la faire le tour de son cou en serrant entre ses deux seins. Le harnais était prêt, c'était à la fois simple et esthétiquement très élégant. Et avec mon érection qui commençait à vraiment se faire sentir, il allait très vite être temps de passer aux choses sérieuses.
“Ouvre la bouche”
Elle obéit, toujours en tournant sa tête comme si regarder dans ma direction allait lui rendre sa vue… ou me rendre moins sadique en m’inspirant de la compassion. Mauvais calcul, ça me rendait encore plus excité !
Je lui installais un harnais composé de plusieurs sangles autour de sa tête servant à maintenir fermement un anneau dans sa bouche grande ouverte. Elle ne pouvait maintenant plus contrôler sa mâchoire.
Je la fis lentement basculer vers l’avant pour exposer ses fesses et son plug. Je la délaissais quelques instants pour retourner chercher du matériel dans mon sac. Elle regardais droit dans ma direction quand je farfouillais, toujours incapable de voir ce que j’allais lui infliger.
Après m’être rapproché sur la pointe des pieds, je saisis subitement son plug avant de tirer dessus jusqu'à le faire sortir. Elle sursauta et laissa échapper un petit cri, qui se transforma ensuite en gémissement, faisant couler un filet de bave sur son menton.
Je l'enroulai sur la boule qui complétait le crochet qui allait remplacer son plug et appuya sur sa rondelle. Celle ci semblait prête, puisqu’elle absorba l’objet en quelques secondes.
J’attachais une corde à la base de son crochet, puis bascula mon colis vers l’arrière pour qu’elle soit à nouveau assise sur ses genoux.
Son corps était recouvert d’une fine pellicule de transpiration, lui donnant un très léger reflet. Ses formes avalaient très légèrement les cordes, lui donnait des airs de geisha du Japon féodal. Et inutile de parler de son regard de jais qui tentait de transpercer une nuit qu’elle seule traversait.
Je fis passer la corde liée à son crochet anal à l’arrière du harnais qui ensserait son crâne, tirant juste assez pour maintenir son menton à l'horizontal. J’attachais ensuite une corde à la base de son bâillon, sous son menton, pour la faire pendre entre ses cuisses. J’y passais ma main sans douceur, frottant son clitoris avec la corde rêche. Elle gémit de plus belle, excité comme je l’avais rarement vu.
“Profites donc ma grande, n’oublie pas que tu es là pour mon plaisir… je vais te le rappeler t'inquiète!”
Malgré ma menace, qui ne l’avais pas fait arrêter de gémir bien au contraire, je continuais à frotter son clitoris quelques secondes. Puis, je tirais sur la ficelle de son œuf vibrant pour le faire tomber.
Je le posais dans sa bouche, encore dégoulinant de sa mouillé.
“tiens moi ça s’il te plais”
Elle sorti instinctivement sa langue pour le lécher.
“petite salope…”
Nous n’étions pas habitué de ce genre de langage, mais ça m'était venu spontanément devant cette image. Ça n’à pas eu l’air de la choquer. Ses yeux semblaient même sourire…
J'enfonçais sans délicatesse dans sa chatte un gode avec une base plate qui servait habituellement de bâillon. Puis je tendis la corde avant de la fixer à nouveau à la base de son crochet.
Avec ça, la boule dans son cul était complètement immobilisée, le gode ne pouvait plus sortir, et son visage était bloqué à l’horizontal face à moi.
Ses yeux regardaient maintenant toujours droit devant elle.
J’enlevais l'œuf de sa bouche : elle était prête à satisfaire mes vices.
Je caressais ses cheveux une seconde, puis fis glisser ma queue doucement dans sa bouche. Lorsque je rencontrais une résistance, je forçais légèrement pour passer le blocage et recommençais à avancer. Son nez finit par s’écraser contre mon pubis. Elle eut un haut le cœur, mais tint bon. Après quelques secondes, elle essaya de se libérer. Ma main, plaquée sur l’arrière de son crâne, l’en empêchait. Je laissais passer quelques secondes et me reculais à mi-chemin. Elle prit de grande goulée d’air, essayant de reprendre sa respiration. Je ne lui laissais pas le temps et m'enfonçais à nouveau jusqu'à la garde.
Ses mains se croisaient et décroisaient dans son dos, essayant de se libérer. Les clochettes accrochées aux pinces de ses seins teintaient de plus belle. Après quelques secondes, je reculais à nouveau.
Ses cheveux étaient en bataille. Son maquillage avait légèrement coulé, traçant quelques larmes noires qui s'accordaient avec son regard. Celui-ci me semblait suppliant, mais difficile à dire en réalité avec ces lentilles.
Je repris des vas et vient plus tranquille pour lui laisser un peu de repos. Elle essaya de me caresser la hampe au passage avec sa langue, comme pour m'encourager à rester sur ce mode de pénétration moins intrusif.
Je glissais mon pied entre ses cuisses et jouais avec la pointe de ma chaussure à enfoncer légèrement le gode dans sa chate. Son clitoris frottait à la fois sur la corde et le cuir et elle recommença rapidement à gémir.
Je commençais à perdre pied, l’ensemble de l’action étant bien trop excitant… je renfonçais à nouveau mon sexe au fond de sa gorge. A nouveau, elle se débattait.
Mais cette fois-ci, j'irai jusqu’au bout.
Je ressortais légèrement, lui laissais quelques secondes, et vint à nouveau m’enfoncer jusqu’à coller son nez sur mon pubis. Ses yeux lachèrent à nouveau quelques larmes, continuant à parfaire son maquillage. Ses clochettes tintaient sans arrêt, ses mains se débattaient… Sa gorge se contractait à intervalle régulier, massant mon gland au passage. J’étais proche.
Je ressorti à nouveau à moitié. Elle essaya d’articuler une supplication, mais je l’ignorais et m'enfonçait une dernière fois. Après quelques contraction de gorge, trois nouvelles larmes complétant ses yeux d’ébène et j'avais passé le point de non retour…
Dans un ultime effort, je me retirais presque complètement et frottais mon gland sur sa langue en éjaculant. Elle tentait de reprendre sa respiration quand ma semence envahit sa bouche.
Apres avoir tiré une derniere saccade, je me retirais complètement.
Avec le ring gag qui immobilisait sa mâchoire, impossible pour elle d’avaler ou de recracher. Elle semblait tout juste s’en rendre compte et essayait de pousser le sperme avec sa langue, qui commençait à couler le long de son menton.
Je ne lui en laissait pas le temps et ajustais les 2 cordes qui tenaient son crochet anal et immobilisait son crâne. En détendant celle de devant et tendant celle de derrière, je bloquais sa tête en arrière et m'assurais qu’elle n’avait aucun échappatoire.
Elle s’en rendit compte et tenta de me supplier de la libérer, dans un concert de gargouillis obscènes.
Sa situation humiliante, liée à l'inconfort de sa position ligoté, de sa bouche maltraitée et la peur liée à l'anticipation constante des sévices qu'elle ne pouvait pas anticiper, c'était trop pour elle : elle se mit à sangloter doucement.
Conscient qu'elle aurait fait (et avait fait) pire dans ma position, et persuadé de notre solidité et du bien être qui finirait par découler de ses torture, je réussi à tenir bon.
Je glissais donc l'œuf vibrant contre la corde au niveau de son clitoris, l'activais à fond avant de lui faire un baiser sur le front.
“Je vais prendre une petite douche, ça m'a épuisé… à tout de suite ma chérie.”
Les supplications reprirent de plus belle, avec les mains qui s'agitaient dans leurs liens.
Lorsque j'arrivais dans la salle de bain, je me retournais pour observer mon œuvre : ma femme, transpirante et ligotée à genou, un crochet dans le cul, un gode dans la chatte et un œuf vibrant sur le clito, la bouche grande ouverte remplie de sperme et le maquillage dévasté, en train de sanglotée et gémir en alterné avec le regard noir de jais vissé sur le plafond… j’étais déjà prêt à repartir.
Suite à venir, dans cet univers où un autre…
Je la guidait jusqu'au centre de la pièce et l'aidait à se mettre à genoux sur le tapis.
“Mains dans le dos.”
Elle tourna la tête dans ma direction et son regard noir se figea dans le mien… savoir que malgrés son regard perçant, elle était apeurée dans le noir complet me fis immédiatement bander.
Je pris une corde et me lançais dans son bondage. Je commençais par lui attacher les mains croisées dans le dos. Je fis ensuite passer une corde sous sa poitrine, ce qui fis tinter les clochettes. Je passais ensuite la corde au-dessus, avant de la faire le tour de son cou en serrant entre ses deux seins. Le harnais était prêt, c'était à la fois simple et esthétiquement très élégant. Et avec mon érection qui commençait à vraiment se faire sentir, il allait très vite être temps de passer aux choses sérieuses.
“Ouvre la bouche”
Elle obéit, toujours en tournant sa tête comme si regarder dans ma direction allait lui rendre sa vue… ou me rendre moins sadique en m’inspirant de la compassion. Mauvais calcul, ça me rendait encore plus excité !
Je lui installais un harnais composé de plusieurs sangles autour de sa tête servant à maintenir fermement un anneau dans sa bouche grande ouverte. Elle ne pouvait maintenant plus contrôler sa mâchoire.
Je la fis lentement basculer vers l’avant pour exposer ses fesses et son plug. Je la délaissais quelques instants pour retourner chercher du matériel dans mon sac. Elle regardais droit dans ma direction quand je farfouillais, toujours incapable de voir ce que j’allais lui infliger.
Après m’être rapproché sur la pointe des pieds, je saisis subitement son plug avant de tirer dessus jusqu'à le faire sortir. Elle sursauta et laissa échapper un petit cri, qui se transforma ensuite en gémissement, faisant couler un filet de bave sur son menton.
Je l'enroulai sur la boule qui complétait le crochet qui allait remplacer son plug et appuya sur sa rondelle. Celle ci semblait prête, puisqu’elle absorba l’objet en quelques secondes.
J’attachais une corde à la base de son crochet, puis bascula mon colis vers l’arrière pour qu’elle soit à nouveau assise sur ses genoux.
Son corps était recouvert d’une fine pellicule de transpiration, lui donnant un très léger reflet. Ses formes avalaient très légèrement les cordes, lui donnait des airs de geisha du Japon féodal. Et inutile de parler de son regard de jais qui tentait de transpercer une nuit qu’elle seule traversait.
Je fis passer la corde liée à son crochet anal à l’arrière du harnais qui ensserait son crâne, tirant juste assez pour maintenir son menton à l'horizontal. J’attachais ensuite une corde à la base de son bâillon, sous son menton, pour la faire pendre entre ses cuisses. J’y passais ma main sans douceur, frottant son clitoris avec la corde rêche. Elle gémit de plus belle, excité comme je l’avais rarement vu.
“Profites donc ma grande, n’oublie pas que tu es là pour mon plaisir… je vais te le rappeler t'inquiète!”
Malgré ma menace, qui ne l’avais pas fait arrêter de gémir bien au contraire, je continuais à frotter son clitoris quelques secondes. Puis, je tirais sur la ficelle de son œuf vibrant pour le faire tomber.
Je le posais dans sa bouche, encore dégoulinant de sa mouillé.
“tiens moi ça s’il te plais”
Elle sorti instinctivement sa langue pour le lécher.
“petite salope…”
Nous n’étions pas habitué de ce genre de langage, mais ça m'était venu spontanément devant cette image. Ça n’à pas eu l’air de la choquer. Ses yeux semblaient même sourire…
J'enfonçais sans délicatesse dans sa chatte un gode avec une base plate qui servait habituellement de bâillon. Puis je tendis la corde avant de la fixer à nouveau à la base de son crochet.
Avec ça, la boule dans son cul était complètement immobilisée, le gode ne pouvait plus sortir, et son visage était bloqué à l’horizontal face à moi.
Ses yeux regardaient maintenant toujours droit devant elle.
J’enlevais l'œuf de sa bouche : elle était prête à satisfaire mes vices.
Je caressais ses cheveux une seconde, puis fis glisser ma queue doucement dans sa bouche. Lorsque je rencontrais une résistance, je forçais légèrement pour passer le blocage et recommençais à avancer. Son nez finit par s’écraser contre mon pubis. Elle eut un haut le cœur, mais tint bon. Après quelques secondes, elle essaya de se libérer. Ma main, plaquée sur l’arrière de son crâne, l’en empêchait. Je laissais passer quelques secondes et me reculais à mi-chemin. Elle prit de grande goulée d’air, essayant de reprendre sa respiration. Je ne lui laissais pas le temps et m'enfonçais à nouveau jusqu'à la garde.
Ses mains se croisaient et décroisaient dans son dos, essayant de se libérer. Les clochettes accrochées aux pinces de ses seins teintaient de plus belle. Après quelques secondes, je reculais à nouveau.
Ses cheveux étaient en bataille. Son maquillage avait légèrement coulé, traçant quelques larmes noires qui s'accordaient avec son regard. Celui-ci me semblait suppliant, mais difficile à dire en réalité avec ces lentilles.
Je repris des vas et vient plus tranquille pour lui laisser un peu de repos. Elle essaya de me caresser la hampe au passage avec sa langue, comme pour m'encourager à rester sur ce mode de pénétration moins intrusif.
Je glissais mon pied entre ses cuisses et jouais avec la pointe de ma chaussure à enfoncer légèrement le gode dans sa chate. Son clitoris frottait à la fois sur la corde et le cuir et elle recommença rapidement à gémir.
Je commençais à perdre pied, l’ensemble de l’action étant bien trop excitant… je renfonçais à nouveau mon sexe au fond de sa gorge. A nouveau, elle se débattait.
Mais cette fois-ci, j'irai jusqu’au bout.
Je ressortais légèrement, lui laissais quelques secondes, et vint à nouveau m’enfoncer jusqu’à coller son nez sur mon pubis. Ses yeux lachèrent à nouveau quelques larmes, continuant à parfaire son maquillage. Ses clochettes tintaient sans arrêt, ses mains se débattaient… Sa gorge se contractait à intervalle régulier, massant mon gland au passage. J’étais proche.
Je ressorti à nouveau à moitié. Elle essaya d’articuler une supplication, mais je l’ignorais et m'enfonçait une dernière fois. Après quelques contraction de gorge, trois nouvelles larmes complétant ses yeux d’ébène et j'avais passé le point de non retour…
Dans un ultime effort, je me retirais presque complètement et frottais mon gland sur sa langue en éjaculant. Elle tentait de reprendre sa respiration quand ma semence envahit sa bouche.
Apres avoir tiré une derniere saccade, je me retirais complètement.
Avec le ring gag qui immobilisait sa mâchoire, impossible pour elle d’avaler ou de recracher. Elle semblait tout juste s’en rendre compte et essayait de pousser le sperme avec sa langue, qui commençait à couler le long de son menton.
Je ne lui en laissait pas le temps et ajustais les 2 cordes qui tenaient son crochet anal et immobilisait son crâne. En détendant celle de devant et tendant celle de derrière, je bloquais sa tête en arrière et m'assurais qu’elle n’avait aucun échappatoire.
Elle s’en rendit compte et tenta de me supplier de la libérer, dans un concert de gargouillis obscènes.
Sa situation humiliante, liée à l'inconfort de sa position ligoté, de sa bouche maltraitée et la peur liée à l'anticipation constante des sévices qu'elle ne pouvait pas anticiper, c'était trop pour elle : elle se mit à sangloter doucement.
Conscient qu'elle aurait fait (et avait fait) pire dans ma position, et persuadé de notre solidité et du bien être qui finirait par découler de ses torture, je réussi à tenir bon.
Je glissais donc l'œuf vibrant contre la corde au niveau de son clitoris, l'activais à fond avant de lui faire un baiser sur le front.
“Je vais prendre une petite douche, ça m'a épuisé… à tout de suite ma chérie.”
Les supplications reprirent de plus belle, avec les mains qui s'agitaient dans leurs liens.
Lorsque j'arrivais dans la salle de bain, je me retournais pour observer mon œuvre : ma femme, transpirante et ligotée à genou, un crochet dans le cul, un gode dans la chatte et un œuf vibrant sur le clito, la bouche grande ouverte remplie de sperme et le maquillage dévasté, en train de sanglotée et gémir en alterné avec le regard noir de jais vissé sur le plafond… j’étais déjà prêt à repartir.
Suite à venir, dans cet univers où un autre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Là aussi, une suite s'impose!!! Merci c'est très excitant tout ça !
C'est parfait ! Une suite SVP