Faire les bébés – Nouvelle version
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 207 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Faire les bébés – Nouvelle version
Faire les bébés – Nouvelle version
Dialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— De quelle manière tu as appris comment on faisait les bébés, quand tu étais petite ?
— Mes parents ne m’ont jamais rien dit. Étrange, hein ? Par contre, ils m’ont beaucoup montré.
— Beaucoup montré… ?
— Rassure-toi : bien malgré eux. J’ai toujours été fouineuse, observatrice. J’adorais m’approcher sans bruit de leur chambre pour regarder par le trou de la serrure. Il doit y avoir un dieu pour les cochonnes : le trou donnait pile sur la scène.
— Ils ne changeaient jamais d’endroit ? Le tapis, le coin du lit…
— Question lieux ils sont toujours restés très basiques, pour mon plus grand bonheur. En tout cas dans la chambre. Je ne sais pas s’ils fricotaient à l’extérieur, ni comment.
— Et tu l’as appris comme ça, en les regardant et en recoupant ?
— Pas tout à fait. Des rumeurs circulaient déjà à l’école, ça m’a juste confirmé qu’elles étaient fondées.
— Leurs accouplements te plaisaient ?
— Je regardais en scientifique, en curieuse. De la même façon qu’on mate un maçon bâtir un mur, ou des ouvriers sur un chantier. Enfin, presque.
— Ça a dû t’instruire alors.
— C’est vrai que j’apprenais des détails insoupçonnés… pas les plus beaux. C’était moins propre et glamour qu’à la téloche. Rien que physiquement, papa n’avait pas le torse de James Bond et maman pas la poitrine de son amante.
— Le coup classique ! Une scène de ce type laisse interdite, et en même temps fascine. On ne peut s’empêcher d’y revenir autant que possible. Non ?
— Si. Et au final à chaque fois j’étais ravie, car je me disais que j’allais devenir grande sœur. J’attendais, j’attendais. Les semaines, les mois, puis les années sont passées, et je ne comprenais toujours pas pourquoi je restais enfant unique. J’arrêtais pas de demander à maman quand elle tomberait enceinte, ce qui l’agaçait prodigieusement.
— Ma pauvre…
— Et en plus de ces espoirs déchus, j’avais aussi peur.
— Peur ? Peur de quoi ?
— Que maman tombe enceinte au mauvais endroit. Qu’un bébé en préparation se mette à faire grossir sa bouche, ou ses fesses, ou entre ses seins.
— Ouch ! À vouloir trop s’instruire on finit par ne plus rien comprendre.
— Surtout que je n’ai pas cité tous les endroits.
— Cite, je t’en prie.
— Inutile ! Il suffit de te dire qu’il n’y a eu aucun endroit qui n’ait jamais été concerné.
— Ton père lui a éjaculé partout dessus ? Absolument partout ?
— Parole. Dans les cheveux, sur le nez, les genoux, le dos, mollets, pieds… je les ai vus tirer un nombre incalculable de coups. J’étais hypnotisée… chaque soir j’étais au rendez-vous, et ils étaient très réguliers, démarrant et finissant presque à heure fixe. Par bonheur, le début était après la fin de mon épisode d’« Hélène et les garçons », et s’achevait avant le début de « La fête à la maison ».
— Tu t’en es remise ?
— Je n’ai jamais été si troublée que cela. Je ne savais pas que c’était cochon. Je pensais que tous les papas et toutes les mamans du monde le faisaient de cette manière. Un peu plus tard, je me suis dit qu’ils étaient cons : ils tentaient de me faire un petit frère et ils visaient n’importe où, jamais là où il fallait. Encore un peu plus tard, j’ai compris qu’ils s’adonnaient juste au sexe bestial et cru. Et que « mal viser » était volontaire, tant par plaisir que pour ne pas risquer d’avoir un deuxième mouflet sous les bras.
— Oh remarque, on est un peu pareil. On passe notre temps à faire des bébés chacune de notre côté sans jamais tomber enceintes.
Dialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— De quelle manière tu as appris comment on faisait les bébés, quand tu étais petite ?
— Mes parents ne m’ont jamais rien dit. Étrange, hein ? Par contre, ils m’ont beaucoup montré.
— Beaucoup montré… ?
— Rassure-toi : bien malgré eux. J’ai toujours été fouineuse, observatrice. J’adorais m’approcher sans bruit de leur chambre pour regarder par le trou de la serrure. Il doit y avoir un dieu pour les cochonnes : le trou donnait pile sur la scène.
— Ils ne changeaient jamais d’endroit ? Le tapis, le coin du lit…
— Question lieux ils sont toujours restés très basiques, pour mon plus grand bonheur. En tout cas dans la chambre. Je ne sais pas s’ils fricotaient à l’extérieur, ni comment.
— Et tu l’as appris comme ça, en les regardant et en recoupant ?
— Pas tout à fait. Des rumeurs circulaient déjà à l’école, ça m’a juste confirmé qu’elles étaient fondées.
— Leurs accouplements te plaisaient ?
— Je regardais en scientifique, en curieuse. De la même façon qu’on mate un maçon bâtir un mur, ou des ouvriers sur un chantier. Enfin, presque.
— Ça a dû t’instruire alors.
— C’est vrai que j’apprenais des détails insoupçonnés… pas les plus beaux. C’était moins propre et glamour qu’à la téloche. Rien que physiquement, papa n’avait pas le torse de James Bond et maman pas la poitrine de son amante.
— Le coup classique ! Une scène de ce type laisse interdite, et en même temps fascine. On ne peut s’empêcher d’y revenir autant que possible. Non ?
— Si. Et au final à chaque fois j’étais ravie, car je me disais que j’allais devenir grande sœur. J’attendais, j’attendais. Les semaines, les mois, puis les années sont passées, et je ne comprenais toujours pas pourquoi je restais enfant unique. J’arrêtais pas de demander à maman quand elle tomberait enceinte, ce qui l’agaçait prodigieusement.
— Ma pauvre…
— Et en plus de ces espoirs déchus, j’avais aussi peur.
— Peur ? Peur de quoi ?
— Que maman tombe enceinte au mauvais endroit. Qu’un bébé en préparation se mette à faire grossir sa bouche, ou ses fesses, ou entre ses seins.
— Ouch ! À vouloir trop s’instruire on finit par ne plus rien comprendre.
— Surtout que je n’ai pas cité tous les endroits.
— Cite, je t’en prie.
— Inutile ! Il suffit de te dire qu’il n’y a eu aucun endroit qui n’ait jamais été concerné.
— Ton père lui a éjaculé partout dessus ? Absolument partout ?
— Parole. Dans les cheveux, sur le nez, les genoux, le dos, mollets, pieds… je les ai vus tirer un nombre incalculable de coups. J’étais hypnotisée… chaque soir j’étais au rendez-vous, et ils étaient très réguliers, démarrant et finissant presque à heure fixe. Par bonheur, le début était après la fin de mon épisode d’« Hélène et les garçons », et s’achevait avant le début de « La fête à la maison ».
— Tu t’en es remise ?
— Je n’ai jamais été si troublée que cela. Je ne savais pas que c’était cochon. Je pensais que tous les papas et toutes les mamans du monde le faisaient de cette manière. Un peu plus tard, je me suis dit qu’ils étaient cons : ils tentaient de me faire un petit frère et ils visaient n’importe où, jamais là où il fallait. Encore un peu plus tard, j’ai compris qu’ils s’adonnaient juste au sexe bestial et cru. Et que « mal viser » était volontaire, tant par plaisir que pour ne pas risquer d’avoir un deuxième mouflet sous les bras.
— Oh remarque, on est un peu pareil. On passe notre temps à faire des bébés chacune de notre côté sans jamais tomber enceintes.
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