Fantasme pet-play BDSM

Récit érotique écrit par AniaSb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Fantasme pet-play BDSM
C’est vendredi soir, nous avons réservé un manoir pour le week-end. Mon Maître ouvre la portière arrière de la berline où je suis attachée et encagée. Il me tend la main. Je pose un escarpin sur le sol caillouteux et sors de la voiture. Maître Elias tient ma laisse, et je marche à quatre pattes jusqu’à la porte, au risque de déchirer ma robe scintillante bleu nuit. Je lâche le gros trousseau de clés que je portais en bouche dans la main délicate de mon Maître. Nous découvrons un endroit sombre et spacieux. Les rideaux rouges créent une ambiance tamisée que nous édulcorons de quelques chandelles. Nous savons bien sûr à quoi elles serviront, mais nous ne savons pas encore où.
Je suis excitée. Je sens le bas de mon ventre se tordre de stress et d’impatience.
Elias s’assoit sur le canapé et je me place à ses pieds. Je m’incline pour lécher ses chaussures, ses semelles. Il en profite pour écraser mon visage de femelle. Je me mets à genoux et défais ses lacets. Je retire ses chaussures et les lèche une nouvelle fois. Je frotte mon visage contre ses pieds et attends mon tour. Il le sait, il attend et profite de ma dévotion. Au bout d’un moment, il me fait signe de me lever et de m’allonger sur ses genoux. Un de mes jeux préférés. Je sais que je vais subir. Il saisit mon bras droit pour le tenir fermement dans mon dos, puis commence à me fesser. Très vite, très fort, et me fait compter. Je commence à hurler. Je sais que nous sommes seuls, je peux tout sortir. J’ai mal, et j’aime ça.
À la fin du châtiment, il me permet de boire dans la gamelle qu’il me sert.
— Tu n’as pas oublié les croquettes, j’espère ? dit-il d’un air malicieux.
— Non, Maître... dis-je timidement. En effet, j’ai perdu un pari. Je savais que ce jour arriverait, d’une manière ou d’une autre.
— Mais d’abord, c’est l’heure de la douche.
Mon Maître m’emmène dans le jardin, face à un trépied où est accrochée une caméra. Il m’attache les bras en l’air à un arbre, et devant le regard des internautes, me gifle, me fouette avec sa ceinture, et me fesse. Il s’absente dans la cabane du jardin et revient avec des cisailles. Il les rapproche de mon visage, puis de mes seins, et coupe deux ronds au niveau de mes tétons. Il les tire, les mord, et y accroche deux petits poids à clochettes. Il met sur ma tête des oreilles de vache et fourre dans mon cul un plug avec une queue de chienne. Il découpe ma robe au niveau du ventre, laissant apparaître ma chatte trempée. Il me maquille un peu, me dessine des moustaches, écrit « SALOPE » sur mon front et « grosse vache » sur mes mamelles. Je suis sa grosse vache maintenant.
— Vas-y, je sais que t’en meurs d’envie...
— ...
— Allez, fais pas ta prude, c’est un ordre.
— Meeeeuh.
— Plus fort !
— MMMEEEEEEUUUUUH !
Mmmh, me voilà transformée. Il rapproche la caméra pour montrer mes seins au grand public, se délectant des commentaires. Certains lui donnent des idées. Voilà qu’il me coupe les cheveux. Il coupe une énorme mèche sur le côté droit et me fait une coupe au carré — mes cheveux arrivaient jusque sous mes épaules. Je commence à avoir peur de leurs idées et de l’enthousiasme couplé de mon Maître bien-aimé. Je crie « ROUGE », notre safe-word, et il pose les ciseaux. Nous nous sommes arrêtés à temps. J’ai aimé qu’il me fasse la tête au carré.
Enfin, il ouvre l’arrivée d’eau et remplit un petit seau d’eau froide qu’il déverse au-dessus de mon visage. Je me dandine en escarpin, les poignets liés à l’arbre du jardin qui s’assombrit. Il met le flash de son téléphone, qui m’éblouit, pour continuer à nous éclairer. Le calvaire continue, je frissonne, je compte encore, il s’arrête au quinzième seau.
— Mais pour celui-ci, tu pencheras la tête vers le haut et garderas les yeux ouverts.
— Oui Maître, Meeeeuh, Maître.
— Bonne grosse vache, ça.
Nous rentrons. J’ose croire avoir le droit de me réchauffer, mais Elias me réserve une autre peine. Il commence à pleuvoir, et il y a une cage qui orne le manoir, donnant sur la vallée, dehors. Il m’y enfourne. Mes jambes dépassent un peu des trous des barreaux. C’est terrifiant. Il vient me narguer en bas, me filme encore. Et j’aime ça. Il s’en va, me laissant une demi-heure, tandis qu’il se réchauffe dans un bain.
Il vient me chercher et me permet d’en prendre un aussi. Il me lave, me caresse, glisse ses doigts dans ma chatte mouillée. Il va au plus profond, de tous ses doigts. En sortant, il me vêt d’un peignoir soyeux et applique de l’huile sur mon corps, sans omettre aucun endroit.
Je ne porte plus rien à part mes escarpins, mes oreilles, et ma queue. Je me déplace à quatre pattes tout le temps maintenant. C’est douloureux, mais à portée de queue. Pratique. Je suce mon Maître pendant des heures tandis qu’il partage des vidéos de nos performances.
Il m’emmène dans la cave, où il m’attache et continue de me fouetter. Il accroche des poids plus gros à mes mamelles et décide d’accepter chaque proposition des spectateurs. Je finis rapidement godée par tous les trous. À l’unanimité, nous retournons dans le jardin. Je subis de nouveau la torture de l’eau fraîche sur mon corps maltraité. Ils recouvrent mon corps d’écritures, d’insultes : « déchetterie » sur le bras, « baleine » sur le ventre, « bonne à prendre » dans le bas du dos, « trou à bite » autour de la bouche.
— Tu es ridicule, ma salope.
— MMEEEEEUHHHHH...
Tant que le ridicule ne tue pas, je suis prête à tout. J’aime être humiliée.
Soudain, nous entendons une voiture se garer de l’autre côté du manoir. Mon Maître y va, et revient au bout de quelques minutes avec un vieil agriculteur. Ils éclatent de rire en me voyant, en plein désarroi et gênée, puis finalement épuisée. L’homme s’approche, retire les énormes pinces brutalement de mon sein et tête immédiatement mes mamelles. Il fourre un doigt dans ma chatte, puis le lèche et m’embrasse pendant de longues minutes ainsi.
Après une courte pipe, on me bâillonne, on me bande les yeux, et on m’emmène dans la voiture. Elle roule sans qu’on m’informe de sa destination. Cela dure une demi-heure. Le bâillon étire ma mâchoire, ça devient douloureux. Je bave terriblement au-dessus d’un seau qu’ils ont placé sous ma bouche.
Nous arrivons. J’entends des bruits d’animaux. Au sol, je ressens du foin.
On m’attache le cou et la taille, puis on me retire mon bandeau. Je suis dans l’étable, entourée de vaches. Je sens une aspiration sur mes tétons et pousse un cri.
L’agriculteur, surpris par mes cris et les coups de ceinture, est venu jeter un œil. Mon Maître lui a expliqué ce que nous faisions réellement, s’excusant par politesse, tandis que le vieux rétorquait, avouant que c’était son plus gros fantasme. Si, par hasard, le Maître était d’accord, Monsieur pouvait prêter ses lieux à des fins sexuelles. Ainsi, me voilà traitée et prise par le cul par l’agriculteur, sous la caméra de mon Maître qui commence enfin à se branler. Les spectateurs sont ravis.
Maître Elias part chercher des orties dans le jardin et caresse mon visage et mon clitoris avec les feuilles. Il finit par enfourner une main pleine dans ma chatte et y relâche les plantes. Je commence enfin à pleurer.
En prime, on me jette un nouveau seau d’eau sur le corps. Mon Maître sort les pinces électriques, et je sais que la soirée ne fait que commencer. Pendant plusieurs minutes, mon Maître électrocute mon clitoris et mes tétons, sur lesquels pendent toujours des pinces avec des poids. Je tremble de tout mon corps tandis que le vieux continue de prendre mon cul.
Une fois que le vieux a joui, nous rentrons chez lui. Je serre une bière à chacun d’eux, me fais un thé que je bois au sol, et m’allonge près du feu tandis qu’ils discutent. Je m’endors. Erreur. Je suis réveillée par une énorme baffe de la part de l’agriculteur et un coup de pied dans le ventre de la part de mon Maître.
— Tu me fais honte, est-ce des manières ?!
Pour me faire pardonner, je rampe aux pieds de mon Maître et lèche ses chaussures. Il me donne un coup de pied au visage :
— Excuse-toi auprès de Maître Georges. Pour te faire pardonner, je te confie à lui. Je reviens demain.
Sur ces paroles, il claque la porte, démarre la voiture, et me laisse telle une proie entre les griffes d’un inconnu. Je ne le sais pas, mais pendant que je dormais, mon Maître a installé des caméras, et regardera tout depuis la voiture, pas très loin.
Je gis encore au sol, et mon nouveau Maître s’allonge sur moi de tout son poids, m’asphyxie doucement. Je suffoque.
— Tu vas faire quoi hein, petite soumise ? me lance-t-il, le regard envoûté.
Il met son énorme main dans ma chatte et commence à me fister, avant de caresser mon anus de son autre main aussi gigantesque. Je jouis de bonheur. Il m’emmène dehors, de retour à l’étable. Il me fait faire le tour du propriétaire, à quatre pattes, me présente à ses animaux. Il choisit la cage des cochons et m’y place. Il en sort, me prend en photo, puis l’envoie à un de ses amis. Il se branle en me regardant plantée là. Au bout d’un quart d’heure, quelqu’un arrive. C’est son ami. Tous deux se branlent en me mattant.
Lorsqu’ils me sortent, j’en suce un tandis que l’autre me prend, et nous échangeons. Tantôt dans ma bouche, tantôt dans ma chatte et dans mon cul. L’un d’eux a essayé de rentrer dans mon nez, il a tiré sur mes narines pour les élargir et a joui dedans. Son sperme a coulé dans ma gorge. L’autre a joui dans mon cul. Il m’a fait m’accroupir au-dessus du seau qui servait auparavant dans la voiture à recueillir ma bave lorsque j’étais bâillonnée, et m’a forcée à pousser. Son sperme a jailli de mon cul, et j’ai bu tout le contenant sous les yeux ébahis de mes Maîtres.
La grosse vache est dans la place.
Je me fais de nouveau traire, l’agriculteur étant fier de montrer le spectacle à son ami.
Je suis excitée. Je sens le bas de mon ventre se tordre de stress et d’impatience.
Elias s’assoit sur le canapé et je me place à ses pieds. Je m’incline pour lécher ses chaussures, ses semelles. Il en profite pour écraser mon visage de femelle. Je me mets à genoux et défais ses lacets. Je retire ses chaussures et les lèche une nouvelle fois. Je frotte mon visage contre ses pieds et attends mon tour. Il le sait, il attend et profite de ma dévotion. Au bout d’un moment, il me fait signe de me lever et de m’allonger sur ses genoux. Un de mes jeux préférés. Je sais que je vais subir. Il saisit mon bras droit pour le tenir fermement dans mon dos, puis commence à me fesser. Très vite, très fort, et me fait compter. Je commence à hurler. Je sais que nous sommes seuls, je peux tout sortir. J’ai mal, et j’aime ça.
À la fin du châtiment, il me permet de boire dans la gamelle qu’il me sert.
— Tu n’as pas oublié les croquettes, j’espère ? dit-il d’un air malicieux.
— Non, Maître... dis-je timidement. En effet, j’ai perdu un pari. Je savais que ce jour arriverait, d’une manière ou d’une autre.
— Mais d’abord, c’est l’heure de la douche.
Mon Maître m’emmène dans le jardin, face à un trépied où est accrochée une caméra. Il m’attache les bras en l’air à un arbre, et devant le regard des internautes, me gifle, me fouette avec sa ceinture, et me fesse. Il s’absente dans la cabane du jardin et revient avec des cisailles. Il les rapproche de mon visage, puis de mes seins, et coupe deux ronds au niveau de mes tétons. Il les tire, les mord, et y accroche deux petits poids à clochettes. Il met sur ma tête des oreilles de vache et fourre dans mon cul un plug avec une queue de chienne. Il découpe ma robe au niveau du ventre, laissant apparaître ma chatte trempée. Il me maquille un peu, me dessine des moustaches, écrit « SALOPE » sur mon front et « grosse vache » sur mes mamelles. Je suis sa grosse vache maintenant.
— Vas-y, je sais que t’en meurs d’envie...
— ...
— Allez, fais pas ta prude, c’est un ordre.
— Meeeeuh.
— Plus fort !
— MMMEEEEEEUUUUUH !
Mmmh, me voilà transformée. Il rapproche la caméra pour montrer mes seins au grand public, se délectant des commentaires. Certains lui donnent des idées. Voilà qu’il me coupe les cheveux. Il coupe une énorme mèche sur le côté droit et me fait une coupe au carré — mes cheveux arrivaient jusque sous mes épaules. Je commence à avoir peur de leurs idées et de l’enthousiasme couplé de mon Maître bien-aimé. Je crie « ROUGE », notre safe-word, et il pose les ciseaux. Nous nous sommes arrêtés à temps. J’ai aimé qu’il me fasse la tête au carré.
Enfin, il ouvre l’arrivée d’eau et remplit un petit seau d’eau froide qu’il déverse au-dessus de mon visage. Je me dandine en escarpin, les poignets liés à l’arbre du jardin qui s’assombrit. Il met le flash de son téléphone, qui m’éblouit, pour continuer à nous éclairer. Le calvaire continue, je frissonne, je compte encore, il s’arrête au quinzième seau.
— Mais pour celui-ci, tu pencheras la tête vers le haut et garderas les yeux ouverts.
— Oui Maître, Meeeeuh, Maître.
— Bonne grosse vache, ça.
Nous rentrons. J’ose croire avoir le droit de me réchauffer, mais Elias me réserve une autre peine. Il commence à pleuvoir, et il y a une cage qui orne le manoir, donnant sur la vallée, dehors. Il m’y enfourne. Mes jambes dépassent un peu des trous des barreaux. C’est terrifiant. Il vient me narguer en bas, me filme encore. Et j’aime ça. Il s’en va, me laissant une demi-heure, tandis qu’il se réchauffe dans un bain.
Il vient me chercher et me permet d’en prendre un aussi. Il me lave, me caresse, glisse ses doigts dans ma chatte mouillée. Il va au plus profond, de tous ses doigts. En sortant, il me vêt d’un peignoir soyeux et applique de l’huile sur mon corps, sans omettre aucun endroit.
Je ne porte plus rien à part mes escarpins, mes oreilles, et ma queue. Je me déplace à quatre pattes tout le temps maintenant. C’est douloureux, mais à portée de queue. Pratique. Je suce mon Maître pendant des heures tandis qu’il partage des vidéos de nos performances.
Il m’emmène dans la cave, où il m’attache et continue de me fouetter. Il accroche des poids plus gros à mes mamelles et décide d’accepter chaque proposition des spectateurs. Je finis rapidement godée par tous les trous. À l’unanimité, nous retournons dans le jardin. Je subis de nouveau la torture de l’eau fraîche sur mon corps maltraité. Ils recouvrent mon corps d’écritures, d’insultes : « déchetterie » sur le bras, « baleine » sur le ventre, « bonne à prendre » dans le bas du dos, « trou à bite » autour de la bouche.
— Tu es ridicule, ma salope.
— MMEEEEEUHHHHH...
Tant que le ridicule ne tue pas, je suis prête à tout. J’aime être humiliée.
Soudain, nous entendons une voiture se garer de l’autre côté du manoir. Mon Maître y va, et revient au bout de quelques minutes avec un vieil agriculteur. Ils éclatent de rire en me voyant, en plein désarroi et gênée, puis finalement épuisée. L’homme s’approche, retire les énormes pinces brutalement de mon sein et tête immédiatement mes mamelles. Il fourre un doigt dans ma chatte, puis le lèche et m’embrasse pendant de longues minutes ainsi.
Après une courte pipe, on me bâillonne, on me bande les yeux, et on m’emmène dans la voiture. Elle roule sans qu’on m’informe de sa destination. Cela dure une demi-heure. Le bâillon étire ma mâchoire, ça devient douloureux. Je bave terriblement au-dessus d’un seau qu’ils ont placé sous ma bouche.
Nous arrivons. J’entends des bruits d’animaux. Au sol, je ressens du foin.
On m’attache le cou et la taille, puis on me retire mon bandeau. Je suis dans l’étable, entourée de vaches. Je sens une aspiration sur mes tétons et pousse un cri.
L’agriculteur, surpris par mes cris et les coups de ceinture, est venu jeter un œil. Mon Maître lui a expliqué ce que nous faisions réellement, s’excusant par politesse, tandis que le vieux rétorquait, avouant que c’était son plus gros fantasme. Si, par hasard, le Maître était d’accord, Monsieur pouvait prêter ses lieux à des fins sexuelles. Ainsi, me voilà traitée et prise par le cul par l’agriculteur, sous la caméra de mon Maître qui commence enfin à se branler. Les spectateurs sont ravis.
Maître Elias part chercher des orties dans le jardin et caresse mon visage et mon clitoris avec les feuilles. Il finit par enfourner une main pleine dans ma chatte et y relâche les plantes. Je commence enfin à pleurer.
En prime, on me jette un nouveau seau d’eau sur le corps. Mon Maître sort les pinces électriques, et je sais que la soirée ne fait que commencer. Pendant plusieurs minutes, mon Maître électrocute mon clitoris et mes tétons, sur lesquels pendent toujours des pinces avec des poids. Je tremble de tout mon corps tandis que le vieux continue de prendre mon cul.
Une fois que le vieux a joui, nous rentrons chez lui. Je serre une bière à chacun d’eux, me fais un thé que je bois au sol, et m’allonge près du feu tandis qu’ils discutent. Je m’endors. Erreur. Je suis réveillée par une énorme baffe de la part de l’agriculteur et un coup de pied dans le ventre de la part de mon Maître.
— Tu me fais honte, est-ce des manières ?!
Pour me faire pardonner, je rampe aux pieds de mon Maître et lèche ses chaussures. Il me donne un coup de pied au visage :
— Excuse-toi auprès de Maître Georges. Pour te faire pardonner, je te confie à lui. Je reviens demain.
Sur ces paroles, il claque la porte, démarre la voiture, et me laisse telle une proie entre les griffes d’un inconnu. Je ne le sais pas, mais pendant que je dormais, mon Maître a installé des caméras, et regardera tout depuis la voiture, pas très loin.
Je gis encore au sol, et mon nouveau Maître s’allonge sur moi de tout son poids, m’asphyxie doucement. Je suffoque.
— Tu vas faire quoi hein, petite soumise ? me lance-t-il, le regard envoûté.
Il met son énorme main dans ma chatte et commence à me fister, avant de caresser mon anus de son autre main aussi gigantesque. Je jouis de bonheur. Il m’emmène dehors, de retour à l’étable. Il me fait faire le tour du propriétaire, à quatre pattes, me présente à ses animaux. Il choisit la cage des cochons et m’y place. Il en sort, me prend en photo, puis l’envoie à un de ses amis. Il se branle en me regardant plantée là. Au bout d’un quart d’heure, quelqu’un arrive. C’est son ami. Tous deux se branlent en me mattant.
Lorsqu’ils me sortent, j’en suce un tandis que l’autre me prend, et nous échangeons. Tantôt dans ma bouche, tantôt dans ma chatte et dans mon cul. L’un d’eux a essayé de rentrer dans mon nez, il a tiré sur mes narines pour les élargir et a joui dedans. Son sperme a coulé dans ma gorge. L’autre a joui dans mon cul. Il m’a fait m’accroupir au-dessus du seau qui servait auparavant dans la voiture à recueillir ma bave lorsque j’étais bâillonnée, et m’a forcée à pousser. Son sperme a jailli de mon cul, et j’ai bu tout le contenant sous les yeux ébahis de mes Maîtres.
La grosse vache est dans la place.
Je me fais de nouveau traire, l’agriculteur étant fier de montrer le spectacle à son ami.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire bien évidemment fictive (et heureusement...), écrite par un pervers qui narre ses fantasmes de domination féminine les plus indignes.
Le pire est en est la lecture par de nombreux autres pervers qui bien sûr se branlent devant ces saloperies ressemblant aux exactions de l'Allemagne nazie.
Lecteurs, imaginez plutôt cette histoire dont la victime serait votre mère, ou votre compagne ou votre fille ?..
Réfléchissez bien.
Le pire est en est la lecture par de nombreux autres pervers qui bien sûr se branlent devant ces saloperies ressemblant aux exactions de l'Allemagne nazie.
Lecteurs, imaginez plutôt cette histoire dont la victime serait votre mère, ou votre compagne ou votre fille ?..
Réfléchissez bien.

