Si j'en rencontrais... - histoire érotique

J'attends, dans le noir, à genoux, en position, mains derrière la tête. Je n'ai jamais vu la personne que je vais voir. J'aime sa plume, voilà tout. Je connais ses mensurations et je sais qu'il a 50 ans et qu'il les porte bien. Ca contraste vis-à-vis de mes 26 ans tout trempés.

Je suis entrée dans la chambre de l'hôtel en premier, une heure avant lui, et me suis mise en position. Il y a deux flaques au sol, ma mouille, et ma bave, autant de liquide que je devrais lécher à son arrivée.

Lorsqu'il arrive, je fais face à la porte. Il déboutonne son pantalon et pose sa bite même pas bandée sur ma langue avant de me l'insérer dans la bouche. Je gémis, puis je l'engloutis d'une traite. Je me montre sous mon plus beau jour : je donne tout. Je fais tous les bruits de succion possible, je ne garde pas mes hauts le coeur, j'enfonce encore plus loin, j'ai mal, ça chatouille, je le sens monter.

Au bout de dix terribles minutes de torture buccale, il jouit dans ma gorge et me pousse au sol. Je m'étale de tout mon long, et il pose un pied sur mon ventre. Il appuie. Un avant goût de sa brutalité qui me met en garde. Puis, il déplace sa chaussure au-dessus de mon visage et m'ordonnne de lécher. Ce que je fais, goulûment.

Il me porte un premier regard dans les yeux, ainsi qu'un sourire, ce qui me fait frémir de bonheur. Un peu de tendresse, je me déraidis. Il s'asseoit à côté de moi et part fouiller sans plus attendre mon entre-jambe dégoulinante. Bientôt, ce sera de son foutre que ça dégoulinera (nous nous sommes préalablement envoyés nos tests).

Il me laisse au sol et me prend en photo, tel un trophée. Il m'ordonne de sourire. Je me sens humiliée, bête et crédule. Mais j'aime tout ce qui se passe. Il sort de sa valise mes habits : une robe noire, moulante, très courte et transparente, et des escarpins de vingt centimètres noirs. Mon maître est très grand, par rapport à moi, et ce malgré mes talons. Je me sens très vulnérable face à lui et espère m'en attirer les faveurs au plus vite. Nous allons manger.
Dans la voiture, il me donne un assez gros plug et du lubrifiant ainsi qu'un vibromasseur connecté à fourrer dans mon vagin. Ma culotte et mon périnée s'occuperont de retenir le tout. Il choisit pour moi : du Gin en apéritif, un steack haché et du riz accompagné de légumes en plat et une mousse au chocolat en dessert. Du vin rouge en mangeant. Mon rouge à lèvre écarlate laisse des marques sur le verre en cristal. Repas sobre, mais "il me faut des forces", suggère mon amant. Il s'appelle Georges.

A table, Georges me demande de faire pointer mes tétons puis de les lui montrer. Je déplace discrètement mon index et mon majeur vers l'intérieur de ma robe et commence à les titiller. Je fais la même chose de l'autre côté. Puis, je donne un dernier coup avec mes mains directement sur ma robe avant d'en écarter le tissue et d'exhiber ma poitrine charnue. En attendant, je lui fais du pieds sous la table et commence à user de mes charmes. Je sors, toujours aussi discrètement que possible, ma langue, et donne des petits coups dans le vide.

Je déclare le premier "Wouf" juste après l'apéritif. C'est à ce moment là que je sens la première bosse apparaître sous mon pied. Nous rions, nous nous amusons. Il fait aller le vibromasseur et je commence à couiner. Je rappelle à mon Maître les accessoires que j'ai dans ma valise : plug avec queue de chienne, oreilles, godemichet géant, une dizaine de pinces à linge... Comme pour l'impresisoner. Il n'en est rien et dépose sur la table de petites pinces avec des clochettes au bout. Il me dit qu'il savait que j'aurai fait la maligne et pour me punir il m'ordonne de les porter. Lorsque je me lève pour aller aux toilettes, il me retient :
Tu vas où petite chienne, ton Maître ne t'a pas donné l'autorisation de te lever.

C'est alors que je me rassois, et comprends dans ma petite caboche que c'est sous ses yeux, et certainement aux yeux du vieil homme derrière Maître Gorges qui a compris notre petit jeu, que je vais devoir accrocher les pinces à mes tétons. Contrairement aux miennes, elles sont très douloureuses. Je verse une larme au bout de dix minutes. Je deviens rouge et suppliante.
Qu'est-ce que ce sera quand tu les auras sur la chatte, sale pute.

Je commence à avoir peur. Je crois que c'est maintenant que le jeu commence.
Nous rentrons à l'hôtel, mais avant, mon Maître me fait pisser sur le bas côté de la route, du haut de mes talons aiguilles et parée des meilleurs apparats dans mes orifices.
Enfin rentrés, je me mets à quatre pattes et m'en va sucer mon Maître assis sur le canapé. Puis, il me relève, me retourne, enlève mon plug de mon cul et me pilonne sans pitié. Je sens une queue douce et grosse. Pas très longue, mais qui sait aller où il faut pour atteindre l'orgasme. Un homme habile.
Il ne jouit pas. C'était notre entrée, le menu continue. Il sort son ordinateur et commence à me filmer.
Dis bonjour aux copains sale pute, dit-il avec un large sourire.

Je souris à mon tour.

- Bonjour...
- PLUS FORT, CONNASSE ! MIEUX QUE CA
- BONJOUR MAITRESSES, BONJOUR MAITRE
- C'est moi ton Maître espèce de conne, recommence.
- BONJOUR MESDAMES, BONJOUR MESSIEURS;
- Voilà, quand tu veux.

Et une série de gifle s'abat sur mes joues et sur mon corps. Il empoigne sa ceinture, me tire par les cheveux, et assène mon corps de coups. Le cuir laisse des marques rouge sur mon corps, la session va être rude. On m'insulte déjà en commentaires. Tous veulent découvrir ma chatte et la voir se faire torturer.

Mon Maître m'attache aux quatre coins du lit et me reprend... Son ventre lourd s'abat sur sa cochonne soumise, il bouche mon nez et la bouche, je jouis très très fort.
Il attendait que la cire fonde avant de me la faire couler sur mon pubis poilu. Mon clitoris ressent une intense douleur chaude et je sors un petit cri. Il me gifle, indiquant que je n'ai pas à me plaindre, que je dois accepter ma condition. Il sort de la vraie cire et je sais que mon calvaire va commencer. Il a prévenu beaucoup de monde de notre session, plus les inconnus qui passent par là, ils sont bientôt plus de trois cents à être venus voir ma chatte se faire épiler.

Maître Georges écarte mes petites lèvres et fait couler de la cire chaude dessus. Je sens que c'est la première fois qu'il fait cela et j'ai peur. Il a mis ma culotte dans ma bouche qu'il a scotché pour que je fasse le moins de bruit possible dans la chambre d'hôtel. Et il tire, bande par bande et je crie, et je pleure, et mon Maître m'épile à la caméra. C'est très long, il repasse plusieurs fois aux endroits qu'il a déjà épilé. Mais j'ai signé pour cela. En ligne, nous avons établi une liste de pratiques auxquelles nous souscrivions, et l'épilation et l'exhibition en font parties. Bien sûr, mon Maître garde aussi une copie de nos ébats.
Puis, il m'épile les tétons. Plus pour la torture que pour des poils de toute façon inexistants. Il torture mes pieds avec la cire, l'intérieur de mes cuisses.
Avant de me détacher les jambes, pour mieux m'enculer, toujours devant nos spectateurs.
Il se retient et vient jouir dans ma bouche. J'avale tout.