Ma place

- Par l'auteur HDS AniaSb -
Récit érotique écrit par AniaSb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma place Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma place
04/05/2025
J'ai encore fait des folies de mon corps sur internet hier. C'était trop bien. Je sais qu'un moment plus de cinquante mecs me mataient simultanément et j'obéissais à trois d'entre eux. Le plus original, c'est celui qui est là depuis plusieurs jours et avec qui je m'amuse. Il m'a demandé de mettre un manche de parapluie dans mon vagin, c'était drôle. Un autre s'est amusé à me dresser. Je lui ai demandé si j'avais le droit de l'appeler Maître, ce qu'il a acquiescé sans attendre. J'avoue, c'était une question quelque peu provocatrice. Il a commencé par me faire mettre des pinces aux tétons, puis au clitoris. Au bout de la pince, j'ai accroché un petit plug à diams rouge, qui était auparavant dans mon cul, avec des écouteurs en guise de fil. C'est un instrument de torture de fortune, un petit poids au bout de mon clitoris ou de mes gros mamelons, mais je pense que la vue de mon vagin se balancer d'avant en arrière pour torturer mon sexe en a fait jouir plus d'un. Et moi donc.

Puis, j'ai aboyé à la webcam. Je me suis transformée en chienne : j'ai mis un gros plug dans mon cul sur lequel est accroché aussi une queue de chienne, et des petites oreilles en tissu tenues sur un diadème. Puis, mon nouveau Maître m'a faite prendre un bol, et je suis partie dans ma chambre, pour ne pas trop embêter mon copain qui était occupé à jouer à son jeu dans le canapé à côté de moi. J'avais un peu honte de ma pratique, je me suis cachée. Je me suis mise à quatre pattes au sol. J'avais alors trois pinces à linge sur la langue. Ils voulaient que je les enlève pour laper mais que nenni, j'ai lapé avec les trois pinces dans la gueule et j'ai aboyé. Bien sûr, j'ai demandé pardon d'avoir désobéi à genoux en position. C'est-à-dire, à genoux au sol, cuisses écartées, la paume des mains posées sur mes cuisses et tournées vers le ciel ou alors, ma préférée, les mains derrière la tête. J'avais la chatte bien écartée et je m'amusais à tirer encore plus sur les pinces qui arboraient mes petites lèvres, à les tourner. L'un d'eux a voulu que je trempe mon sein dans l'eau puis que je le lèche. J'ai obéis. Je léchais le téton, pour apaiser la douleur car lors d'une session précédente, j'avais dû mordre mon sein, et je l'avais tenu dans ma gueule, sans les mains. Ca pique.

J'ai fait aussi une webcam avec une personne, rien qu'à deux cette fois. Lui, je l'ai fait jouir à grosses gouttes. J'ai pris mon plus gros godemichet, en caoutchouc, et j'en ai fait une gorge profonde. J'haletais et je gémissais de douleur et de plaisir en même temps. Je n'arrive pas à le mettre en entier car ça chatouille au fond de la gorge, mais vous me connaissez maintenant, il ne reste que trois ou quatre centimètres à engloutir sur les vingt-cinq qui sont déjà avalés. Wouf, wouf, wouf.

J'ai fait une double pénétration. Avec tous mes jouets... Avec mon petit plug à diams rouge, avec le godemichet en caoutchouc transparent dans ma chatte pour bien montrer les parois de mon vagin ou de mon cul s'étirer au rythme des va-et-viens, avec mes petits godes violets et noirs. Tantôt dans mon cul, tantôt dans ma chatte. Ca rentre, ça sort, ça fait mal, ça fait du bien. Et je bougeais mes hanches comme pour m'enfoncer de plus en plus sur les objets.
Puis, j'ai nettoyé le godemichet de mon cul pour le mettre dans ma chatte après avoir inséré mon plus gros plug dans le cul, celui avec la queue de chienne, de chatte, de louve au bout. Puis, j'ai enlevé le tout, et j'ai tout léché.

Wouf, wouf, wouf.

J'adore lire leurs commentaires : "va plus profond petite chienne", "sale garce, j'te baise", "salope, suce encore comme si c'était ma bite". Mmmmh, autant d'expressions qui m'encouragent à essayer d'engloutir les quelques centimètres qui restent de mon godemichet. J'aime aussi ceux qui me disent que je suis magnifique. C'est vrai que mes yeux ressortent très bien à la lumière de la caméra. Il y en a un qui m'appelle Belle dame soumise magnifique, car chaque début de mot constitue respectivement les lettres de BDSM. J'adore, c'est poétique, ça me touche presque. Ca me touche vraiment en réalité... J'aime qu'on prenne le temps d'être poétique avec moi, d'être une muse pour certains pervers qui portent leur plume.

L'un d'entre eux aussi m'a fait m'habiller comme une écolière. Je l'appelais Monsieur le Professeur. Il m'a fait porter une chemise blanche à carreaux bleu ainsi qu'une mini jupe plissée noire. J'ai opté de mon plein gré pour les bas résilles car il voulait une étudiante qui soit aussi vulgaire que possible. Je me suis excusée auprès de mon professeur bien sûr pour autant de vulgarité, qu'il avait désiré. J'aime ce petit paradoxe.
Je me suis faite jouir devant tout le monde, avec mon petit vibromasseur rose et habillée de résilles sur tout mon corps, sur mes bras, mon ventre, mon pubis, mes jambes et mes pieds.
Aujourd'hui je suis chaude aussi. J'ai mis un décolleté rouge, la fameuse jupe plissée noire, des bas résilles et j'ai même opté pour les talons. Je suis dans mon canapé devant un film avec mon copain. C'est un chouette dimanche pour s'exhiber.

Avec mes Maîtres, j'apprends à poser des limites, car j'ai envie de tout faire mais il y a des limites à la pudeur. Alors, j'accepte de pisser dans ma douche mais seulement devant une seule personne. Et ils voulaient tous que je pisse dans le bol que j'ai lapé. J'ai refusé mais j'ai essayé d'être à la hauteur en buvant l'eau, puis en la recrachant dans mon bol. Puis je rebuvais une partie de l'eau qui coulait dans ma bouche, recrachais l'autre, et je me sens encore plus soumise que certains personnages que j'invente. Je peux enfin toucher du bout des doigts ce que j'essaie de leur faire ressentir dans mes écrits. Aussi, mon nouveau Maître éphémère a voulu que je foute mes cheveux dans le bol. J'ai apprécié cette idée pour son originalité.

Ensuite, j'ai arrêté de jouer avec l'eau, pas parce que je le voulais, bien au contraire, mais parce que j'avais honte d'aller rechercher de l'eau à ma place, à la cuisine. Passer devant mon vrai Maître en ayant à peine enlevé les trois pinces de ma bouche... Non, non, non, c'est trop gênant, j'irai plus loin seule ou une prochaine fois. Je passerai par la salle de bain. Je rigole, la cuisine n'est pas ma place. Ma place est au sol, dans le coin, dans le noir, dans le froid, de dos, si possible recouverte d'eau glacée d'un seau qu'on aurait jeté sur moi. Le seau avec, bien sûr, et sur ma tête tiens. Wouf, grrrrr...
Ma place.

Il y a deux jours, j'ai écrit plein de saletés sur mon corps et j'ai colorié ma chatte au feutre rose. Je l'explique dans mon précédent écrit. Cette fois-ci, il y a écrit : "Joyeux anniversaire" sur mon pubis, suivi du pseudo d'un des hommes qui me regarde m'exhiber en ligne, et aussi, sur mes mamelles : "Maître789*", le pseudo du Maître qui me dressait lors de cette session. Eh bien, c'est difficile de laver tout ça. Mon Maître a bien essayé de frotter au savon de Marseille mais je pense que je vais devoir frotter plusieurs jours pour que le rose de ma chatte ne disparaisse. J'ai un peu honte dans ma douche je l'avoue car ce n'est pas banal mais très vite je recommence à mouiller en repensant à l'exécution de leurs ordres et de ma chatte luisante de mouille et laissant de longues coulées visibles jusqu'à leur écran. Je me demande combien d'hommes ont joui devant mes seins encordés.

Je m'essaie au bondage lorsque ces messieurs me le proposent. J'ai deux cordes, une très longue noire et une plus courte rouge. C'est la rouge qui a rendu mes seins boursouflés hier. Rouges, puis violets, les couleurs changeant au gré des tours de corde de plus en plus serrés. Et puis, la pince crocodile sur mon téton droit, une pince à linge sur mon téton gauche, puis j'ai accroché le poids qui pendait de mes tétons, toujours tenu par les écouteurs. Je trouve ça vulgaire. J'étais vulgaire. Mais j'essaie d'avoir une classe naturelle pour trancher, être une Soumise deluxe, impressionnante. Même s'ils se plaisent à me traiter, pour certains, comme un bout de viande dégueulasse.

Il y en a un qui m'a dit que je ressemblais à un rôti dans mes résilles. J'ai ri. Je lui ai demandé s'il aimait le rôti, il a dit oui. Bon, je crois que c'était un compliment. Je me suis sentie humiliée, et me voilà toute mouillée. En plus, c'est moi qui avais commencé à lui demander comment il me trouvait? Je l'ai cherché... Grrrr. Wouf.
Il y a certaines personnes que j'espère retrouver, car vraiment, les sessions sont bandantes.
*Son pseudo a été modifié

A la vôtre, à la mienne, à nos chattes remplies et nos queues dressées,
Amen.
;)
Peace.

Les avis des lecteurs

classe et salope à la fois. Jeu sympa



Texte coquin : Ma place
Histoire sexe : Une rose rouge
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