Je suis une truie

Récit érotique écrit par AniaSb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Je suis une truie
Je suis une truie, une garce, une stupide conne, une pute, une salope, une catin, une vulgaire Sainte ni-touche, j'ai une bouche à pipe, mon ventre se tord de jouissance en écrivant ces mots.
Je suis à l'arbis ici. Je poursuis. Je suis une chienne, une sacrée bonne chienne, docile, excitante, qui aboie : "Wouf wouf wouf", qui hennit : "Huhuhuhuuuuu", telle une ânesse : "Hiiii-haaaaan", qui couine comme une truie "Groïnck, groïnck", on y revient. J'adorerai qu'on me demande de faire le bruit du cochon, et j'adore quand on m'appelle cochonne. Je trouve cela humiliant, grotesque. Mais je n'ose rien dire.
Je rêve d'être attachée à quatre pattes à côté de mes semblables. Des soumis qui me soumettent, des dominants qui me dominent.
Je suis une bête aux pieds de mes Rois. Je suis esclave à la merci de celui qui voudra bien poser le regard sur ma croupe. Je suis une salope invétérée, qui ne mérite que je se faire enculer à sec, me disent-ils. Groïnck, groïnck, je me lâche. Hiiiii-haaaan.
Lors de mes sessions, je lève même la papatte quand j'imite la chienne. Wouf.
Nous rêvons tous de me voir dans mon enclos, mangeant du foin, ou dans ma cage, affamée.
Attachée sur une table en fer ou en bois, maintenue aux poignets et aux chevilles par des sangles en cuir. Offerte à ces messieurs, dames. Peu de Maîtresses me font l'honneur d'apparaître et c'est dommage. Beaucoup me demandent des rencontres en réel, ce qui me touche mais n'est pas dans ma pratique. On rêve de me voir à quatre pattes, prises par tous les orifices, tous, tous, tous, que je sois bouchée de toute part, un bâillon dans la bouche, des pinces sur mon nez, des écouteurs anti-bruits dans les oreilles, les yeux bandés, les mains branlants des bites, et le bas en double pénétration. De grosses bites qui me bifflent, et même de lourdes claques qui s'étalent sur mes joues, mon dos, mes seins, mes fesses, je ne peux plus leur échapper, je subis, je rentre en transe, mon ventre se tord encore plus, je mouilles, ça coule par terre, ils me font lécher, rares inspirations d'oxygène que j'arrive à prendre avant de recevoir un chibre immense et un autre minuscule dans la bouche. Puis, je suce leurs couilles, leur trou du cul, tout y passe.
Ils m'accompagnent dans la douche, pissent sur moi. Je ne vois rien, je goûte tout, je m'exécute, j'obéis, je suis à la merci d'une cinquantaine de personnes en rutes. J'ai froid, je suis nue sur mes talons aiguilles, je tombe à plusieurs reprises, ils rient, puis me refont tomber. J'ai quelques bleus à la fin de la session, mais c'est aussi dû à leurs coups. L'un d'eux couperait mon souffle et je me mettrai à crier de rage, symbole de mon lâcher-prise. C'est là, à ce moment-là, que je commence à peine à devenir ce qu'ils cherchent : une bête qu'ils s'amuseront à rendre soumise et docile.
D'abord, je devrais abandonner mes réflexes, ne plus fermer les yeux quand on me frappe, ne plus lever les bras, ne plus essayer de m'échapper. Simplement subir. M'enlever la voix... Je me demande comment ils feraient. Ils m'apprendraient à répondre par des bruits. "Wouf" pour oui, et "Grouïnck" pour... pourquoi ? Je doute avoir le droit de dire non. Je me vois déjà pleurante, coulante, face à mes Maîtres. Je l'aurai voulu, ils m'auraient donné tout ce que je veux. Mmmmh. Suis-je réellement prête pour du CNC ?
Ce que je voudrais d'autres ? Un sac sur ma tête, un sac poubelle noir, ou un sac en carton marron. Le sac poubelle bien fermé avec le fil autour de mon cou et une fois que je suffoque on fait un trou autour de ma bouche pour que je suce. J'adorerai être une poubelle suceuse. Et on devrait inscrire sur le sac marron des insultes et des flèches vers ma bouche. Il y aurait un trou pour ma bouche et mes yeux. Ce serait presque malaisant, lugubre, ou alors très drôle.
J'ai eu une aventure littéraire avec un Maître une fois et nous imaginions que j'étais sa poubelle. D'où le texte "Poubelle tu es, poubelles tu mangeras", que j'ai écrit avec Tchat GPT et qu'on peut retrouver ici. J'étais bien sûr son cendrier et on imaginait que je mangerais ses mégots. Mmmmh. Nous nous sommes rencontrés en webcam et j'ai effectivement mis un sac poubelle en plastique noir sur ma tête devant lui. J'ai adoré. On m'imaginait dans des bennes de composte immenses... Je peinais à en sortir. C'est trash ça. Mais ce n'est peut-être pas pire qu'une autre aventure érotico-littéraire où je demeurais attachée, dans des habits trop petits, et gavée de fast-food et toutes sortes de confiseries pour me faire grossir et me rendre malade.
J'aime tout. C'est simple, j'aime tout ce qui peut me dégrader.
Mais j'ai des soumis aussi. Mes petits soumis chéris, mes grosses salopes d'amour. Je m'entraîne à faire la Domina. Ca m'amuse.
Je leur donne de nouveaux noms, j'aime rebaptiser. D'ailleurs, j'aime qu'on me rebaptise. D'ailleurs, un jour, j'aimerai qu'on me travestisse. Appellez-moi soumis Billy. S'il vous plaît, Maîtresse, Maître. Ou alors, des suggestions ?
J'ai craqué pardon. Ca m'a fait du bien. Bon je crois que je suis à bloc pour aller m'exhiber. Mais c'est vrai que je me vois très bien avec un harnais dans la bouche, comme une jument. C'est pour ça que je mets l'anneau... Et que je bave. Une de mes spécialité aussi c'est de me retourner lentement, et de montrer mon cul, puis toujours aussi lentement, de l'écarter de plus en plus, laissant bailler mon trou du cul à la vue de mes spectateurs que je crois attentifs.
Mon Maître m'a enculée hier. Il vient de m'en reparler. Après tous ces objets dans mon cul, il était tout naturel qu'il y passe aussi. J'ai joui. J'ai joui du cul. J'ai poussé, j'étais propre, ouf.
Il paraît que ça part dans tous les sens, mes écrits. Je vous demande pardon, en position, au sol, cuisse écartée, mains posées dessus, paumes tournées vers le ciel, bouche ouverte, langue pendue, baveuse. Pardon, Maîtresse. Pardon, Maître.
Et là, je peux m'éclater et continuer : je ne suis qu'une pauvre petite truie stupide et sans cervelle. Je veillerai à écrire des textes plus construits.
Je suis à l'arbis ici. Je poursuis. Je suis une chienne, une sacrée bonne chienne, docile, excitante, qui aboie : "Wouf wouf wouf", qui hennit : "Huhuhuhuuuuu", telle une ânesse : "Hiiii-haaaaan", qui couine comme une truie "Groïnck, groïnck", on y revient. J'adorerai qu'on me demande de faire le bruit du cochon, et j'adore quand on m'appelle cochonne. Je trouve cela humiliant, grotesque. Mais je n'ose rien dire.
Je rêve d'être attachée à quatre pattes à côté de mes semblables. Des soumis qui me soumettent, des dominants qui me dominent.
Je suis une bête aux pieds de mes Rois. Je suis esclave à la merci de celui qui voudra bien poser le regard sur ma croupe. Je suis une salope invétérée, qui ne mérite que je se faire enculer à sec, me disent-ils. Groïnck, groïnck, je me lâche. Hiiiii-haaaan.
Lors de mes sessions, je lève même la papatte quand j'imite la chienne. Wouf.
Nous rêvons tous de me voir dans mon enclos, mangeant du foin, ou dans ma cage, affamée.
Attachée sur une table en fer ou en bois, maintenue aux poignets et aux chevilles par des sangles en cuir. Offerte à ces messieurs, dames. Peu de Maîtresses me font l'honneur d'apparaître et c'est dommage. Beaucoup me demandent des rencontres en réel, ce qui me touche mais n'est pas dans ma pratique. On rêve de me voir à quatre pattes, prises par tous les orifices, tous, tous, tous, que je sois bouchée de toute part, un bâillon dans la bouche, des pinces sur mon nez, des écouteurs anti-bruits dans les oreilles, les yeux bandés, les mains branlants des bites, et le bas en double pénétration. De grosses bites qui me bifflent, et même de lourdes claques qui s'étalent sur mes joues, mon dos, mes seins, mes fesses, je ne peux plus leur échapper, je subis, je rentre en transe, mon ventre se tord encore plus, je mouilles, ça coule par terre, ils me font lécher, rares inspirations d'oxygène que j'arrive à prendre avant de recevoir un chibre immense et un autre minuscule dans la bouche. Puis, je suce leurs couilles, leur trou du cul, tout y passe.
Ils m'accompagnent dans la douche, pissent sur moi. Je ne vois rien, je goûte tout, je m'exécute, j'obéis, je suis à la merci d'une cinquantaine de personnes en rutes. J'ai froid, je suis nue sur mes talons aiguilles, je tombe à plusieurs reprises, ils rient, puis me refont tomber. J'ai quelques bleus à la fin de la session, mais c'est aussi dû à leurs coups. L'un d'eux couperait mon souffle et je me mettrai à crier de rage, symbole de mon lâcher-prise. C'est là, à ce moment-là, que je commence à peine à devenir ce qu'ils cherchent : une bête qu'ils s'amuseront à rendre soumise et docile.
D'abord, je devrais abandonner mes réflexes, ne plus fermer les yeux quand on me frappe, ne plus lever les bras, ne plus essayer de m'échapper. Simplement subir. M'enlever la voix... Je me demande comment ils feraient. Ils m'apprendraient à répondre par des bruits. "Wouf" pour oui, et "Grouïnck" pour... pourquoi ? Je doute avoir le droit de dire non. Je me vois déjà pleurante, coulante, face à mes Maîtres. Je l'aurai voulu, ils m'auraient donné tout ce que je veux. Mmmmh. Suis-je réellement prête pour du CNC ?
Ce que je voudrais d'autres ? Un sac sur ma tête, un sac poubelle noir, ou un sac en carton marron. Le sac poubelle bien fermé avec le fil autour de mon cou et une fois que je suffoque on fait un trou autour de ma bouche pour que je suce. J'adorerai être une poubelle suceuse. Et on devrait inscrire sur le sac marron des insultes et des flèches vers ma bouche. Il y aurait un trou pour ma bouche et mes yeux. Ce serait presque malaisant, lugubre, ou alors très drôle.
J'ai eu une aventure littéraire avec un Maître une fois et nous imaginions que j'étais sa poubelle. D'où le texte "Poubelle tu es, poubelles tu mangeras", que j'ai écrit avec Tchat GPT et qu'on peut retrouver ici. J'étais bien sûr son cendrier et on imaginait que je mangerais ses mégots. Mmmmh. Nous nous sommes rencontrés en webcam et j'ai effectivement mis un sac poubelle en plastique noir sur ma tête devant lui. J'ai adoré. On m'imaginait dans des bennes de composte immenses... Je peinais à en sortir. C'est trash ça. Mais ce n'est peut-être pas pire qu'une autre aventure érotico-littéraire où je demeurais attachée, dans des habits trop petits, et gavée de fast-food et toutes sortes de confiseries pour me faire grossir et me rendre malade.
J'aime tout. C'est simple, j'aime tout ce qui peut me dégrader.
Mais j'ai des soumis aussi. Mes petits soumis chéris, mes grosses salopes d'amour. Je m'entraîne à faire la Domina. Ca m'amuse.
Je leur donne de nouveaux noms, j'aime rebaptiser. D'ailleurs, j'aime qu'on me rebaptise. D'ailleurs, un jour, j'aimerai qu'on me travestisse. Appellez-moi soumis Billy. S'il vous plaît, Maîtresse, Maître. Ou alors, des suggestions ?
J'ai craqué pardon. Ca m'a fait du bien. Bon je crois que je suis à bloc pour aller m'exhiber. Mais c'est vrai que je me vois très bien avec un harnais dans la bouche, comme une jument. C'est pour ça que je mets l'anneau... Et que je bave. Une de mes spécialité aussi c'est de me retourner lentement, et de montrer mon cul, puis toujours aussi lentement, de l'écarter de plus en plus, laissant bailler mon trou du cul à la vue de mes spectateurs que je crois attentifs.
Mon Maître m'a enculée hier. Il vient de m'en reparler. Après tous ces objets dans mon cul, il était tout naturel qu'il y passe aussi. J'ai joui. J'ai joui du cul. J'ai poussé, j'étais propre, ouf.
Il paraît que ça part dans tous les sens, mes écrits. Je vous demande pardon, en position, au sol, cuisse écartée, mains posées dessus, paumes tournées vers le ciel, bouche ouverte, langue pendue, baveuse. Pardon, Maîtresse. Pardon, Maître.
Et là, je peux m'éclater et continuer : je ne suis qu'une pauvre petite truie stupide et sans cervelle. Je veillerai à écrire des textes plus construits.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour,
la chienne, j'ai une idée pour parfaire ton fantasme d'être une chienne de trait, si c'est le cas, écris-moi, je t'expliquerai mieux en détail si cela t'intéresse bien sûr et avec l'accord de ton Maitre
la chienne, j'ai une idée pour parfaire ton fantasme d'être une chienne de trait, si c'est le cas, écris-moi, je t'expliquerai mieux en détail si cela t'intéresse bien sûr et avec l'accord de ton Maitre
Félicitations Salope !!! On pourrait discuter ?!!
J'adore !! Et que gais tu avec tes soumis ?
Une véritable chienne prête à un dressage intensif es tu sous collier chienne

