Fête déjantée Ep03 Némo

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Fête déjantée Ep03 Némo Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fête déjantée Ep03 Némo
Fête déjantée Ep03
Némo



Je me retrouvais là comme un con, je n'avais rien compris. Je me souviens qu'il y avait une fille qui me regardait et rigolait. Je la regardais moi aussi et à la voir, je rigolais également.

Je commençais à sentir de la pression au niveau de ma queue, je baissais les yeux et voyais l'objet, mais quand je la regardais je rigolais. Je ne savais pas quoi faire, j'ai bu une bière et j'en ai offert une à la fille qui me regardait.

Je me suis assis à côté d'elle et on a discuté. En fait chacun parlait mais aucun n'entendait l'autre, la musique, toujours la musique. Je me souviens, pas très bien mais un peut, juste un peu. Je revenais avec deux nouvelles bière et je m'allongeait sur l'herbe à côté d'elle.

Elle me caressait le corps, je n'étais pas tenté par le sien, elle était belle mais, je vous l'avoue maintenant qu'on commence à se connaître, je préfère les hommes !

Ah là ça doit vous surprendre ça ! Vous n'êtes pas choqués au moins ?

Mais bon, je la laissais faire, sa main glissait sur mon corps et s'attardait sur mes couilles et ce dispositif étrange que je portais, sur ce point je n'étais pas sûr de ne pas comprendre, mais peut être. Mais ne pas être sûr de ne pas comprendre ne veut pas dire être sûr de comprendre ! Ça vous laisse une petite idée de l'état dans lequel en était ma pensée.

Elle s'allongeait à côté de moi, se blottissait contre moi, tout contre moi. Elle continuait à me caresser en s'attardant longuement sur mes couilles. Par moment j'avais l'impression qu'elle connaissait bien ce genre d'objet. Moi je ne comprenais toujours pas mais je ne m'en inquiétais pas, je me levais et revenais avec deux bières.

Elle n'avait pas bougé et là, c'est moi qui me blottissait tout contre elle. Elle recommençait à me caresser le corps et je me décidais finalement à lui rendre la politesse. Elle avait la peau incroyablement douce, mais moi je ne m'attardais pas sur son sexe, ce grand vide ne m'intéressait pas vraiment, elle l'a compris et c'est alors qu'elle s'allongeait sur moi.

Je la comprenais, comme ne ne pourrais pas et ne voulais pas non plus lui donner du plaisir, elle allait le prendre. Elle se frottait la moule contre ma cuisse, elle se masturbait avec moi. Finalement c'était amusant.

Par moment elle se laissait retomber sur moi et je sentais sa poitrine s'écraser contre la mienne, elle était douce et c'était là une caresse finalement pas désagréable. Mais c'est vrai que j'étais saoul.

Je me décidais à refermer mes bras sur elle. Je l'embrassais, il suffisait que je ferme les yeux et que je me dise que c'était un jeune homme imberbe. Si sa poitrine venait à trop se faire remarquer, là ça ne marchait pas.

Mais elle ne m'attendait pas, le chevauchait une cuisse et se frottait comme une folle excitée, avec une main elle me tripotait les couilles. Là ça allait, ça j'aimais bien.

Nous avons fait quelques pauses pendant lesquelles j'en profitais pour nous réalimenter en bière. Il me semble que je me suis endormi pendant quelques instants ou quelques heures, je commençais à avoir du mal à suivre là.

Elle avait sans doute réussi à prendre son plaisir, elle s'était confortablement endormie sur moi. Elle ne ronflait pas mais faisait une peu de musique avec son nez. Là je l'entendais car c'était juste dans mon oreille.

Au réveil, une petite bière et c'était reparti.

On a rejoint le groupe et c'est au milieu d'une foule que nous dansions l'un en face de l'autre. Tout le monde nous regardais, j'étais pas le seul mec à poil mais j'étais le seul mec avec une cage à bite sur lui.

Je prenais une petite bière, juste une toute petite, pour la route. Je dis pour la route mais je devais être à plus de cent mètres de ma tente …

La nuit arrivait, elle m'est tombée dessus, si, si, là je vous jure je l'ai pas vu venir. Je devais penser à autre chose. Les lumières se sont allumées avec une violence qui faisait mal au oreilles. Enfin aux yeux mais là j'avais du mal à voir ce qui se passait devant moi, trop de bruit sans doutes

C'était lui, il réapparaissait. Là je sentais ma queue manifester, elle voulait bander et me rappelait qu'il fallait faire quelques chose, j'avais une cage à bite. Je voyais le haut de son corps, il avait toujours son chapeau de paille, il dansait toujours en agitant les bras avec des mouvements très amples.

Je m'approchais, il avait un sourire que je devinais coquin, je m'approchais un peu plus, il était nu, il n'avait pas mis son pantalon trop grand. C'est qu'il était mince, il avait des cuisses fines mais musclées et une bite. Là j'ai failli tomber à la renverse, je ne m'attendais pas à ça. A côte de lui j'avais une petite bite. Mes dix huit centimètres ne pesaient pas lourd.

Il était plus long et plus large que moi. Il bandait et c'était une perche énorme qui se balançait devant lui. Au moins vingt trois centimètres. Les filles l'avaient remarqué, il avait un groupe de fan girl autour de lui, et ça semblait l'amuser.

Il s'approchait de moi, me prenais la main et me tirait vers lui. On se retrouvait enlacé l'un dans l'autre, presque encastré.

Sa queue continuait à grossir, la mienne se contentait d'essayer. Je crois que c'est à cet instant il me semble que j'ai commencé à comprendre que je ne pouvais plus vraiment … Mais vous vous imaginez bien que j'avais pas toute ma tête.

Je ne suis plus du tout puceau du cul, j'aime bien me faire mettre mais là, c'était du super, du géant, du gros calibre.

Sa queue se redressait, pas à la verticale elle était trop grosse, trop lourde. Je me penchais devant lui je lui prenais la queue dans la bouche et rapidement je terminais à genoux. Il semblait apprécier.

Je lui suçais la queue comme je pouvais, c'était génial de tripoter une grosse queue comme ça, j'en avais une grosse mais là c'était autre chose. Elle était vraiment énorme.

Comme je vous disais, je n'avais pas toute ma tête, j'en oubliais ma propre queue. Je suçais, il appuyait sur ma tête, mais il pouvait insister comme il voulait ça ne rentrait pas en entier. J'oubliais ma queue jusqu'au moment ou je me grattais les couilles.

Là, j'ai senti la cage. Brusquement je me rappelais que j'avais enfermé ma bite, j'ai voulu regarder comment ça se passait là mais il me retenait la tête et j'avais la moitié de sa queue dans la bouche, il appuyait sur ma tête et malgré tout je me régalais.

Il se retirait et me faisait signe de me retourner, j'étais sonné. Il sortais de je ne sais pas ou un flacon de gel lubrifiant, il m'enduisait le cul avant de s'en enduire la queue. Je commençais à réagir, je sentais ma queue qui se réveillait et commençait à protester.

C'était une étrange sensation, il y avait une pression, douce au début, tout autour de ma bite. Je bandais et la pression devenait intense. Ma queue se révoltait et rapidement ça devenait violent, très désagréable.

Il prenait position. Je commençais à m’angoisser. Je n'avais jamais pris un tel engin dans le cul mais là je voulais essayer, je voulais une bière aussi mais ça attendrait.

Je le sentais il posait ses mains sur mes hanches, je sentais son gland contre mon cul, j'étais sur le point de me sentir mal. Puis il a poussé, puis je me suis senti mal.

C'était énorme, la pression était énorme il appuyait sur mes fesses, j'avais l'impression qu'il appuyait sur toute la largeur de mes fesses. Sa queue n'était pas si large que ça mais comme je vous disait, je n'avais pas toutes mes idées claires.

J'ai brusquement senti mon petit cul fragile s'élargir et s'ouvrir avec violence. Je sentais son gland forcer le passage, mon cul se déchirait, je hurlais, il ne s'arrêtait pas, il continuait à pousser et glissait en moi. Il glissait lentement mais il glissait sûrement.

C'est là que je suis mort. Mon cœur s'est arrêté et j'ai manqué d'air.

Je retombais les bras sur le sol, ma tête dans mes bras et je continuais à hurler mais personne ne m'entendais, il y avait toujours cette musique infernal qui nous faisait exploser la tête pendant que le mec me faisait exploser le cul.

Pour ceux qui n'auraient pas tout suivi, je vous rassure, j'étais pas vraiment mort. Mais sur le moment j'en étais pas vraiment sûr. Mon cul n'a pas déchiré non plus mais ça, j'ai bien cru.

Bref je bougeais encore et je gueulais.

Tout le monde s'en foutait, sauf peut être le chanteur qui sur scène gueulait dans son micro ...

– Va y mon gars fourre la lui bien à fond !

Je n'ai pas compris à ce moment mais c'était bien à mon pote, celui qui me défonçait le cul, qu'il s'adressait.

Et les encouragements ont porté. Le mec me tirait vers lui encore plus fort et sa queue est entrée, elle est entrée complètement et il écrasait son ventre sur mes fesses.

Là j'étais mort. Mais pour de vrai cette fois.

Allons bon, il y en a un qui s'est évanoui parmi mes lecteur. Mais enfin je vous dis que c'est une façon de parler, si j'étais vraiment mort, je ne serait pas là pour raconter. Voyons, je vous jure il y en a qui sont émotifs tout de même. ( Remarque du Narrateur )

J'étais mort donc ! Mais je bougeais encore. Il me donnait un violent coup de bassin dans les fesses. J'ai gueulé.

Il se retirait sans ménagement avant de m'enfoncer sa queue en entier de nouveau. À chaque millimètre je gueulais, à chaque seconde je gueulais, à chaque … je geulais.

Vous avez compris, je gueulais tout le temps. Mais il faut vous imaginer que cette bite géante glissait dans mes entrailles sans rien m'épargner. Il avançait doucement puis très vite et quand il se retirait il faisait pareil … l'animal …

Je gardais ma tête entre mes mains, mon front sur le sol. Il m'avait transformé en vide couille. Je ne sentais plus du tout ma bite, elle s'était ratatinée dans un coin de la cage qui n'était donc pas si petite que ça.

Les coups devenaient plus rapides, et brusquement très violents, il jouissait, il jutais dans mon cul, il me tirait vers lui avant de me repousser. J'ai cru entendre qu'il gueulait. Moi comme je vous le disais, j'étais mort et je m'écroulais sur le sol.

Là de nouveau je sentais ma cage, ma queue était coincée dedans et se retrouvait très à l'étroit comme quoi la cage n'était pas si grande que ça.

Je ne bougeais plus, il se penchait sur moi et me donnait un baiser tendre dans le cou.

– Comment tu t'appelles ? Lui demandais-je.
– Némo, appelle moi Némo ça veut dire qui n'a pas de nom !

Il était marrant le petit gars, j'avais envie de rigoler mais je me retenais, je sentais que si je riais j'aurais encore plus mal au cul. Là ça commençait à me faire mal. Je passais ma main, pour voir, il n'y avait pas de trace de sang, je n'avais pas déchiré, tout allait bien en fait.

J'avais simplement mal au cul, et j'avais aussi mal à la bite qui se retrouvais étranglée dans un dispositif minuscule.

Quand j'ai trouvé la force de me lever, il faisait nuit, Némo avait disparu. La seule trace de son passage était la douleur que je ressentais au cul, et la cage, elle ce n'était pas une impression.

J'ai pu constater plus tard que c'était un dispositif très sérieux, un dispositif en titane, indestructible et qui ne laissait à son porteur aucune chance de sortir.

Le lendemain tout se passait au ralenti, la musique prenait moins de place, et à dix sept heures tapante s'arrêtait totalement, toutes les sources de sons s'arrêtaient en même temps. Ça faisait un choc.

On se retrouvait instantanément plongé dans le silence. Certains tombaient tout simplement moi je restais hagard, j'avais toujours mal au cul, mal à la bite. Pourtant tout allait bien. Je me suis endormi dans ma tente, seul. Les distributeurs de bière se vidaient et n'étaient plus réapprovisionnés.

J'ai bien dormi, j'étais épuisé, le lendemain je me préparais à repartir. J'étais à poil et je le restais c'était ma tente sur l'épaule un mon sac sur l'autre que je me rendais à la consigne, c'est là qu'au début de la fête on pouvait mettre en sécurité les objets de valeurs.

J'arrivais au guichet totalement nu. Et j'entendais.

– Némo !

Je me retournais.

– Némo, c'est Némo qui t'as mis ce truc. Me lançais un mec torse nue avec un pantalon de training. Il s'approchait.
– Tu es qui toi ? Lui demandais-je.
– Moi aussi j'ai rencontré Némo, mais moi c'était l'an dernier ! Me disait-il.

Il s'approchait encore de moi et tirait sur son pantalon, je pouvais voir alors qu'il avait le même dispositif que moi.


Fin ( de l'épisode )

Les avis des lecteurs

Pas de suite prévue pour le moment. Mais on ne sait jamais ..;

Histoire Erotique
Superbe. Tu as prévu une suite?



Texte coquin : Fête déjantée Ep03 Némo
Histoire sexe : Une rose rouge
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