Fille et mère soumises au même Maître
Récit érotique écrit par Maitre-Guy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fille et mère soumises au même Maître
Chapitre 1 : Les prémices
Bonjour,Je m’appelle Élodie et j’ai trente-neuf ans.
Je suis brune, d’origine italienne et on me dit très belle ; je sais que, lors des réunions que j’organise à mon travail, plus d’un homme aimerait que je l’attire dans mon lit, il y a des regards qui ne trompent pas.
J’ai été mariée une première fois et j’ai divorcé.
Je me suis remariée avec un homme qui est VRP international pour sa société et se déplace dans le monde entier. Il n’est avec moi que durant les weekends et pendant quelques courtes vacances.
J’ai une fille de mon premier mariage, Emma, très brune comme moi. Encore vierge, elle a dix neuf ans et mon nouveau mari a tenu à l’adopter.
Nous nous entendons très bien tous les trois.
Professionnellement, j’ai une très belle situation qui m’a permis d’acquérir un très bel appartement dans une résidence de luxe.
Emma vit encore avec moi et nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre.
Récemment, un nouveau voisin est venu s’installer sans l'appartement juste au-dessus du nôtre. Il a une soixantaine d’années et il est très bien conservé ; grand, il a conservé une « bien belle gueule » comme le dit Emma.
Je sais, pour avoir remarqué ses regards, que ma fille et moi devons lui plaire.
Nos relations, après des présentations mutuelles qui nous ont permis d’apprendre son prénom, « Guy » se limitent à des échanges courtois entre voisins, du type « Bonjour ! Bonsoir ! Comment allez-vous ? » et autre fadaises.
Un beau jour, Emma m’a dit qu’elle souhaitait perfectionner son anglais à Londres (après son Bac, elle était entrée dans une école de commerce international). Nous avons cherché et finalement trouvé quelque chose pour elle, non seulement une école supérieure mais aussi un appartement qui lui a permis de vivre sans souci autre que celui de ses études.
Je l’ai accompagnée jusqu’à l’aéroport et c’est avec un petit pincement au cœur que j’ai vu décoller son avion : c’était la première fois de notre vie que nous allions êtes loin l’une de l’autre. Nous nous sommes promis de nous téléphoner tous les jours.
C’est lorsque je suis revenue chez moi que tout a commencé.
Notre nouveau voisin m’attendait visiblement lorsque je suis revenue seule de l’aéroport.
Il était au courant de ce qui venait de se passer et m’a interrogée :— Alors, Élodie, un peu triste du départ de votre charmante fille ?
J’ai reconnu le fait ; il a ajouté :— Pour essayer de vous faire oublier ce sentiment, je me propose de vous inviter au restaurant ce soir. Cela nous permettra de faire plus ample connaissance. Qu’en dites-vous ?
J’étais un peu interloquée, mais finalement j’ai accepté : ma fille était à Londres pour quinze jours, mon mari absent pour presque un mois, j’allais me retrouver seule à la maison. Que risqué-je ?
Dès cet instant, les choses se sont déroulées très vite.
Nous avons pris un excellent repas en tête à tête, j’ai peut-être un peu plus bu que la décence m’y autorisait mais en revenant j’avais oublié ma solitude. Je me suis en outre aperçue que cet homme, veuf, avait une culture assez exceptionnelle et était curieux de tout.
Il m’a raccompagné jusque dans mon appartement et m’a appris :— Maintenant, Élodie, je vais te transformer complètement : tu vas passer du statut de petite bourge bien éduquée à celui de soumise à tout ce que je te demanderai !
Je devais avoir l’air ahuri car il m’a dit :— Oui, je vais m’installer chez toi pour les quinze jours d’absence de ta fille. Tu vas m’appartenir et je vais te marquer avec mon sperme. Mets toi nue.
J’allais protester mais il m’a donné une gifle dont j’ai deviné qu’elle aurait pu être beaucoup plus douloureuse.
— Allez, dépêche toi !
Il m’a fait peur et je lui ai obéi. Je me suis retrouvée nue devant lui et il a profité de mon déshabillage pour se mettre nu, lui aussi.
C’est vrai qu’il était bien conservé, très athlétique, mais ce qui m’a le plus impressionnée ce fut sa bite : très longue, épaisse, elle surmontait deux grosses boules comme je n’en avais jamais vues. Je me suis dit qu’il devait avoir de belles réserves.
Il a ajouté :— Tu vois que c’était simple. J’espère que ton cul est aussi ouvert que ta chatte, parce que je vais commencer par là. En attendant, allonge-toi sur ton lit et montre moi comment tu te masturbes.
Son ton était aussi impératif que son regard. Je me suis allongée sur le lit et j’ai commencé à me masturber comme je le fais d’habitude. Il me fixait et avait l’air de prendre plaisir à me voir faire.
Alors que j’allais jouir sous son regard, il m’a dit :— Parfait ! Reste comme ça et ouvre moi tes fesses.
Je lui ai obéi aussitôt. Il s’est installé entre mes cuisses et a posé son gros gland sur mon petit trou.
Il a poussé doucement mais fermement, ce qui fait que j’ai bientôt senti des grosses couilles frapper mon entre-jambes, alors que sa bite était entièrement dans mon rectum.
Là, ce fut du délire.
Je n’avais jamais été sodomisée par un aussi gros morceau de chair, je n’avais jamais joui de ce côté là comme j’étais en train de le faire, jamais un homme ne m’avait fait partir comme lui, jamais encore on m’avait pénétré aussi longtemps le rectum.
Notre première union a duré au moins une demi-heure, je n’avais plus conscience du temps pas plus que du nombre d’orgasmes que j’ai connus. Je m’entendais hurler de bonheur, je lui griffais le dos et les fesses pour qu’il s’enfonce encore plus loin en moi, jusqu’au moment où il a éjaculé pendant un temps que j’ai jugé infini, me redonnant un dernier orgasme.
Nous nous sommes assoupis un peu, inconscients l’un près de l’autre.
Je me suis levée parce que je voulais satisfaire un besoin naturel d’uriner et surtout parce que je voulais dire à ma petite Emma ce qu’il venait de m’arriver.
Après un détour par les toilettes, je me suis assise dans la cuisine et je lui ai téléphoné. Je lui ai tout décrit, elle m’a simplement répondu : — Maman, j’entends à ta voix que tu es heureuse.
J’allais lui répondre lorsque j’ai entendu Guy m’ordonner de venir le rejoindre dans le lit.
J’ai raccroché et je suis revenue dans la chambre.
(à suivre)
Bonjour,Je m’appelle Élodie et j’ai trente-neuf ans.
Je suis brune, d’origine italienne et on me dit très belle ; je sais que, lors des réunions que j’organise à mon travail, plus d’un homme aimerait que je l’attire dans mon lit, il y a des regards qui ne trompent pas.
J’ai été mariée une première fois et j’ai divorcé.
Je me suis remariée avec un homme qui est VRP international pour sa société et se déplace dans le monde entier. Il n’est avec moi que durant les weekends et pendant quelques courtes vacances.
J’ai une fille de mon premier mariage, Emma, très brune comme moi. Encore vierge, elle a dix neuf ans et mon nouveau mari a tenu à l’adopter.
Nous nous entendons très bien tous les trois.
Professionnellement, j’ai une très belle situation qui m’a permis d’acquérir un très bel appartement dans une résidence de luxe.
Emma vit encore avec moi et nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre.
Récemment, un nouveau voisin est venu s’installer sans l'appartement juste au-dessus du nôtre. Il a une soixantaine d’années et il est très bien conservé ; grand, il a conservé une « bien belle gueule » comme le dit Emma.
Je sais, pour avoir remarqué ses regards, que ma fille et moi devons lui plaire.
Nos relations, après des présentations mutuelles qui nous ont permis d’apprendre son prénom, « Guy » se limitent à des échanges courtois entre voisins, du type « Bonjour ! Bonsoir ! Comment allez-vous ? » et autre fadaises.
Un beau jour, Emma m’a dit qu’elle souhaitait perfectionner son anglais à Londres (après son Bac, elle était entrée dans une école de commerce international). Nous avons cherché et finalement trouvé quelque chose pour elle, non seulement une école supérieure mais aussi un appartement qui lui a permis de vivre sans souci autre que celui de ses études.
Je l’ai accompagnée jusqu’à l’aéroport et c’est avec un petit pincement au cœur que j’ai vu décoller son avion : c’était la première fois de notre vie que nous allions êtes loin l’une de l’autre. Nous nous sommes promis de nous téléphoner tous les jours.
C’est lorsque je suis revenue chez moi que tout a commencé.
Notre nouveau voisin m’attendait visiblement lorsque je suis revenue seule de l’aéroport.
Il était au courant de ce qui venait de se passer et m’a interrogée :— Alors, Élodie, un peu triste du départ de votre charmante fille ?
J’ai reconnu le fait ; il a ajouté :— Pour essayer de vous faire oublier ce sentiment, je me propose de vous inviter au restaurant ce soir. Cela nous permettra de faire plus ample connaissance. Qu’en dites-vous ?
J’étais un peu interloquée, mais finalement j’ai accepté : ma fille était à Londres pour quinze jours, mon mari absent pour presque un mois, j’allais me retrouver seule à la maison. Que risqué-je ?
Dès cet instant, les choses se sont déroulées très vite.
Nous avons pris un excellent repas en tête à tête, j’ai peut-être un peu plus bu que la décence m’y autorisait mais en revenant j’avais oublié ma solitude. Je me suis en outre aperçue que cet homme, veuf, avait une culture assez exceptionnelle et était curieux de tout.
Il m’a raccompagné jusque dans mon appartement et m’a appris :— Maintenant, Élodie, je vais te transformer complètement : tu vas passer du statut de petite bourge bien éduquée à celui de soumise à tout ce que je te demanderai !
Je devais avoir l’air ahuri car il m’a dit :— Oui, je vais m’installer chez toi pour les quinze jours d’absence de ta fille. Tu vas m’appartenir et je vais te marquer avec mon sperme. Mets toi nue.
J’allais protester mais il m’a donné une gifle dont j’ai deviné qu’elle aurait pu être beaucoup plus douloureuse.
— Allez, dépêche toi !
Il m’a fait peur et je lui ai obéi. Je me suis retrouvée nue devant lui et il a profité de mon déshabillage pour se mettre nu, lui aussi.
C’est vrai qu’il était bien conservé, très athlétique, mais ce qui m’a le plus impressionnée ce fut sa bite : très longue, épaisse, elle surmontait deux grosses boules comme je n’en avais jamais vues. Je me suis dit qu’il devait avoir de belles réserves.
Il a ajouté :— Tu vois que c’était simple. J’espère que ton cul est aussi ouvert que ta chatte, parce que je vais commencer par là. En attendant, allonge-toi sur ton lit et montre moi comment tu te masturbes.
Son ton était aussi impératif que son regard. Je me suis allongée sur le lit et j’ai commencé à me masturber comme je le fais d’habitude. Il me fixait et avait l’air de prendre plaisir à me voir faire.
Alors que j’allais jouir sous son regard, il m’a dit :— Parfait ! Reste comme ça et ouvre moi tes fesses.
Je lui ai obéi aussitôt. Il s’est installé entre mes cuisses et a posé son gros gland sur mon petit trou.
Il a poussé doucement mais fermement, ce qui fait que j’ai bientôt senti des grosses couilles frapper mon entre-jambes, alors que sa bite était entièrement dans mon rectum.
Là, ce fut du délire.
Je n’avais jamais été sodomisée par un aussi gros morceau de chair, je n’avais jamais joui de ce côté là comme j’étais en train de le faire, jamais un homme ne m’avait fait partir comme lui, jamais encore on m’avait pénétré aussi longtemps le rectum.
Notre première union a duré au moins une demi-heure, je n’avais plus conscience du temps pas plus que du nombre d’orgasmes que j’ai connus. Je m’entendais hurler de bonheur, je lui griffais le dos et les fesses pour qu’il s’enfonce encore plus loin en moi, jusqu’au moment où il a éjaculé pendant un temps que j’ai jugé infini, me redonnant un dernier orgasme.
Nous nous sommes assoupis un peu, inconscients l’un près de l’autre.
Je me suis levée parce que je voulais satisfaire un besoin naturel d’uriner et surtout parce que je voulais dire à ma petite Emma ce qu’il venait de m’arriver.
Après un détour par les toilettes, je me suis assise dans la cuisine et je lui ai téléphoné. Je lui ai tout décrit, elle m’a simplement répondu : — Maman, j’entends à ta voix que tu es heureuse.
J’allais lui répondre lorsque j’ai entendu Guy m’ordonner de venir le rejoindre dans le lit.
J’ai raccroché et je suis revenue dans la chambre.
(à suivre)
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Qui me repon et me dit sur elodie si il la encore
Pourquoi on a plus de nouvelle de vous maître-Guy et ne répondez pas
Bonsoir comment ça se fait de puis tout se temps vous avez plus publié distoire de elodie et dit moi si elle et libre que je puisse la rencontré elodie votre soumise et si ça vous dérange pas de me prêter pour une soirée ou plus jour .