Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 8 : En attendant Emma (1)
Récit érotique écrit par Maitre-Guy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 8 : En attendant Emma (1)
À dater de ce dimanche, notre relation commença à ressembler à celle d'un vieux couple avec des habitudes : petit déjeuner de salope avec parfois une variante : je devais me masturber et il trempait mon morceau de pain dans mon vagin, puis le retirait et le tartinait avant que je le trempe dans son urine matinale. Ensuite, je le mangeais et je me lavais les dents. La matinée su poursuivait par ma défécation matinale sous ses yeux et le nettoyage approfondi de mon rectum, ; enfin, il me baisait partout et j'entamais la suite de la rédaction précise de mes « Mémoires » comme il disait, dans le but de les faire lire à Emma quand elle serait de retour. Il vérifiait tout ce que j'écrivais.
J'avais chaque jour, vers 18 h environ, un coup de téléphone de ma petite chérie qui avait l'air de s'inquiéter un peu pour moi ; elle progressait dans ses connaissances de l'anglais, elle me semblait heureuse mais solitaire. Elle me disait qu'elle avait hâte de revenir pour savoir ce que le « vieux salaud de voisin du dessus » préparait. Je n'osais pas lui dire qu'il voulait s'envoyer la fille comme il baisait et enculait la mère.
Lundi, comme je ne travaillais pas, ce fut comme un dimanche. Les autres jours de la semaine, il m m'attendait nu dans mon lit, en dormant pendant que je m'escrimais au travail. Dès que j'étais de retour à la maison, je me mettais nue et il me prenait par n'importe quel orifice ; je n'en avais cure, je jouissais de plus en plus.
À la fin de la première semaine du séjour d'Emma, Guy m'a dit que j'aurais une surprise le dimanche.
Je m'attendais à beaucoup de choses mais pas du tout à ce que j'ai connu : en début d'après-midi, on a sonné à la porte alors qu'il était en train de me sodomiser et que je jouissais tout mon saoul. Tout en continuant à m'enculer, il m'a approché de la porte et m'a dit :— Ouvre !
Je lui ai obéi et, à ma grande surprise, je me suis retrouvée en face d'un Noir, tout souriant, qui a pris mes seins en me disant :— Alors c'est toi Élodie, la salope de Guy. C'est vrai que t'es super-bandante !
En même temps, Guy me donnait des coups de reins furieux puis il a mis ses mains sous mes genoux en disant :— Ouvre toi bien la chatte, que mon ami Kevin puise te baiser par devant. Tu vas connaître ta première double, ce qu'on appelle un sandwich ! Imagine : tu es la tranche de jambon, Kevin et moi les deux moitiés de pain.
J'étais déjà tellement ouverte que Kevin, qui s'est mis nu à toute vitesse tout en refermant la porte, s'est retrouvé d'un seul coup au fond de mon vagin. Moi, j'ai ressenti des émotions que je n'avais jamais connues : non seulement ces deux salauds me remplissaient pleinement, mais tous les deux, Guy, en me soulevant par les fesses et Kevin, en me soutenant les cuisses, me faisaient coulisser le plus haut possible sur leurs deux grosseurs et me relâchaient d'un seul coup pour qu'ils s'enfoncent un peu plus dans moi.
Là, j'ai hurlé mon plaisir ; c'était la première fois que j'avais ça, je me suis douté que ce ne serait pas la dernière. Mon entrecuisse était trempé par l'abondance de ma mouille, ça glissait tout seul, je sentais des odeurs de femelle chaude, comme le disait Guy, je criais comme une folle.
Eux, ça les faisait rire ; j'ai même entendu Kevin qui disait :— Ben dis donc, Guy, pour une première, elle va s'en souvenir, ton Élodie !
Quand ils trouvaient que je ne m'empalais pas assez profond sur leurs bites, aussi grosses l'une que l'autre, ils appuyaient sur mes hanches, pour que je les sente mieux au fond de mes deux trous.
Je me suis trouvée rapidement dans un état de jouissance que je n'avais jamais connu. Je sentais que je coulais de partout, j'avais pris Kevin par le cou et il m'enfonçait sa langue jusqu'au amygdales, pendant que Guy me donnait des petites fessées toutes douces.
Finalement, ils ont éjaculé chacun de leur côté, me transportant encore plus loin dans ce monde de bonheur inconnu que je venais de découvrir. J'étais toujours prise entre eux deux, ils m'ont fait glisser doucement sur le lit puis ils se sont retirés, toujours raides, en me déposant délicatement pendant que je terminais mon orgasme.
Quand je suis revenue à moi, je me suis rendu compte qu'ils m'avaient allongée sur le lit, les cuisses ouvertes.
Guy disait à Kevin :— Regarde bien !
Il m'a pincé le clitoris, me faisant faire un bond vers le haut. lls ont ri puis Guy m'a ordonné : — Ouvre toi bien et masturbes toi avec le sperme de Kevin. En même temps, mets toi deux doigts dans le cul.
J'ai aussitôt obéi à mon maître. Pendant que je me masturbais avec la main droite, j'avais deux doigts de la main gauche enfoncés dans mon cul et je les faisais aller et venir en moi comme s'ils avaient été une bite.
Guy a arrêté mes mouvements puis m'a dit :— Je m'allonge à ta place, viens te baiser sur ma bite ; Kevin te prendra le cul, il faut bien qu'il goûte aussi à tous tes trous.
En moins de temps qu'il en faut pour le dire, j'avais une énorme bite blanche dans la chatte et une tout aussi énorme, de couleur noire, dans le cul. Ils ont repris leurs mouvements et les ont synchronisés, ce qui fait que, rapidement, je me suis retrouvée dans l'état de jouissance que j'avais connu précédemment.
Cette fois, ils ont pris tout leur temps avant d'éjaculer en moi. Je me sentais ouverte comme jamais, je hurlais mon bonheur de jouir comme ça, Kevin me tordait les seins, la langue de Guy luttait dans ma bouche contre la mienne, je bavais littéralement non seulement de la bouche mais aussi de tous mes trous, je les griffais, je serrais spasmodiquement mes jambes autour des fesses de Guy, mon anus s'agitait autour de la bite de Kevin pendant que mon vagin se serrait et se desserrait autour de celle de Guy, ils m'insultaient aussi en me traitant de pute à queue, de salope soumise, ils me promettaient des pénétrations dont je n'avais pas la moindre idée, jusqu'à ce que nous nous écroulions, toujours unis les uns aux autres, après qu'ils se soient vidés en moi. Nous étions épuisés.
Je suis revenue de notre état comateux commun la première.
Ils étaient encore raides en moi, j'étais noyée dans le sperme et dans ma mouille, Guy devait avoir les fesses au frais aussi, seul Kevin, par sa position au-dessus de moi, était tranquille. Il n'empêche qu'il continuait à martyriser les bouts tout raides de mes seins.
J'avais un goût de sang dans la bouche, j'avais dû mordre un peu soit ma langue, soit celle de Guy.
Mes deux mâles sont revenus à eux et Guy m'a dit :— Ma salope, tu as les yeux cernés jusqu'au menton. Tu m'as vidé les burnes.
Au-dessus de ma tête, Kevin opina :— Dis donc, elle en veut, ta pute ! Tu vas te régaler, Guy !
Nous nous sommes déboîtés les uns des autres. Le drap du dessous de mon lit était trempé, ma chambre puait le sexe, aussi bien mâle que femelle. C'est vrai que nous avions des « têtes de déterrés » comme a fait remarquer Kevin, mais je n'ai pas eu l'impression que qui que de soit regrettait cette triple union.
Nous avions tous faim et nous avons pris un rapide en-cas, en fait un sandwich au gruyère avec des tartines beurrées. Ça les a fait rire, Guy a même ajouté :— Tu vois, Élodie, je t'ai dit que c'était un sandwich, ce que nous t'avons fait, j'aurais dû penser qu'on pouvait en faire sans tranche de jambon mais avec une tranche de gruyère !
Après ce repas improvisé, nous avons bu chacun un grand verre d'eau puis Guy a dit :— Bon, on va varier les plaisirs ! Élodie, mets-toi à genoux sur le drap, même s'il est trempé. On va te baiser tes deux trous mais tu vas commencer par nous sucer, histoire de nous nettoyer la bite.
J'ai obéi aussitôt et, jusqu'au départ de Kevin, ils sont venue en moi, changeant d'orifice selon leur bon plaisir, tantôt dans ma chatte, tantôt dans mon cul, jusqu'à ce qu'ils rendent les armes par fatigue.
Je jouissais sans arrêt, ma mouille coulait en un flot ininterrompu de ma chatte, je jouissais comme une folle.
Quand Kevin est reparti, il m'a longuement embrassée en me signalant que, selon lui, j'étais encore plus pute que la femme de Guy, qu'il avait bien connue. J'ai rosi de plaisir.
Après son départ, Guy m'a dit :— Viens dormir. Demain, je vais te fister les deux trous.
Juste à ce moment là, mon téléphone a sonné. C'était ma petite fille, mon Emma adorée. Guy m'a pris la main droite, puisque je tenais mon combiné de la gauche et j'ai dû le masturber en racontant à ma chérie ce qui s'était passé. Elle a eu l'air très étonnée mais en même temps très heureuse pour moi.
J'ai reposé mon téléphone et nous sommes allés nous coucher, nus, après nous être lavés les dents et avoir pris une douche ensemble.
(à suivre)
J'avais chaque jour, vers 18 h environ, un coup de téléphone de ma petite chérie qui avait l'air de s'inquiéter un peu pour moi ; elle progressait dans ses connaissances de l'anglais, elle me semblait heureuse mais solitaire. Elle me disait qu'elle avait hâte de revenir pour savoir ce que le « vieux salaud de voisin du dessus » préparait. Je n'osais pas lui dire qu'il voulait s'envoyer la fille comme il baisait et enculait la mère.
Lundi, comme je ne travaillais pas, ce fut comme un dimanche. Les autres jours de la semaine, il m m'attendait nu dans mon lit, en dormant pendant que je m'escrimais au travail. Dès que j'étais de retour à la maison, je me mettais nue et il me prenait par n'importe quel orifice ; je n'en avais cure, je jouissais de plus en plus.
À la fin de la première semaine du séjour d'Emma, Guy m'a dit que j'aurais une surprise le dimanche.
Je m'attendais à beaucoup de choses mais pas du tout à ce que j'ai connu : en début d'après-midi, on a sonné à la porte alors qu'il était en train de me sodomiser et que je jouissais tout mon saoul. Tout en continuant à m'enculer, il m'a approché de la porte et m'a dit :— Ouvre !
Je lui ai obéi et, à ma grande surprise, je me suis retrouvée en face d'un Noir, tout souriant, qui a pris mes seins en me disant :— Alors c'est toi Élodie, la salope de Guy. C'est vrai que t'es super-bandante !
En même temps, Guy me donnait des coups de reins furieux puis il a mis ses mains sous mes genoux en disant :— Ouvre toi bien la chatte, que mon ami Kevin puise te baiser par devant. Tu vas connaître ta première double, ce qu'on appelle un sandwich ! Imagine : tu es la tranche de jambon, Kevin et moi les deux moitiés de pain.
J'étais déjà tellement ouverte que Kevin, qui s'est mis nu à toute vitesse tout en refermant la porte, s'est retrouvé d'un seul coup au fond de mon vagin. Moi, j'ai ressenti des émotions que je n'avais jamais connues : non seulement ces deux salauds me remplissaient pleinement, mais tous les deux, Guy, en me soulevant par les fesses et Kevin, en me soutenant les cuisses, me faisaient coulisser le plus haut possible sur leurs deux grosseurs et me relâchaient d'un seul coup pour qu'ils s'enfoncent un peu plus dans moi.
Là, j'ai hurlé mon plaisir ; c'était la première fois que j'avais ça, je me suis douté que ce ne serait pas la dernière. Mon entrecuisse était trempé par l'abondance de ma mouille, ça glissait tout seul, je sentais des odeurs de femelle chaude, comme le disait Guy, je criais comme une folle.
Eux, ça les faisait rire ; j'ai même entendu Kevin qui disait :— Ben dis donc, Guy, pour une première, elle va s'en souvenir, ton Élodie !
Quand ils trouvaient que je ne m'empalais pas assez profond sur leurs bites, aussi grosses l'une que l'autre, ils appuyaient sur mes hanches, pour que je les sente mieux au fond de mes deux trous.
Je me suis trouvée rapidement dans un état de jouissance que je n'avais jamais connu. Je sentais que je coulais de partout, j'avais pris Kevin par le cou et il m'enfonçait sa langue jusqu'au amygdales, pendant que Guy me donnait des petites fessées toutes douces.
Finalement, ils ont éjaculé chacun de leur côté, me transportant encore plus loin dans ce monde de bonheur inconnu que je venais de découvrir. J'étais toujours prise entre eux deux, ils m'ont fait glisser doucement sur le lit puis ils se sont retirés, toujours raides, en me déposant délicatement pendant que je terminais mon orgasme.
Quand je suis revenue à moi, je me suis rendu compte qu'ils m'avaient allongée sur le lit, les cuisses ouvertes.
Guy disait à Kevin :— Regarde bien !
Il m'a pincé le clitoris, me faisant faire un bond vers le haut. lls ont ri puis Guy m'a ordonné : — Ouvre toi bien et masturbes toi avec le sperme de Kevin. En même temps, mets toi deux doigts dans le cul.
J'ai aussitôt obéi à mon maître. Pendant que je me masturbais avec la main droite, j'avais deux doigts de la main gauche enfoncés dans mon cul et je les faisais aller et venir en moi comme s'ils avaient été une bite.
Guy a arrêté mes mouvements puis m'a dit :— Je m'allonge à ta place, viens te baiser sur ma bite ; Kevin te prendra le cul, il faut bien qu'il goûte aussi à tous tes trous.
En moins de temps qu'il en faut pour le dire, j'avais une énorme bite blanche dans la chatte et une tout aussi énorme, de couleur noire, dans le cul. Ils ont repris leurs mouvements et les ont synchronisés, ce qui fait que, rapidement, je me suis retrouvée dans l'état de jouissance que j'avais connu précédemment.
Cette fois, ils ont pris tout leur temps avant d'éjaculer en moi. Je me sentais ouverte comme jamais, je hurlais mon bonheur de jouir comme ça, Kevin me tordait les seins, la langue de Guy luttait dans ma bouche contre la mienne, je bavais littéralement non seulement de la bouche mais aussi de tous mes trous, je les griffais, je serrais spasmodiquement mes jambes autour des fesses de Guy, mon anus s'agitait autour de la bite de Kevin pendant que mon vagin se serrait et se desserrait autour de celle de Guy, ils m'insultaient aussi en me traitant de pute à queue, de salope soumise, ils me promettaient des pénétrations dont je n'avais pas la moindre idée, jusqu'à ce que nous nous écroulions, toujours unis les uns aux autres, après qu'ils se soient vidés en moi. Nous étions épuisés.
Je suis revenue de notre état comateux commun la première.
Ils étaient encore raides en moi, j'étais noyée dans le sperme et dans ma mouille, Guy devait avoir les fesses au frais aussi, seul Kevin, par sa position au-dessus de moi, était tranquille. Il n'empêche qu'il continuait à martyriser les bouts tout raides de mes seins.
J'avais un goût de sang dans la bouche, j'avais dû mordre un peu soit ma langue, soit celle de Guy.
Mes deux mâles sont revenus à eux et Guy m'a dit :— Ma salope, tu as les yeux cernés jusqu'au menton. Tu m'as vidé les burnes.
Au-dessus de ma tête, Kevin opina :— Dis donc, elle en veut, ta pute ! Tu vas te régaler, Guy !
Nous nous sommes déboîtés les uns des autres. Le drap du dessous de mon lit était trempé, ma chambre puait le sexe, aussi bien mâle que femelle. C'est vrai que nous avions des « têtes de déterrés » comme a fait remarquer Kevin, mais je n'ai pas eu l'impression que qui que de soit regrettait cette triple union.
Nous avions tous faim et nous avons pris un rapide en-cas, en fait un sandwich au gruyère avec des tartines beurrées. Ça les a fait rire, Guy a même ajouté :— Tu vois, Élodie, je t'ai dit que c'était un sandwich, ce que nous t'avons fait, j'aurais dû penser qu'on pouvait en faire sans tranche de jambon mais avec une tranche de gruyère !
Après ce repas improvisé, nous avons bu chacun un grand verre d'eau puis Guy a dit :— Bon, on va varier les plaisirs ! Élodie, mets-toi à genoux sur le drap, même s'il est trempé. On va te baiser tes deux trous mais tu vas commencer par nous sucer, histoire de nous nettoyer la bite.
J'ai obéi aussitôt et, jusqu'au départ de Kevin, ils sont venue en moi, changeant d'orifice selon leur bon plaisir, tantôt dans ma chatte, tantôt dans mon cul, jusqu'à ce qu'ils rendent les armes par fatigue.
Je jouissais sans arrêt, ma mouille coulait en un flot ininterrompu de ma chatte, je jouissais comme une folle.
Quand Kevin est reparti, il m'a longuement embrassée en me signalant que, selon lui, j'étais encore plus pute que la femme de Guy, qu'il avait bien connue. J'ai rosi de plaisir.
Après son départ, Guy m'a dit :— Viens dormir. Demain, je vais te fister les deux trous.
Juste à ce moment là, mon téléphone a sonné. C'était ma petite fille, mon Emma adorée. Guy m'a pris la main droite, puisque je tenais mon combiné de la gauche et j'ai dû le masturber en racontant à ma chérie ce qui s'était passé. Elle a eu l'air très étonnée mais en même temps très heureuse pour moi.
J'ai reposé mon téléphone et nous sommes allés nous coucher, nus, après nous être lavés les dents et avoir pris une douche ensemble.
(à suivre)
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