Mère et fille soumises au même Maître - Chapitre 9 : En attendant Emma (2) - histoire érotique

[Note liminaire]Ça récit est authentique, il relate les aventures de soumises d'une mère, Élodie et de sa fille Emma.
La charte du site HDS (histoires-de-sexe.com)interdisant les relations incestueuses (parents / enfants), même entre personnes majeures, ce récit s'interrompt à la fin du prochain chapitre, au retour d'Emma. Merci à tous ses lecteurs de leur compréhension.
Si toutefois vous souhaitez connaître la suite, il vous suffit de me l'indiquer ici : maitre-guy@hotmail.fr.

Le lendemain matin, lundi donc, il s'est produit effectivement quelques changements dans notre train-train habituel.
J'ai pris mon grand bol et il m'a ordonné, après l'avoir rempli de son urine, d'en faire autant. Il m'a mis une cuillère dans les mains et ma demandé de touiller pour bien mélanger nos deux urines matinales. Je l'ai fait.
Ensuite, il a pris une des baguettes que je conservais dans mon congélateur puis l'a fait dégeler au micro-ondes. Je l'avais achetée samedi, en revenant chez moi, le pain était encore tout frais ; il l'a laissé refroidir puis en a coupé un morceau qu'il a fendu en deux. Il m'a demandé de m'asseoir sur la table et il a enfoncé chaque morceau dans mon sexe, après m'avoir demandé de me masturber. à chaque fois, il l'a fait aller et venir en moi, puis il l'a beurré. J'ai trempé les deux tartines dans le bol et je les ai mangées.

Après, j'ai dû m'installer comme d'habitude sur le cuvette des WC, surveillée par lui puis j'ai réalisé un nettoyage approfondi à l'aide de ma douche.
Après, il y a eu encore une énorme différence. Il m'a dit :— Je vais te faire connaître le fist. Sais-tu ce que c'est ?
— Non, mon maître.
Il a souri puis m'a expliqué :— C'est simple : je vais te mettre ma main droite dans la chatte, tu es déjà bien ouverte. Quand on aura terminé, je la mettrai dans ton rectum et, pour finir, je mettrai ma main droite dans ta chatte et ma gauche dans ton cul, en même temps. Je les frotterai l'une contre l'autre et, jusqu'au retour de ta fille, je t'entraînerai comme ça. D'accord ?
— Mais...
— Pas d'objection, tu as vu ce que tu as eu dans tes deux trous en même temps, la bite de Kevin et la mienne ! Alors...
— De toute manière, tu n'as pas le choix ou je te flanque une fessée dont tu me diras des nouvelles ! Et si ça rentre mal, on se servira d'huile d'olive, tu verras, c'est le meilleur lubrifiant qui existe pour les soumises ! Va m'en chercher,s'il te plaît.
Je n'ai pas mis longtemps à prendre un litre pratiquement plein. Il m'a demandé aussi du coton puis nous sommes allés dans la chambre. Il m'a fait allonger sur le lit en écartant bien les cuisses. Avant de commencer, il m'a montré ce qu'il allait faire. Il a mis quatre doigts pour former une sorte de cône dans lequel il a glissé le pouce de sa main. Il m'a appris :— Le seul moment où ça peut coincer un peu, c'est quand je vais rentrer les articulations de mes doigts. Je te prépare.
Il a calé ma tête avec deux oreillers, en me disant de bien regarder puis il a commencé mon premier fist. En fait, il a mis de l'huile sur un morceau de coton et il m'a frotté la chatte avec puis il a enduit ses doigts. Il a enfoncé doucement ses doigts et, peu à peu, j'ai senti sa main qui pénétrait en moi. Je regardais, étonnée, cette pratique inhabituelle puis j'ai senti que ça coinçait au niveau de l'entrée de ma chatte. Il a remis de l'huile sur son coton, a poussé et, finalement, je me suis retrouvée avec sa main entière dans mon ventre. Je n'avais jamais ressenti ça mais je me suis rendu compte que, contrairement à ce que j'appréhendais, je n'avais pas mal. Il m'a regardée, a souri et m'a demandé :— Ça va ?
Je lui ai fait un signe positif de la tête. Il a ajouté :— Parfait ! Maintenant, je vais remuer mes doigts en toi.
Là, c'est devenu de la folie : je sentais ma mouille couler en abondance et se mêler à l'huile d'olive, mon vagin se resserrait convulsivement, il agitait effectivement ses doigts en moi, sans précaution et il a fini par fermer son poing en moi. Il m'a appris :— Fister en fait, c'est mettre une main dans le sexe d'une femme, fermer le poing puis boxer de l'intérieur.
J'étais dans un état indescriptible : il cognait fort dans mon ventre ouvert comme jamais, j'aimais ça et je haïssais à la fois, j'ai mis mes mains autour de son poignet pour en même temps le faire venir plus loin dans moi et le repousser.
Finalement, au bout d'une jouissance incroyable, je me suis évanouie.
Lorsque je suis revenue à moi, il était toujours dans ma chatte qui était inondée de mes liqueurs intimes.
Il a posé sa tête sur mon ventre, m'a regardé et m'a dit :— Tu sens vraiment la femelle soumise à Guy. Attends !
Il a pris mon clitoris, dont je m'apercevais qu'il était raide et dur comme un morceau de bois, entre ses dents et il l'a un peu mordillé. J'avais l'impression de recevoir une décharge électrique à chaque petite morsure.
Je devais avoir une tête à faire peur mais j'avais envoie de recommencer ça.
Il m'a dit :— Je vais ôter ma ma main et tu vas la lécher, d'accord ?
Là, j'ai bien regardé son mouvement de retrait et, quand il a approché sa main de mes lèvres, je me suis précipité dessus avec une voracité qui m'a surprise. En même temps, je me suis rendu compte que beaucoup de mouille s'écoulait de ma chatte ouverte.

(à suivre)