Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 5 : Ma progression de soumise (2)
Récit érotique écrit par Maitre-Guy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 5 : Ma progression de soumise (2)
Il a dû se rendre compte, en voyant mon air ahuri, que je ne comprenais pas de quoi il s'agissait.
Il m'a expliqué :— Tu es pleine de sperme, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Avant que tu te lèves, il va falloir que je te récure un peu.
Il a aussitôt procédé à mon « récurage ». Il a mis ses mains partout sur moi et dans moi, il a ramassé son sperme avec ses mains puis il m'a fait lécher ses doigts et les paumes de ses mains.
Au bout d'un certain temps de cette tâche qui m'était très agréable, il m'a aidée à me mettre debout sur le lit, il a bien regardé s'il avait fait correctement son travail puis, visiblement satisfait, il m'a appris :— Parfait ! C'est dimanche aujourd'hui, alors voilà ce que nous allons faire.
En me disant ça, il m'a fait descendre du lit. Il était encore tout raide.
J'ai fait semblant de perdre l'équilibre et je me suis, en quelque sorte, raccrochée aux branches. Les branches, c'était son énorme bite que j'ai saisie à pleines mains.
Il a souri, certainement pas dupe du tout de ma manœuvre. Il a poursuivi :— Je te disais donc que c'était dimanche, le premier que nous passons seuls. Nous allons rendre une petite visite à ma cave pour aller chercher une bouteille de champagne.
Comme je me retournais pour aller chercher mes vêtements, il m'a apostrophée :— Où vas-tu ?
— Ben... je vais mettre une robe !
— Non ! On y va comme ça !
— Mais...
— Tu veux que je fasse rougir tes fesses en te donnant une fessée puis que je te conduise à l'ascenseur avec ma bite dans le cul ? Ne t'inquiète pas, il n'y a personne. Donne-moi tes clés !
Subjuguée par son regard devenu subitement dur, je les ai retirées de la serrure et je les lui ai tendues.
Il les a prises et, sans un mot, a ouvert la porte de mon appartement après avoir pris ses propres clés dans une poche de sa veste. Nous sommes sortis sur le palier et il a claqué ma porte : nous étions nus, dehors.
J'étais morte de honte : et si un voisin nous voyait ? Il n'aurait eu aucun doute sur ce que nous venions de faire. Fort heureusement, sur tout le trajet, nous n'avons vu personne. Il n'empêche que j'ai poussé intérieurement un grand soupir de soulagement lors de notre retour.
Il a posé la bouteille et nos clés sur la console de l'entrée puis s'est tourné vers moi avec un grand sourire :— C'est bien, Élodie, tu as été très courageuse. Il faut que je te récompense. La bouteille est fraîche mais pas suffisamment, alors je ne vois qu'une chose pour passer le temps.
Je ne me suis pas interrogée longtemps.
Il a mis la bouteille dans le freezer et réglé le temps d'action sur dix minutes. Une fois cela fait, il m'a soulevé par les hanches et m'a fait glisser le long de son corps. En un instant, je me suis retrouvée empalée sur son énormité tout en étant assise sur ses mains. C'est là que je me suis rendue compte que ma chatte trempée l'absorbait sans problème. J'ai un peu gémi puis il m'a glissé à l'oreille :— Contracte ta chatte autour de moi puis relâche-la, comme tu l'a fait avec ton cul autour de ma bite.
J'ai été bien trop heureuse de lui obéir immédiatement tout en sentant, comme je l'avais déjà remarqué, une émission de mouille très épaisse, gluante, lubrifier mes intérieurs et se glisser autour de sa grosse bite pour que je l'accueille mieux.
Je crois qu'il faisait exprès de ne pas bouger en moi, il aurait pu aisément me faire lever le long de son sexe puis me lâcher et me faire redescendre pour que je m'empale encore plus profondément ; il commençait à me lever, quand la sonnerie du freezer a interrompu notre étreinte.
Il m'a fait sortir de lui alors que je me régalais déjà à l'idée de jouir une nouvelle fois.
J'étais déçue et il s'en est rendu compte puisqu'il m'a dit :— Ne t'inquiète pas, tu vas avoir ta dose !... Au fait, as-tu des coupes plutôt que des flûtes ?
— J'ai les deux ! Pourquoi ?
— Tu vas voir ! Va nous chercher deux coupes, j'ouvre la bouteille.
Je me suis dépêchée de lui obéir. Nous nous sommes installés dans la cuisine, il n'a pas voulu que nous nous mettions au salon et il nous a rempli deux coupes.
Il nous a fait mettre debout et il m'a demandé de lui tendre ma coupe. Il a trempé son gros gland dedans et il m'a demandé de me sucer, ce que j'ai fait immédiatement. Je n'aurais jamais cru ça : j'avais l'impression de me conduire comme une pute avec son mec. Il a dit :— Je trouve que tu mérites une récompense. Viens là !
IL s'est assis et il a désigné son membre déjà raide. Je lui ai tourné le dos et me suis lentement enfoncée sur lui, par ma chatte. Il m'a demandé :— Ta récompense te plaît ?
Je n'ai pu qu'opiner de la tête ; en même temps, il faisait ressortir mon clitoris avec ses doigts fureteurs mais surtout je me sentais pleine de lui. Nous avons bu la coupe en nous parlant puis il m'a demandé, en caressant mes seins :— Tu es bien ?
Sans hésiter, lui ai répondu :— Oui !
— Écoute, Élodie, nous allons finir nos coupes et je vais faire bouillir de l'eau. Les pâtes, c'est à peu près la seule chose que je sache faire dans une cuisine, avec les œufs à la coque. Mais je suis trop bien dans toi, alors tu vas les préparer avec moi.
Il s'est mis debout, m'a pris les jambes derrière l'articulation des genoux et m'a portée ainsi jusqu'à la plaque de cuisson.
Il a posé mes genoux sur le plan de travail et, sans bouger de mon sexe, il a pris une casserole, mis de l'eau dedans, ouvert, sur mes indications, le placard où j'avais laissé un paquet de coquillettes puis attendu que l'eau commence à bouillir. Après les premiers frémissements, il a ajouté du gros sel et nous avons attendu, lui toujours enfoncé dans moi qui coulait comme d'habitude autour de son énorme bite, que les gros bouillons se forment.
Il a versé tout le paquet de coquillettes dans l'eau et a touillé avec une spatule de bois qui était là.
Après une dizaine de minutes, tout était prêt. Il a vidé l'eau puis a ajouté une belle dose de beurre dans la casserole. Ensuite, il a mélangé avec les coquillettes et a réparti les nouilles dans nos deux assiettes. Je trouvais que c'était trop mais il m'a dit :— Tu vas voir, nous allons manger tout ça, nous avons besoin de forces !
Il a pris nos assiettes pleines et les a posées sur la table de la cuisine puis il s'est assis. J'ai suivi son mouvement puisqu'il était toujours dans moi.
Pour la première fois de ma vie, j'ai mangé une quantité importante de coquillettes en ayant le sexe rempli par sa bite. Était-ce l'étrangeté de la chose ? ou avais-je vraiment besoin de reconstituer mes forces épuisées par nos séances de baise ? Et tout cas, j'ai dévoré le contenu de mon assiette et lui aussi.
Il était toujours raide en moi.
Soudain, j'ai tressailli. Il a posé son index doucement sur mon clitoris. C'est à cet instant que j'ai réalisé que mon petit bouton était raide et trempé. Il m'a dit doucement à l'oreille:— Branles-toi comme une salope en manque pendant que je m'occupe de tes seins.
Aussitôt dit, aussitôt fait! Je jouissais d'être pleine de lui, de triturer mon bouton d'amour tout rigide et gluant et surtout de sentir, en plus, ses grandes mains pincer les petits bouts fermes de mes seins.
Dans ma chatte, c'était un bouleversement : je sentais que tout coulait autour de l'énorme pieu qu'il avait glissé là, je m'attendais à une jouissance phénoménale... et le téléphone a sonné !
(à suiuvre)
Il m'a expliqué :— Tu es pleine de sperme, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Avant que tu te lèves, il va falloir que je te récure un peu.
Il a aussitôt procédé à mon « récurage ». Il a mis ses mains partout sur moi et dans moi, il a ramassé son sperme avec ses mains puis il m'a fait lécher ses doigts et les paumes de ses mains.
Au bout d'un certain temps de cette tâche qui m'était très agréable, il m'a aidée à me mettre debout sur le lit, il a bien regardé s'il avait fait correctement son travail puis, visiblement satisfait, il m'a appris :— Parfait ! C'est dimanche aujourd'hui, alors voilà ce que nous allons faire.
En me disant ça, il m'a fait descendre du lit. Il était encore tout raide.
J'ai fait semblant de perdre l'équilibre et je me suis, en quelque sorte, raccrochée aux branches. Les branches, c'était son énorme bite que j'ai saisie à pleines mains.
Il a souri, certainement pas dupe du tout de ma manœuvre. Il a poursuivi :— Je te disais donc que c'était dimanche, le premier que nous passons seuls. Nous allons rendre une petite visite à ma cave pour aller chercher une bouteille de champagne.
Comme je me retournais pour aller chercher mes vêtements, il m'a apostrophée :— Où vas-tu ?
— Ben... je vais mettre une robe !
— Non ! On y va comme ça !
— Mais...
— Tu veux que je fasse rougir tes fesses en te donnant une fessée puis que je te conduise à l'ascenseur avec ma bite dans le cul ? Ne t'inquiète pas, il n'y a personne. Donne-moi tes clés !
Subjuguée par son regard devenu subitement dur, je les ai retirées de la serrure et je les lui ai tendues.
Il les a prises et, sans un mot, a ouvert la porte de mon appartement après avoir pris ses propres clés dans une poche de sa veste. Nous sommes sortis sur le palier et il a claqué ma porte : nous étions nus, dehors.
J'étais morte de honte : et si un voisin nous voyait ? Il n'aurait eu aucun doute sur ce que nous venions de faire. Fort heureusement, sur tout le trajet, nous n'avons vu personne. Il n'empêche que j'ai poussé intérieurement un grand soupir de soulagement lors de notre retour.
Il a posé la bouteille et nos clés sur la console de l'entrée puis s'est tourné vers moi avec un grand sourire :— C'est bien, Élodie, tu as été très courageuse. Il faut que je te récompense. La bouteille est fraîche mais pas suffisamment, alors je ne vois qu'une chose pour passer le temps.
Je ne me suis pas interrogée longtemps.
Il a mis la bouteille dans le freezer et réglé le temps d'action sur dix minutes. Une fois cela fait, il m'a soulevé par les hanches et m'a fait glisser le long de son corps. En un instant, je me suis retrouvée empalée sur son énormité tout en étant assise sur ses mains. C'est là que je me suis rendue compte que ma chatte trempée l'absorbait sans problème. J'ai un peu gémi puis il m'a glissé à l'oreille :— Contracte ta chatte autour de moi puis relâche-la, comme tu l'a fait avec ton cul autour de ma bite.
J'ai été bien trop heureuse de lui obéir immédiatement tout en sentant, comme je l'avais déjà remarqué, une émission de mouille très épaisse, gluante, lubrifier mes intérieurs et se glisser autour de sa grosse bite pour que je l'accueille mieux.
Je crois qu'il faisait exprès de ne pas bouger en moi, il aurait pu aisément me faire lever le long de son sexe puis me lâcher et me faire redescendre pour que je m'empale encore plus profondément ; il commençait à me lever, quand la sonnerie du freezer a interrompu notre étreinte.
Il m'a fait sortir de lui alors que je me régalais déjà à l'idée de jouir une nouvelle fois.
J'étais déçue et il s'en est rendu compte puisqu'il m'a dit :— Ne t'inquiète pas, tu vas avoir ta dose !... Au fait, as-tu des coupes plutôt que des flûtes ?
— J'ai les deux ! Pourquoi ?
— Tu vas voir ! Va nous chercher deux coupes, j'ouvre la bouteille.
Je me suis dépêchée de lui obéir. Nous nous sommes installés dans la cuisine, il n'a pas voulu que nous nous mettions au salon et il nous a rempli deux coupes.
Il nous a fait mettre debout et il m'a demandé de lui tendre ma coupe. Il a trempé son gros gland dedans et il m'a demandé de me sucer, ce que j'ai fait immédiatement. Je n'aurais jamais cru ça : j'avais l'impression de me conduire comme une pute avec son mec. Il a dit :— Je trouve que tu mérites une récompense. Viens là !
IL s'est assis et il a désigné son membre déjà raide. Je lui ai tourné le dos et me suis lentement enfoncée sur lui, par ma chatte. Il m'a demandé :— Ta récompense te plaît ?
Je n'ai pu qu'opiner de la tête ; en même temps, il faisait ressortir mon clitoris avec ses doigts fureteurs mais surtout je me sentais pleine de lui. Nous avons bu la coupe en nous parlant puis il m'a demandé, en caressant mes seins :— Tu es bien ?
Sans hésiter, lui ai répondu :— Oui !
— Écoute, Élodie, nous allons finir nos coupes et je vais faire bouillir de l'eau. Les pâtes, c'est à peu près la seule chose que je sache faire dans une cuisine, avec les œufs à la coque. Mais je suis trop bien dans toi, alors tu vas les préparer avec moi.
Il s'est mis debout, m'a pris les jambes derrière l'articulation des genoux et m'a portée ainsi jusqu'à la plaque de cuisson.
Il a posé mes genoux sur le plan de travail et, sans bouger de mon sexe, il a pris une casserole, mis de l'eau dedans, ouvert, sur mes indications, le placard où j'avais laissé un paquet de coquillettes puis attendu que l'eau commence à bouillir. Après les premiers frémissements, il a ajouté du gros sel et nous avons attendu, lui toujours enfoncé dans moi qui coulait comme d'habitude autour de son énorme bite, que les gros bouillons se forment.
Il a versé tout le paquet de coquillettes dans l'eau et a touillé avec une spatule de bois qui était là.
Après une dizaine de minutes, tout était prêt. Il a vidé l'eau puis a ajouté une belle dose de beurre dans la casserole. Ensuite, il a mélangé avec les coquillettes et a réparti les nouilles dans nos deux assiettes. Je trouvais que c'était trop mais il m'a dit :— Tu vas voir, nous allons manger tout ça, nous avons besoin de forces !
Il a pris nos assiettes pleines et les a posées sur la table de la cuisine puis il s'est assis. J'ai suivi son mouvement puisqu'il était toujours dans moi.
Pour la première fois de ma vie, j'ai mangé une quantité importante de coquillettes en ayant le sexe rempli par sa bite. Était-ce l'étrangeté de la chose ? ou avais-je vraiment besoin de reconstituer mes forces épuisées par nos séances de baise ? Et tout cas, j'ai dévoré le contenu de mon assiette et lui aussi.
Il était toujours raide en moi.
Soudain, j'ai tressailli. Il a posé son index doucement sur mon clitoris. C'est à cet instant que j'ai réalisé que mon petit bouton était raide et trempé. Il m'a dit doucement à l'oreille:— Branles-toi comme une salope en manque pendant que je m'occupe de tes seins.
Aussitôt dit, aussitôt fait! Je jouissais d'être pleine de lui, de triturer mon bouton d'amour tout rigide et gluant et surtout de sentir, en plus, ses grandes mains pincer les petits bouts fermes de mes seins.
Dans ma chatte, c'était un bouleversement : je sentais que tout coulait autour de l'énorme pieu qu'il avait glissé là, je m'attendais à une jouissance phénoménale... et le téléphone a sonné !
(à suiuvre)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous répond jamais et donner pas de nouvelles Élodie et vous la laisser jamais répondre et qu elle donne son mail dit à Élodie de me répondre et qu elle me donne son mail de me donne votre réponse.
Elodie peut elle me répondre et me laisser son mail