Fillette

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fillette Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Couleur du fond :
Fillette
Ses chaussettes blanches fines montaient aux genoux. La jupe plissée bleu marine virevoltait à chacun de ses gestes et dévoilait des cuisses fines de reinette. De reinette, de princesse même...
La gamine était rieuse et son minois gai et ses yeux clairs enchantaient la noce.

Déjà à l’église tous l’avaient repérée. Les hommes surtout. Les hommes ont une réelle aptitude à repérer. Mais les femmes n’étaient pas en reste et se partageaient entre celles, les plus nombreuses, qui se méfiaient de cette dévergondée toute prête à gober cru qui leur mari qui leur amant et les autres qui trouvaient bien du charme à cette petite et imaginaient en faire leur quatre heures avec initiation aux choses du sexe en intimité d’alcôve saphique et broutage réciproque de minou.

La gamine, elle, était indifférente à toutes ces turpitudes, saine dans sa tête saine dans son corps.

Lors que cette fille n’avait aucune conscience de ce qui se tramait, autour d’elle une centaine de gens construisaient dans leur tête des fantasmes dont elle était, malgré elle, le barycentre, l’héroïne.

Les mâles, eux, étaient tous, yeux perdus sur l’horizon de sa jupe plissée dans l’idée du gonflé du devant de sa culotte, de sa touffe naissante de petite jeune fille. Et de l’abricot glabre tout juste habillé de duvet léger, glabre mais déjà juteux quand même, comme fente de grande qui, manifestement, était son avenir son devenir certain. Enfin, dichotomie de fille toute jeune sur les rails irrépressibles de sa destinée de femelle.

Les femmes, c’est plus compliqué. Toutes étaient troublées par cette gamine qui leur rappelait leurs années d’innocence.
O, l’innocence ne dure jamais bien longtemps chez les filles et la jeune fille d’hier se retrouve bientôt, sans avoir entendu crier gare, femme lendemain dans les bras d’un garçon caressant.
Souvent les garçons caressants sont bien séduisants aussi, trop.

Toutes ces femmes en trempaient leurs gousset de voir les mimiques joyeuses de la gamine et se revoyaient elles-mêmes à son âge, s’attendrissant sur leur propre destin, sur le jour où tout eu basculé dans leur vie.
Elle revoyaient en mélancolie le garçon, celui par qui tout avait changé tout était arrivé.

Alors, elles balançaient entre méfiance vis à vis de cette très jeune fille qui allait aujourd’hui, ou demain au plus tard, précipiter leur fils ou leur amant dans un monde nouveau dans lequel elles n’auraient plus place. Méfiance bec et ongles castagne de filles.

Elles balançaient sans détermination entre méfiance et tendresse.

Tendresse vis à vis de cette belle fille toute fraîche telle qu’elles furent et en qui elles se reconnaissent. Tendresse physique à vouloir la serrer dans leurs bras à respirer son cou de cigogne à écouter son babillage.

Dans l’église, tout au long de la cérémonie, la fillette était la star et tous n’avaient d’yeux que pour elle.
Les garçons d’honneur et leurs copains de leur âge bandaient dur dans les frocs empesés en matant ses petites fesses drapées dans la jupe plissée bleu marine.

Les hommes, debouts auprès de leurs épouses chapeautées entre bancs cirés odorants et prie-Dieu, avaient l’œil émoustillé à regarder sa frimousse juvénile et gaie. Et surtout surtout le petit sein rond qui pommelait le chemisier blanc avec téton miniature déchirant le coton par devant. Les hommes aiment la jeunesse, les cailles, les palombes, les gazelles. Ils aiment à chasser à l’aube en campagne, les hommes.

Les aïeuls de noir vêtus regardaient la fille marcher en dansant lentement dans l’allée centrale portant le filet de velours au bout d’un long manche pour la quête. Elle souriait en sollicitant chacun et l’offrande venait facilement. Personne dans l’assistance ne pouvait résister en pingrerie à cette invite. Grand père pensait, le curé de cette paroisse est diablement habile qui a choisi cet enfant pour récolter. Voilà un homme avisé qui connaît ses ouailles et sait exactement ce qui les motive au fond du cœur.
Les femmes, elles, n’étaient pas en concordance. Toutes, en organdi ou en dentelles ou en voile pastel, tenaient dragée haute et exprimaient de poitrine opulente leur féminité féconde et accomplie. Elles snobaient cette petite qui selon toutes devrait attendre encore des années pour avoir, elle aussi, la valeur. A l’instar de ses aînées.

Mais la gamine savait Corneille, savait le Cid et n’avait aucune vergogne à s’y croire. Elle levait le nez et narguait les épouses et les mamans. Elle savait qu’après la messe et le jeté de riz dessus le couple des mariés, dans la mêlée de sortie du culte, les hommes, du plus jeune au plus ancien, seraient, tous, en nuage bourdonnant autour d’elle, comme frelons, comme faux-bourdons, en après-midi caniculaire d’été.

A vouloir, tous, à en perdre la vie, poser leur graine.

La fille ne voyait rien ou du moins semblait ne rien voir, tout en innocence apparente. Innocence feinte ?

Mais sur les cuisses de cette gamine, sur ses hauts de cuisse, dégoulinait la mouille du creux d’elle qui disait haut et clair son état d’esprit, son aptitude, sa disposition.
Heureusement personne de la noce ne savait cela.

Personne ne le savait mais tous le supputaient. Sont clairvoyants les invités des noces, toujours, non ? N’est-il pas ?

A la grande table, à la tablée de famille, la fillette était assise avec ses copines, cousines filles de son âge, blondes à tresses en robes à smocks, noyée dans le groupe. Le babillage enfantin faisait foutrement illusion lors que tous savions que, sous sa robe blanche sage, de sa touffe juvenile perlaient les gouttes de bienvenue blanches et fluides. Douces et fines aux doigts qui invitaient à parcourir doucement son dindon compliqué pour y entrer mais aussi caresser le lieu tendu, phare de son intimité, bouton minuscule à vif de ses félicités.

La fillette regardait les hommes, tous les hommes, sans vergogne. On voyait d’évidence qu’elle en voulait.
Ou bien se faisaient-ils des idées tous ces gars-là et, en réalité vraie, cette fille, si jeune, n’avait pas la moindre velléité, pas la moindre inclination au sexe ? Et si tout ceci n’était que fantasme de garçons éjaculateurs précoces, de maris inassouvis, de vieillards libidineux ?

Va savoir.


J’ai hésité à écrire la suite. Y a t il réellement une suite ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,
Les mots employés font plus tournés la tête que l'histoire en elle-même.
Mais pourquoi pas une suite?



Texte coquin : Fillette
Histoire sexe : Une rose rouge
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