Fleur bleue

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Fleur bleue Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Fleur bleue
Je m’appelle Manu. Je suis infirmier.
Jusqu’à mes 30 ans, j’ai pas mal voyagé en m’impliquant avec une célèbre ONG. J’ai vécu des choses que bien sûr je n’aurais pas vécu en France. Des moments tragiques, des moments magiques… et même une unique fois, un moment où j’ai eu peur pour ma propre vie.
Et puis, ma sœur a eu des jumeaux. J’ai eu envie de les voir plus souvent. C’est chez eux que j’ai rencontré un de leurs amis, médecin, qui m’a parlé d’un poste à pourvoir. J’ai accepté, peut-être parce que la dernière mission avait été particulièrement dure. Ne pas pouvoir sauver un enfant est très dur à vivre. Ne pas pouvoir en sauver plusieurs, est dramatiquement déprimant.
J’ai rencontré la directrice des ressources humaines de l’hôpital. C’était une petite blonde très joviale, qui m’a tout de suite plu. Au cours de l’année suivante, je crois que je me suis bien intégré. Parfois, mes collègues m’énervaient un peu à se plaindre de choses qui me paraissaient insignifiantes mais à quelques exceptions près, ils étaient efficaces et professionnels.
Julie, la responsable RH et moi avions pris l’habitude, une fois de temps en temps de manger ensemble. C’est la seule ou presque à qui j’ai raconté certaines de mes aventures douloureuses à l’étranger. Elle était mariée mais ne me parlait que rarement de son ménage. Elle avait 2 ou 3 ans de plus que moi et je savais qu’elle n’avait pas d’enfants. Julie mesure 1,60m à tout casser, blonde avec des yeux verts très clairs. Elle était souvent habillée de façon très féminine et je dois avouer que j’aime vraiment ça chez une femme.
Julie n’est pas particulièrement fine mais elle a de jolies jambes avec les mollets et les cuisses musclées comme il faut. Elle a un peu de hanche mais ça met en valeur une taille relativement fine qui accentue encore sa poitrine volumineuse. Je ne sais pas vraiment comment décrire sa poitrine sinon de dire que l’on a envie de se perdre dans son décolleté. La peau semble douce, la chaire ferme.
Je sortais régulièrement et j’arrivais de temps en temps à rencontrer des filles pas trop farouches mais je dois avouer que Julie m’attirait. Seul problème, elle était mariée. Ça ne m’empêchait pas de me masturber de temps en temps en pensant à elle.
Et puis, un jour tout a changé, j’étais au lit avec une collègue avec laquelle j’avais sympathisé depuis longtemps déjà. On était tous les deux sans conjoints et libres de s’amuser de temps en temps. Elle était comme moi, française d’origine ivoirienne.
On venait de baiser assez fort tous les deux et une fois le préservatif atterri à la poubelle, j’ai rejoint Isabe sous la couette.
- Bon, maintenant, il faut que je te parle sérieusement.
- Oui ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as quelqu’un ? Tu ne veux plus qu’on se voit ?
- Mais non, je n’ai personne. C’est à propos de Julie.
- Oui ?
- Est-ce que tu es le seul à ne pas t’apercevoir qu’elle n’est en jupe que les jours où vous mangez ensemble ?
- Hein ? Qu’est-ce que tu racontes ? Ce n’est pas vrai.
- Merde alors ! Alors réellement, tu ne t’en es pas aperçu ?
- Je… Non.
- Au boulot, toutes les collègues sont persuadées que tu joues avec elle et je dois avouer que j’avais des doutes. Elle te dévore des yeux dès qu’elle est avec toi… Elle boit tes paroles. L’autre jour, j’ai raconté à la pause-café que ça nous arrivait de coucher ensemble, juste pour le fun. Julie était juste à 2 mètres de moi dans mon champ de vision. Elle est devenue complètement écarlate. Ce n’était pas voulu de ma part mais on a toutes eu la preuve qu’elle était jalouse.
- Et puis d’abord, admettons que ce que tu dis est vrai. Elle est mariée, qu’est-ce que ça change ? Je ne suis pas du genre à casser un ménage.
- Même si tu ressens quelque chose pour elle aussi ? Parce que, pour nous toutes, c’est évident. Sans parler de ta langue qui pend devant ses décolletés ou son déhanché.
- Eh ! Je ne suis pas un pervers quand même !
- Non, mais avoues que tu l’aimes bien… Et que tu préfèrerais l’avoir dans ton lit que moi !
- Je peux t’assurer que tu es très belle. J’adore t’avoir dans mon lit.
- Mais tu préfèrerais que ce soit elle. Tu peux le dire, ça ne va pas me vexer.
- Bon, ok, c’est vrai que j’aimerais bien l’avoir dans mon lit, et même être avec elle si possible.
- Eh bien fonce… J’ai entendu une rumeur qui dit qu’elle a foutu son mari à la porte la semaine dernière et que ça fait très longtemps que ça couvait. Apparemment, il l’avait déjà trompée une fois.
Ça, je le savais mais maintenant, je comprenais mieux pourquoi elle avait l’air songeuse lors de notre dernier déjeuner. L’espace d’un instant, l’idée de pouvoir être avec elle m’a traversé l’esprit et j’ai souri.
- Ah Ah ! J’avais raison, ça change les choses hein ?
- Je… Oui. J’avoue. Et oui, je la trouve très attirante !
Isabe caressait mon sexe qui a grossi dans sa main. Elle m’a regardé en souriant.
- Tu fais quoi là ? Tu imagines cette bombasse de petite blonde hein ?
Je suis rentré dans son jeu.
- Oui !
- Tu imagines tes grandes mains noires sur ses gros seins ? Est-ce que tu crois qu’elle a déjà couché avec un noir ? C’est peut-être son fantasme ?
On a encore baisé pendant un bon moment. Isabe n’arrêtait pas de me parler de Julie et ça m’excitait à mort.
Isabe est partie peu après, me disant qu’elle espérait pour moi que ce serait la dernière fois entre nous deux.
C’est le jeudi suivant que j’ai déjeuné avec Julie pour la première fois depuis ma conversation avec Isabe.
- Julie, le bruit court que toi et ton mari, vous ne vivez plus ensemble.
- Oui, c’est vrai… Et le divorce est en cours.
- Je savais que ça allait mal entre vous. Je ne connais pas toute l’histoire, juste ce que tu laissais entendre de temps en temps. Ça va toi ?
- Oui, honnêtement, beaucoup mieux que depuis très longtemps. Tu sais, il m’a trompé deux fois depuis qu’on est marié. Une première fois lors d’une sortie entre potes. Ils étaient bourrés et c’était une grosse fête. Je lui en ai voulu mais j’ai pardonné. Et puis, il y a un an, j’étais au restaurant et j’ai entendu des collègues de mon mari discuter des rumeurs de boulot. L’un des 2 racontait que tout le monde savait que mon mari et une de ses collègues couchaient ensemble dès qu’ils étaient en déplacement. Ils ne m’avaient pas vu mais quand je suis partie en hâte, en pleurs, ils m’ont reconnu. Marc n’a pas nié quand je lui en ai parlé le soir, me disant que c’était purement sexuel, que ça ne voulait rien dire, qu’il ne le referait plus. J’aurais dû divorcer immédiatement mais pour moi, le mariage, ça veut dire quelque chose… Mais la confiance était rompue. Il a été aux petits soins pour moi, il m’a dit qu’il m’aimait et qu’il était désolé je ne sais combien de fois mais de mon côté, je me suis aperçue qu’il n’y avait plus aucun amour… Le seul point positif là-dedans, c’est qu’on n’ait pas encore d’enfants.
- Julie, je… Je ne veux pas passer pour un goujat mais… Est-ce que tu accepterais de dîner avec moi un de ces soirs ? Je sais que ça ne fait pas encore…Elle m’a coupé tout de suite.
- Oui ! Ce serait avec plaisir !
- Demain soir ?
- Je peux.
- Alors je passe te prendre à 19h30 si tu veux ?
- Oui, on fait comme ça ! Je dois m’habiller comment ? Tu sais où tu m’emmènes ?
- Tu n’as pas besoin de t’en faire… Tu seras la plus belle.
J’avais dit ça avec un énorme sourire ce qui l’a fait rire.
- N’exagère pas quand même !
Je suis passé la chercher avec un bouquet de fleurs. Elle était habillé d’une robe que je n’avais jamais vu. Elle mettait son corps en valeur de façon incroyable.
- Cette fois, je ne te permettrais pas de redire quoi que ce soit. Tu seras la plus belle ce soir !
Elle a rougi et a accepté le compliment.
Je l’ai emmenée dans un restaurant où l’ambiance était vraiment très sympa. On a énormément rigolé. Je l’ai raccompagné chez elle. Elle m’a embrassé sur la joue pour me dire bonne nuit mais c’était un bisou plus appuyé que la normale, tout en ayant la main posée sur mon bras. Je n’ai rien fait pour ne pas la mettre mal à l’aise mais j’avais une seule envie, la prendre dans mes bras.
Le lendemain, à 10h00 du matin, j’avais un texto. C’est elle qui m’a demandé si j’étais libre le soir. Je devais retrouver quelques amis ce soir-là mais ils allaient comprendre sans problème que je préfèrerai passer la soirée avec une femme qui était devenue un fantasme pour moi. Je devais passer la prendre dans le même type de tenue que la veille au soir.
Elle m’a emmené dans un restaurant que je connaissais bien et que j’adorais. Julie avait réservé une table assez isolée pour pouvoir parler tranquillement. La particularité de ce restaurant était la salle de danse attenante, très portée sur les danses assez énergiques comme le rock, la zumba…On a mangé tranquillement et juste avant le dessert, je l’ai entraîné sur la piste pour quelques rocks. Je suis plus grand qu’elle de 25 cm mais on s’entendait super bien pour danser alors qu’on n’avait jamais dansé ensemble auparavant. D’ailleurs, quelques personnes nous regardaient et semblaient assez impressionnées.
On est allé se rasseoir pour prendre le dessert.
- Julie, j’adore cette soirée, merci. C’était une super idée.
- De rien. Je dois avouer, que j’ai entendu une fois une conversation d’Isabe qui disait que vous aviez assisté à des cours de danse gratuits. J’espérais que tu sache danser, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise… Mais en fait, tu danses vraiment très bien.
- J’ai eu une copine dont la passion était la danse. Il a fallu que je m’y fasse mais ce n’était pas une corvée. J’aime bien danser. Surtout avec toi.
- Ça devait être sympa aussi avec Isabe. C’est vraiment une fille sympa et très jolie. J’espère que je n’ai pas gâché une soirée avec elle en t’invitant.
Elle avait dit ça en rougissant et j’étais sûr qu’elle faisait aussi allusion au fait que j’avais couché avec Isabe et qu’elle tâtait le terrain.
- Non, on n’avait rien de prévu. Mais c’est vrai qu’Isabe est une bonne amie. Rien de plus d’ailleurs.
- Ah, d’accord.
J’ai pris sa main.
- Julie, j’ai envie de sortir avec toi depuis longtemps déjà. Mais tu étais mariée.
- Je… Je dois t’avouer quelque chose. A la base, quand j’ai fait ta connaissance, je voulais pouvoir dire à mon mari que j’avais moi aussi la possibilité de le tromper. Tu venais d’arriver et tu étais très attirant et je me disais que mon mari serait très jaloux s’il savait qu’un homme aussi séduisant que toi passait du temps avec moi… Mais au fil du temps, les choses ont évolué. Tu fais partie des raisons qui m’ont poussé à revoir ma position sur le divorce. J’adorais nos déjeuners, les attendais avec impatience… Quand je me suis rendue compte que j’avais de plus en plus envie de passer du temps avec toi, je me suis dit que mon mariage n’avait plus aucune chance. J’espère que tu ne m’en voudras pas d’avoir essayé de t’utiliser ?
Elle semblait vraiment appréhender ma réponse.
- Non, je ne t’en veux pas. Je peux même te dire que suis vraiment content d’entendre ça tu sais ? C’est un sacré compliment de savoir qu’une femme aussi belle que toi me trouve séduisant.
J’ai attiré sa main à moi pour y déposer un baiser récompensé d’un grand sourire de sa part. On a entendu le rythme de la musique changer dans la pièce d’à côté. Les danses latines commençaient. On s’est levé immédiatement pour aller danser.
Nos regards étaient de plus en plus chauds, nos corps se frôlaient, se collaient. On a dansé un bon moment. A la fin d’une danse, j’ai collé Julie à moi et j’ai levé sa tête vers moi. J’ai vu son regard sur mes lèvres et on s’est embrassé passionnément. Julie a poussé un petit gémissement pendant le baiser, preuve qu’elle a apprécié autant que moi.
- Manu, est-ce que tu veux prendre un café ? Chez moi ?
- Oui, j’aimerai beaucoup.
On a payé et on est parti, main dans la main pour la première fois.
Arrivé chez elle, on a déposé nos vestes mais elle n’a pas eu le temps de préparer le café. Je l’ai à nouveau attirée à moi pour l’embrasser. Immédiatement, elle a passé ses bras autour de mon cou.
J’ai ôté doucement le chemisier de sa jupe, guettant une réaction de rejet de sa part mais j’ai aussitôt ressenti le contraire.
J’ai lors pris conscience d’une chose. J’ai levé la tête et j’ai vu quelle porte était celle de la salle de bain. Personnellement, j’avais beaucoup transpiré sur la piste de danse et j’avais vu que Julie également.
Je l’ai emmenée à ma suite et on s’est retrouvé dans une petite salle d’eau. Quand j’ai commencé à déboutonner ma chemise, elle a fait de même avec son chemisier. Elle ne me quittait pas des yeux.
On a fait tomber ensemble nos vêtements un par un. Julie portait une magnifique lingerie rouge et noire. Elle a furtivement passé ses mains sur mon torse et mes abdos, en se mordillant la lèvre inférieure, le bout de ses doigts effleurant la bosse qui se formait dans mon caleçon.
Elle a libéré ses seins du soutien-gorge et j’ai pu admirer ce que je pressentais depuis longtemps comme une poitrine parfaite. Les seins étaient gros et se tenaient bien hauts, avec de magnifique tétons que j’aurais voulu gober immédiatement. Mais il fallait attendre. Ce serait encore meilleur en attendant un peu.
Quand on a perdu nos derniers remparts visuels, Julie ne me regardait plus dans les yeux. Elle ne regardait que mon sexe, fièrement dressé pour elle.
- Mon dieu Manu !
C’était les premières paroles depuis l’entrée dans l’appartement. Elle a ouvert l’eau de la douche et s’est glissée dessous une fois la température correcte et après avoir remonté ses cheveux en chignon. Puis, elle m’a regardé dans les yeux, mais c’est en saisissant mon sexe dans sa main qu’elle m’a attiré à elle. On s’est savonné mutuellement sans se presser, sans trop insister non plus sur les parties trop sensibles. Juste une caresse par-ci, un pincement par-là, des baisers tendres ou plus forts. Julie passait ses mains sur mon corps et je voyais qu’elle appréciait chaque muscle, et j’aimais la voir me désirer.
Pour ma part, c’était ses courbes, le creux de ses reins, ses fesses, la douceur de ses lèvres intimes que je frôlais parfois, créant une décharge de désir chez Julie.
Elle est sortie en premier, se séchant rapidement puis me tendant la serviette. J’avais à peine mis la serviette sur ma tête pour me sécher les cheveux que j’ai senti la bouche de Julie me téter le gland, sa langue dansant autour et m’arrachant un gémissement de plaisir. Je me suis dépêché de me sécher pour ne pas jouir dans sa bouche et passer pour un jeunot ne pouvant pas se retenir.
Julie m’a regardé avec les yeux rieurs, bien consciente de ce qu’elle m’infligeait.
J’ai pris Julie dans mes bras pour la porter jusqu’à la chambre que j’ai trouvé au bout de la deuxième porte. J’ai couché Julie sur le lit avant de passer sur elle. On s’est à nouveau embrassé puis j’ai profité de sa splendide poitrine. Julie bougeait sous moi, tantôt pour me sentir plus contre elle, tantôt pour offrir à ma bouche une nouvelle zone à explorer.
- Viens en moi Manu ! Je te veux te sentir jouir en moi !
- Non ! Toi d’abord ! Et puis il faut que je me venge de tout à l’heure.
Petit à petit, je me suis retrouvé dans la fourche de ses cuisses. A chaque baiser sur son sexe, Julie exprimait plus son désir. Ma langue a trouvé le clitoris, pénétré son sexe. Je n’y allais pas trop fort, évitant de l’emmener jusqu’à l’orgasme.
- Oh mon dieu… OUI… Là ! OOOHH… OH MON DIEU !! OUIIIII !
Je me suis redressé et j’ai pressé mon gland sur les lèvres de son sexe. Elle m’a attiré à elle pour m’embrasser, collant son corps contre le mien.
- Manu ! Je… Viens en moi… Mais doucement… J’ai un peu peur de ta taille.
Elle avait passé une main entre nous et entourait ma verge de ses doigts, regardant intensément mon gros sexe noir dans sa petite main. Elle branlait doucement. J’avais couché avec pas mal de fille blanche et j’ai reconnu dans son regard certains que j’avais déjà vu. Le regard d ‘une femme sur le point d’accomplir un fantasme.
- Tu n’as jamais couché avec un noir ? C’est ça ?
- …- Tu aimes voir ta petite main blanche là où elle est ?
- Oui !
- Tu n’as pas à avoir peur de la taille ! Ta petite chatte va être heureuse de me sentir en toi- Oh Manu !
- Tu aimes sentir ma queue contre toi ?
- Oh oui ! si grosse !
- Tu en as toujours eu envie hein ? Tu veux te faire défoncer par un black !
J’ai senti Julie se tendre, un gémissement d’impatience sortant de sa gorge, sa respiration s’accélérant encore !
- Oui ! c’est ce que je veux mon amour ! PRENDS-MOI ! MAINTENANT !
J’ai poussé et je me suis enfoncé en elle. Elle était trempée, bouillante.
- OOOOHHHHHHH ! MON DIEUUU !
Chaque poussée entraînait un nouveau gémissement, un nouvel encouragement aussi- OOUIIII ! OOHHHH ! PLUS !
Julie était belle sous moi, d’une grande sensualité dans les mouvements de son corps. Son excitation était proche de la luxure. Chaque petit cri de jouissance la rendait plus désirable encore. Ses jambes encerclaient mon bassin, ses doigts serraient fort mes biceps ou elle plantait ses ongles dans mes épaules. Le rouge montait à ses joues, sur sa gorge. Elle tentait de me regardait dans les yeux mais les fermaient parfois, bouche grande ouverte dans un cri silencieux.
- Alors ! c’est ça que tu voulais ? Un black pour te posséder ?
- OUI ! Ta grosse queue ! MON DIEU !
- Tu l’aimes ma grosse queue !
- OUI !
Je suis sorti d’elle, la mettant à 4 pattes sur le lit, les fesses complètement offerte. J’ai saisi ses cheveux d’une main, lui faisant tourner la tête vers le miroir de son placard.
J’ai vu ses yeux s’ouvrir en grand, l’excitation de nous voir comme ça lui donnant un frisson de désir qui a couru dans tout son corps.
- Oh mon dieu oui comme ça. COMME CA ! MANU !
Son petit corps était complètement offert à mes assauts. Elle, une femme à la peau de porcelaine. Moi, un grand black musclé derrière elle, le sexe bandé au maximum dépassant de ses fesses.
Julie bougeait ses fesses, les pressaient contre moi. J’ai positionné mon gland et elle a lancé son cul vers moi pour s’embrocher dans un grand cri de jouissance, de luxure pure. J’ai toujours les doigts emmêlés dans sa chevelure, l’autre saisissant fermement sa hanche.
J’ai Mis toute la longueur en elle, poussant contre le fond de sa chatte. Julie a émis un son rauque venant du fond de la gorge. J’ai recommencé, restant bien au fond. Puis, Julie a bougé son bassin, s’élargissant elle-même sur moi. Elle ne lâchait presque pas le miroir des yeux.
J’ai commencé à la baiser, vraiment la baiser. Julie est partie dans un orgasme démentiel alors que je me vidais complètement en elle, incapable de résister plus longtemps à la sensation de sa chatte autour de ma queue.
On s’est effondré sur le lit et elle s’est lovée dans mes bras, tremblante, des larmes dans les yeux.
- Ca va Julie ?
- Oui ! Merci ! Merci ! Tu… C’était… WAH ! Exceptionnel ! encore mieux que dans mes plus grands fantasmes !
- J’ai eu peur d’être un peu trop cru dans mes paroles mais… J’avais l’impression que ça faisait partie de ce que tu voulais de moi !
- Complètement ! J’ai adoré ! Je ne dis pas que je veux ça à chaque fois mais une fois de temps en temps ce serait bien !
- Alors on est d’accord ? ce n’était pas juste une fois ?
Elle m’a donné 2 ou 3 petite baffe sur le torse en rigolant.
- Il n’y a pas intérêt Monsieur !
- Je suis en train de tomber amoureux de toi Julie, complètement !
- Moi aussi… Mais ça fait un moment pour moi !
- Alors c’est fait… On est en couple !
- Oui, mais il y a des conséquences à ça…Elle a saisi mon sexe un peu mou dans sa petite main.
- Ça veut dire que ce monstre-là est à moi et rien qu’à moi… Et que je ferais tout ce qu’il faut pour que tu n’aies pas envie de passer une autre nuit avec Isabe… Ou une autre…- Promis, il n’y aura que toi ! Tant que je suis le seul à assouvir tous tes fantasmes.
- MMMHHH ! J’aime cette idée !
- Tu as donc des fantasmes à réaliser ?
- Rien de bien méchant !
Mon sexe était redevenu dur dans sa main. Elle est passée sur moi et s’est empalée lentement, totalement, un sourire sur les lèvres.
- OHHH ! Eh bien en voilà un autre de réalisé- Ah oui ?
- Oui, tu ne peux pas savoir combien de fois j’en ai rêvé depuis que je te connais…- De t’empaler sur ma grosse queue moire ?
- Oui ! si grosse ! si longue ! Tu vas si loin mon amour ! OOOOHHHH !

- Quoi d’autre ?
Elle a rougi, presque timide.
- Alors ? Dis-moi !
- Je veux te sucer… J’aime faire ça, jusqu’au bout… Recevoir ton sperme dans ma bouche, te savourer…- Quand tu veux ma puce, quand tu veux ! Et quoi d’autre ?
Elle continuait d’onduler sur moi, se soulevant presque à sortir le gland avant de s’empaler à nouveau en gémissant. Cette femme est une déesse quand elle me fait ça.
- Je veux… Quand je t’ai vu dans la glace tout à l’heure, j’ai vraiment cru que tu allais…- Que j’allais quoi ?
- Me… Me prendre par derrière… AAAAAHHHH !
- Je t’ai pris par derrière. La meilleure levrette de ma vie ma chérie !
J’ai vu de la fierté dans ses yeux.
- Pour moi aussi mais… Je pensais… Que tu allais vouloir venir dans mes fesses !
J’ai passé mon doigt dans la raie culière, le bout de mon majeur appuyant légèrement sur l’anus.
- Là ?
- Oui là ! MMMMMHHH !
- Tu voulais que je prenne ton petit cul !
- Oui… Non… Je ne sais pas… Je ne l’ai jamais fait mais… J’en rêve…L’excitation grimpait très fort pour moi. Julie était belle comme ça. Julie était proche de l’orgasme, je le voyais. Ses mouvements de bassins s’accéléraient un peu. De plus en plus de petits cris sortaient de sa bouche grande ouverte. Puis, elle a rejeté la tête en arrière, criant son plaisir, son corps pris de spasmes. J’ai saisi ses hanches et j’ai accéléré un peu, jouissant peu après elle alors qu’elle s’était penchée sur moi pour m’embrasser passionnément.
On était complètement morts. Julie a rabattu la couette sur nous après avoir repris son souffle et on s’est endormis.
Le réveil a été tendre mais on avait vraiment besoin d’une bonne douche… Et de draps propres.
Julie et moi ne nous sommes plus quittés. Nous n’étions plus des gamins et on savait ce qu’on voulait. Le bébé est arrivé un an plus tard. On a tout le temps de se marier…Ah oui, au fait… J’ai bien quelques fantasmes mais… ceux de Julie sont depuis longtemps réalisés.

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Texte coquin : Fleur bleue
Histoire sexe : Une rose rouge
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