Folle expérience

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Folle expérience Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Folle expérience
Je n’aurais jamais cru vivre ça un jour. Comment est-ce arrivé ?

Je m’appelle Thomas. Je suis marié à Lucie, la plus adorable femme que j’ai jamais rencontrée. Dès le premier regard, l’attirance a été réciproque et immédiate. On est tombé amoureux comme des fous très rapidement.

Aujourd’hui, notre fille à trois ans. C’est un adorable petit bout de chou.

Lucie est très belle. Rien à voir avec les tops model ou les bimbos qu’on peut voir à la télé. Elle est châtain-blond, 1,65m pour 55kg. Elle aime faire du fitness à la maison donc elle maintien une ligne parfaite sans être trop musclée. Elle a des courbes là où il faut, des seins fermes et assez gros, une taille fine et de très jolies jambes.

Pour ma part, je suis plutôt pas mal non plus, sportif. Je suis très ouvert aux autres. J’aime faire des rencontres et on a de bons amis. On nous dit qu’on forme un joli couple.

Notre complicité est incroyable et cette complicité se retrouve aussi au lit. On aime faire l’amour. On aime le sexe. Nos jouissances sont fortes.

J’adore son sexe. Je pourrais lécher Lucie pendant des heures. Elle me suce également, très enthousiaste à me donner du plaisir. Il y a quelques années, la sodomie entrée dans la liste de nos rapports et on y prend beaucoup de plaisir.

Bref, je suis heureux et je suis persuadé que Lucie est heureuse également avec moi. La seule et unique ombre au tableau, c’est que Lucie, après avoir donné naissant à Léa, a développé des kystes au niveau des ovaires qui pouvaient devenir cancéreux. Ayant déjà eu un enfant, on a décidé qu’il était préférable de les faire enlever.

Il y a un peu plus d’un an, on est parti en weekend dans une jolie ville de province en laissant notre bébé à mes parents. On est allé au restaurant et en sortant, on a vu un bar de nuit, avec une piste de danse. On s’est beaucoup amusé et on a dansé mais ce qui a rendu cette soirée mémorable pour nous, c’est qu’à 2 reprises, des couples nous ont abordé. Je peux même affirmer qu’on s’est fait draguer ouvertement.

Les 2 couples étaient très sympathiques mais nous n’avions clairement aucune envie que ça aille plus loin qu’une discussion avec eux. Après avoir été clair, la discussion s’est portée sur l’échangisme, leur vie de libertin. On est rentré à l’hôtel et on a fait l’amour une bonne partie de la nuit, allant même jusqu’à parler de l’un des 2 couples, qui était particulièrement gentil. Julie avait senti que le mec aurait pu l’attirer si on n’avait pas été en couple et moi, de mon côté, j’avais trouvé la femme très belle aussi, beaucoup de charme.

On n’a plus reparlé de ça mais j’y pensais de temps en temps. Non pas que je souhaitais vivre cette expérience mais je me suis plusieurs fois imaginé Lucie dans les bras d’un homme, me demandant comment elle serait avec lui, l’imaginant jouir aussi.

Je suis quelqu’un qui rêve beaucoup, et je me souviens souvent au matin de mes rêves. Il m’est déjà arrivé de faire des cauchemars, comme beaucoup de maris, j’imagine. Je voyais ma femme me quitter pour un mec que je n’aime pas, un « rival », les surprenant en train de baiser, ou pire, de faire l’amour. Je me réveillais alors mal à l’aise, presque en colère.

Mais d’autre fois, je rêvais qu’on sortait, passant une super soirée, une tension érotique palpable. Et c’est là qu’entrait parfois en scène un autre homme, flirtant avec Lucie. Cet homme était un inconnu, n’avait pas vraiment de visage mais l’attraction entre eux était certaine. Lucie se laissant séduire petit à petit jusqu’à être clairement excitée par lui.

La fin du rêve était toujours confuse. Allait-elle coucher avec lui ? Avait-elle couché avec lui ?
Ce que je sais c’est que je me réveillais de ces rêves, excité et avec une érection très forte.

Je lui ai même une fois raconté un de mes rêves particulièrement précis dans lequel il était clair qu’à la fin, elle allait coucher avec un autre homme. Lucie a bien rigolé, ne prenant pas du tout au sérieux ce rêve qui revenait de temps en temps.

Lors de nos soirées en tête à tête, il nous arrivait de regarder les gens autour de nous et de voir qui on trouvait attirant et pourquoi. A plusieurs reprises, Lucie m’a charrié un peu sur mon rêve.

Mais je me suis aperçu d’une grosse différence entre nous dans ces moments-là. De son côté, lorsqu’on parlait d’une jolie femme, elle me disait qu’elle arracherait les yeux de n’importe laquelle posant la main sur moi.

Pour ma part, lorsqu’elle me montrait un homme particulièrement attirant, me demandant si elle m’imaginait avec lui, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’en effet, l’homme aurait pu être acteur dans mon rêve. C’était toujours de la part de Julie dans un esprit de blague, mais je me suis surpris à plusieurs reprise de trouver l’idée excitante.

Pour nos 30 ans et nos 5 ans de mariage, Lucie et moi avons décidé de partir pour une semaine à la Martinique en laissant notre petit bout de chou à mes beaux-parents.

Les trois premiers jours ont été faits de promenades, de découverte, de baignades et chaque jour, on faisait l’amour au moins une fois.

Le 2ème jour, en excursion, on a fait la connaissance d’un couple.
En tous cas, au début, on a cru qu’ils étaient en couple mais en fait, il s’agissait d’un frère et d’une sœur, vivant à Nantes. Ils avaient à peu près notre âge, étaient d’origine ivoirienne. Le courant passait bien entre nous.

Le grand frère, Paul, avait payé à sa sœur ces vacances pour qu’elle se remette d’une rupture douloureuse. Ils étaient là depuis une petite semaine.

On se croisait souvent et le soir du 3ème jour, on a dîné ensemble. On s’est beaucoup amusé et on a dansé tous ensemble. La sœur de Paul devait partir le lendemain matin. Elle n’avait pu prendre qu’une semaine de vacances alors que Paul restait jusqu’à la fin de la semaine.

Lorsqu’on s’est dit au revoir et bonne nuit qu’on s’est tous fait la bise et j’ai ressenti une boule au ventre en voyant Paul déposer une bise un peu plus appuyée qu’elle n’aurait dû l’être sur la joue de Lucie, la main sur sa taille.

Un peu plus tard, alors qu’on faisait l’amour, j’ai revu cette image dans ma tête et j’ai repensé à tous les regards de Paul vers Lucie. De manière totalement insensée, cela m’a excité comme rarement. J’ai accentué mes coups de reins, ne pouvant m’empêcher d’imaginer Paul à ma place. Lucie a joui fort, ignorante de la raison de mon excitation mais bien contente du résultat.

Elle s’est endormie presque aussitôt dans mes bras.

Le lendemain midi, seuls en train de manger, j’ai fait part à Lucie que j’avais remarqué des regards de Paul sur sa silhouette. Elle a rougi et m’a avoué qu’elle avait remarqué aussi. Ce n’était pas la première fois, loin de là qu’un homme la regardait.

Le soir, on a mangé en tête à tête et on a recommencé notre petit jeu, disant à l’autre qui était attirant dans le restaurant. C’est à cet instant que Paul est entré dans le restaurant. Il était avec des gens avec lesquels il avait fait une excursion ce jour-là. J’ai regardé Lucie intensément.

- Et Paul ? Comment tu le trouves lui ?
- Paul ? Euh… Il est attirant…
- Eh, tu ne joues pas le jeu, là. Tu dois me dire ce qui t’attires chez lui.
- Non, on n’a jamais fait ça avec des gens qu’on connait.
- Arrêtes, on ne le connaît pas vraiment. C’est presque un étranger.

Je crois que je dois vous décrire Paul. D’origine Ivoirienne, sa peau est noire mais pas trop foncée non plus. Il est grand, 1,85m au moins et a une solide carrure. Il s’était mis torse nu comme moi lors de l’excursion. Je ne suis pas pourri, fin mais musclé. Lucie aime mon corps, je le sais. La musculature de Paul était impressionnante. Des épaules fortes, des pectoraux développés et des tablettes de chocolats. Il était coach sportif et devait appliquer à la lettre ses recommandations pour être aussi bien bâti.

Je peux vous assurer que je suis 100% hétéro mais je savais que Paul était forcément considéré comme séduisant.

- Bon, ok. Paul a de quoi attirer une femme. J’ai dû me concentrer pour ne pas regarder son corps trop ouvertement l’autre jour. Tu sais que j’ai horreur des hommes bodybuildés et je trouve le corps de Paul vraiment bien fait.
- Je ne peux qu’être d’accord avec toi. Quoi d’autre ?
- Il a du charme, un beau sourire. Et puis, je ne sais pas. Il a quelque chose…

J’ai vu qu’elle hésitait.

- Dis-moi
- Surtout ne prends pas mal ce que je vais dire mais… Il est… Viril… Très sûr de lui…
- Hmm ! Viril ?
- Attends tu l’as vu ! Il en impose quand même.

On a arrêté là mais du coin de l’œil, je voyais Paul nous observer. Ou plutôt observer Lucie. Elle portait un joli chemisier et une jupe moulante et tout lui allait à merveille. Elle plaisait à Paul. C’était évident.

Ce soir-là, on était claqué par notre excursion et on s’est endormi comme des masses. J’ai refait le rêve. Tout était identique, le flirt, la tension sexuelle, les danses, corps à corps. Seulement, cette fois, à la fin de mon rêve, je voyais Lucie se faire prendre sous mes yeux. Le sexe qui la pénétrait était noir, l’homme qui la pénétrait était noir, le visage de l’homme n’était plus celui d’un inconnu mais celui de Paul.

Je me suis réveillé en nage, bandant comme un fou. Il faisait déjà jour et Lucie me regardait, un sourire aux lèvres.

- Eh bien, ça avait l’air d’être intense !

Elle a pris mon sexe en main et s’est faîte sensuelle contre moi, embrassant mon corps.

- Raconte-moi ton rêve ! Ça avait l’air bien.
- Je ne peux pas te raconter ça.

Elle m’a regardé, l’air sérieuse, presque en colère.

- Tu pensais à une autre fille ?
- Non, bien sûr que non. Tu es la seule dans ce rêve.
- Alors raconte-moi dans ce cas-là.
- D’accord… Mais ne m’en veux pas d’accord ?

J’ai tout raconté, dans les moindres détails. A la moitié de mon récit, Lucie a commencé à me sucer. Elle était douce, lente dans ses caresses mais c’était tellement bon. J’ai cru jouir 2 fois mais elle s’arrêtait juste à temps.

J’ai joui dans sa bouche dans un grand cri alors que je finissais tout juste de lui raconter le moment où je voyais Paul la pénétrer.

Je lui ai dit que je la trouvais si belle, si parfaite dans ce rêve.

Lucie s’est alors mise sur le dos et a commencé à caresser son sexe tout en me regardant dans les yeux. Elle m’avait si bien sucé que même ce tableau ne pouvait me faire rebander tout de suite. J’ai pris la place de sa main, léchant sensuellement son sexe.

- Ton rêve paraissait bien thomas…
- Il était bien oui… Tu as aimé ce que j’ai raconté on dirait ?
- MMMMH Oui !
- Qu’est-ce que tu as aimé ?
- Tout, la séduction, les slows, la tension sexuelle qui montait…
- L’idée que ce soit Paul ?
- OOHHh Là Oui !
- Dis-moi ma puce ! Imagine !
- Comme tu l’as dit. Paul est un homme ! Viril… Puissant. Sentir sa force contre moi…. En moi !!
- En toi mon amour ?
- Oui… le contraste de sa peau noire sur ma peau si blanche. Son sexe allant et venant en moi… OOOOOOHHHHH !

Lucie a joui, fort. Elle était splendide, le souffle court, joue et poitrine rosies par le plaisir et l’excitation.

On s’est calmé sous la douche. L’excursion de l’après-midi, passée en compagnie de Paul a été très agréable et ponctuée de regard de complicité entre moi et Lucie. A plusieurs reprises, j’ai vu Lucie mettre son corps en valeur. C’était subtile mais je le voyais clairement. Et je voyais d’autant plus les regards d’envie chez Paul. Je l’ai même vu ajuster son short à un moment.

Lucie jouait et voyait dans mon regard mon accord. Jamais elle n’avait agi de la sorte et c’était super excitant. Sur la route du retour, dans le minibus, j’ai glissé ma main sous sa jupe. Elle m’a facilité l’accès à son sexe en écartant doucement les jambes. J’ai délicatement repoussé la culotte sur le côté et touché son sexe. Lucie était trempée. Elle m’a regardé avec des yeux remplis d’excitation comme je l’avais rarement vue.

J’ai arrêté de la caresser très vite car je sentais sa respiration s’accélérer et l’intimité était très limitée.

Arrivé à l’hôtel, on est allé très vite dans la chambre pour prendre une douche ensemble. Il était 18h30.

- Alors Lucie, la journée a été bonne ? Tu as été très chaude aujourd’hui.
- Je suis désolée mon amour. Je suis tellement excitée, je ne sais pas ce qui m’arrive. Tu m’en veux ?
- Non ma puce, bien sûr que non… Mais moi, je crois que je sais ce qui t’arrive.

Elle m’embrassait, se collait à moi, branlait doucement mon sexe.

- Tu as envie de Paul.
- Non.
- Si, tu veux te faire prendre.
- MMMHH
- Tu veux qu’un black viril te prenne, qu’il enfonce son sexe dans petite chatte, qu’il te fasse grimper aux rideaux !!!
- OOOHH mon dieu ! Arrête !
- Que j’arrête quoi ? De te dire la vérité.
- Je t’aime.
- Je sais… Mais tu veux qu’il te baise !
Lucie s’est mise à genoux devant moi et a pris mon sexe en bouche, comme pour ne pas avoir à me dire qu’elle était d’accord.

Je l’ai relevée et j’ai passé mon majeur sur son sexe. J’ai cru qu’elle allait jouir juste comme ça. Elle a saisi ma main pour accentuer les caresses.

- Non Lucie. Ce soir, si tu jouis, ce sera avec lui !

On s’est enfin lavés et séchés puis on s’est allongés quelques minutes avant d’aller manger.

- Thomas, Ce que tu as dit sous la douche… Je veux qu’on soit très clairs… Je t’aime plus que tout. Tu es mon homme. Je le sais…
- Mais…
- Tout ce qu’on a fait était plus qu’excitant et tu as vu, compris, que Paul était devenu comme un fantasme pour moi… Si tu me pousses dans cette direction, je n’arriverais pas à lui dire non.
- J’ai cru comprendre oui. Mais je suis maintenant persuadé que je ne veux pas que tu dises non.
- Tu serais prêt à me voir avec lui ?
- Oui
- A me voir jouir avec lui ?
- Oui, j’en suis sûr.
- Vraiment ? Thomas, tu es un très bon amant. Je suis comblée avec toi. Mais j’ai l’intime conviction que Paul est une bête de sexe, un super amant.
- Ah oui ?
- Oui, je le sens. Et j’ai bien observé Paul aujourd’hui. J’ai comme l’impression qu’il est gâté par la nature si tu vois ce que je veux dire.
- Tant mieux !
- Tant mieux ? Je ne m’attendais pas vraiment à cette réponse.
- Ecoutes, C’est juste que tant qu’à faire, autant que tu tombes sur un bon amant non ?
- Oui, sans doute…
- Bon, viens, on va s’habiller et rejoindre les autres au bar du restaurant. Et si tout se passe comme je le pense, ce soir un beau black te baisera… je veux juste ne pas être mis à l’écart et être présent.

J’ai vu Lucie vibrer de tout son être contre moi quand je lui ai murmuré ça à l’oreille.

Le début de la soirée s’est passé tranquillement mais j’ai surpris des regards entre ceux que je voyais à coup sûr comme les 2 futurs amants. Je les voyais déjà comme ça dans ma tête. Lucie était collée à moi, caressait discrètement mon entrejambe et je faisais pareil.

A la fin du repas, l’autre couple qui avait mangé avec nous est rentré dans leur chambre, fatigués de l’excursion du jour et Lucie est allée se changer car elle avait fait une belle tâche sur sa jupe. Paul et moi sommes restés seuls au bar.

- Thomas, tu as vraiment beaucoup de chance d’avoir trouvé quelqu’un comme Lucie.
- Merci Paul, tu as raison. Elle est fabuleuse. Je suis comblé.
- Je te comprends. Elle semble douce et est très belle également, quel corps !! La satisfaire doit être un travail très agréable.
- Oh que oui, très agréable, tu peux me croire. Mais c’est un loisir, pas un travail.
- MMMHHHH ! je crois qu’on va arrêter de parler de ça avant que j’aie trop envie d’un loisir comme le tien.
- Et toi, tu n’as personne dans ta vie ?
- En fait, j’aime trop butiner à droite à gauche. Je préfère ne pas m’engager dans une relation si c’est pour ne pas être fidèle. J’ai toujours aimé flirter, séduire. Le problème, c’est que mon travail a été très prenant ces derniers mois et ça fait bien trop longtemps… Alors Lucie est une sacrée tentation mais je vois l’amour entre vous, je sais me tenir.
- Eh bien, je te propose quelque chose Paul. Quand Lucie redescend, pourquoi tu ne flirterais pas avec elle ? Je sais qu’elle sera ravie qu’un bel homme comme toi s’intéresse à elle.
- Je suis intéressé, j’avoue mais jusqu’où doit aller le flirt ? Je ne veux pas créer de problème entre vous.
- Jusqu’où doit aller le flirt ? Laissons Lucie décider elle-même.
- Tu es sûr ? Car moi, je ne pense pas être capable de me mettre une limite une fois commencé.
- Paul, je n’ai qu’une exigence. Quoi qu’il se passe, c’est en ma présence et dans le respect de chacun.
- Euh, si tu veux… Je veux qu’on soit clair. Tu me dis que, si jamais elle est partante, tu es prêt à partager ton « loisir » avec moi ?
- Oui.
- Sans que tu sois jaloux ? Je ne veux pas être prétentieux, ou vantard, mais… Comment dire ? Il y a peu de femmes que je n’ai pas… Satisfait plus que leurs précédents amants. Peu que je n’ai pas fait crier de plaisir… Et la taille de mon sexe n’y est pas pour rien.
- Je n’aurais jamais cru m’entendre dire ça un jour mais je t’assure que c’est ok pour moi.

A ce moment, Lucie est descendue, rayonnante, dans une jolie robe d’été légère qui mettait en valeur ses jolis seins (sans soutien-gorge, c’était évident pour moi), sa taille fine et ses jambes.

A partir de ce moment, Paul est réellement entré en mode flirt. Les compliments pleuvaient et les effleurements se sont fait de plus en plus fréquents.

Lucie rougissait mais après un bref coup d’œil pour vérifier mon état d’esprit, elle a commencé à répondre à son flirt. Je semblais calme mais intérieurement je bouillais. Je connais ma femme par cœur et son langage corporel laissait voir clairement qu’elle avait envie de lui. Ses tétons pointaient outrageusement.

On blaguait, on riait. C’était vraiment très sympa mais je revivais mes rêves en réel. Lucie mettait sa main sur l’avant-bras de Paul, sur son biceps une fois ou deux. Paul a posé sa main sur la cuisse de Lucie, juste à la limite de sa peau nue et l’y a laissé quelques instants. En même temps, elle ne m’oubliait pas et se collait à moi, me faisait un petit bisou de temps en temps en temps.

La tension sexuelle qui montait devenait palpable et j’ai proposé de monter boire un dernier verre dans notre suite. Ils ont accepté tout de suite.

On est monté avec une bouteille et 3 verres et on s’est installé dans le petit salon. J’ai aussitôt orienté la conversation sur les joies de la vie en couple puis, sur le célibat actuel de Paul.

Lucie était sur mes genoux mais c’était Paul l’objet de son désir, c’était évident. Ma main caressait sa cuisse et remontait légèrement la robe. Le regard de Paul était de plus en plus souvent attiré dans cette direction.

- Moi : Tu sais Lucie, Paul me racontait tout à l’heure qu’il était célibataire depuis un certain temps et que ça fait plusieurs moi qu’il n’a pas connu le bonheur d’avoir une partenaire pour faire le genre de caresses qu’on fait en ce moment.
- Lucie : Ah bon ? J’ai du mal à croire ça.
- Paul : Pourtant, c’est entièrement vrai. Mes projets professionnels étaient tellement importants que je n’ai eu le temps de rien faire de ma vie personnelle.
- Lucie : Mon pauvre Paul !
- Moi : Oui, pauvre Paul ! Pourquoi tu ne vas pas sur ses genoux ma puce ? Tu pourrais peut-être le consoler un peu. Un peu de chaleur féminine ça fait du bien.
- Paul : Je ne veux pas abuser de ta gentillesse mais ça doit vraiment être agréable d’avoir une femme comme toi sur mes genoux.
- Lucie : Bon mais juste pour te consoler un peu.

Elle a contourné la table basse et s’est installée sur ses genoux dans la position exacte qu’elle avait sur moi.

- Moi : Alors Paul ? c’est agréable ? Fais comme moi tout à l’heure, touche la peau de ses cuisses, tu vas voir, c’est d’une douceur.
- Lucie : Tu es sûr ? La situation pourrait malencontreusement déraper.
- Moi : Sauf bien sûr, si c’est un dérapage contrôlé, voulu par tout le monde.
- Paul : Tu en dis quoi Lucie ? Est-ce que je peux toucher ? Sentir sous mes doigts ta peau douce ?
- Lucie : Si ça fait longtemps pour toi, je veux bien… Mais juste par pure gentillesse.

Elle avait dit ça avec un sourire un peu coquin. Il a caressé doucement Lucie, comme moi avant. Elle était de plus en plus en proie au désir.

- Paul : MMMHHH ! quel bonheur ! Mais ça donne tellement envie de plus !
- Moi : Je te comprends Paul. J’imagine que tu voudrais passer tes mains sur son corps entier, sentir la douceur de ses seins. Ils sont magnifiques tu sais ?
- Paul : Oui, je voudrais, mais pour ça, il faudrait que Lucie soit d’accord et toi aussi.
- Moi : Oh, moi, je te comprends et on est devenu amis. J’accepte avec plaisir qu’elle te rappelle à quel point c’est bon d’être avec une femme, totalement, en tant qu’amant. Mais le plus important c’est qu’elle en ait envie…

Lucie me regardait très intensément et m’a souri, un sourire plein d’amour contrastant avec le désir sauvage dans ses yeux.

- Lucie : Ce serait vraiment horrible de laisser un ami comme toi dans cet état de manque d’affection. Puisque mon mari est d’accord, je dois avouer que j’ai envie de te faire ressentir pendant quelque temps le plaisir d’être avec une femme. Et je suis sûr que tu vas te rappeler comment satisfaire ta partenaire non ?

Lucie s’est levée, dos à Paul et en me regardant dans les yeux, elle a lentement fait glisser les bretelles de sa robe. Je bandais déjà comme un fou quand elle s’est retournée vers Paul pour lui faire les honneurs de découvrir sa poitrine. Sa robe est d’abord tombée sur sa taille, puis, avec l’aide de ses pouces, l’a faite tomber au sol. Elle était maintenant en string devant nous, tendue mais si belle.

- Paul : Tu es si belle !!! Viens là.

Paul a enserré sa taille fine dans ses grandes mains, les remontant sur ses côtes pour finir par caresser ses seins, puis, il l’a attirée vers lui et elle s’est mise à genoux sur ses cuisses. Paul a pris possession du corps de ma femme petit-à-petit. D’abord des baisers partout, dans le cou, les épaules, sa poitrine.

Ses bras forts l’ont enserrée pour que leurs corps se touchent et leur langues se sont emmêlées. Les mains de Lucie, au début passives ont commencé à caresser ses épaules et ses bras. J’ai aussi entendu de petits gémissements à mesure que le baiser était plus passionné.

Mon sexe me faisait presque mal tellement je bandais mais je ne me touchais pas. Ma superbe petite femme était dans les bras d’un autre et allait se faire baiser sous mes yeux et je bandais.

Paul a arrêté de l’embrasser et s’est levé en la tenant dans ses bras, la soulevant comme si elle ne pesait rien.

- Dans la chambre ! Je vais profiter de ton corps dans la chambre.

Il a déposé Lucie au bord du lit et a enlevé son polo, dévoilant son torse musclé aux yeux de mon épouse chérie. Aussitôt, elle a parcouru des doigts ce torse sans aucun poil, dessinant elle-même le contour de chaque muscle tout en se mordillant la lèvre inférieure. Elle appréciait beaucoup l’instant.

Je m’étais installé dans un fauteuil dans un coin de la chambre.

Elle s’est redressée et a embrassé son torse et ses abdos un bon moment. Paul se laissait faire et souriait.

Elle a posé les mains sur la ceinture de son jean mais il l’a basculée sur le dos sur le lit en se penchant sur elle. Les baisers ont repris et il est descendu sur son corps, léchant les tétons, les suçant, puis ses côtes, son nombril.

Ses doigts sont passés sous l’élastique du string qu’il a fait glisser le long des jambes tout en déposant des baisers. Lucie m’a jeté un regard plein de désir alors que la bouche de Paul se rapprochait inexorablement de son sexe et que ses jambes s’ouvraient comme par magie.

Elle a poussé un long soupir d’impatience alors qu’il déposait des baisers tout autour de son sexe.

J’ai été rassuré de le voir si patient. Je me suis dit que Lucie avait certainement raison et que Paul devait bien être un bon amant.

Finalement, sa bouche s’est posée sur sa chatte. S’en est suivi un long cunnilingus très doux, faisant lentement monter le plaisir. Lucie se cabrait sous lui, passait une main dans ses cheveux pour plaquer son visage sur son sexe. Ses gémissements s’amplifiaient.

- Paul : Tu es trop belle Lucie, trop bonne. J’adore ta chatte.
- Lucie : C’est bon Paul. Je vais bientôt jouir.
- Paul : Non, non, pas tout de suite. Je veux être en toi quand tu jouis.
- Lucie : Alors viens en moi, je n’en peux plus.

Paul s’est levé au bord du lit et a commencé à enlever sa ceinture mais Lucie s’est redressée et a pris les commandes. Le pantalon est tombé vite, dévoilant une bosse très volumineuse dans son boxer.

Les cuisses de Paul étaient très puissantes, comme le reste de son corps et j’ai une nouvelle fois vu l’admiration de Lucie pour la virilité et la puissance de son corps.

Lentement, tout en déposant des baisers sur son ventre, elle a fait descendre le boxer, libérant une verge très imposante alors qu’il ne bandait qu’à moitié. Une fois l’élastique passé, le gland est venu rebondir sur sa gorge, entraînant un petit cri de surprise de Lucie.

D’une main elle a commencé à le branler doucement. C’était étrange de la voir ainsi, le visage collé à son ventre, les yeux fermés, tout en le branlant. J’ai alors compris qu’elle voulait le voir en érection totale.

Très rapidement le membre de Paul a gonflé, durci.

Je ne suis pas complexé par mon sexe, 14cm, d’une largeur correcte je trouve, toujours prêts à honorer ma femme et plutôt endurant.

Finalement, elle s’est un peu reculée et a ouvert les yeux. Elle avait maintenant une tige de fer qu’elle tenait à 2 mains et le gland dépassait. Voir ses petites mains blanches sur ce gros sexe noir était encore plus excitant.

- Ouah Paul ! Elle est… impressionnante !
- Juste pour toi Lucie ! Tu vas aimer !

Elle l’a détaillée du regard un long moment tout en le branlant et a fait des petits bisous partout sur la verge avant d’en faire sur le gland.

Elle m’a regardé d’un air « tu vois, je t’avais dit qu’elle paraissait grosse ».

Sa bouche s’est ouverte pour l’accueillir. Je trouvais ça très excitant. Ils étaient très sensuels. Elle a léché, gobé, sucé. Paul avait parfois les yeux levés vers le ciel, concentré sur son plaisir, mais la plupart du temps, il regardait Lucie dans les yeux.

Lucie s’est tournée vers moi.

- Lucie : Elle est bonne sa queue mon amour ! Si grosse !
- Moi : Profite mon amour !
- Lucie : J’y compte bien mon chéri mais… Déshabille toi et viens ici.

Je ne me suis pas fait prier et Lucie m’a sucé également. Elle alternait entre nous et c’était très excitant.

- Paul : tu vois comme on bande pour toi Lucie ?
- Lucie : Oui ! C’est vraiment flatteur ! Et très excitant. Je vous veux en moi !
- Moi : Et Paul en crève d’envie aussi.

J’ai vu son regard un peu inquiet d’un coup.

- Paul : Je n’ai pas de préservatif. Je n’avais pas pensé à un dénouement de la soirée comme ça.
- Moi : J’en ai mais je ne suis pas sûr que tu sois très à l’aise dedans.
- Paul : Si vous pensez pouvoir me faire confiance, je n’ai pas eu de relation depuis 6 mois et je me suis fait tester depuis.
- Lucie : J’ai confiance. Thomas ?
- Moi : Moi aussi et puis… La contraception n’est pas un problème… Il ne reste que le fun !

Lucie m’a regardé en souriant, les deux mains sur le sexe de Paul. Son gland luisait de salive et de sa propre excitation.

- Lucie : Beaucoup de fun mon amour !

Elle s’est levée et s’est allongée sur le lit, jambes bien écartée pendant que je m’installais de nouveau dans le fauteuil, avec une vue parfaite.

Paul est monté sur le lit, son sexe dur comme la pierre, gonflé à bloc. Il s’est allongé doucement sur elle et ils se sont embrassés. Lucie bougeait lascivement son bassin contre son amant dont le sexe était coincé entre eux.

Paul s’est redressé un peu et j’ai trouvé son membre très impressionnant contre le ventre de ma chérie. Il s’est positionné, le gland juste à l’entrée. Lucie respirait fort, une impatience mêlée d’appréhension sur son visage. Paul s’en est aperçu.

Quand Lucie nous avait sucé tous les deux, il avait pu voir qu’il me surpassait de pas loin de 10 cm de longueur et l’épaisseur de sa queue était proportionnée. 23 bons cm de queue dure comme du béton, très légèrement recourbée vers le haut allaient fourrer sa jolie chatte.

Je bandais comme un fou et me touchais à peine pour ne pas jouir trop vite.

- Paul : Je vais y aller doucement Lucie.
- Lucie : J’ai très envie mais tu es gros.

Il a souri doucement.

- Paul : Je sais… Et je sais aussi que tu vas adorer.

Il s’est tourné vers moi.

- Paul : Ta femme est magnifique. J’ai hâte de l’entendre jouir sur ma queue.
- Moi : Vas-y Paul ! Elle n’attend que ça !

J’ai entendu ma femme commencer à gémir. Paul était en train de faire de tous petits mouvements de bassin et son gros gland la pénétrait petit à petit. Elle coulait de désir et heureusement.

Il n’avait pas entré les deux tiers de sa queue que Lucie était déjà en train de joui. Elle avait replié un bras sur sa bouche, étouffant ses gémissements de plaisir dans le creux de son coude.

Paul a laissé un peu de temps à Lucie pour s’en remettre. Bientôt, elle bougeait elle-même ses hanches. Je me suis levé et approché du lit. Le plaisir se reflétait dans ses yeux et elle semblait presque gênée en me regardant dans les yeux.

Lentement, j’ai saisi ses mains pour les maintenir au-dessus de sa tête et je l’ai embrassée tendrement. Paul avait cessé tout mouvement et en profitait pour caresser ses seins, sa taille ou ses cuisses.

- Moi : Lâche-toi ma puce ! Profite ! Jouis !

On s’embrassait encore quand il a saisi plus fermement Lucie par les hanches pour reprendre ses mouvements. Le gémissement de Lucie s’est répercuté dans ma bouche. Je me suis écarté d’elle.

- Lucie : Oh mon dieu ! PAUL ! OOOHHH !

Paul entrait plus profondément, faisait des mouvements plus amples. Au bout de 2 ou 3 minutes de va et vient, Lucie les gémissements de Lucie se sont mués en petits cris. Elle a saisi les draps dans ses poings, son dos s’est arqué et elle s’est mise à jouir franchement. Lucie était magnifique, perdue dans son orgasme.

Au bout d’un moment, Paul est sorti d’elle. Sa queue était luisante de mouille. Lucie a rouvert les yeux et m’a attiré à elle pour un baiser passionné.

- Lucie : Donne-moi ton sexe Thomas ! Je veux te donner du plaisir aussi !

J’ai compris rapidement ce qu’elle voulait faire. J’étais debout au bord du lit. Elle s’est mise à 4 pattes devant moi. Son cul était tendu vers son amant et elle cambrait légèrement ses reins.

- Paul : Tu es trop belle comme ça !
- Moi : Tu aimes Lucie ?
- Lucie : Oui !
- Moi : Tu la veux encore sa queue ?

Je suis encore plus tombé amoureux à ce moment là car je voyais qu’elle cherchait à m’épargner.

- Lucie : Oui mon amour ! J’ai encore envie !
- Moi : Il te fait bien jouir hein ?
- Lucie : Oui ! C’est trop bon tout ça Thomas !
- Paul : Profite Thomas ! Tu ne la verras pas souvent comme ça ta petite femme !

Paul m’a fait un clin d’œil et s’est placé pour la prendre. Son gland est entré lentement et Paul avait une prise ferme sur la taille fine de Lucie. Il s’est enfoncé en elle toujours plus profond, lentement mais d’une traite.

La partie de sa queue qui ne brillait pas encore de la mouille de Lucie a disparue à son tour et Lucie a poussé un son rauque, comme je ne l’avais jamais entendue en pousser.

Paul s’est stoppé en poussant ses fesses contre son ventre. Lucie a levé les yeux vers moi en grand !

- Lucie : OH MONDIEU OUIII ! OOOOHHHH ! JE JOUIS DEJA ! OOOHHHHH ! PUTAIN !!!!
- Pau l : C’est bon là hein ?
- Lucie : OOOHHH ! MERDE ! OOOOHHHHH ! ENCORE !

Paul s’est retiré un peu pour replonger en elle. Cette fois, Lucie ne retenait pas sa voix. Ses cris de plaisir étaient puissants.

Paul a pris un rythme. Sa queue entrait et sortait puissamment et son corps se couvrait de sueur.

Lucie atteignait l’orgasme qui retombait avant qu’un autre plus fort la submerge.

Paul était à bout. Plusieurs coups de reins ont fait décoller Lucie. Elle qui voulait me sucer, en était incapable. Son corps a été pris de tremblements et Paul a crié son plaisir et maintenant fermement Lucie contre lui. Je devinais les jets de sperme s’écrasant au fond de sa chatte.

Quand il est sorti d’elle, Lucie s’est effondrée mais m’a attiré à elle. Paul reprenait son souffle, adossé au mur. Je n’avais pas joui et ma femme a pris mon sexe en bouche. Il n’a fallu que quelques dizaines de secondes pour que je jouisse dans sa bouche. Lucie me regardait avec beaucoup d’amour.

Paul nous regardait et souriait.

- Paul : Merci pour tout, les deux tourtereaux. C’est beau de voir ce que vous partagez.
- Lucie : Merci à toi Paul. Tu as été parfait.
- Moi : Oui, entièrement d’accord. On t’a fait confiance et on a eu raison.

Paul était en train de se rhabiller.

- Paul : Je dois repartir demain matin mais je vous assure que j’aurais aimé rester plus longtemps si j’avais eu une chance de partager encore des moments comme ça avec vous.
- Lucie : Je ne suis pas sûre que mon corps aurait supporter un autre traitement comme ça de toute façon.
- Paul : Je vais vous laisser, mais je voudrais juste que vous sachiez que si jamais l’expérience vous a plu, habitant à Nantes pour moi et Rennes pour vous, se revoir ne serait pas compliqué et je serais plus que partant. J’ai adoré ce qu’on a vécu. C’était vraiment très excitant.
- Moi : On va en reparler Paul et je te promets de te tenir au courant.

Il est parti et on s’est endormi très rapidement après une douche méritée.

Le lendemain matin, on a fait l’amour tendrement et Lucie a joui au même moment que moi. C’était vraiment bon.

Lucie avait adoré l’expérience mais n’a jamais voulu la renouveler. Paul n’a pas insisté et moi non plus. La voir jouir avec un autre avait été sur le moment très fort mais quel serait le point de non-retour. Y a-t-il un moment où elle se serait dit que je ne la satisfais pas assez ?

Nous nous remémorons parfois cette folle soirée et chaque fois, notre jouissance est décuplée mais notre bonheur est trop précieux pour le risquer à nouveau.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Thomas a beaucoup de chance d’avoir partagé ce moment d’amour

Histoire Coquine J A
Très belle histoire.
J'ai du mal avec le candaulisme, je ne suis pas partageur.
Bonne idée de ne pas avoir renouvelé l'expérience, trop dangereux.

Histoire Erotique
Magnifique, que dire de plus.

Comme je comprends Lucie!

Histoire Libertine
Le risque en plus c’était le fait de niquer sans capotes !!!

Histoire Libertine
"Lucie avait adoré l’expérience mais n’a jamais voulu la renouveler."

SAGE LUCIE !

Histoire Libertine
Magnifique et très excitant. Dès points communs avec mon histoire ...bonne année



Texte coquin : Folle expérience
Histoire sexe : Une rose rouge
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