Gaëlle et Régis - 3 Tout le monde le sait

- Par l'auteur HDS Madame Gaëlle et Soumis Régis -
Auteur couple.
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Récit libertin : Gaëlle et Régis - 3 Tout le monde le sait Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gaëlle et Régis - 3 Tout le monde le sait
Isabelle écrit :
J’accroche la chaîne des menottes à la corde que j’ai installée et qui tombe du plafond. Je tire et ses bras sont relevés. Je vois qu’il souffre mais je veux lui faire du mal, gratuitement, juste pour mon plaisir et peut être pour le sien.
Je prends la cravache que j’ai préparée dans le sac de sport et la lui montre. Il me fait signe « Non. » « T’inquiètes. Tu vas déguster mon cochon ! » Je passe derrière lui et lui envoie un premier coup qui tombe sur le haut de ses fesses. Trop haut et trop fort. De la marque s’écoule immédiatement des larmes de sang. Une longue plainte à peine audible lui sort du nez. Deuxième coup. Sur l’arrondi des fesses et bonne intensité. Une belle marque jusqu’au sang mais sans écoulement. Je continue en comptant … 26, 27, 28. Ses jambes ne le portent plus. Il est pendu comme un supplicié à l’estrapade. Je m’étais dit que j’allais lui en mettre 50. Je positionne une table et le descends dessus. Je lui détache les menottes et lui attache les mains ensemble devant lui. Je fais passer la corde sous la table et la lui attache aux couilles, bien tendue. Quelques grognements mais il ne peut rien faire. Je lui attache les chevilles aux pieds de table. Il a le cul bien exposé, offert. Je lui mets un peu de gel sur l’orifice et me déshabille afin d’enfiler mon strapless. Dommage, ce n’est que du 17 cm. Je l’enfile. Le début entre facilement. Je n’ai pas mis de gel sur le gode. Il gémit et esquisse un mouvement mais la traction qu’il imprime à ses couilles l’arrête. Je m’enfonce lentement mais sans m’arrêter, à fond. Il pleure. « Il fallait bien une première « A sec ». Et encore, je t’ai graissé la rondelle. » Je commence mes va et vient. Je ne pense qu’à mon plaisir. Ses pleurs et gémissements ne m’atteignent pas. Je jouis et reste un instant sans mouvement puis me retire brutalement.
Je le détache et lui remets les menottes dans le dos avant de l’allonger sur la table. Sa cage de chasteté est maculée de sperme. Je lui introduis le plug d’urètre souple dans le méat à travers le trou de la cage prévu à cet effet. Je sens la petite résistance et force un peu pour être dans la vésicule séminale. Une très grande quantité de sperme s’écoule et tombe sur le sol en flics flacs bruyants. Je visse le plug à la cage et serre avec une clé de 10 en tenant la cage dans une clé gripp.
« Debout ! » Il ne faut que quelques secondes pour que les gouttes suivantes tombent. Je lui enlève les menottes et le Gag-Ball après l’avoir dégonflé. « Habille-toi ! Tu donnes cours dans 10 minutes. Tu as intérêt à mettre ton tablier car ton pantalon sera percé de sperme avant la fin du cours. »Il entre en classe et je l’observe au travers des vitres sans tain de la réserve. Il a du mal avec ses blessures aux fesses. Le savoir ainsi souffrant dans sa cage est un vrai délice.
J’enlève mon matos et je vais faire le montage de nos ébats. J’envoie les rushes à Gaëlle. Sa réponse : « Superbe ! A l’apéro au déjeuner dans quinze jours ! »Je donne mes trois heures de cours et viens le voir à 17H00 pour un débrief. J’ouvre son tablier. Il est trempé. Je lui fais ramasser les taches de sperme sur le sol et lui demande s’il a aimé. Je pensais y être allée un peu fort mais il est ravi.

Gaëlle écrit :
Pendant les 15 jours entre la prestation d’Isabelle et le déjeuner entre amis, j’ai laissé Régis récupérer. Je lui ai soigné les fesses et pendant la première semaine, il a pu éjaculer matin et soir lors de nos ébats à sa plus grande stupéfaction (Je n’avais pas perdu la clé de la cage de chasteté et la lui ai enlevée le samedi matin. 18 heures de torture, cela me paraissait raisonnable.) Puis, une semaine d’abstinence avec edging matin et soir pour qu’il soit bien sous pression pour notre repas.

Samedi. 11H00. Les amis arrivent et malgré le beau temps, je les installe au salon. Quand tout le monde est un verre à la main, j’allume la TV et lance le film réalisé par Isabelle. Elle a rajouté une voix Off et un fond musical. C’est un superbe montage de 50 minutes. Les invités sont scotchés. Ils en oublient leur verre. La visualisation se termine. Quelques secondes d’un silence de mort. Un applaudissement lent qui accélère pour finir dans un concert de félicitations. Marcel, avec son œil pervers, déclare : « Tout cela est bien, mais cela ne vaut pas du live. » Je lui réponds : « C’est prévu pour 18H00, Marcel. Puis-je compter sur toi ? » « Je manque de pratique. Je n’arrive pas à la cheville de Régis. »Il voudrait nous voir soumettre mon mari. Christophe intervient : « Moi ! Je suis volontaire ! » Isabelle s’inquiète : « Mais ? On ne l’a jamais fait ! » Il répond : « Non. Mais je veux essayer. »
Je propose que Christophe et Régis se déshabillent et nous servent nus jusqu’à 18H00. Sitôt dit, sitôt fait. Deux beaux hommes nus s’activent au service. J’observe Marie et Anne les dévorer d’envie. Je profite d’un moment de calme pour faire signe à Régis de se positionner à côté de moi. Je glisse ma main entre ses cuisses et lui saisit les couilles que je masse délicatement. En quelques instants, sa queue s’allonge et se dresse sous les applaudissements. Isabelle fait de même. Les comparaisons commencent. Taille, diamètre, angle de levée. Anne veut voir les glands décalottés. Tous l’enjoignent de le faire elle-même. Rouge comme une pivoine, elle finit par s’exécuter.
L’après-midi se termine dans la bonne humeur. Le fait que Christophe ait été volontaire m’a donné une idée pour plus tard (des semaines ou des mois plus tard.)Entre la première sodomie de Régis et ce jour, j’ai fait aménager dans les combles ce qui deviendra, petit à petit, un véritable donjon. Nous nous y rendons.

Je propose de soumettre non pas seulement Christophe, mais aussi Régis. Les dominas seront Isabelle et moi-même. Marie et Anne pourront nous rejoindre si elles le désirent.

Les hommes sont menottés mains derrière le dos. J’avertis qu’exceptionnellement ils ne seront pas bâillonnés afin que les invités puissent entendre leurs gémissements. Régis trouve que c’est dommage car il adore. Quand nous soulevons leurs bras, les quatre spectateurs grimacent à la douleur qu’ils subissent. Christophe hurle sous l’indifférence d’Isabelle qui lui assène un coup de cravache. Un cri. « Tu en veux d’autres ? » « Non. » « Tu réponds : Non Madame. » « Non Madame. »Nous leur attachons les chevilles bien écartées. Nous leur lubrifions le cul avant d’y introduire le petit plug, puis le moyen et enfin le gros. Nous les abandonnons ainsi et j’explique que la dilation de leur rectum rendra leur sodomie confortable. Une demi-heure plus tard, nous les rejoignons pour notre plaisir.
Isabelle a revêtu des bottes de cuir noir montant à mi-cuisse et une guêpière du même cuir de laquelle ses seins bondissent. Il me faut des trucs semblables. Je n’y avais pas pensé. Nue sur mes talons hauts, j’ai l’air trop sage. Nous plaçons nos strapless sous les applaudissements. Après avoir abondamment lubrifié les godes nous en plaçons la pointe sur la rondelle des beaux mecs. De concert, nous nous enfonçons lentement mais sans arrêt au plus profond d’eux. Bon. Moi j’ai le 25 cm et Isabelle n’a que le 17 cm. Na ! Christophe articule un : « Houlalalala ! » mais ne proteste pas vraiment.
Nous nous sommes concertées et allons d’abord leur faire perdre leur sperme avant de nous occuper de notre plaisir. Après 10 minutes, ils sont murs et les longs filets apparaissent au bout de leur queue. Nous nous en emparons et les obligeons à les avaler. Marie et Anne en bavent d’excitation. Puis nous nous occupons de nous et après les avoir travaillés 10 bonnes minutes de plus, nous atteignons notre orgasme. J’observe les pantalons de Marcel et Jean qui ne dissimulent pas leur terrible érection. Après avoir bien profité de notre plaisir, nous nous retirons, retirons notre strapless et obligeons les hommes à lécher le côté que nous avions dans nos vagins.

Régis demande : « La cravache ! S’il vous plait, Madame. »Isabelle se propose et compte ses coups comme sur la vidéo. A 44, Régis s’effondre. Il y a du progrès.
Je m’occupe de Christophe avec plus de délicatesse. Il crie, proteste et fini par pleurer. Je continue et après 18 coups, il s’effondre à son tour.
Nous détachons leurs chevilles et la corde qui leur tirait les bras vers le haut. Ils restent ainsi menottés et nous les retournons sur le dos afin de les enfermer dans une cage de chasteté. Les clés, y compris les clés de réserve sont mélangées et distribuées à Marie, Anne, Marcel et Jean. Personne se sait qui peut le libérer et personne ne sait qui il peut libérer.

Marie propose de mettre Jean à contribution et Anne fait de même avec Marcel. Les hommes protestent et suggèrent que ce soient les femmes qui soient « utilisées. » Après une cacophonie de plusieurs minutes, les femmes acceptent et veulent aller se préparer ce que nous leur interdisons. Elles doivent se déshabiller et prendre place sur des tables bombées présentant ainsi leur sexe offert. Elles sont attachées sur le dos en croix. En fait, c’est très confortable. Nous les bâillonnons avec des Gag-Ball gonflables. Nous fournissons des vibro rabit aux hommes, chacun devant fournir un orgasme à la femme de l’autre. Christophe et Régis ont pu se relever et s’asseoir afin de profiter du spectacle. Ils ont une belle érection et leur queue pousse leur cage en avant tendant ainsi la peau de leurs couilles. Ils sont très beaux. J’observe les ouvriers qui travaillent très bien, en douceur et profondeur. Alors qu’elles sont presqu’à l’orgasme, Jean retire son vibro et suggère à Marcel d’en faire autant. Jean goûte les secrétions d’Anne et invite Marcel à faire de même avec celles de Marie. Ils commentent la saveur de celles-ci. Sucrée, salée, aigre-douce, … Après cinq minutes ils se remettent à l’œuvre. Quand les femmes jouissent, ils arrêtent les œuvres et c’est alors qu’Isabelle et moi-même intervenons armées de magic-wand et de petits plugs courbés adaptés pour point G. Pendant qu’elles grimpent au plafond sous les vibrations appliquées à leur clitoris juste après l’orgasme, nous massons leur points G et retirons vivement le plug en appuyant vers le haut dans leur vagin. Après quelques répétitions de ces actions, Anne d’abord, puis Marie, manifestent leur qualité de femme fontaine. Nous nous amusons à les torturer ainsi jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus rien expulser de leur corps. Les Gag-Ball gonflables sont vraiment pratiques. Vous ne vous laisser pas influencer par les suppliques des torturées puisqu’elles ne peuvent en émettre. Les sons légers sortant du nez sont incompréhensibles.

Nous détachons les femmes qui même libérées de toute contrainte restent sur les tables à sangloter après un plaisir trop intense.
Je trouve dommage que Jean et Marcel aient échappé à une bonne leçon. Isabelle me confirme qu’il « Faudra faire quelque chose pour eux. »
La soirée se termine et Christophe et Régis tentent de trouver les clés de leur cage. « Non ! Les détenteurs ont reçu l’ordre de ne vous les remettre qu’à partir de Lundi, 16H00. »Nous allons nous doucher et j’entends Régis pester au moment de s’essuyer. Je détaille mon homme. Bien, mais je voudrai le dresser. Il me semble qu’un séjour de quelques semaines en micro-cage serait indiqué.
Une fois couchés, je m’amuse à le faire bander. De ma main droite je fais faire des va et vient à la cage en lui tenant les couilles de la main gauche. Quand la peau de celles-ci se tend indiquant ainsi une éjaculation imminente, je l’abandonne. Je renouvelle l’opération un certain nombre de fois. Durant la nuit, je vérifie si du liquide pré éjaculatoire ou du sperme perle au bout de sa cage. Ouais ! Il est bien sous pression.

Le dimanche se passe à travailler. Régis corrige des copies et réalise de préparations tandis que je lis des actualités professionnelles. Nous sommes à poil et je le sens en mon pouvoir. Je suis assise au bord du canapé, les pieds posés à l’extérieur de mes fesses, la chatte ouverte. « Fais-moi jouir, cochon ! »Régis regarde sa queue enfermée d’un air dépité, puis s’agenouille et entame un cuni d’enfer. Je jouis et lui laisse me gratifier de ses douceurs habituelles. Quand je sens qu’il va se retirer, je croise mes jambes derrière sa tête lui bloquant nez et bouche dans ma chatte. S’ensuit un combat où il n’ose pas profiter de sa force. Il finit par défaillir. Je le libère et lui laisse reprendre ses esprits. Il a eu une mixtion involontaire. Je le taquine mais je suis fière de mon fait.

Lundi matin. Je le regarde se préparer et partir en cage donner ses cours.

Régis écrit :
Lundi 17H00. J’arrive chez Anne et Marcel afin de récupérer les clés de ma cage. Ils n’ont plus qu’une clé, Christophe est passé avant moi et une de leur clé ouvrait sa cage. La clé restante doit donc ouvrir la mienne. Et non ! Christophe est parti chez Marie et Jean récupérer sa deuxième clé. Je l’y rejoins. Effectivement, Christophe a ses deux clés. Marie essaye l’autre clé sur ma cage. Rien. Je comprends. Gaëlle a conservé mes deux clés leur subtilisant deux autres.

Je rentre à la maison et reçois un SMS d’Isabelle : « J’ai laissé tomber tes clés dans un berlin d’acide sulfurique. Il n’y a plus rien. Direction le garage. Disqueuse et tuyau d’arrosage. Ma cage est morte et je suis libre.

18H00. SMS. Cela doit être Gaëlle. Effectivement. Zut. « Retenue par le travail. Fais-toi une soirée à ta meilleure convenance. »
Ben voilà. Jogging, 15 km. Douche. Repas léger. Je prépare mes documents pour le lendemain et me couche.

J’entends la douche. Gaëlle est rentrée. Plus tard, elle se glisse dans le lit, nue suivant son habitude, me tâte les couilles. « Où est ta cage ? » « En morceaux dans le garage. »Elle me saisit les couilles, les serre et les tournes. Je gueule. « Dernière fois ! Compris ! » « Oui Madame ! » Et je vous jure que je n’ai plus jamais osé essayer d’enlever ma cage de chasteté.

Gaëlle écrit :
Le petit monde a donc passé le pas de l’échangisme. Dès le lendemain, j’ai remis Régis en micro-cage. J’avais l’intention de l’utiliser comme d’habitude et de m’amuser de constater comme sa queue peut grandir une fois libérée. C’est alors que sans le savoir, tout a basculé avec notre accord conjoint.

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