Gaëlle et Régis - 4 La donne change

- Par l'auteur HDS Madame Gaëlle et Soumis Régis -
Auteur couple.
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Récit libertin : Gaëlle et Régis - 4 La donne change Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gaëlle et Régis - 4 La donne change
Gaëlle écrit :
Dès mon retour, ce mardi soir, j’ouvre la soirée.
Va te préparer pour une sodomie !
Bien, Madame.

Régis est quelque peu dépité et inquiet de me voir entrer dans notre pièce de jeux avec un nouveau strapon de 30 cm. Je lui ordonne immédiatement :- A genoux, chienne !
Il s’exécute en souriant. Je lui mets deux gifles de de toutes mes forces. Il retrouve immédiatement son sérieux.
- Tes mains !
Je lui menotte celles-ci derrière le dos. C’est fou comme le clic du deuxième bracelet vous donne un sentiment de puissance. Un grand gaillard, un paquet de muscles n’est plus grand-chose une fois privé de ses mains. Ce sentiment de puissance me fait mouiller abondamment. J’ai monté une corde douce terminée par deux boucles. Je lui entoure le cou de quatre tours. De cette manière, je pourrai le retenir lors de mes bourrades et l’étrangler en même temps.
- En levrette sur le bord du lit !
D’habitude, je le prends debout derrière lui. Cette fois, je lui attache les chevilles, fais passer les cordes autours des montants au pied et à la tête du lit, les ramène à se rejoindre à mi-distance, passe la plus longue corde dans l’anneau que j’ai fixé à la plus courte. Je n’ai plus qu’à tirer jusqu’à ce qu’il ait le cul ouvert à souhait. Je lui bande les yeux. Il est la tête dans le matelas et je sais qu’il ne peut pas se redresser.
- Comment te sens-tu ?
- Très soumis. J’aimerais être bâillonné, s’il vous plait, Madame ?
- Pas ce soir. Je veux t’entendre.
J’enduis abondamment son anus de gel ainsi qu’un premier plug de 20 cm que je lui enfonce délicatement. Régis émet un long soupir de satisfaction. Je reprends l’opération avec celui de 25 cm. Mais manifestation de plaisir. Je répète l’opération afin que son rectum soit bien lubrifié. Je lui introduis ensuit un plug de même longueur (25cm ) mais de la largeur de mon gode afin de le dilater. Cette fois, j’ai droit à de légers cris de douleur. Quelques souffles indiquent qu’il ne feint pas. Il sait que je vais laisser le plug le dilater avant de le prendre. Je le pousse au plus loin avant de l’attacher au moyen d’une cordelette passant autour de son cou de manière qu’il ne puisse pas l’expulser. Je le quitte.
En passant devant le miroir du hall, je me trouve vraiment très sexy avec mon gode. Je m’assieds et écoute de la musique en lisant. J’ai programmé mon smartphone afin qu’il me rappelle mon soumis dans 30 minutes.

Je vais le rejoindre et prends ma cravache à bout effilé. Régis ne m’a ni entendue ni vue arriver. Je lui envoie un premier coup sur l’arrondi de la fesse gauche. Parfaitement mesuré. Une ligne de peau ouverte, bien à vif mais non sanguinolente. Je me suis fixé 20 coups. Je commence par dix sur la même fesse car je sais que les coups répétés au même endroit sont plus douloureux et insupportables. Mais je sais qu’il ne les apprécie que dans ces circonstances. Chaque frappe rencontre un cri de vraie douleur. Il supporte les 20 coups. La prochaine fois, cela sera 30. Je détache la cordelette et lui retire le plug que je dépose sur la table à jouets usagés qu’il devra nettoyer.
J’enduis abondamment mon gode de gel.
- Es-tu prête, salope ?
- Oui Madame.
Je pose la pointe du gode sur sa rondelle et effectue de légers mouvements d’avant en arrière. Je m’enfonce ensuite en lui de manière délicate mais ferme. Les premiers 25 cm déjà lubrifiés et dilatés par le plug sont accompagnés de gémissements de plaisir. Les derniers d’un « Ah ! » de surprise et d’inconfort.
- Et maintenant, elle se sent comment la chienne ?
- Totalement vaincue, Madame.
Maintenant, je ne vais m’occuper que de mon plaisir. Outre les agréables sensations de mon clitoris butant sur le gode et sensations générées par la partie de celui-ci se trouvant dans ma chatte, c’est la vue de ce beau grand type totalement à ma merci que me plait le plus. Je sais comment son bon gros sexe peut labourer ma chatte et me faire jouir. Je sais aussi comment ce plaisir me rend faible et soumise. Mais cette fois, c’est moi que mène la danse et le domine. J’émets de grognements pareils aux siens tellement je me sens bien. Quand il glisse, je le ramène au moyen de la corde tournée autour de son cou ce qui l’étrangle légèrement.
Lui en prend plus que d’habitude. Ses « Ah » et « Ouch » le montrent. C’est ce que je voulais. Pas vraiment lui faire mal mais le mettre dans une situation inconfortable. C’est réussi. Une longue larme de liquide s’agite au bout de son sexe au gré de mes coups de boutoir. Il ne bande pas signe qu’il n’est vraiment pas dans une situation agréable. C’est ce que je voulais. Je sens mon orgasme arriver. Je crie un « Ah » rageur comme il le fait quand il me baise, m’a fait jouir et qu’il éjacule et se vide en moi. Je profite de mon plaisir. Je bouge à peine et je sens que lui voudrait que je l’achève afin qu’il puisse aussi atteindre l’orgasme. Quand j’ai bu tout mon saoul de plaisir je me prépare et me retire brutalement.
- Aahhh !
- Tu n’as pas joui ?
- Non, Madame.
- C’est ce que je voulais. A partir de maintenant, tu apprendras à ne pas retenir ton plaisir. Tu te calqueras sur moi si tu veux avoir un orgasme. Je viendrai te détacher, plus tard. Tu nettoieras nos instruments, prendras ta douche et viendras me rejoindre, nu. Ouvre la bouche.
Je lui introduis mon strapon afin qu’il déguste mes secrétions. Je bloque celui-ci dans sa bouche par deux tours de collant.
Je le laisse méditer quelques temps et vais le délivrer.
J’ai trouvé un beau modèle de cage de chasteté, bien aéré et décliné en 5 tailles (en réalité pour 5 usages du plus soft (confortable) au plus hard (tube de 3 cm pour faire une toute petite queue aux mâles récalcitrants.) J’ai acheté la plus grande, la moyenne et la plus petite. Je commence par la plus grande taille.
Quand il vient me rejoindre après sa douche, je l’attends en jouant avec la cage de chasteté que je lui pose.
- A partir de maintenant, tu seras encagé 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Je te libérerai le temps de ta douche durant laquelle je te surveillerai. Tes orgasmes se limiteront à ceux que tu pourras avoir quand tu seras sodomisé. Compris ?
- Oui, Madame.
La cage lui va vraiment très bien. Il est très beau avec cela et savoir que j’ai le pouvoir de le priver de toute pénétration me donne un sentiment de pouvoir absolu. Je suis curieuse. Va-t-il pouvoir jouir lors des sodomies que je vais lui infliger. Celles-ci seront volontairement trop courtes.

Régis écrit :
Mercredi soir. Les nouvelles règles imposées par Gaëlle n’ont qu’un seul point contrariant. Je ne sais pas prendre ma douche avant qu’elle ne rentre. Quoique. J’essaye. Il faudra juste que je nettoie ma cage, me relave le sexe et le sèche convenablement avant de la remettre. Donc tout est O.K.
J’ai bien apprécié la séance de ce mardi. Gaëlle m’a totalement soumis. La frustration de n’avoir pas pu jouir me donne l’envie de lui donner un somptueux orgasme ce soir. Ce matin, elle m’a gratifié d’un teasing terrible. Avant de fermer la porte du hall, elle m’a pris en photo, mon érection terrible poussant ma cage vers l’avant et vers le haut. Une fois celle-ci résolue, j’ai gouté toute la matinée devant placer du sopalin dans mon slip.
Je l’entends rentrer. Je suis nu, à genoux dans le hall les mains derrière le dos comme elle me l’a demandé. Elle s’aperçoit immédiatement que j’ai pris ma douche.
- Il ne faut plus te doucher avec ta cage. Tu risques une mycose. De plus, je veux que tu te douche avec moi. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
- Une paire de claques et une pelle.
Je prends immédiatement la paire de claques.
- Pour la pelle, allonge-toi sur le canapé.
Gaëlle s’agenouille devant le canapé où je suis allongé, me saisit par les cheveux de la main gauche et les couilles de la main droite et me roule une pelle dont elle a le secret. Elle se retire.
- Ouvre la bouche !
Elle me fait tomber sa salive dans la bouche.
- Avale !
J’avale sa salive et elle renouvelle l’opération. Elle m’ordonne ensuite de finir la préparation du repas pendant qu’elle lit le courrier du jour. Je suis aux fourneaux quand je prends un coup de cravache sur la fesse. Je ne l’avais ni vu ni entendu venir. Immédiatement, j’ai une érection incontrôlable mais contenue dans ma cage.
- Tu n’auras pas besoin de ta queue ce soir. Seulement de ta langue.
- Bien, Madame.
Nous dînons et préparons le lave-vaisselle. Alors que je termine différents rangements, Gaëlle m’appelle depuis notre chambre. Elle est nue sur le lit, visiblement après avoir pris sa douche. Elle joue avec une paire de menottes et une cravache est posée le long de sa jambe droite. Je lui tourne le dos et lui présente les mains afin qu’elle m’attache celles-ci derrière le dos. Dès que je suis attaché, je sens mon sexe se gonfler dans sa cage. Elle se couche en travers du lit ramenant ses genoux à hauteur de ses seins et me présentant son sexe dégagé au bord latéral du matelas. Je m’agenouille et applique ma bouche ouverte sur sa chatte pour couvrir celle-ci dans son entièreté. De ma langue, je la parcours du périnée au clitoris afin d’en goûter les saveurs. Je suis un peu déçu car, sortant de la douche, elle n’a pas le parfum de la femelle que j’aime tant. Qu’importe. Je vais la travailler et j’avalerai ses abondantes secrétions. Je commence par une longue période de léchage des petites lèvres que je termine et pompant de quoi me remplir la bouche et avaler une première fois. Alors que je me risque à quelques coups de langue sur son clitoris, Gaëlle me repousse en direction du milieu de sa chatte. Cette fois, j’introduis ma langue au plus profond d’elle et prend le temps de la passer partout à l’intérieur de son vagin qui commence à avoir ce parfum que j’apprécie tant. Je constate qu’un grand filet de liquide pré-éjaculatoire s’échappe de ma queue au travers de ma cage pour me relier au sol. Je me prends un coup de cravache signe que je dois accélérer. Je reprends mon office aussi profondément que possible, remontant ensuite vers son clitoris. Je sais qu’il lui faudra encore un long moment avant d’atteindre l’orgasme. Gaëlle prend toujours son temps et j’aime cela. De son sexe s’écoulent à présent d’abondantes secrétions. Une fois encore, j’applique ma bouche sur l’entièreté de celui-ci et pompe son jus délicieux que je fais tourner plusieurs fois dans ma bouche avant de l’avaler. J’ai une érection terrible. Ce modèle de cage est particulièrement bien fait. L’érection bloque la queue dans la cage qui ainsi ne peut être poussée vers l’avant. L’anneau reste ainsi positionné à la jonction du sexe et de l’abdomen. Le constructeur annonce un tube de 5,5 cm et une longueur totale de 7,2 cm. D’après les mesures de Gaëlle, à l’air libre je fais 21 cm. Je suis donc vachement comprimé. Sachant que seule Gaëlle peut me libérer, je me sens vraiment soumis. Je jette un œil au réveil. Cela fait un peu plus d’une heure que je me consacre à son plaisir. Je sais qu’elle va se laisser aller. Je reprends mon jeu de langue et, au moyen de la cravache sur mes fesses, Elle m’indique le rythme qu’elle souhaite. Un râle violent m’indique son orgasme. Je cesse tout mouvement tout en gardant ma langue largement appliquée sur son clitoris. Après environ deux minutes pendant lesquelles, selon ses termes, elle savoure son plaisir, je ne bouge plus. Je me risque à un mouvement très délicat. Gaëlle grogne de plaisir. J’augmente l’ampleur et la vitesse de mes mouvements. D’habitude, elle me jette mais cette fois elle me laisse faire. Après une dizaine de minutes, un jet puissant envahit ma bouche. C’est son éjaculation féminine. Je déguste son liquide avant de recommencer. J’ai droit à deux autres de ses éjaculations avant de me faire jeter. Gaëlle se lève et me cravache très durement le dos, les fesses et les cuisses. Je fuis et me réfugie dans un coin de la chambre tout en prenant soin de me pas entraver sur coups afin qu’elle puisse passer sa colère d’une part et parce que j’aime les recevoir d’autre part. Quand la douleur est suffisamment forte, j’en pleure. Attention, il ne s’agit pas de feindre sinon Gaëlle s’en aperçoit.
Elle m’entoure les couilles de plusieurs tours d’une ficelle douce, passe le long brin dans la boucle qu’elle avait réalisée et tire pour refermer le dispositif avant de passer la corde dans une chaine pendant du plafond. Elle m’enlève les menottes et tend la corde. Je bascule en avant et ne touche plus le sol que de la pointe des doigts et des pieds.
- Juste pour que tu connaisses ta place !
Gaëlle qui la pièce. Le silence complet n’est troublé que par les quelques gouttes de sperme qui s’échappent de ma cage et s’écrasent au sol dans un « tic » indiquant ma médiocre importance de dominé.

Gaëlle écrit.

Je me suis dit qu’il fallait, après avoir permet à mon soumis de me faire jouir, immédiatement lui rappeler sa condition par une bonne raclée et une longue méditation sur sa place. Je le laisserai deux heures ainsi.
Je lui ai acheté un panier, un coussin et une couette. A partir d’aujourd’hui, il dormira dans la pièce du sous-sol sur la porte de laquelle j’ai placé un écriteau « CHENIL ».
Après deux heures de méditation, je le libère et le conduit dans sa nouvelle demeure. Au moyen d’une corde douce, je lui attache les mains derrière le dos. La corde est lâche mais ne permet pas une évasion. Je le pousse dans son panier et le couvre. Je lui tâte la queue dans sa cage car ainsi contenue il n’est pas possible de voir ses érections. Elle est dure comme du bois. Ce traitement lui plait donc. Je l’abandonne et ferme la porte à clé pour la nuit.
Je médite.
Régis est vraiment un mec super. Je peux le faire passer du statut de mâle viril à celui de soumis suivant mes envies.
De plus, il n’a jamais protesté quand il m’arrivait, non pas de le tromper car je le prévenais, mais de coucher avec un autre homme ou une femme. Je l’ai toujours poussé à profiter des bonnes fortunes qu’il pouvait avoir. Cependant, le nombre des ses relations extra-conjugales est resté très réduit et limité à quelques femmes de notre entourage.
J’ai maintenant très envie de deux choses :1°) Je voudrais voir Régis soumis par des hommes en ma présence ;2°) Je voudrais être soumise par un groupe d’hommes en sa présence.

Je n’y tiens plus. Je vais rechercher Régis et nous nous mettons au lit et discutons longuement de mes envies qui, en fait, rencontrent ses fantasmes.
Nous décidons que j’organiserai d’abord sa soumission et il souhaite que celle-ci soit « HARD ».

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S’il vous a plu, vous pourrez nous suivre dans : Gaëlle et Régis 5 – Nouvelles pratiques, nouveaux plaisirs.

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