Gaëlle et Régis - 5 Nouvelles pratiques, nouveaux plaisirs
Récit érotique écrit par Madame Gaëlle et Soumis Régis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gaëlle et Régis - 5 Nouvelles pratiques, nouveaux plaisirs
Régis écrit :
Depuis que Gaëlle l’a décidé, je suis encagé à temps plein. Comme elle le dit, elle me prend plusieurs fois par semaine, il serait plus exact de dire journellement à quelques exceptions près. Et elle se donne du plaisir avec son strapon, plaisir auquel j’ai encore du mal à accéder. De plus, elle ne me fait aucune concession et m’adresse plutôt des reproches sur mes absences d’éjaculation. Elle a même décrété qu’elle me sonderait le prochain weekend si je n’y étais pas arrivé. Ses sodomies sont pourtant très agréables mais elle ne veut pas prendre en considération les abondants écoulements de sperme qu’elles provoquent. Il lui faut une éjaculation en jets.
Quant à mon sexe, je suis passé d’une cage au tube de 12 cm, à 6 cm puis à 3 cm. Lorsque je prends ma douche, il ressemble plus à un ramassis de peau qu’à un sexe. Pourtant, lorsque Gaëlle me prodigue quelques douceurs il reprend une taille très satisfaisante. Elle vérifié une fois par semaine ma capacité érectile et se montre déçue qu’elle soit toujours présente.
Elle vient de me retirer mes cartes bancaires ainsi que tout mon argent liquide. Bizarrement, une fois ceux-ci enfermés dans son coffre, j’ai eu une érection dans ma cage. Etant nu, il m’était impossible de la dissimuler. Je suis donc totalement sous sa coupe et je dois avouer que cela me plait.
Ce samedi, j’essaye de me lever discrètement.
- Où vas-tu ?
- Aux toilettes ?
- Au « Donjon » ! Immédiatement !
J’obtempère suivi de Gaëlle qui est visiblement d’humeur joueuse. Elle m’attache sur sa nouvelle croix de Saint-André m’enlève ma cage et s’applique à me donner une formidable érection.
Une fois celle-ci obtenue, elle lubrifie un plug d’urètre creux qu’elle m’introduit dans le sexe. L’opération est agréable, sans plus. Elle fait butter le plug sur le sphincter séminal, plus, d’une légère pression lui fait franchir celui-ci. Mon sperme s’écoule au travers du plus et Gaëlle le récolte dans une soucoupe. Elle s’est ainsi emparée de mon sperme sans me donner de plaisir et aussitôt mon érection s’en est allée.
Gaëlle me détache et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Elle enserre mes couilles dans un nœud coulant, passe la corde dans un anneau situé assez haut et tend celle-ci jusqu’à ce je sois jambes tendues et mains au sol afin de me soulager autant que possible. Elle pose ensuite la soucoupe sur un tabouret afin de la mettre à portée de ma bouche.
- Voici ton déjeuné. Bon appétit !
Sur ce elle me quitte et referme la porte à clé. Il est 07H30 à l’horloge du donjon. Je constate que la webcam est en service. Gaëlle me surveille. Je lèche consciencieusement la soupe jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de trace de mon sperme qui finalement n’a aucun goût particulier.
Le temps passe et quand je perds parfois l’équilibre, je suis retenu par les couilles. La douleur me met les larmes aux yeux.
Mais, je ne boude pas mon plaisir. Rien ne m’oblige à subir ceci. Dès que je pense à ma femme, j’entrevois les sévices qu’elle va m’imposer et je ressens un début d’érection. J’aime le bondage, la douleur intense et surtout l’humiliation et je suis près à tout pour remercier Gaëlle de ses sévices.
Je sais qu’elle est occupée à préparer ma soumission par un groupe d’homme. Quand elle m’a exposé cette envie, ma seule crainte était de devoir effectuer une fellation sur un homme. Mais finalement, le sperme n’est que du sperme et le goût de celui d’un autre ne doit pas bien différer du mien que Gaëlle recrache dans ma bouche depuis longtemps.
Gaëlle écrit :
L'organisation de la séance de domination de Régis par plusieurs hommes ne fut pas aussi simple que je ne l'avais pensée. Malgré mes nombreuses connaissances s'affichant homo ou bisexuelles, j'ai constaté que la chose n'était pas prise à la légère. J'ai dû commencer par réaliser un véritable « Press-book ». Tous voulaient voir à quoi Régis ressemblait. Il me fallait des photos de lui habillé et nu. Des gros plans de son sexe, de ses couilles, de son anus. Des photos en cage de chasteté, en activité de pegging, en bondage...
Je demandai donc à Isabelle de nous photographier dans nos ébats. Elle ne voulut être dédommagée qu’en nature. Il fallait que je lui prête Régis pour une semaine de vacances. Celui-ci était quelque peu réservé car il connaissait la nature « HARD » d’Isabelle. Après réflexion, il marqua son accord. Isabelle réalisa de superbes photos où rien n’était simulé. Je la mis au courant de mon désir d’être soumise dans un gang bang. Elle me proposa son aide pour l’organisation de celui-ci à la seule condition de pouvoir y participer.
- Tu veux être soumise ? Toi ?
- Je ne sais pas. Peut-être une fois pour essayer ou … je te soumettrai avec les mâles. Je verrai.
Outre les photos, des certificats médicaux attestant l'absence de M.S.T. étaient demandés.
Il me fallut plus d'un mois pour intéresser les intéressés.
Vinrent alors les questions sur les choses interdites. Heureusement, Régis acceptait tout sauf ce qui pouvait laisser des lésions permanentes. Il fallut aussi l’entraîner à la gorge profonde. Contre toute attente, Régis maitrisa rapidement ses envies de remettre et devient rapidement un adepte de la pratique. Selon ses dires, il en ressent de l’humiliation et de la soumission très plaisantes.
Enfin, les participants potentiels émirent le souhait que l’expérience soit répétée. Nous devions accepter d’entrer dans leurs jeux pour une période d’au moins un an. Moyennant un préavis d’un mois, nous devions accepter le rôle qui nous serait assigné. Régis accepta immédiatement. Il me fallut une semaine pour me joindre à lui.
Un accord fut trouvé pour le vendredi 22/05/2020. Je devais déposer Régis à 20H00 à l’adresse convenue. Je devais les rejoindre à minuit pour assister à la séance. Comme convenu, nous attendions dans la voiture 10 minutes à l’avance. Régis était nu dans sa cape noire. A l’heure exacte il sorti de la voiture, ôta sa cape et se présenta nu à la porte et sonna. Il se passa plus de trois minutes avant que la porte ne s’ouvre et qu’il puisse entrer. Quelques voitures klaxonnèrent mais rien de bien embarrassant.
Je parti rejoindre Isabelle chez elle. Finalement, elle voulut aussi assister à la séance.
- Je suis quelque peu inquiète lui dis-je.
- C’est ton choix et il est d’accord. Donc, pas de lézard.
- Mais si c’est trop hard pour lui ?
- Pas de lésions permanentes, donc tout est O.K. Il aura peut-être très mal, plus qu’il ne peut en supporter. Mais tant pis pour lui. Il s’en remettra.
A 22H00, nous nous présentons devant la porte d’entrée et envoyons le code convenu au numéro qui nous a été communiqué. Une superbe créature masculine vient nous ouvrir et nous conduit à l’étage où une galerie donne vue sur une salle de pratique BDSM. Le vitrage sans tain isole la galerie de la salle. Une sonorisation permet cependant d’entendre ce qui s’y passe sans que les bruits de la galerie ne soient audibles en bas. Nous sommes installées à une table en bord du puis. Un serveur nu, ganté et portant tablier de soubrette prend notre commande. Quand il revient, nous voulons régler celle-ci.
- Pour vous, c’est gratuit car vous fournissez la marchandise.
- Tu vois ! Que de bonnes surprises me dit Isabelle.
Le spectacle commence.
Un jeune homme d’environ 20 ans, la tête dans un masque de cuir intégral, mains menottées derrière le dos est poussé violemment au milieu de la salle. Deux immenses brutes habillées de cuir s’amusent à le bousculer. Puis, le plus grand le saisit par le cou pendant que l’autre lui embrasse le sein droit, baisé qui se transforme en morsure. Je m’aperçois qu’ils connaissent leur affaire. La marque est à la limite d’être sanguinolente, mais du bon côté de la limite.
Je m’aperçois que je mouille comme une salope.
- Waouw ! J’en suis trempée s’exclame Isabelle.
- Moi aussi.
Le jeune est relâché mais il souffre visiblement. Ils s’amusent maintenant à lui envoyer des coups de pieds dans les couilles, pas violents mais juste assez pour lui faire mal.
D’un geste théâtral, le plus petit des brutes lui arrache son pantalon manifestement conçu pour cela. Je jeune se retrouve à poil. En un tournemain, il est attaché par les deux bras à des câbles qui en se tendant l’immobilisent au milieu de la pièce, bras tendus en Y très ouvert. Deux domina habillées seulement de leurs bottes en cuir noir viennent lui placer une barre d’écartement qu’elles ouvrent complètement. L’une d’elle, passant sa main entre ses cuisses, lui saisit les couilles qu’elle masse délicatement. Le jeune homme ne peut contenir une érection. L’autre femme lui décalotte le gland qu’elle prend en bouche et gratifie d’une délicieuse fellation. Une fois l’homme en érection complète, par un ballet bien réglé, les femmes se retirent et les brutes reviennent. Ils se saisissent chacun d’un testicule du jeune homme et pressent ceux-ci alternativement arrachant d’horribles cris de douleur. Ils définissent leur rythme afin que le cri généré par l’un soit terminé avant de provoquer le suivant.
Il suffit que quelques applications de ce traitement pour que son érection disparaisse complètement.
Les tourmenteurs s’amusent alors à lui arracher d’improbables aveux sur ses désirs sexuels.
- Tu n’es qu’une petite fiotte impuissante !
Quelques pressions intenses sur ses testicules et …- Oui Monsieur, je suis impuissant.
Eclat de rire dans la gallérie ce qui se comprend après la magnifique érection que nous venons de voir.
- Que préfères-tu ? Te faire enculer ou sucer des bites ?
- Je préfère sucer des bites Monsieur.
- Tu as de la chance. Tu auras les deux.
Dans une chorégraphie parfaite, un meuble comportant un plan central assez étroit à environ un mètre du sol ainsi que deux plans latéraux de part et d’autre du premier à environ 50 cm du sol est amené par quatre superbes femdom. En un instant, le jeune homme est détaché et allongé à plat ventre sur le plan supérieur, ses avant-bras et ses jambes reposant sur les plans les plus bas. Ses poignets et chevilles sont immédiatement attachés. Enfin, ses couilles sont passées dans un nœud coulant qu’une des femmes tend et fixe au meuble empêchant ainsi le soumis de se laisser glisser vers l’avant. Un ring gag lui est posé afin qu’il ne puisse fermer la bouche.
Pendant ce temps, les deux brutes se retrouvent nus en bottines de chantier. Deux des femmes leur prodiguent quelques douceurs buccales qui les mettent dans une érection spectaculaire. Elles leur posent ostensiblement un préservatif sur leur sexe.
- Ils sont décidément très save-sex me souffle Isabelle. Tailler une pipe à un mec sans recevoir son sperme dans ma bouche, très peu pour moi.
- Dans notre petit groupe de six personnes testées mensuellement, il n’y a pas beaucoup de risque. Dès qu’ils sont plus nombreux, le préservatif n’est plus un luxe.
La plus grande des brutes se positionne derrière le jeune homme qui bave abondamment et, les mains derrière la tête, pose la pointe de son sexe sur la rondelle de du jeune homme. D’un coup sec, il enfonce son sexe long et large dans le cul de sa victime qui pousse un long hurlement de douleur, hurlement interrompu par la pénétration du sexe de l’autre brute dans sa bouche.
Les tourmenteurs défoncent leur soumis pendant deux minutes au rythme d’un fond sonore particulièrement bien choisi avant de se retirer brutalement laissant leur proie émettre quelques gémissements de bête agonisante. Ils se repositionnent en permutant leurs places.
- Oh ! Celui qui le sodomisait va lui pénétrer la bouche dis-je à Isabelle.
- Et alors, c’est de son cul qu’elle sort cette queue !
Les brutes reproduisirent leur scénario à cinq reprises avant d’apparemment éjaculer.
- Ils n’ont pas éjaculés dis-je à Isabelle.
- Comment le sais-tu ?
- Regarde, le bout de leur préservatif est vide.
- Ah oui ! Tu as raison.
Le soumis est détaché et emmené porté par quatre dominatrices.
Après deux minutes, trois ombres entrent sur scène dans une lumière faible.
Une fois la scène mieux éclairée, je reconnais régis, vêtu d’une cape blanche et maintenu aux coudes par deux dominatrices qui sont à la fois très jolie et dont le physique relève plus de l’athlétisme que de l’érotisme. Une autre domina entre et s’installe sous la cape de Régis afin de lui administrer la fellation qui le placera dans une érection théâtrale. Quand elle se retire, les deux autres enlèvent la cape sous les applaudissements de la galerie. Il est menotté, mains derrière le dos, le sexe dresser à lui toucher le ventre. A la table voisine, j’entrevois une jeune femme glisser une épaisse serviette dans sa culotte. Je suis dans le même état mais j’ai pris mes précautions.
- Il est quand même bien foutu me balance Isabelle.
- Et malgré son séjour en cage de chasteté, sa queue continue à fonctionner.
Entre un homme vêtu de lanières de cuir. Il s’approche de Régis et lui roule une pelle pendant qu’il le branle avec ostentation. Je suis aux anges. J’ai toujours voulu le voir subir cela. Ils s’enlacent tels deux amants. La foule est maintenant échauffée et lance des « Bourre le ! », « Fais le couiner ! » et autres. Régis se penche en avant, mains sur les genoux et son partenaire lui prend le cul par des va et vient de plus en plus profond. Une fois installé au plus profond de son soumis, il lui saisit le sexe qu’il branle au rythme de sa saillie. Une discrète domina entre sur scène portant un plat noir.
- Qu’est-ce qu’elle fait là me demande Isabelle.
- Je peux me tromper, mais je parie qu’elle va recueillir du sperme.
Après deux minutes de cette pratique, deux accessoiristes viennent poser une table au milieu de la piste. Les amants se séparent et le dominant conduit Régis vers la table où il s’allonge sur le dos. Une « infirmière » vient lui poser un kit de lavement dont le produit traité renvoi la lumière ultraviolette. Une fois l’instillation du produit commencée, elle s'assoit à ses côtés et lui travaille lentement le sexe afin de lui maintenir son érection.
Un lit, garnit d’une blonde pulpeuse est amené. Celle-ci convulse et glousse comme une pucelle en chaleur. La scène dure le temps que la poche de lavement d’un litre soit entièrement dans les entrailles de Régis. Celui-ci est ensuite relevé et dirigé vers le lit ou il commence un cunnilingus qui doit être des plus inconfortable vu qu’il doit maintenir ce litre d’eau en lui. La scène plait plus par les bruitages de la jeune fille que par l’action. J’entends quelques réflexions :- En tout cas, bravo au mec. Un « cuni » ainsi rempli, c’est une vraie pénitence.
- Dommage qu’on ne voit pas sa queue !
Comme s’ils les avaient entendus, les amants de placent maintenant pour un 69 torride. L’érection de Régis est parfaite et les seins de la fille ont un tombé et un balancement naturel admirable. La scène dure encore une dizaine de minutes au terme desquelles la fille a un orgasme ravageur.
Pendant que le lit garni est emporté, quatre dominatrices attachent Régis. Les chevilles légèrement écartées sont fixées au sol tandis que ses mains sont attachées à un câble montant dans l’obscurité. La tout est sur un plateau tournant permettant à toute la galerie de profiter de la scène. Seule une des dominas reste sur scène avec la porteuse du plateau noir que tout le monde avait oublié. Elle commence à masturber Régis avec des gestes d’Elfe échappée d’un autre monde.
- Regarde, dis-je à Isabelle, la scène va durer dix minutes. C’est le temps qu’il faut pour en profiter sans que cela devienne lassant.
Et effectivement, après ce temps, Régis éjacule abondamment sur le plateau noir. Je souris intérieurement car je sais qu’il tient facilement une heure lors de nos ébats. Il a dû se forcer et n’a pas profité de la situation. Et plus, les trippes pleines d’eau, il doit avoir du mal à se retenir. Mais oui, c’est la cause de son éjaculation si rapide. Bonne chose à retenir.
La dominatrice fait maintenant déguster son sperme à Régis. La salle est en délire. Puis Régis est libéré. Il se déplace difficilement et prudemment afin de contenir son lavement. Quatre « Mauvais Garçons » font leur entre sous le thème de « Quand on arrive en ville ». Ils bousculent Régis dans tous les sens. Finalement, le plus costaud de la bande le saisit par le cou, l’immobilise pendant que les autres lui mettent des coups de poings dans le ventre. Mais, je m’aperçois qu’il s’agit de faux coups. Les poings sont arrêtés avant les contacts, puis ils sont prolongés par une simple pression sur l’abdomen. Après quelques « coups », ce qui devait arriver arriva et Régis se vida de son litre. Le produit coloré faisait une large flaque sur scène et les « Mauvais Garçons » entreprirent de le corriger. Il fut jeté sur la table qui avait été déplacée sur le plateau tournant, attaché au niveau des épaules, des coudes, des poignets, puis, ses chevilles furent fixées à deux cordes qui en se tendant lui rabattirent les pieds au niveau des épaules. Un ring gag lui fut posé permettant de présumer de la suite. Les agresseurs défilèrent lui introduisant un ou deux doigts dans le cul feignant d’évaluer la marchandise. Par une chorégraphie improbable, ils parvinrent à faire oublier Régis. Une discrète accessoiriste lui instilla une bonne dose de lubrifiant afin de rendre la suite confortable. La danse de termina par la disparition des pantalons, les gars de trouvant vêtus de lanières de cuir. L’un deux, déjà en érection vint positionner son sexe sur l’annus de l’esclave et, saisissant la taille de celui-ci, le pénétra avec un « Han » de bûcheron. Régis hurlait la tête pendant dans le vide et un deuxième tourmenteur vint le contraindre au silence d’une pénétration soudaine. Après environ une minute de ce traitement, je fus surprise de voir qu’il avait une nouvelle érection. L’homme qui le sodomisait attira l’attention de la foule qui déchainée hurla des « Salope » « Poufiasse » et autre tout en applaudissant l’action. Le sodomiseur entreprit de masturber Régis pendant qu’il le ramonait violement. Les deux premiers à profiter de mon mari éjaculèrent au même moment et se retirèrent laissant voir leur sperme dans le réservoir de leur préservatif. De toute manière, leur érection s’estompa aussitôt leur queue retirée de mon mari qui émis quelques plaintes inquiétantes. Les deux autres prirent place et la scène continua de même. Violement masturbé, Régis finit par éjaculer à nouveau au moment où celui qui lui pénétrait la bouche se retira exhibant le sperme dans son préservatif. Le sodomiseur saisit le sexe de Régis sous son gland et, de la paume de sa main, lui frictionna le méat urinaire dans une torture post-orgasmique tirant des râles bizarres à la victime toujours sous ring gag. Après quelques minutes, une nouvelle éjaculation fut signalée par l’officiant. La foule hurlait « Une autre, une autre, … » et le gars repris sa torture sur mon mari.
- La troisième fois, il va se pisser dessus me dit Isabelle.
- Arrête !
- Tu ne l’as jamais fait. Tu vas voir.
Assez rapidement, Régis émis des sons incompréhensibles et je vis gicler un liquide qui ne pouvait être que le l’urine.
- Tu vois ! Cependant, je n’ai jamais poussé plus loin.
- J’espère qu’ils vont arrêter.
La foule en voulait encore. Par deux autre fois, Régis émis des giclés d’urine. Puis il fut encore torturé une dizaine de minutes sans qu’ils ne puissent plus en sortir le moindre liquide. Il laissait encore sortir de sa gorge quelques râles d’agonisant. Il fut détaché et jeté sur le sol ses « Agresseurs » paradant devant son corps inanimé sous les vivats de la foule les acclamant tels des gladiateurs.
Une demi-heure plus tard, Régis nous était rendu frais comme un gardon. Je ne dû que lui soigner pendant quelques jours les abrasions dues à la longue friction exercée sur le bout de son sexe. Isabelle lui demanda :- Qu’est-ce que tu regrettes ?
- Qu’ils ne m’aient pas fait mal et qu’ils portaient des préservatifs. J’aurais voulu avoir leur sperme dans ma bouche et dans mon cul.
- Pas de problème. Tu pourras avoir celui de Marcel et de Christophe. Mais avant cela, nous allons nous occuper de ta femme.
Donnez-nous votre avis sur notre récit.
S’il vous a plu, vous pourrez nous suivre dans Gaëlle et Régis – 6 Gang bang et réflexions
Depuis que Gaëlle l’a décidé, je suis encagé à temps plein. Comme elle le dit, elle me prend plusieurs fois par semaine, il serait plus exact de dire journellement à quelques exceptions près. Et elle se donne du plaisir avec son strapon, plaisir auquel j’ai encore du mal à accéder. De plus, elle ne me fait aucune concession et m’adresse plutôt des reproches sur mes absences d’éjaculation. Elle a même décrété qu’elle me sonderait le prochain weekend si je n’y étais pas arrivé. Ses sodomies sont pourtant très agréables mais elle ne veut pas prendre en considération les abondants écoulements de sperme qu’elles provoquent. Il lui faut une éjaculation en jets.
Quant à mon sexe, je suis passé d’une cage au tube de 12 cm, à 6 cm puis à 3 cm. Lorsque je prends ma douche, il ressemble plus à un ramassis de peau qu’à un sexe. Pourtant, lorsque Gaëlle me prodigue quelques douceurs il reprend une taille très satisfaisante. Elle vérifié une fois par semaine ma capacité érectile et se montre déçue qu’elle soit toujours présente.
Elle vient de me retirer mes cartes bancaires ainsi que tout mon argent liquide. Bizarrement, une fois ceux-ci enfermés dans son coffre, j’ai eu une érection dans ma cage. Etant nu, il m’était impossible de la dissimuler. Je suis donc totalement sous sa coupe et je dois avouer que cela me plait.
Ce samedi, j’essaye de me lever discrètement.
- Où vas-tu ?
- Aux toilettes ?
- Au « Donjon » ! Immédiatement !
J’obtempère suivi de Gaëlle qui est visiblement d’humeur joueuse. Elle m’attache sur sa nouvelle croix de Saint-André m’enlève ma cage et s’applique à me donner une formidable érection.
Une fois celle-ci obtenue, elle lubrifie un plug d’urètre creux qu’elle m’introduit dans le sexe. L’opération est agréable, sans plus. Elle fait butter le plug sur le sphincter séminal, plus, d’une légère pression lui fait franchir celui-ci. Mon sperme s’écoule au travers du plus et Gaëlle le récolte dans une soucoupe. Elle s’est ainsi emparée de mon sperme sans me donner de plaisir et aussitôt mon érection s’en est allée.
Gaëlle me détache et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Elle enserre mes couilles dans un nœud coulant, passe la corde dans un anneau situé assez haut et tend celle-ci jusqu’à ce je sois jambes tendues et mains au sol afin de me soulager autant que possible. Elle pose ensuite la soucoupe sur un tabouret afin de la mettre à portée de ma bouche.
- Voici ton déjeuné. Bon appétit !
Sur ce elle me quitte et referme la porte à clé. Il est 07H30 à l’horloge du donjon. Je constate que la webcam est en service. Gaëlle me surveille. Je lèche consciencieusement la soupe jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de trace de mon sperme qui finalement n’a aucun goût particulier.
Le temps passe et quand je perds parfois l’équilibre, je suis retenu par les couilles. La douleur me met les larmes aux yeux.
Mais, je ne boude pas mon plaisir. Rien ne m’oblige à subir ceci. Dès que je pense à ma femme, j’entrevois les sévices qu’elle va m’imposer et je ressens un début d’érection. J’aime le bondage, la douleur intense et surtout l’humiliation et je suis près à tout pour remercier Gaëlle de ses sévices.
Je sais qu’elle est occupée à préparer ma soumission par un groupe d’homme. Quand elle m’a exposé cette envie, ma seule crainte était de devoir effectuer une fellation sur un homme. Mais finalement, le sperme n’est que du sperme et le goût de celui d’un autre ne doit pas bien différer du mien que Gaëlle recrache dans ma bouche depuis longtemps.
Gaëlle écrit :
L'organisation de la séance de domination de Régis par plusieurs hommes ne fut pas aussi simple que je ne l'avais pensée. Malgré mes nombreuses connaissances s'affichant homo ou bisexuelles, j'ai constaté que la chose n'était pas prise à la légère. J'ai dû commencer par réaliser un véritable « Press-book ». Tous voulaient voir à quoi Régis ressemblait. Il me fallait des photos de lui habillé et nu. Des gros plans de son sexe, de ses couilles, de son anus. Des photos en cage de chasteté, en activité de pegging, en bondage...
Je demandai donc à Isabelle de nous photographier dans nos ébats. Elle ne voulut être dédommagée qu’en nature. Il fallait que je lui prête Régis pour une semaine de vacances. Celui-ci était quelque peu réservé car il connaissait la nature « HARD » d’Isabelle. Après réflexion, il marqua son accord. Isabelle réalisa de superbes photos où rien n’était simulé. Je la mis au courant de mon désir d’être soumise dans un gang bang. Elle me proposa son aide pour l’organisation de celui-ci à la seule condition de pouvoir y participer.
- Tu veux être soumise ? Toi ?
- Je ne sais pas. Peut-être une fois pour essayer ou … je te soumettrai avec les mâles. Je verrai.
Outre les photos, des certificats médicaux attestant l'absence de M.S.T. étaient demandés.
Il me fallut plus d'un mois pour intéresser les intéressés.
Vinrent alors les questions sur les choses interdites. Heureusement, Régis acceptait tout sauf ce qui pouvait laisser des lésions permanentes. Il fallut aussi l’entraîner à la gorge profonde. Contre toute attente, Régis maitrisa rapidement ses envies de remettre et devient rapidement un adepte de la pratique. Selon ses dires, il en ressent de l’humiliation et de la soumission très plaisantes.
Enfin, les participants potentiels émirent le souhait que l’expérience soit répétée. Nous devions accepter d’entrer dans leurs jeux pour une période d’au moins un an. Moyennant un préavis d’un mois, nous devions accepter le rôle qui nous serait assigné. Régis accepta immédiatement. Il me fallut une semaine pour me joindre à lui.
Un accord fut trouvé pour le vendredi 22/05/2020. Je devais déposer Régis à 20H00 à l’adresse convenue. Je devais les rejoindre à minuit pour assister à la séance. Comme convenu, nous attendions dans la voiture 10 minutes à l’avance. Régis était nu dans sa cape noire. A l’heure exacte il sorti de la voiture, ôta sa cape et se présenta nu à la porte et sonna. Il se passa plus de trois minutes avant que la porte ne s’ouvre et qu’il puisse entrer. Quelques voitures klaxonnèrent mais rien de bien embarrassant.
Je parti rejoindre Isabelle chez elle. Finalement, elle voulut aussi assister à la séance.
- Je suis quelque peu inquiète lui dis-je.
- C’est ton choix et il est d’accord. Donc, pas de lézard.
- Mais si c’est trop hard pour lui ?
- Pas de lésions permanentes, donc tout est O.K. Il aura peut-être très mal, plus qu’il ne peut en supporter. Mais tant pis pour lui. Il s’en remettra.
A 22H00, nous nous présentons devant la porte d’entrée et envoyons le code convenu au numéro qui nous a été communiqué. Une superbe créature masculine vient nous ouvrir et nous conduit à l’étage où une galerie donne vue sur une salle de pratique BDSM. Le vitrage sans tain isole la galerie de la salle. Une sonorisation permet cependant d’entendre ce qui s’y passe sans que les bruits de la galerie ne soient audibles en bas. Nous sommes installées à une table en bord du puis. Un serveur nu, ganté et portant tablier de soubrette prend notre commande. Quand il revient, nous voulons régler celle-ci.
- Pour vous, c’est gratuit car vous fournissez la marchandise.
- Tu vois ! Que de bonnes surprises me dit Isabelle.
Le spectacle commence.
Un jeune homme d’environ 20 ans, la tête dans un masque de cuir intégral, mains menottées derrière le dos est poussé violemment au milieu de la salle. Deux immenses brutes habillées de cuir s’amusent à le bousculer. Puis, le plus grand le saisit par le cou pendant que l’autre lui embrasse le sein droit, baisé qui se transforme en morsure. Je m’aperçois qu’ils connaissent leur affaire. La marque est à la limite d’être sanguinolente, mais du bon côté de la limite.
Je m’aperçois que je mouille comme une salope.
- Waouw ! J’en suis trempée s’exclame Isabelle.
- Moi aussi.
Le jeune est relâché mais il souffre visiblement. Ils s’amusent maintenant à lui envoyer des coups de pieds dans les couilles, pas violents mais juste assez pour lui faire mal.
D’un geste théâtral, le plus petit des brutes lui arrache son pantalon manifestement conçu pour cela. Je jeune se retrouve à poil. En un tournemain, il est attaché par les deux bras à des câbles qui en se tendant l’immobilisent au milieu de la pièce, bras tendus en Y très ouvert. Deux domina habillées seulement de leurs bottes en cuir noir viennent lui placer une barre d’écartement qu’elles ouvrent complètement. L’une d’elle, passant sa main entre ses cuisses, lui saisit les couilles qu’elle masse délicatement. Le jeune homme ne peut contenir une érection. L’autre femme lui décalotte le gland qu’elle prend en bouche et gratifie d’une délicieuse fellation. Une fois l’homme en érection complète, par un ballet bien réglé, les femmes se retirent et les brutes reviennent. Ils se saisissent chacun d’un testicule du jeune homme et pressent ceux-ci alternativement arrachant d’horribles cris de douleur. Ils définissent leur rythme afin que le cri généré par l’un soit terminé avant de provoquer le suivant.
Il suffit que quelques applications de ce traitement pour que son érection disparaisse complètement.
Les tourmenteurs s’amusent alors à lui arracher d’improbables aveux sur ses désirs sexuels.
- Tu n’es qu’une petite fiotte impuissante !
Quelques pressions intenses sur ses testicules et …- Oui Monsieur, je suis impuissant.
Eclat de rire dans la gallérie ce qui se comprend après la magnifique érection que nous venons de voir.
- Que préfères-tu ? Te faire enculer ou sucer des bites ?
- Je préfère sucer des bites Monsieur.
- Tu as de la chance. Tu auras les deux.
Dans une chorégraphie parfaite, un meuble comportant un plan central assez étroit à environ un mètre du sol ainsi que deux plans latéraux de part et d’autre du premier à environ 50 cm du sol est amené par quatre superbes femdom. En un instant, le jeune homme est détaché et allongé à plat ventre sur le plan supérieur, ses avant-bras et ses jambes reposant sur les plans les plus bas. Ses poignets et chevilles sont immédiatement attachés. Enfin, ses couilles sont passées dans un nœud coulant qu’une des femmes tend et fixe au meuble empêchant ainsi le soumis de se laisser glisser vers l’avant. Un ring gag lui est posé afin qu’il ne puisse fermer la bouche.
Pendant ce temps, les deux brutes se retrouvent nus en bottines de chantier. Deux des femmes leur prodiguent quelques douceurs buccales qui les mettent dans une érection spectaculaire. Elles leur posent ostensiblement un préservatif sur leur sexe.
- Ils sont décidément très save-sex me souffle Isabelle. Tailler une pipe à un mec sans recevoir son sperme dans ma bouche, très peu pour moi.
- Dans notre petit groupe de six personnes testées mensuellement, il n’y a pas beaucoup de risque. Dès qu’ils sont plus nombreux, le préservatif n’est plus un luxe.
La plus grande des brutes se positionne derrière le jeune homme qui bave abondamment et, les mains derrière la tête, pose la pointe de son sexe sur la rondelle de du jeune homme. D’un coup sec, il enfonce son sexe long et large dans le cul de sa victime qui pousse un long hurlement de douleur, hurlement interrompu par la pénétration du sexe de l’autre brute dans sa bouche.
Les tourmenteurs défoncent leur soumis pendant deux minutes au rythme d’un fond sonore particulièrement bien choisi avant de se retirer brutalement laissant leur proie émettre quelques gémissements de bête agonisante. Ils se repositionnent en permutant leurs places.
- Oh ! Celui qui le sodomisait va lui pénétrer la bouche dis-je à Isabelle.
- Et alors, c’est de son cul qu’elle sort cette queue !
Les brutes reproduisirent leur scénario à cinq reprises avant d’apparemment éjaculer.
- Ils n’ont pas éjaculés dis-je à Isabelle.
- Comment le sais-tu ?
- Regarde, le bout de leur préservatif est vide.
- Ah oui ! Tu as raison.
Le soumis est détaché et emmené porté par quatre dominatrices.
Après deux minutes, trois ombres entrent sur scène dans une lumière faible.
Une fois la scène mieux éclairée, je reconnais régis, vêtu d’une cape blanche et maintenu aux coudes par deux dominatrices qui sont à la fois très jolie et dont le physique relève plus de l’athlétisme que de l’érotisme. Une autre domina entre et s’installe sous la cape de Régis afin de lui administrer la fellation qui le placera dans une érection théâtrale. Quand elle se retire, les deux autres enlèvent la cape sous les applaudissements de la galerie. Il est menotté, mains derrière le dos, le sexe dresser à lui toucher le ventre. A la table voisine, j’entrevois une jeune femme glisser une épaisse serviette dans sa culotte. Je suis dans le même état mais j’ai pris mes précautions.
- Il est quand même bien foutu me balance Isabelle.
- Et malgré son séjour en cage de chasteté, sa queue continue à fonctionner.
Entre un homme vêtu de lanières de cuir. Il s’approche de Régis et lui roule une pelle pendant qu’il le branle avec ostentation. Je suis aux anges. J’ai toujours voulu le voir subir cela. Ils s’enlacent tels deux amants. La foule est maintenant échauffée et lance des « Bourre le ! », « Fais le couiner ! » et autres. Régis se penche en avant, mains sur les genoux et son partenaire lui prend le cul par des va et vient de plus en plus profond. Une fois installé au plus profond de son soumis, il lui saisit le sexe qu’il branle au rythme de sa saillie. Une discrète domina entre sur scène portant un plat noir.
- Qu’est-ce qu’elle fait là me demande Isabelle.
- Je peux me tromper, mais je parie qu’elle va recueillir du sperme.
Après deux minutes de cette pratique, deux accessoiristes viennent poser une table au milieu de la piste. Les amants se séparent et le dominant conduit Régis vers la table où il s’allonge sur le dos. Une « infirmière » vient lui poser un kit de lavement dont le produit traité renvoi la lumière ultraviolette. Une fois l’instillation du produit commencée, elle s'assoit à ses côtés et lui travaille lentement le sexe afin de lui maintenir son érection.
Un lit, garnit d’une blonde pulpeuse est amené. Celle-ci convulse et glousse comme une pucelle en chaleur. La scène dure le temps que la poche de lavement d’un litre soit entièrement dans les entrailles de Régis. Celui-ci est ensuite relevé et dirigé vers le lit ou il commence un cunnilingus qui doit être des plus inconfortable vu qu’il doit maintenir ce litre d’eau en lui. La scène plait plus par les bruitages de la jeune fille que par l’action. J’entends quelques réflexions :- En tout cas, bravo au mec. Un « cuni » ainsi rempli, c’est une vraie pénitence.
- Dommage qu’on ne voit pas sa queue !
Comme s’ils les avaient entendus, les amants de placent maintenant pour un 69 torride. L’érection de Régis est parfaite et les seins de la fille ont un tombé et un balancement naturel admirable. La scène dure encore une dizaine de minutes au terme desquelles la fille a un orgasme ravageur.
Pendant que le lit garni est emporté, quatre dominatrices attachent Régis. Les chevilles légèrement écartées sont fixées au sol tandis que ses mains sont attachées à un câble montant dans l’obscurité. La tout est sur un plateau tournant permettant à toute la galerie de profiter de la scène. Seule une des dominas reste sur scène avec la porteuse du plateau noir que tout le monde avait oublié. Elle commence à masturber Régis avec des gestes d’Elfe échappée d’un autre monde.
- Regarde, dis-je à Isabelle, la scène va durer dix minutes. C’est le temps qu’il faut pour en profiter sans que cela devienne lassant.
Et effectivement, après ce temps, Régis éjacule abondamment sur le plateau noir. Je souris intérieurement car je sais qu’il tient facilement une heure lors de nos ébats. Il a dû se forcer et n’a pas profité de la situation. Et plus, les trippes pleines d’eau, il doit avoir du mal à se retenir. Mais oui, c’est la cause de son éjaculation si rapide. Bonne chose à retenir.
La dominatrice fait maintenant déguster son sperme à Régis. La salle est en délire. Puis Régis est libéré. Il se déplace difficilement et prudemment afin de contenir son lavement. Quatre « Mauvais Garçons » font leur entre sous le thème de « Quand on arrive en ville ». Ils bousculent Régis dans tous les sens. Finalement, le plus costaud de la bande le saisit par le cou, l’immobilise pendant que les autres lui mettent des coups de poings dans le ventre. Mais, je m’aperçois qu’il s’agit de faux coups. Les poings sont arrêtés avant les contacts, puis ils sont prolongés par une simple pression sur l’abdomen. Après quelques « coups », ce qui devait arriver arriva et Régis se vida de son litre. Le produit coloré faisait une large flaque sur scène et les « Mauvais Garçons » entreprirent de le corriger. Il fut jeté sur la table qui avait été déplacée sur le plateau tournant, attaché au niveau des épaules, des coudes, des poignets, puis, ses chevilles furent fixées à deux cordes qui en se tendant lui rabattirent les pieds au niveau des épaules. Un ring gag lui fut posé permettant de présumer de la suite. Les agresseurs défilèrent lui introduisant un ou deux doigts dans le cul feignant d’évaluer la marchandise. Par une chorégraphie improbable, ils parvinrent à faire oublier Régis. Une discrète accessoiriste lui instilla une bonne dose de lubrifiant afin de rendre la suite confortable. La danse de termina par la disparition des pantalons, les gars de trouvant vêtus de lanières de cuir. L’un deux, déjà en érection vint positionner son sexe sur l’annus de l’esclave et, saisissant la taille de celui-ci, le pénétra avec un « Han » de bûcheron. Régis hurlait la tête pendant dans le vide et un deuxième tourmenteur vint le contraindre au silence d’une pénétration soudaine. Après environ une minute de ce traitement, je fus surprise de voir qu’il avait une nouvelle érection. L’homme qui le sodomisait attira l’attention de la foule qui déchainée hurla des « Salope » « Poufiasse » et autre tout en applaudissant l’action. Le sodomiseur entreprit de masturber Régis pendant qu’il le ramonait violement. Les deux premiers à profiter de mon mari éjaculèrent au même moment et se retirèrent laissant voir leur sperme dans le réservoir de leur préservatif. De toute manière, leur érection s’estompa aussitôt leur queue retirée de mon mari qui émis quelques plaintes inquiétantes. Les deux autres prirent place et la scène continua de même. Violement masturbé, Régis finit par éjaculer à nouveau au moment où celui qui lui pénétrait la bouche se retira exhibant le sperme dans son préservatif. Le sodomiseur saisit le sexe de Régis sous son gland et, de la paume de sa main, lui frictionna le méat urinaire dans une torture post-orgasmique tirant des râles bizarres à la victime toujours sous ring gag. Après quelques minutes, une nouvelle éjaculation fut signalée par l’officiant. La foule hurlait « Une autre, une autre, … » et le gars repris sa torture sur mon mari.
- La troisième fois, il va se pisser dessus me dit Isabelle.
- Arrête !
- Tu ne l’as jamais fait. Tu vas voir.
Assez rapidement, Régis émis des sons incompréhensibles et je vis gicler un liquide qui ne pouvait être que le l’urine.
- Tu vois ! Cependant, je n’ai jamais poussé plus loin.
- J’espère qu’ils vont arrêter.
La foule en voulait encore. Par deux autre fois, Régis émis des giclés d’urine. Puis il fut encore torturé une dizaine de minutes sans qu’ils ne puissent plus en sortir le moindre liquide. Il laissait encore sortir de sa gorge quelques râles d’agonisant. Il fut détaché et jeté sur le sol ses « Agresseurs » paradant devant son corps inanimé sous les vivats de la foule les acclamant tels des gladiateurs.
Une demi-heure plus tard, Régis nous était rendu frais comme un gardon. Je ne dû que lui soigner pendant quelques jours les abrasions dues à la longue friction exercée sur le bout de son sexe. Isabelle lui demanda :- Qu’est-ce que tu regrettes ?
- Qu’ils ne m’aient pas fait mal et qu’ils portaient des préservatifs. J’aurais voulu avoir leur sperme dans ma bouche et dans mon cul.
- Pas de problème. Tu pourras avoir celui de Marcel et de Christophe. Mais avant cela, nous allons nous occuper de ta femme.
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