Gaëlle et Régis - 6 Gang bang et réflexions

- Par l'auteur HDS Madame Gaëlle et Soumis Régis -
Auteur couple.
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Récit libertin : Gaëlle et Régis - 6 Gang bang et réflexions Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gaëlle et Régis - 6 Gang bang et réflexions
Gaëlle écrit :
Régis était donc rentré enchanté de son expérience de soumission par des hommes. J’espère que cette fois il gardera cette attitude décoincée vis-à-vis des pratiques sexuelles modernes. Il ne les a jamais critiquées mais il semblait se comporter comme si cela n’était pas pour lui. Isabelle passa nous voir avec Christophe afin de fixer la semaine de vacances où elle partirait avec Régis qui lui dit :- J’espère que me fera mal.
- Je vais te faire demander grâce et je continuerai quand même.
Restait à régler le sort de Christophe. Isabelle suggéra qu’il passe la semaine avec moi à la maison. Cela n’était pas possible car j’avais convoqué peintres et menuisiers pour une remise à neuf de la villa et quelques travaux d’aménagements (du donjon) trop lourds pour moi et j’avais prévu de loger à l’hôtel. Christophe me proposa l’hébergement. J’acceptai sans enthousiasme car je serais hors de mon territoire.
Pendant les deux semaines qui suivirent, nous avons pratiqué le sexe vanille, Régis étant « parfait » il n’y a pas d’autre qualificatifs. C’est à ce moment qu’un courrier de Notaire lui parvint lui annonçant le décès d’un oncle qu’il avait perdu de vue. Le vieil homme s’était retiré afin de cacher sa déchéance due à l’âge tout en continuant à lui écrire de longs courriers pleins de bienveillance à notre égard. Bref, Régis héritait de la villa de Menton et d’une propriété à Le Val. Le Notaire suggérait de vendre un des deux biens afin de payer les impôts sur la succession, restait à choisir lequel. Ce que ce Notaire ignorait, c’est que, en bons écureuils, nous avons épargné de quoi payer lesdits impôts. Après avoir visité les biens, nous décidâmes de mettre en location les deux biens tout en nous réservant Le Val pour la période des vacances d’été. Nous décidâmes d’y passer déjà l’été prochain.

Puis, un soir, lorsque Régis sort de sa douche et vient me rejoindre dans notre chambre, je l’attends en jouant avec une cage de chasteté. Une fois placée, nous constatons qu’il est à l’étroit dedans. Ces quinze jours de liberté ont permis à son sexe de reprendre du volume.
- Tant mieux. J’espère que tu vas souffrir !
- Merci Madame.
Je le sodomise sans autre artifice et prends mon plaisir grâce à mon strapon. Après avoir profité de celui-ci, je reprends mes mouvements et Régis éjacule abondamment. Il semble donc décoincé de ce côté-là aussi. Je lui fais nettoyer les draps en l’obligeant à lécher et sucer son sperme mais lui refuse d’enlever sa cage pour nettoyer son sexe.
Le matin, je la lui retire afin qu’il puisse prendre une douche et lui replace une cage composée d’un anneau et d’une rondelle métallique munie d’un petit plug d’urètre lui rentrant dans le sexe. Je prends la peine de lubrifier celui-ci avec une crème contenant un antibiotique léger. (Crème à usage ophtalmique en vente libre). Là, je suis contente. Dès le premier soir, lorsque je lui retire sa cage, il n’a plus qu’un petit bout incapable d’érection immédiate. Mais bon, le temps de prendre sa douche, l’engin de développe et reprend vigueur.
Régis m’explique cependant qu’ainsi équipé, il n’a pas de désir de pénétration et au contraire attend avec impatience d’être « pris ».
Comme je suis curieuse, je veux voir s’il va pouvoir éjaculer au travers de cette cage. Je le convoque dans notre donjon et lui attache les mains dans les menottes de suspension et utilise le treuil afin de le soulever quelques centimètres au-dessus du sol. Je prends mon fouet et m’exerce à la précision tant à la position de la frappe qu’à l’intensité. Ainsi suspendu, Régis ne s’effondre pas sous la douleur et je ne mesure pas son état.
- Sil vous plaît Madame, je demande grâce.
- Je verrai si tu mérites ma grâce.
Je décide qu’il recevra encore 20 coups. Régis pousse un cri à chaque coup. Supplie. Mais je continue. La douleur le pousse à une miction involontaire.
- Bien. Je vous que nous avons franchi une nouvelle limite.
Sans le libérer, je l’installe sur le banc de bondage. Ce n’est qu’une fois ses chevilles attachées que je le libère des menottes de suspension pour lui attacher les poignets. Je me présente devant lui pour l’obliger à faire une gorge profonde sur mon strapon. Il s’acquitte de sa tâche. Au moyen de seringue ad-hoc, je lui instille trois doses de lubrifiant dans le cul dont je graisse copieusement l'anus. Je n’oublie pas le strapon dont je dépose le bout sur sa rondelle. Je le pénètre lentement mais sans m’arrêter avant d’être à fond. Comme je ne l’ai pas dilaté préalablement, il gémit de douleur. Je commence mes vas et vient avec pour objectif principal de le faire éjaculer et après 15 minutes j’arrive à mon but. Puis je m’occupe de mon plaisir ignorant la torture post-orgasmique que je lui inflige ainsi. Quand j’atteints mon plaisir, je profite de celui-ci avant de me retirer. Par après Régis m’expliqua qu’il ne lui avait pas manqué grand-chose pour avoir une seconde éjaculation. Enregistré pour l’avenir !
Je le détache et l’abandonne après lui avoir enlevé sa cage.
- Tu nettoies, ranges, prend ta douche et viens me rejoindre au salon.
Une demi-heure après, il se présente, sa cage et l’huile pour bébé en main. Je le rééquipe et lui soigne les marques du fouet. Je ne le fouetterai plus avant la cicatrisation complète de celles-ci malgré ses demandes. C’est un principe.

Mais le temps et Isabelle ont correctement œuvré dans l’ombre afin de me soumettre à un gang bang. C’est ainsi qu’un samedi vers 10H00, elle vient me chercher sous le prétexte d’une journée shopping. Je suis dans une cabine d’essayage et lorsque je veux sortir la porte reste bloquée. Pas le temps d’appeler à l’aide que le sol se dérobe sous mes pieds et je tombe sur un épais matelas. J’essaye de me relever mais des mains, nombreuses, me saisissent. Je veux crier mais je suis plaquée à plat ventre un gag Ball m’est placé puis gonflé. En quelques secondes, mes vêtements sont découpés et je me retrouve entièrement nue. Mes agresseurs m’attachent les mains derrière le dos, puis les chevilles entre elles et enfin les chevilles aux poignets. Plusieurs tours de collant large me privent de ma vue. J’entends des portes de camionnette. Je suis soulevée, portée et jetée sur un matelas. Les portes se ferment et le véhicule démarre en trombe. J’essaye quelques mouvements et cris.
- Ta gueule !
Je prends un coup de cravache sur la fesse droite. La douleur est atroce et se poursuit par une sensation de brûlure. Je tente de protester et reçois deux autres coups. Je pleure en silence de peur et de rage. Je me sens dominée ce qui ne m’arrive jamais. Après un temps indéfini, la camionnette entre dans un hangar dont j’entends les portes se fermer. La porte latérale s’ouvre et des mains me saisissent je suis transportée et jetée sans ménagement sur un matelas, débarrassée de mes liens et de mon bandeau. Je vois quatre molosses cagoulés qui replient leur matériel et se retirent. La porte de ce qu’il faut appeler un cachot se referme et ils éteignent la lumière. Je hurle. Ils reviennent, se saisissent de moi et me passent une cagoule en toile épaisse, me jettent et me maintiennent sur une table. Ils versent de l’eau sur ma cagoule et je suffoque rapidement. Je me débats inutilement et finit par sombrer.
Je reprends mes esprits dans le cachot. J’attends.
Des pas se font entendre et les mêmes molosses m’ordonnent de me lever. J’obéis. Ils me menottent les mains derrière le dos. Je suis poussée vers le centre du hangar où un lieu comparable à un ring de boxe est érigé. De puissants projecteurs éclairent cette scène et une fois dessus, il n’est pas possible de voir ce qui se passe en dehors. Un fond musical rythmé couvre la plupart des bruits.
Trois hommes nus me rejoignent sur le ring. Ils présentent déjà une certaine érection qu’ils complètent par quelques mouvements masturbatoires. Je remarque qu’ils portent des préservatifs. L’un d’eux s’allonge sur un lit un peu bas que je n’avais pas remarqué et s’enduit le sexe de lubrifiant.
- Empale-toi sur ma queue m’ordonne-t-il.
Comme je ne bouge pas les deux autres nudistes ainsi que deux renforts s’emparent de moi et me disposent la queue le l’allongé. Vu le gel qu’il y a mis, je ne ressens pas de douleur mais une certaine excitation que je m’efforce de dissimuler. Quelqu’un me fait basculer vers l’avant et l’allongé pose ses coudes au sol et me maintient par les épaules. Quelqu’un derrière moi me pose un ring gag, vient se placer devant moi et m’enfourne sa grosse queue dans la bouche. J’entends des applaudissements et cris d’un public que je ne vois pas. Je sens qu’un objet dur me pénètre le cul puis que celui-ci s’emplit d’une substance froide. A peine l’objet retiré, un sexe me pénètre et les trois se mettent en mouvement. Je me sens si fragile les mains ainsi attachées. Les hommes me pénétrant le cul et la chatte coordonnent leurs mouvements, l’un entrant quand l’autre sort et vice versa. Je sens le plaisir m’envahir. Je ne sais qu’essayer de penser à autre chose mais trop rapidement à mon goût, dans un temps que j’estime à dix minutes, ces hommes me font jouir.
Ils se retirent et m’attachent poignet gauche à la cheville gauche et poignet droit à la cheville droite. Un mécanisme me soulève et écarte légèrement mes membres. Un des hommes, l’allongé, s’approche de moi, me pénètre à nouveau la chatte. D’un coup de bassin il m’envoie balancer et à mon retour je me ré empale sur sa queue sous les applaudissements de la foule. Il me relance et un autre prend sa place pour qu’à mon retour de balancier je me retrouve sur sa queue. Puis un troisième se joint à eux. Pendant une dizaine de minutes, ils s’amusent ainsi. Quand ils arrêtent, je me sens un peu frustrée car quelques minutes de plus m’auraient apporté un nouvel orgasme.
Ils m’attachent maintenant les bras derrière le dos au moyen de cordes, poignet gauche au coude droit et réciproquement. Une corde tombant des hauteurs passe dans un anneau, fait trois fois le tour de mon cou, repasse par l’anneau et est accrochée à mes bras. La corde se tend légèrement mais juste assez pour me faire paniquer. Une de mes jambes est fixées à une autre corde que se tend pur la relever à hauteur de mon épaule. J’ai ainsi la chatte bien étirée et ouverte offerte au public. Un mâle se place derrière moi et enfonce sa queue dans celle-ci et prend le rythme confortable auquel je ne peux résister. Le publique commence à donner le rythme. Je fais tout pour retenir un orgasme et quand je pense à me rendre, il se retire très applaudit. J’en pleure de frustration.
Ils ont ramené le lit bas où un mâle tout neuf est allongé. Ils me détachent m’emmènent vers lui et m’introduisent sa queue dans le cul. Je ne songe même plus à protester. Un deuxième homme, un magnifique black à la stature d’athlète me force à m’allonger à demi sur le premier avant de me pénétrer de son beau membre. De nouveau, le publique scande un rythme et je sens mon plaisir venir. Je sens les contractions saccadées des mon vagin autour du membre qui me laboure. Le bel homme fait un signe du pouce et la foule applaudit.
Ils se retirent et je constate que leur préservatif est toujours vide.
Cinq nouveaux mâles en érection font leur entrée. L’un d’eux s’allonge sur le lit et me fait signe de m’installer en Andromaque sur son sexe ce que je fais sans plus aucune peur ou gène. Je m’attends à une pénétration anale qui arrive sans tarder. J’ai toujours le ring gag et je bave abondamment. Je prends sans façon le troisième en gorge profonde. Les deux derniers se positionnent à mes côtés afin que je me saisisse de leur sexe et les masturbe. Ceux-ci n’ont pas de préservatifs.
Et le public lance la partie. Je crois que je ne pourrai plus jouir mais après quelques minutes je sens le plaisir venir de très loin avec une intensité peu connue. Quand l’orgasme m’atteint, je m’abandonne. Je ne sais plus ce qui se passe.
Je suis jetée sur le lit, plus ou moins sur le ventre. Tous les hommes ayant participés à cette partie du spectacle se rangent pour se branler et décharger leur sperme sur mon dos. Je suis emportée, douchée et remise au cachot. Quelqu’un me fait une piqûre dans la fesse. Je m’endors.
Je me réveille dans mon lit. Ai-je rêvé ?
Je me lève et mon mari ainsi qu’Isabelle bavardent dans le salon. Ils démarrent un DVD. Celui de mon gang bang. Ils m’expliquent avoir été présents dans le public du hangar.
J’ai une sensation ambiguë. Serai-je encore la dominante dans notre couple. Régis a deviné mon trouble et me désigne la table où se trouve sa cage de chasteté et l’huile. Je détache son pantalon, baisse son boxer, lui lubrifie le scrotum ainsi que la peau du périnée, passe une de ses couilles dans l’anneau, puis l’autre, puis sa queue. J’enduis de crème ophtalmique le petit plus que je lui enfonce dans le sexe. Je fixe le capuchon à l’anneau et le verrouille.
- A poil !
Régis se déshabille complètement, me donne la cravache qu’il avait préparée et s’appuie sur la table de la salle à manger afin de s’offrir pour une punition. Je frappe avec méthode jusqu’à ce qu’il s’écroule.
- Eh bien ! Il sait encaisser s’exclame Isabelle.
- Merci, Madame gémit Régis d’une faible voix.
- Tu ne l’aide pas.
- Non. Quand il le pourra, il prendra une douche et, après je lui soignerai ses lacérations.
Dix minutes plus tard, Régis se relève péniblement, va se doucher.
Je le rejoins dans notre chambre lui passe le baume apaisant et cicatrisant.
- Je pourrai te faire pareil pendant notre semaine demande Isabelle.
- Plus fort si tu le veux répond Régis.
Isabelle nous quitte et il passe un boxer afin de ne pas faire de taches de graisse. Il revêt un peignoir magnifique. Il nous a préparé un dîner exquis et léger. Je ne me rassasie pas de sa classe, de sa beauté et de sa gentillesse. C’est un homme soumis qui aime de l’être mais qui n’en demeure pas moins viril.
Après le repas, je prends une douche pendant que Régis débarrasse et lance un lave-vaisselle.
Nous nous retrouvons au lit et commençons à discuter de nos dernières aventures et de l’avenir.
D’abord, La semaine de Régis avec Isabelle se passera à Le Val. Régis restera là-bas jusqu’à la rentrée des classes et j’irai le rejoindre le plus souvent possible. Isabelle et Christophe, Marie et Jean ainsi qu’Anne et Marcel passeront suivant leurs possibilités.

Première résolution : Dans un mois, dépistage des M.S.T. pour les 8 membres du groupe. Je n’ai pas beaucoup d’appréhension vu le sérieux constaté par les organisateurs. Mais, prudence, prudence !

Deuxième résolution : Régis participera aux spectacles BDSM suivant les demandes du club et pendant un an. Pas de prolongation sans évaluation de la situation.

Troisième résolution : J’encourage Régis à avoir des aventures homosexuelles afin qu’il puisse s’épanouir dans sa bisexualité, comme moi. Suivant son désir, il pourra ramener ses conquêtes à la maison où j’assisterai à leurs ébats en voyeuse (Mmmm, j’en mouille déjà).

Quatrième résolution : Plus de gang bang pour moi. J’y perds mon self contrôle et mon sentiment de domination. Encore merci à Régis de m’avoir réconfortée dès mon retour.

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S’il vous a plu, vous pourrez nous suivre dans Gaëlle et Régis – 7 Les vacances d’Isabelle et Régis.

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