GROUPE DE VACANCES 51
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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GROUPE DE VACANCES 51
GROUPE DE VACANCES 51EP 51 : UNE PRESENTATION
On retrouvait Bob dans la voiture, il faisait la gueule. J'ai l'impression qu'il a commencé à faire la gueule au moment ou nous sommes monté. C'était sa façon de protester pour les petites taquineries que je lui avais fait.
Luc montait à côté de son camarade, moi à l'arrière.
Luc : Et bien doudou tu fais la gueule, tu es fâché.
Bob : C'est ton frère, il a dit au curé que j'avais une grosse bite et que …Moi : C'est lui qui a commencé ! ( en le montrant du doigt )Luc : Non mais franchement, vous ne pouvez pas rester sages cinq minutes, mais qu'est-ce que je vais faire de vous … C'est pas croyable ça !
On ne savait plus quoi dire ! J'avais une furieuse envie de rire mais bon, il ne fallait pas trop en rajouter Luc en faisait déjà assez !
Moi : Mais enfin Luc c'est lui qui a commencé !
Luc : Et il a fait quoi ?
Moi : Il ne voulait pas croire que le curé et moi on s'était attardé dans le parc !
Luc : Mais enfin personne n'y a cru ! Même les deux pasteurs n'y ont pas cru, ça se voyait !
Bob : Tu vois ? Qu'est-ce-que je disais ?
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Non, ensuite il à dit au curé que j'avais une grosse queue et que je ne portais pas !
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Bein oui, jusqu'à maintenant il n'y avait que Justine qui m'embêtait …Luc : Mais pourtant c'est vrai, tu ne portes pas … Et tu as une grosse queue … C'est aussi pour ça que je t'aime.
Luc lui donnait un baiser sur la joue …
Luc : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre, conduit-nous à l’hôtel.
Je me penchais puis sans prévenir lui faisais une bise sur l'autre joue …
Moi : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre à l'hôtel.
Bob : Aaaah ! Il recommence … !
Bon en fait il n'était pas vraiment fâché mais il ne voulait pas le dire ! Je sentais qu'il se retenait de rire. On faisait route, on roulait bien et on arrivait à l'hôtel relativement tôt ! Un moment de détente auprès de la piscine, on passait à table, Luc avait trouvé une boite de nuit gay dans le coin et me proposait une sortie à trois. J'hésitais un moment et finalement … On y passait une très bonne soirée jusqu'à cinq heure du matin …
Le lendemain il n'y avait personne pour le footing matinal. Je me levais vers dix heures et demie et j'étais le premier. On sautait le petit déjeuner, on se contentait d'un café et on attendait, un peu amorphe, allongés sur un transat à côté de la piscine.
Après le repas on se sentait mieux, on se préparait alors à partir pour la dernière conférence. Cette fois ci ce ne serait pas une conférence mais une réunion d'information un peu comme cette réunion que nous avions organisé dans mon école il y a plus d'un an. Il n'y aurait que des adultes désirant s'informer. Ils avaient tous entendu parler de ce truc, depuis quelque temps il était difficile d'y échapper, et ils voulaient savoir très exactement de quoi il en retournait !
Luc s'était montré à la hauteur devant des jeunes de son âge mais là on décidait que ce serait moi qui prendrait la parole. Dans ce genre de situation j'avais plus d’expérience que lui.
On arrivait en avance ce qui nous permettait de faire connaissance avec l'assemblée … Il y avait des femmes seules, des hommes seuls, et des couples. Les plus jeunes avaient mon âge les plus vieux avaient l'âge de mes parents. Il y avait aussi une vieille connaissance … Nathan … Ça faisait un moment que je ne l'avais pas revu celui là ( Ep 21 ). On se saluait, mon frère arrivait lui aussi pour lui dire bonjour et on lui présentait Bob qui prenait tout de suite un air méfiant.
Nathan : Alors voilà donc notre ami Bob, Tu sais, j'ai beaucoup entendu parler de toi mon garçon !
Bob : ( qui était déjà tout rouge ) Et on vous à dit quoi ?
Nathan : Tout ce que je dois savoir !
Bob : Mouai ! Ça me plaît pas trop tout ça !
Nathan : Ne t'inquiète pas on ne m'a dit que du bien de toi.
Bob : Vous connaissez Justine ?
Nathan : Oh oui, je la connais très bien ! Elle est adorable non ?
Bob : Bof, moi elle m'embête tout le temps !
Nathan : Mais c'est parce qu’elle t'aime bien !
Bob : Moi je préférerais qu'elle m'aime un peu moins bien !
On nous présentait aux organisateurs. C'était un couple, et c'est à la demande de leur fils Alexandre qu'il avaient eu l'idée de contacter la PK …
Tout le monde prenait place, Nathan assurait l'ouverture, un petit discours très court puis me laissait la parole. Il n'était pas inquiet, il m'avouait par la suite qu'il avait vu ma dernière prestation. Il m'avait donné quelques conseils mais la situation me semblait évidente et nous étions d'accord. Luc faisait le zouave et Bob avait totalement disparu après sa courte discutions avec Nathan.
Le discours se passait bien, suivait une séance de questions réponses et c'est seulement à ce moment que Luc intervenait. Comme à son habitude il savait amuser la galerie. Je me disais que finalement mon frère aimait bien se faire remarquer, c'est vrai qu'il était sociable et rapidement tout le monde tombait sous son charme. Je le laissais parler …
La discutions se continuait encore par petits groupes qui se formaient autour de Nathan, mon frère et moi. On enregistrait quelques commandes, surtout des adultes en couples, deux adultes seuls, en tout cas venus seuls, et deux jeunes de mon âge …
La journée s'était bien passée, j'avais revu Nathan qui prenant le temps de prendre de mes nouvelles, les journalistes faisaient quelques interviews auprès des participants, mon frère faisait le guignol mais les conseils qu'il donnait étaient sérieux !
Bob n'était pas réapparu et je commençais à m'en inquiéter.
Moi : Dis moi Luc tu sais ou est Bob ?
Luc : Il a préféré se cacher dans la Mercedes, il avait la trouille de se retrouvé au milieu d'un groupe et qu'on lui pose des questions du genre '' Tu portes ton truc depuis combien de temps ? '' …Moi : Et si quelqu'un le retrouve tout seul dans son coin ?
Luc : Il dira qu'il est le chauffeur …
On le retrouvait un peu plus tard. Il s'était renfermé dans la voiture et se faisait discret. On ne traînait pas davantage, Luc et moi étions content de cet après midi, c'était une bonne ambiance, beaucoup d'échanges. Nathan repartait le jour même et les journalistes nous confirmaient que le reportage serait monté pour le prochain wee-end … Télé locale sûr, peut être télé nationale !
La nuit avait été difficile et on ressentait encore la fatigue de la soirée précédente, moi surtout ! Je décidais donc de me coucher tôt. On frappait à ma porte. J'allais ouvrir, c'était Régis .
Régis : Je suis chez moi avec quelques amis, je ne travaille pas avant demain, et on se fait une petite fête, ça te tente ? …Moi : ( j'hésitais un instant puis ) Je passe un pantalon et j'arrive.
On descendait, j'avais passé un pantalon, un t-shirt et des sandales. J’apercevais Luc qui faisait le fou sur le plongeoir de la piscine avec Bob, il avait toujours l'air de faire la gueule Bob. Ils étaient en froid ? Non, Luc n'aurait pas fait le fou comme ça il aurait fait la gueule aussi … Je me disais que Bob devait avoir des problèmes et qu'il faudrait que j'en touche un mot à mon frère dès demain …
On arrivait chez Régis, il y avait deux garçons qui avaient l'air joyeux, chacun une bière à la main ils poussaient des cris de foie au moment ou Régis entrait. Il nous présentait sans faire de formalité. Djé, Benoît, Laurent .
J'étais à peine entré que déjà j'avais une bière dans la main. Benoît et Laurent s'étaient mis à l'aise et étaient torse nue, Régis en faisait autant, je les suivais. Ils avaient mis de la musique et alors que Benoît ouvrait d'autres bières, Laurent faisait connaissance avec moi.
Laurent : Et toi tu fais quoi dans le coin ?
Moi : Je suis venu faire des conférences !
Laurent : Tu es conférencier ! Tu n'est pas un peu jeune pour ce genre de boulot. Et tu raconte quoi dans tes conférences ?
Régis : Il est venu pour les conférence sur la PK Compagnie !
Laurent : Ouèèèèè ! Et c'est toi qui fait les conférences ?
Moi : Bein oui !
Laurent : NON !?
Moi : SI ! ( je commençais à rigoler )Laurent : Mais alors ! C'est toi qui porte ce truc !
Moi : Ouééééé !
Laurent : J'en ai jamais vu ! Tu fais voir dis !
J'avais terminé ma bière, Benoît m'en donnait une autre …
Benoît : Qu'est ce qui se passe ?
Laurent : Il va nous montrer sa bite !
Tous ensemble …
… A poil ! A poil ! …
Là je commençais à me poser des questions … J'hésitais un peu mais avant que j'ai le temps de me décider …
Laurent : Bon ! Puisque vous me le demandez tous !
Il retirait son pantalon avant qu'on ai eu le temps de réagir. Il ne portait pas de sous vêtements. Les deux autres poussaient un cris de satisfaction …
… Aaaaaaaaah … Il est à poil, et il est tout nu et tout bronzé …
En effet il faisait du bronzage intégral, comme moi d'ailleurs. C'est vrai que sur ma terrasse … Je retirais mon pantalon moi aussi … Les deux autres me faisaient la même chanson … Il ne fallait pas grand chose pour qu'ils soient contents ces trois là …
Laurent ! Wouah ! C'est délire ce truc ! CTC, c'est la marque, je croyais que la marque c'était Le Château … Je peux voir de plus prêt ?
Moi : Vas y regarde .
Il se laissait tomber sur le fauteuil qui était juste derrière lui et se retrouvait à la bonne hauteur …
Laurent : CTC, ça veut dire quoi ?
Il approchait la main et me caressait les couilles.
Moi : Le dispositif est en titane … Ça veut dire Confort Titanium par le Château … C'est un des prototypes et ils ont arrêté la fabrication après … Laurent : Pourquoi ? Il était pas au point ?
Moi : La marque '' Le Château '' a été remplacé par la '' Purity Keeper Compagnie '' , mais le modèle est toujours fabriqué … Maintenant c'est le '' C PK C ''.
Il caressait dispositif, le prenait entre deux doigts, le soulevait pour voir comment je réagissais, comment il était fait …
Laurent : Ils n'ont pas supprimé le modèle, il est très beau je trouve.
Moi : J'espère bien qu'ils ne vont pas supprimer le modèle, j'en suis un des dessinateurs et j'ai des droits dessus … Laurent : Des droits ?
Moi : A chaque vente je gagne un peu d'argent.
Il tenait le truc entre ses doigts. Ce n'était pas désagréable.
Moi : Tu peux toucher si tu veux !
Laurent : Oh ! Excuse moi mais … Je suis impressionné … Je te fais pas mal …
Suivaient les questions habituelles …
… Ca fait pas mal ? …… Ca ne gêne pas les mouvements ? … … A la plage ça ne doit pas se voir sous le maillot de bain !
… Ça gratte ? … ...
Au début sa queue était molle, je remarquais que rapidement c'était devenu une grosse molle et maintenant une grosse dure … En regardant mes deux autres camarades je remarquais qu'ils semblaient être dans le même état. Ils avaient une grosse bosse dans le pantalon qui se n'était pas là quelques instants plus tôt, ils étaient là à nous regarder, une bière à la main rigolant à moitié.
Laurent : ( qui me tripotait toujours la PK ) Dis donc, on dirait qu'il y a de la pression la dedans, la cage, elle est bien pleine . Tu bandes ?
Je faisais signe que oui de la tête.
Laurent : Mais tu peux rien faire avec ce truc !
Moi : Je peux rien faire ! Tu vas voir si je peux rien faire !
Je le repoussais en arrière, il se laissait retomber sur le canapé, je lui écartais les genoux, m'accroupissais entre ses cuisse et commençais à lui sucer la queue ! Les deux autres me regardaient faire, leurs pantalons tombaient sur le sol et ils commençaient à se tripoter sans conviction, je veux dire par là sans chercher à jouir, ils se tripotaient comme ça, juste pour le plaisir de bander. Moi , ma cage était sur le point d'exploser, la pression était à son maximum … Il avait raison Laurent, je bandais, et je bandais ferme même !
Je lui montrait ce que je savais faire. Il ne résistait pas et rapidement je l'entendais respirer plus fort, il avait de grands soupirs et m'encourageait …
Laurent : Oh oui ! Vas y ! Tu es un chef ! On ne m'a pas souvent fait ça … Aussi bien ! …
Je jetais un œil sur le côté et j'apercevais Régis et Benoît, ils se faisaient face, s'étaient enlacés et s'embrassaient avec beaucoup de tendresse … Je ne me laissais pas distraire. Laurent avait pris ses aises, il me laissait faire, il était à moitié allongé, les bras derrière la tête, les jambes bien écartées, il se reposait sur le dos, ses fesses étaient presque dans le vide. Je lui caressait les cuisses, je remontais plus haut, le torse … Je passais mes mains autour de son sexe , tout en haut de ses cuisses puis les remontais pour lui pincer doucement les tétons. Il me caressait alors les bras.
Il me caressait les cheveux, appuyait un peu sur ma tête, j'avalais. Un peu plus, j'avalais toujours. Il relevait le bassin, j'encaissais … Ce jeux devait durer encore un bon moment puis je le sentais se relever …
Laurent : Ne bouge pas je vais t'enculer ! Si il y en a un qui veut ma place !
Sans rien dire Benoît prenait la place. Sans rien dire je le suçais à son tour. Régis s'était approché et était juste à côté de moi. Je relevais la tête … Benoît se penchait vers lui et le suçait en même temps que moi je suçais Benoît.
Laurent avait pris position et je sentais une forte pression sur mon anus. J'ai compris tout de suite qu'il ne se poserait pas de questions. Ça devait passer ! Il poussait comme une brute, ça passait ! Un instant je ressentais une vive douleur mais ça passait et la douleur laissait place à un plaisir intense.
C'est sans me ménager davantage Laurent enfonçait sa bite bien à fond et terminait par un coup de rein, j'adore quand on me défonce comme ça, je gémissais comme je pouvais avec la bouche pleine. Par réflexe je relevais la tête et c'est à ce moment que Benoît me prenait fermement la tête des deux mains.
Benoît : Ne te sauve pas toi, reste là et continue, tu fais ça très bien …
Il m'appuyait sur la tête et me guidait avec autorité ne recherchant que son plaisir. Il était plus violent, il n'hésitait pas à bien appuyer pour m'obliger à avaler sa queue en entier. J'aime bien aussi … Quand il me lâchait, je relevais la tête, il suçait Régis qui lui aussi lui tenait la tête et dirigeait sans aucune pitié.
Laurent me limait le cul avec vigueur, il ne retenait pas ses coups, j'aime bien quand c'est un peu violent comme ça. Il ressortait complètement, quelquefois il faisait une pause puis revenait bien à font, d'un coup vif et rapide, je gémissais, quelquefois je voulais me dégager pour râler, Benoît me retenait. Si les coups devenaient trop violents, je tentais par moment de bloquer Laurent avec une main, il m'attrapait alors les mains et me bloquait complètement tout mouvement. Je n'avais plus d'autre chois que de subir. Ça me faisait un peu mal mais j'aime bien quand c'est un peu violent.
Ma PK allait exploser, si ce truc n'était pas indestructible, avec la pression de ma queue à l'intérieur il aurait exploser. C'était bon, c'était frustrant, un filet de sperme coulait de ma PK, je sentais tout mon corps vibrer, trembler … Oh oui encore ! …
Les coup de butoir que m'infligeait Laurent devenaient plus rapide, plus violents encore, là il me faisait vraiment mal, sa respiration devenait plus saccadée, il râlait de plaisir … Je le sentais trembler de tout son corps en même temps qu'il gueulait de plaisir … Il me donnait un dernier coup, bien à fond, bien douloureux ( pour moi ), il restait enfoncé, je le sentais vibrer, il me caressait le dos puis se retirait …
Benoît lâchait ma tête et un instant j'avais l'impression d'être libre de mes mouvements.
Benoît : Vas y Régis, prend ma place …
Régis s'installait à la place de Benoît et me présentait sa bite, je tournais la tête et je voyais Laurent qui s'était installé sur un fauteuil, il avait l'air ravis, il continuait à se tripoter, juste pour le plaisir de bander … Il s'était servi une bière et nous regardait avec attention.
Je lui faisais un geste qui voulait dire … '' A boire '' . Il me tendait sa bière et au moment ou j'avalais la première gorgée Benoît me défonçait le cul sans prévenir, d'un coup, bien à fond, bien violent. Je gueulais et me renversais de la bière sur la figure. Mes trois camarades éclataient de rire. Benoît ne se retirait pas mais me laissait boire tranquillement. Laurent s'ouvrait une autre bière et mes deux autres camarades en faisaient de même.
Je reposais ma bière, Benoît immédiatement recommençait à me buriner le cul. Il y allait doucement avec des mouvements lents et amples, il passait ensuite à des mouvements plus rapides toujours aussi amples puis il accélérait les mouvements devenaient moins amples. Il accélérait encore, il ne se retirait presque plus mais appuyait fort, très fort. Je ne contrôlais plus rien. Mon ventre me donnait l'impression de se relâcher, je ne savais plus si j'avais envie de pisser ou autre chose …
Je voulais relever la tête pour reprendre mon souffle, Régis me retenais et prenait un malin plaisir à bien appuyer sur ma tête pour m'obliger à bien avaler sa queue, je suffoquais, j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer. J'aime bien aussi quand on me prend de force …
On me faisait subir ce traitement encore un moment. Benoît ne retenait pas ses coups et au moment ou il hurlait, il poussait sa queue bien à fond, me prenait dans ses bras en me relevant, me serrait de toutes ses forces, continuait à pousser sa queue comme s'il voulait me soulever. Il me faisait mal, je gueulais mais ne parvenais à faire aucun bruit. Régis se collait à nous et m'embrassait. A deux il me soulevaient du sol, j'étais sur la pointe des pieds et je touchais à peine le sol … C'était bon !
Benoît finissait pas me lâcher et par se retirer. J'en pouvais plus. J'étais en sueur. En un instant je me sentais vidé, la sensation restait intense mais pas au niveau du cul, plus au niveau du cul, plus au niveau de la prostate non plus mais au niveau de … Je sais plus ... de l'estomac peut être, je sais pas mais c'était dans tous le ventre, profond dans tout le ventre ! J'étais vidé, je me sentais vide !
On se calmait tous. Régis bandais toujours. Il s'asseyait en tailleur au milieu de la pièce. On se resservait une bière. J'étais assis face à Régis, nos deux autres camarades étaient assis en cercle Benoît à ma droite et Laurent à ma gauche. On buvait notre bière sans se presser. Régis me regardait fixement, je lui rendais son regard et le fixais moi aussi avec insistance.
Régis me fit signe de m'approcher puis me montrant sa queue qui était toujours bien droite, bien ferme …
Régis : Assis-toi là dessus !
Je me relevais, m'approchais de lui, l'enjambais, il se penchait légèrement en arrière et lentement je m'empalais sur sa queue, il gardait les jambes croisées et je passais les miennes autour des ses hanches. Je reposais de tout mon poids sur ses cuisses, sa queue bien enfoncée dans mon cul. Il me prenait dans ses bras et me serrait fort contre lui. A nouveau je me sentais remplis, prêt à éclater, prêt à déborder la pression devenait à nouveau intense dans mon ventre, contre mes intestins, mon estomac, mes poumons, mon cœur …
Je prenais Régis dans mes bras et en tremblant je le serrais très fort contre moi. Il commençait alors à se balancer d'avant en arrière sur ses fesses. Chacun de ses mouvement me massait la prostate avec beaucoup de douceur, fermement mais doucement. J'avais été bien stimulé depuis un moment et rapidement je jouissais, j'avais envie de pisser, j'avais envie d'éjaculer … Je sentais une filet de liquide chaud qui coulait de ma PK. Je tremblais, je tremblais comme un fou, je ne pouvais plus me contrôler, je gémissais, je convulsais, je pleurais, je jouissais comme ça ne m'est pas arrivé souvent.
Régis se montrait très doux, très câlin, il me caressait doucement, m'embrassait dans le coup avec une extrême tendresse … J'aime bien quand il y a de la douceur et il y en avait maintenant ! J'ai cru que j'allais craquer, j'ai cru que je ne pouvais plus, j'ai cru que … Mais Régis continuait toujours avec cette grande douceur, ma prostate était en feu et le reste de mon corps également. Je le sentais se raidir, je le sentais se tendre, je le sentais vibrer au moment ou il jouissais en moi et je me cramponnais à lui, et je vibrais en même temps, et je jouissais encore une fois. Dans ma cage la pression avait disparue mais la cage était toujours aussi bien remplie, j'avais une grosse molle sans ma PK !
Je me retirais, Régis débandait, on me donnait encore une bière, plus personne ne parlait, on se regardait, on avait tous un large sourire. Mes camarades se tripotaient, pas pour jouir, pas pour se masturber … Juste pour le plaisir de bander, ils gardaient pour le reste de la soirée une grosse molle, c'était très agréables à regarder …
Plus tard dans la soirée on allait piquer une tête dans la piscine de l'hôtel, on retournait chez Régis boire les dernières bières et je ne sais plus à quel moment je me suis endormi.
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
Suivez les aventure de David , de Djé ainsi que tous mes récits sur le blog : https://charlychast.tumblr.com/
On retrouvait Bob dans la voiture, il faisait la gueule. J'ai l'impression qu'il a commencé à faire la gueule au moment ou nous sommes monté. C'était sa façon de protester pour les petites taquineries que je lui avais fait.
Luc montait à côté de son camarade, moi à l'arrière.
Luc : Et bien doudou tu fais la gueule, tu es fâché.
Bob : C'est ton frère, il a dit au curé que j'avais une grosse bite et que …Moi : C'est lui qui a commencé ! ( en le montrant du doigt )Luc : Non mais franchement, vous ne pouvez pas rester sages cinq minutes, mais qu'est-ce que je vais faire de vous … C'est pas croyable ça !
On ne savait plus quoi dire ! J'avais une furieuse envie de rire mais bon, il ne fallait pas trop en rajouter Luc en faisait déjà assez !
Moi : Mais enfin Luc c'est lui qui a commencé !
Luc : Et il a fait quoi ?
Moi : Il ne voulait pas croire que le curé et moi on s'était attardé dans le parc !
Luc : Mais enfin personne n'y a cru ! Même les deux pasteurs n'y ont pas cru, ça se voyait !
Bob : Tu vois ? Qu'est-ce-que je disais ?
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Non, ensuite il à dit au curé que j'avais une grosse queue et que je ne portais pas !
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Bein oui, jusqu'à maintenant il n'y avait que Justine qui m'embêtait …Luc : Mais pourtant c'est vrai, tu ne portes pas … Et tu as une grosse queue … C'est aussi pour ça que je t'aime.
Luc lui donnait un baiser sur la joue …
Luc : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre, conduit-nous à l’hôtel.
Je me penchais puis sans prévenir lui faisais une bise sur l'autre joue …
Moi : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre à l'hôtel.
Bob : Aaaah ! Il recommence … !
Bon en fait il n'était pas vraiment fâché mais il ne voulait pas le dire ! Je sentais qu'il se retenait de rire. On faisait route, on roulait bien et on arrivait à l'hôtel relativement tôt ! Un moment de détente auprès de la piscine, on passait à table, Luc avait trouvé une boite de nuit gay dans le coin et me proposait une sortie à trois. J'hésitais un moment et finalement … On y passait une très bonne soirée jusqu'à cinq heure du matin …
Le lendemain il n'y avait personne pour le footing matinal. Je me levais vers dix heures et demie et j'étais le premier. On sautait le petit déjeuner, on se contentait d'un café et on attendait, un peu amorphe, allongés sur un transat à côté de la piscine.
Après le repas on se sentait mieux, on se préparait alors à partir pour la dernière conférence. Cette fois ci ce ne serait pas une conférence mais une réunion d'information un peu comme cette réunion que nous avions organisé dans mon école il y a plus d'un an. Il n'y aurait que des adultes désirant s'informer. Ils avaient tous entendu parler de ce truc, depuis quelque temps il était difficile d'y échapper, et ils voulaient savoir très exactement de quoi il en retournait !
Luc s'était montré à la hauteur devant des jeunes de son âge mais là on décidait que ce serait moi qui prendrait la parole. Dans ce genre de situation j'avais plus d’expérience que lui.
On arrivait en avance ce qui nous permettait de faire connaissance avec l'assemblée … Il y avait des femmes seules, des hommes seuls, et des couples. Les plus jeunes avaient mon âge les plus vieux avaient l'âge de mes parents. Il y avait aussi une vieille connaissance … Nathan … Ça faisait un moment que je ne l'avais pas revu celui là ( Ep 21 ). On se saluait, mon frère arrivait lui aussi pour lui dire bonjour et on lui présentait Bob qui prenait tout de suite un air méfiant.
Nathan : Alors voilà donc notre ami Bob, Tu sais, j'ai beaucoup entendu parler de toi mon garçon !
Bob : ( qui était déjà tout rouge ) Et on vous à dit quoi ?
Nathan : Tout ce que je dois savoir !
Bob : Mouai ! Ça me plaît pas trop tout ça !
Nathan : Ne t'inquiète pas on ne m'a dit que du bien de toi.
Bob : Vous connaissez Justine ?
Nathan : Oh oui, je la connais très bien ! Elle est adorable non ?
Bob : Bof, moi elle m'embête tout le temps !
Nathan : Mais c'est parce qu’elle t'aime bien !
Bob : Moi je préférerais qu'elle m'aime un peu moins bien !
On nous présentait aux organisateurs. C'était un couple, et c'est à la demande de leur fils Alexandre qu'il avaient eu l'idée de contacter la PK …
Tout le monde prenait place, Nathan assurait l'ouverture, un petit discours très court puis me laissait la parole. Il n'était pas inquiet, il m'avouait par la suite qu'il avait vu ma dernière prestation. Il m'avait donné quelques conseils mais la situation me semblait évidente et nous étions d'accord. Luc faisait le zouave et Bob avait totalement disparu après sa courte discutions avec Nathan.
Le discours se passait bien, suivait une séance de questions réponses et c'est seulement à ce moment que Luc intervenait. Comme à son habitude il savait amuser la galerie. Je me disais que finalement mon frère aimait bien se faire remarquer, c'est vrai qu'il était sociable et rapidement tout le monde tombait sous son charme. Je le laissais parler …
La discutions se continuait encore par petits groupes qui se formaient autour de Nathan, mon frère et moi. On enregistrait quelques commandes, surtout des adultes en couples, deux adultes seuls, en tout cas venus seuls, et deux jeunes de mon âge …
La journée s'était bien passée, j'avais revu Nathan qui prenant le temps de prendre de mes nouvelles, les journalistes faisaient quelques interviews auprès des participants, mon frère faisait le guignol mais les conseils qu'il donnait étaient sérieux !
Bob n'était pas réapparu et je commençais à m'en inquiéter.
Moi : Dis moi Luc tu sais ou est Bob ?
Luc : Il a préféré se cacher dans la Mercedes, il avait la trouille de se retrouvé au milieu d'un groupe et qu'on lui pose des questions du genre '' Tu portes ton truc depuis combien de temps ? '' …Moi : Et si quelqu'un le retrouve tout seul dans son coin ?
Luc : Il dira qu'il est le chauffeur …
On le retrouvait un peu plus tard. Il s'était renfermé dans la voiture et se faisait discret. On ne traînait pas davantage, Luc et moi étions content de cet après midi, c'était une bonne ambiance, beaucoup d'échanges. Nathan repartait le jour même et les journalistes nous confirmaient que le reportage serait monté pour le prochain wee-end … Télé locale sûr, peut être télé nationale !
La nuit avait été difficile et on ressentait encore la fatigue de la soirée précédente, moi surtout ! Je décidais donc de me coucher tôt. On frappait à ma porte. J'allais ouvrir, c'était Régis .
Régis : Je suis chez moi avec quelques amis, je ne travaille pas avant demain, et on se fait une petite fête, ça te tente ? …Moi : ( j'hésitais un instant puis ) Je passe un pantalon et j'arrive.
On descendait, j'avais passé un pantalon, un t-shirt et des sandales. J’apercevais Luc qui faisait le fou sur le plongeoir de la piscine avec Bob, il avait toujours l'air de faire la gueule Bob. Ils étaient en froid ? Non, Luc n'aurait pas fait le fou comme ça il aurait fait la gueule aussi … Je me disais que Bob devait avoir des problèmes et qu'il faudrait que j'en touche un mot à mon frère dès demain …
On arrivait chez Régis, il y avait deux garçons qui avaient l'air joyeux, chacun une bière à la main ils poussaient des cris de foie au moment ou Régis entrait. Il nous présentait sans faire de formalité. Djé, Benoît, Laurent .
J'étais à peine entré que déjà j'avais une bière dans la main. Benoît et Laurent s'étaient mis à l'aise et étaient torse nue, Régis en faisait autant, je les suivais. Ils avaient mis de la musique et alors que Benoît ouvrait d'autres bières, Laurent faisait connaissance avec moi.
Laurent : Et toi tu fais quoi dans le coin ?
Moi : Je suis venu faire des conférences !
Laurent : Tu es conférencier ! Tu n'est pas un peu jeune pour ce genre de boulot. Et tu raconte quoi dans tes conférences ?
Régis : Il est venu pour les conférence sur la PK Compagnie !
Laurent : Ouèèèèè ! Et c'est toi qui fait les conférences ?
Moi : Bein oui !
Laurent : NON !?
Moi : SI ! ( je commençais à rigoler )Laurent : Mais alors ! C'est toi qui porte ce truc !
Moi : Ouééééé !
Laurent : J'en ai jamais vu ! Tu fais voir dis !
J'avais terminé ma bière, Benoît m'en donnait une autre …
Benoît : Qu'est ce qui se passe ?
Laurent : Il va nous montrer sa bite !
Tous ensemble …
… A poil ! A poil ! …
Là je commençais à me poser des questions … J'hésitais un peu mais avant que j'ai le temps de me décider …
Laurent : Bon ! Puisque vous me le demandez tous !
Il retirait son pantalon avant qu'on ai eu le temps de réagir. Il ne portait pas de sous vêtements. Les deux autres poussaient un cris de satisfaction …
… Aaaaaaaaah … Il est à poil, et il est tout nu et tout bronzé …
En effet il faisait du bronzage intégral, comme moi d'ailleurs. C'est vrai que sur ma terrasse … Je retirais mon pantalon moi aussi … Les deux autres me faisaient la même chanson … Il ne fallait pas grand chose pour qu'ils soient contents ces trois là …
Laurent ! Wouah ! C'est délire ce truc ! CTC, c'est la marque, je croyais que la marque c'était Le Château … Je peux voir de plus prêt ?
Moi : Vas y regarde .
Il se laissait tomber sur le fauteuil qui était juste derrière lui et se retrouvait à la bonne hauteur …
Laurent : CTC, ça veut dire quoi ?
Il approchait la main et me caressait les couilles.
Moi : Le dispositif est en titane … Ça veut dire Confort Titanium par le Château … C'est un des prototypes et ils ont arrêté la fabrication après … Laurent : Pourquoi ? Il était pas au point ?
Moi : La marque '' Le Château '' a été remplacé par la '' Purity Keeper Compagnie '' , mais le modèle est toujours fabriqué … Maintenant c'est le '' C PK C ''.
Il caressait dispositif, le prenait entre deux doigts, le soulevait pour voir comment je réagissais, comment il était fait …
Laurent : Ils n'ont pas supprimé le modèle, il est très beau je trouve.
Moi : J'espère bien qu'ils ne vont pas supprimer le modèle, j'en suis un des dessinateurs et j'ai des droits dessus … Laurent : Des droits ?
Moi : A chaque vente je gagne un peu d'argent.
Il tenait le truc entre ses doigts. Ce n'était pas désagréable.
Moi : Tu peux toucher si tu veux !
Laurent : Oh ! Excuse moi mais … Je suis impressionné … Je te fais pas mal …
Suivaient les questions habituelles …
… Ca fait pas mal ? …… Ca ne gêne pas les mouvements ? … … A la plage ça ne doit pas se voir sous le maillot de bain !
… Ça gratte ? … ...
Au début sa queue était molle, je remarquais que rapidement c'était devenu une grosse molle et maintenant une grosse dure … En regardant mes deux autres camarades je remarquais qu'ils semblaient être dans le même état. Ils avaient une grosse bosse dans le pantalon qui se n'était pas là quelques instants plus tôt, ils étaient là à nous regarder, une bière à la main rigolant à moitié.
Laurent : ( qui me tripotait toujours la PK ) Dis donc, on dirait qu'il y a de la pression la dedans, la cage, elle est bien pleine . Tu bandes ?
Je faisais signe que oui de la tête.
Laurent : Mais tu peux rien faire avec ce truc !
Moi : Je peux rien faire ! Tu vas voir si je peux rien faire !
Je le repoussais en arrière, il se laissait retomber sur le canapé, je lui écartais les genoux, m'accroupissais entre ses cuisse et commençais à lui sucer la queue ! Les deux autres me regardaient faire, leurs pantalons tombaient sur le sol et ils commençaient à se tripoter sans conviction, je veux dire par là sans chercher à jouir, ils se tripotaient comme ça, juste pour le plaisir de bander. Moi , ma cage était sur le point d'exploser, la pression était à son maximum … Il avait raison Laurent, je bandais, et je bandais ferme même !
Je lui montrait ce que je savais faire. Il ne résistait pas et rapidement je l'entendais respirer plus fort, il avait de grands soupirs et m'encourageait …
Laurent : Oh oui ! Vas y ! Tu es un chef ! On ne m'a pas souvent fait ça … Aussi bien ! …
Je jetais un œil sur le côté et j'apercevais Régis et Benoît, ils se faisaient face, s'étaient enlacés et s'embrassaient avec beaucoup de tendresse … Je ne me laissais pas distraire. Laurent avait pris ses aises, il me laissait faire, il était à moitié allongé, les bras derrière la tête, les jambes bien écartées, il se reposait sur le dos, ses fesses étaient presque dans le vide. Je lui caressait les cuisses, je remontais plus haut, le torse … Je passais mes mains autour de son sexe , tout en haut de ses cuisses puis les remontais pour lui pincer doucement les tétons. Il me caressait alors les bras.
Il me caressait les cheveux, appuyait un peu sur ma tête, j'avalais. Un peu plus, j'avalais toujours. Il relevait le bassin, j'encaissais … Ce jeux devait durer encore un bon moment puis je le sentais se relever …
Laurent : Ne bouge pas je vais t'enculer ! Si il y en a un qui veut ma place !
Sans rien dire Benoît prenait la place. Sans rien dire je le suçais à son tour. Régis s'était approché et était juste à côté de moi. Je relevais la tête … Benoît se penchait vers lui et le suçait en même temps que moi je suçais Benoît.
Laurent avait pris position et je sentais une forte pression sur mon anus. J'ai compris tout de suite qu'il ne se poserait pas de questions. Ça devait passer ! Il poussait comme une brute, ça passait ! Un instant je ressentais une vive douleur mais ça passait et la douleur laissait place à un plaisir intense.
C'est sans me ménager davantage Laurent enfonçait sa bite bien à fond et terminait par un coup de rein, j'adore quand on me défonce comme ça, je gémissais comme je pouvais avec la bouche pleine. Par réflexe je relevais la tête et c'est à ce moment que Benoît me prenait fermement la tête des deux mains.
Benoît : Ne te sauve pas toi, reste là et continue, tu fais ça très bien …
Il m'appuyait sur la tête et me guidait avec autorité ne recherchant que son plaisir. Il était plus violent, il n'hésitait pas à bien appuyer pour m'obliger à avaler sa queue en entier. J'aime bien aussi … Quand il me lâchait, je relevais la tête, il suçait Régis qui lui aussi lui tenait la tête et dirigeait sans aucune pitié.
Laurent me limait le cul avec vigueur, il ne retenait pas ses coups, j'aime bien quand c'est un peu violent comme ça. Il ressortait complètement, quelquefois il faisait une pause puis revenait bien à font, d'un coup vif et rapide, je gémissais, quelquefois je voulais me dégager pour râler, Benoît me retenait. Si les coups devenaient trop violents, je tentais par moment de bloquer Laurent avec une main, il m'attrapait alors les mains et me bloquait complètement tout mouvement. Je n'avais plus d'autre chois que de subir. Ça me faisait un peu mal mais j'aime bien quand c'est un peu violent.
Ma PK allait exploser, si ce truc n'était pas indestructible, avec la pression de ma queue à l'intérieur il aurait exploser. C'était bon, c'était frustrant, un filet de sperme coulait de ma PK, je sentais tout mon corps vibrer, trembler … Oh oui encore ! …
Les coup de butoir que m'infligeait Laurent devenaient plus rapide, plus violents encore, là il me faisait vraiment mal, sa respiration devenait plus saccadée, il râlait de plaisir … Je le sentais trembler de tout son corps en même temps qu'il gueulait de plaisir … Il me donnait un dernier coup, bien à fond, bien douloureux ( pour moi ), il restait enfoncé, je le sentais vibrer, il me caressait le dos puis se retirait …
Benoît lâchait ma tête et un instant j'avais l'impression d'être libre de mes mouvements.
Benoît : Vas y Régis, prend ma place …
Régis s'installait à la place de Benoît et me présentait sa bite, je tournais la tête et je voyais Laurent qui s'était installé sur un fauteuil, il avait l'air ravis, il continuait à se tripoter, juste pour le plaisir de bander … Il s'était servi une bière et nous regardait avec attention.
Je lui faisais un geste qui voulait dire … '' A boire '' . Il me tendait sa bière et au moment ou j'avalais la première gorgée Benoît me défonçait le cul sans prévenir, d'un coup, bien à fond, bien violent. Je gueulais et me renversais de la bière sur la figure. Mes trois camarades éclataient de rire. Benoît ne se retirait pas mais me laissait boire tranquillement. Laurent s'ouvrait une autre bière et mes deux autres camarades en faisaient de même.
Je reposais ma bière, Benoît immédiatement recommençait à me buriner le cul. Il y allait doucement avec des mouvements lents et amples, il passait ensuite à des mouvements plus rapides toujours aussi amples puis il accélérait les mouvements devenaient moins amples. Il accélérait encore, il ne se retirait presque plus mais appuyait fort, très fort. Je ne contrôlais plus rien. Mon ventre me donnait l'impression de se relâcher, je ne savais plus si j'avais envie de pisser ou autre chose …
Je voulais relever la tête pour reprendre mon souffle, Régis me retenais et prenait un malin plaisir à bien appuyer sur ma tête pour m'obliger à bien avaler sa queue, je suffoquais, j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer. J'aime bien aussi quand on me prend de force …
On me faisait subir ce traitement encore un moment. Benoît ne retenait pas ses coups et au moment ou il hurlait, il poussait sa queue bien à fond, me prenait dans ses bras en me relevant, me serrait de toutes ses forces, continuait à pousser sa queue comme s'il voulait me soulever. Il me faisait mal, je gueulais mais ne parvenais à faire aucun bruit. Régis se collait à nous et m'embrassait. A deux il me soulevaient du sol, j'étais sur la pointe des pieds et je touchais à peine le sol … C'était bon !
Benoît finissait pas me lâcher et par se retirer. J'en pouvais plus. J'étais en sueur. En un instant je me sentais vidé, la sensation restait intense mais pas au niveau du cul, plus au niveau du cul, plus au niveau de la prostate non plus mais au niveau de … Je sais plus ... de l'estomac peut être, je sais pas mais c'était dans tous le ventre, profond dans tout le ventre ! J'étais vidé, je me sentais vide !
On se calmait tous. Régis bandais toujours. Il s'asseyait en tailleur au milieu de la pièce. On se resservait une bière. J'étais assis face à Régis, nos deux autres camarades étaient assis en cercle Benoît à ma droite et Laurent à ma gauche. On buvait notre bière sans se presser. Régis me regardait fixement, je lui rendais son regard et le fixais moi aussi avec insistance.
Régis me fit signe de m'approcher puis me montrant sa queue qui était toujours bien droite, bien ferme …
Régis : Assis-toi là dessus !
Je me relevais, m'approchais de lui, l'enjambais, il se penchait légèrement en arrière et lentement je m'empalais sur sa queue, il gardait les jambes croisées et je passais les miennes autour des ses hanches. Je reposais de tout mon poids sur ses cuisses, sa queue bien enfoncée dans mon cul. Il me prenait dans ses bras et me serrait fort contre lui. A nouveau je me sentais remplis, prêt à éclater, prêt à déborder la pression devenait à nouveau intense dans mon ventre, contre mes intestins, mon estomac, mes poumons, mon cœur …
Je prenais Régis dans mes bras et en tremblant je le serrais très fort contre moi. Il commençait alors à se balancer d'avant en arrière sur ses fesses. Chacun de ses mouvement me massait la prostate avec beaucoup de douceur, fermement mais doucement. J'avais été bien stimulé depuis un moment et rapidement je jouissais, j'avais envie de pisser, j'avais envie d'éjaculer … Je sentais une filet de liquide chaud qui coulait de ma PK. Je tremblais, je tremblais comme un fou, je ne pouvais plus me contrôler, je gémissais, je convulsais, je pleurais, je jouissais comme ça ne m'est pas arrivé souvent.
Régis se montrait très doux, très câlin, il me caressait doucement, m'embrassait dans le coup avec une extrême tendresse … J'aime bien quand il y a de la douceur et il y en avait maintenant ! J'ai cru que j'allais craquer, j'ai cru que je ne pouvais plus, j'ai cru que … Mais Régis continuait toujours avec cette grande douceur, ma prostate était en feu et le reste de mon corps également. Je le sentais se raidir, je le sentais se tendre, je le sentais vibrer au moment ou il jouissais en moi et je me cramponnais à lui, et je vibrais en même temps, et je jouissais encore une fois. Dans ma cage la pression avait disparue mais la cage était toujours aussi bien remplie, j'avais une grosse molle sans ma PK !
Je me retirais, Régis débandait, on me donnait encore une bière, plus personne ne parlait, on se regardait, on avait tous un large sourire. Mes camarades se tripotaient, pas pour jouir, pas pour se masturber … Juste pour le plaisir de bander, ils gardaient pour le reste de la soirée une grosse molle, c'était très agréables à regarder …
Plus tard dans la soirée on allait piquer une tête dans la piscine de l'hôtel, on retournait chez Régis boire les dernières bières et je ne sais plus à quel moment je me suis endormi.
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