Hélène 2 : Lingerie
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hélène 2 : Lingerie
Hélène 2 Lingerie
Résumé de la nouvelle précédenteHélène quinqua divorcée se laisse aller, mais un invraisemblable concours de circonstance la met en contact avec Pierre lui aussi quinquagénaire séparé.
Ils sympathisent, et Pierre improvise une soirée au restaurant.
Quand il la dépose devant son immeuble, ils sentent le besoin de rester ensemble. Hélène l’entraine dans son appartement Mais après une communion sensuelle et pleine de tendresse, Pierre disparait, et laisse sa conquête désespérée.
Une semaine après, il réapparait et lui offre une splendide parure rouge pour lui montrer tout l’attention qu’elle lui inspire.
Récit d’Hélène
Depuis cette deuxième nuit, nous prenons des habitudes charmantes, et petit à petit, je me sens de plus à l’aise, presque impudique avec Pierre. Je me promène nue dans l’appartement, heureuse de sentir son regard, et son désir sur mes formes. Je ne lui cache plus rien de moi.
Un mercredi soir, après l’étreinte, couchés en petites cuillères, l’un dans l’autre, sa main sur mon sein. Il me fait cette proposition.
- Ça te dirait de passer le weekend chez moi.
- Je suis coincée à la boutique samedi.
- J’y ai pensé, j’ai posé une RTT, lundi. Nous aurons deux jours ensemble, nous n’aurons pas à nous séparer dimanche soir.
Le samedi, vers dix-neuf heures trente, Pierre passe à la boutique. Mon petit baise- en-ville est prêt, avec les fameux dessous rouges.
Le trajet est court, jusqu’à la maison. Pierre ouvre la porte.
- Tu veux visiter, ou on dine d’abord ?
- Visiter, Chéri, je suis si curieuse.
La maison est grande, mais classique, un grand salon, une belle cuisine au rez de chaussée, une salle de bains et l’ancienne salle de jeu des enfants reconvertie en chambre d’amis. Puis Pierre m’invite à monter au premier, et me laisse passer devant pour profiter du spectacle de mon cul roulant sous la jupe. Il me rattrape sur le palier, et me précède dans le corridor
- Voilà, la chambre de ma fille, celle de mon garçon, la salle de bain de l’étage.
Il m’ouvre une autre porte et me laisse le précéder.
- C’est ta chambre.
- Oui, depuis mon divorce.
En fait, il s’agit plutôt d’une suite, La pièce occupe la moitié de l’étage. Au milieu, la chambre, avec deux fenêtres entourant une commode supportant la télévision. En face, un grand lit du même bois rouge que le parquet avec deux tables de chevet assorties.
Il me guide vers le dressing, les rangements sont seulement occupés par des vêtements d‘hommes, ou vides. Un fugitif instant, j’imagine les portants avec mes robes et les tiroirs renfermant mes dessous. Pierre s’est placé derrière moi, il saisit mes hanches et pose son menton dans le creux de ma clavicule.
- Tu penses à quoi Chérie.
- Oh, je rêvais.
- Moi aussi, peut-être, était-ce le même rêve ?
Je me retourne, en l’attrapant par la main, et je me dirige vers la salle de bain, aussi grande que le dressing. Rien que du classique, lavabo, sèche-serviette et une baignoire. Mais quelle baignoire ! On y tient facilement à deux, peut-être à trois. Je repère le tableau de contrôle digital, sur fond bleu.
- Tu veux l’essayer, me propose Pierre.
- Maintenant ?
- Oui tout de suite, quelle température veux-tu ?
- Trente-cinq degrés, s’il te plait.
Pierre pianote sur le clavier, et les deux buses remplissent la vasque.
- J’ai mis trente-huit degrés, si c’est trop chaud, on ajoutera de l‘eau froide.
- Et ce bouton, il sert à quoi.
- Essaye, tu verras bien.
J’appuie sur un bouton, des lampes s’allument et l’eau se colore, en rose, en vert puis bleu et enfin jaune. J’essaye le contacteur suivant, des bulles et des remous percent la surface de l’eau.
- Ça te plait.
- Oui.
- Alors à poil. Rit-il en me débarrassant de ma jupe, et il découvre une grande culotte blanche, en coton.
- Quelle horreur, on dirait une culotte de bonne sœur.
- Tu as déjà troussé beaucoup de bonnes sœurs.
- Non, une seulement, et elle a une mercerie. Me répond –il en baissant ma lingerie jusqu’aux genoux.
Je me retourne et je le débarrasse de sa chemise pendant qu’il déboutonne mon chemisier et me l’enlève. Il glisse ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. J’en profite pour frotter mes tétons contre sa poitrine. Il pose ses lèvres sur les miennes et me prodigue un baiser tout en douceur.
Puis je l’écarte et je m’agenouille, je fais glisser ensemble le pantalon et le boxer. Sa verge s’érige superbe, j’approche ma bouche.
- Non Chérie, je préfère attendre d’être propre.
Il me relève, et m’entraine dans la baignoire. Depuis notre deuxième nuit, j’adore la douche à deux. Alors le bain en amoureux, avec les bulles, les remous, et la luminothérapie, quel bonheur.
Pierre me savonne en jouant, massant et pinçant mes rondeurs, mon cul et mes seins. Il en profite pour me mordre la nuque et parfois même un bout de sein ou une fesse. De mon côté, je lui savonne les bourses, puis son beau membre.
Je m’adosse à lui, sa main se pose sur mon sein et agace mon sein, je me tourne mon visage vers lui et je pose mes lèvres dans son cou. Son autre main caresse mon mont de venus, puis glisse vers mon clitoris .J’halète doucement, et je me retourne vers lui. Il libère ma poitrine et glisse sa main vers mon cul. Il écarte mes fesses, son majeur masse mon petit trou et frappe à la porte de derrière.
- Doucement mon chéri. Et j’accueille avec plaisir cette invasion.
Puis un deuxième visiteur veut rejoindre le premier. Je suis doublement élargieLes deux coquins s’avancent et reculent sans me forcer. Je suis étonnée, je ne ressens aucune douleur, juste une onde de chaleur qui irradie de mon anus et s’ajoute à celle produite par mon bouton d’amour.
Enveloppée par la douceur tiède de l’eau, prise par derrière, masturbée par devant, je prononce des mots sans suite, je gémis, puis je délire murmurant
- Merci mon chat, - Pistonne moi, Chéri, - Branle moi c‘est trop bon
Un premier spasme me prend, la vague descend, puis remonte et j’explose dans un deuxième spasme. Je reprends mes esprits dans un océan de tendresse et de bulles colorées.
- Ca va ma chérie, on sort ?
Il prend la pomme de la douche et nous rince. Nous sortons de la baignoire et nous nous épongeons l’un – l‘autre, encore une occasion de se tripoter.
Une fois sec, Pierre se dégage de mes mains et fouille dans un placard et me donne un paquet enveloppé de papier de soie avec un ruban.
J’en sors un splendide kimono de soie orange, gris et vert, avec la ceinture assortie et une pièce du même tissu à nouer en turban.
Je le passe, noue la ceinture, et dresse ma coiffure.
Pierre me tend une paire de mules à talons. Ces talons me cambrent et la ceinture qui me serre la taille me fait un cul de jument. Mes tétons frottant sur la soie, se sont ériges et durcis.
- Ma chérie avec tes formes et ton turban, tu fais une sultane magnifique.
- Je ne suis que la captive soumise de mon calife pervers. Lui rétorquai- je.
Et tout doucement, je le pousse en arrière dans la chambre, puis je le fais trébucher et tomber sur le dos dans le lit. Je monte sur le lit et je mets à genoux, lui offrant le spectacle de ma poitrine pendant et ondulant en liberté. Il est nu, en érection, sur le dos. Il est à ma merci.
- Je vais te manger mon chéri.
Je me penche et je décalotte son gland. N’y tenant plus, je l’embouche, il est délicieux. Je le suce, je le caresse avec ma langue et je l’englouti.
- Chérie, continue seulement avec ta bouche.
Je lui obéis, et m’active de haut en bas. Je l’entends soupirer, son épieu durcissant et gonflant dans ma bouche. C’est la première fois que j’ai un amant aussi vigoureux entre mes lèvres. Il pose doucement ses deux mains sur mes joues et accompagne le mouvement de ma tête.
Je sens alors un premier spasme courir dans son membre, puis un deuxième. Je veux reculer ma bouche, mais sa main bloque ma nuque. Je ne résiste pas. Il éjacule dans un troisième spasme. Je garde sa semence dans ma bouche, c’est doux, léger, comme une crème chantilly légèrement salée.
Je lève le regard, et les yeux dans les yeux de mon amant, j’avale sa production, puis je passe ma langue sur mes lèvres comme une chatte gourmande. Je me couche à ses côtés.
- Chéri, j’ai faim.
- Me too. Me répond mon amour polyglotte.
Dans la cuisine, Pierre improvise une salade de tomates et d’avocats, équeute quelques fraises, met le tout dans un plateau, ajoute les couverts, deux flutes et une bouteille de Vouvray, opportunément mise au frais.
- On piquenique sur le lit. Ordonne-t-il
Je passe devant, ondulant du croupion dans l’escalier, heureuse de mon impudeur. Nous nous asseyons en tailleur, le plateau entre nous.
Dans cette position, avec la complicité du kimono qui glisse sur mes cuisses, je découvre ma légère toison au naturel, ainsi que ma poitrine en liberté.
Pierre n’en perd pas une miette, et la dernière fraise dévorée, il dépose le plateau, dans le dressing, et revient m’assaillir.
Il m’allonge doucement, puis embrasse doucement mon mont de venus et entreprend de dévorer le minou, pénétrant ma fente de sa langue, mâchouillant mes lèvres, léchant mon clitoris.
Arrivée à la limite de l‘explosion, il me retourne sur le ventre, remonte le kimono et dévoile mon cul, puis il écarte mes fesses et pose un baiser sur mon anus. Il dépose un peu de salive sur mon cratère et passa plusieurs fois sa langue râpeuse dessus. Puis il entreprend de forcer cette ouverture. Mon sphincter céde avec plaisir et il en profite pour introduire sa langue.
Mon anus stimulé par cette caresse, je commence à roucouler sous cette pénétration délicate. Puis il entreprend de manger mon œillet, je sens ses dents mordiller mon muscle anal. Il se redresse pour contempler son œuvre. Excité par ces caresses, mon œil de bronze ne se referme pas complétement.
- Chéri, s’il te plait. Encore.
Jamais on ne m’avait prodigué cette caresse si intime et si douce.
Pierre replonge dans mon cratère, il m’encule avec sa langue, tournant fouillant, explorant chaque recoin de mon rectum. Je me cambre pour faciliter cette feuille de rose. Puis j’ouvre mes fesses à deux mains pour mieux m’offrir à cet envahissement. Du côté face, sa main agace mon bourgeon.
Sous ces deux assauts conjugués, j’ondule du cul, avec des gémissements entrecoupés de petits cris, et des
- Encore, mon chéri !!!
- Bouffe-moi mon amour !!
Lorsque la tension est au maximum, il me pince le clitoris et m’envoie dans orgasme intense.
Quand je redescends sur terre, nous sommes emboités l’un dans l’autre, en petites cuillères. Je me cale, dos à lui, emboitant mon cul dans son ventre et posant d’autorité sa main sur mon sein.
Puis doucement, nous sombrons dans le sommeil.
Quand je me réveille, Pierre a quitté notre lit. Sa maison est beaucoup plus silencieuse que mon appartement. Je tends l’oreille, et j’entends quelques bruits au rez de chaussée. Je me lève, et chausse mes mules. Je descends silencieusement l’escalier, vêtue de mes formes et de ma seule nudité.
Pierre s’active dans la cuisine et range notre vaisselle de la veille dans la machine. Il ne porte que son boxer, et une chemise non boutonnée. Je me colle à son dos par surprise.
- Tu es réveillée, ma chérie.
- Oui, et très bien réveillée, mon amour.
- Et je lui remonte sa chemise pour qu’il sente les pointes de mes seins érigées contre son dos. J’ondule contre son dos, stimulant mes tétons contre sa peau. Débarrassée de sa chemise, je fais glisser son slip. Puis je m’emballe comme une jument folle.
D’une main je m’empare de ses couilles et de l’autre j’empoigne sa belle verge. Je me plaque contre lui, et je l’embrasse dans le cou, et lui fait un suçon. Ma main s’agite sur son beau membre, qui se raidit. C’est bon, il est à point. Je le retourne, le coince contre le mur de la cuisine. Je lui chuchote en délirant.
- Tu es à moi mon pervers chéri. Tu vas y passer, à la casserole. Ca va t’apprendre à réveiller la chatte qui dort.
D’une main j’attire une chaise et je pose dessus mon pied gauche. Ma vulve s’ouvre, je glisse dedans le pénis de mon amant et j’entreprends de m’empaler, en aller et retour. Dans une tentative désespérée de reprendre l’initiative, Pierre m’introduit son majeur dans l’anus. Cela m’excite encore plus et j’accélère le rythme jusqu’à un orgasme si brutal que j’en ai les jambes tremblantes. Je m’accroche à mon Chéri, sa verge toujours ancrée en moi. Et je reste silencieuse, juste mon souffle qui se mêle au sien. J’apprécie ce bonheur de sentir tout le corps de mon Pierre comme moulé dans le mien. Quel bonheur d’avoir des formes.
- Tu as aimé que je te viole, mon amour- J’aurais du mal à cacher que j’étais consentant, voir même enthousiaste.
- Je pourrai recommencer.
- Chérie, viole-moi autant que tu veux.
Tendre et doux silence, l’un contre l’autre ou plutôt l’un dans l’autre.
- Chéri, Il faut que je me lave .
- Pas de souci ma beauté, tu trouveras une douche en sortant à droite de la cuisine.
Je le libère à regret, et me dirige vers la salle de bain, en sentant sa semence glisser le long de mes cuisses. J’essaie maladroitement de limiter la fuite avec la main. Enfin, j’arrive au receveur de la douche et j’ouvre les robinets. Je cherche du regard un savon quand je vois entrer mon Chéri, avec son petit sourire en coin.
- Arrête Pierre, je suis assez gênée comme ça. Peux-tu me donner du savon.
Il ouvre un placard, sort un flacon rose et un autre orange, puis entre sous la douche. Il met une noix de liquide rose et commence à me savonner, d’abord les seins, les aisselles puis le ventre, et ma chatte, tout en échauffant mon petit clito. Il me fait pivoter et me lave le dos, puis les cuisses et mon valseur. Ensuite il écarte mes fesses et glisse un doigt lubrifié par le savon dans mon cratère intime.
Depuis notre première rencontre, j’apprécie cette intrusion. Mais un second doigt se joint à son voisin, testant l’élasticité de mon œillet.
Pierre les fait tourner comme s’il cherchait à ovaliser mon anneau plissé.
- Pierre, arrête , je ne suis pas à l’aise.
Mon amant retire ses doigts, je me retourne vers lui.
- Tu veux me sodomiser ?
- Hum ! On dit sodomiser quand on boit le thé chez la comtesse. Quand on est nue, avec son amant qui vient de vous fouiller au plus profond de vous-même, il vaut mieux utiliser le mot « enculer ».
- Mon Chéri, tu veux m’enculer.
- Oui.
- Maintenant.
- Non ce soir.
Je me blottis contre lui
- Soit très doux mon amour, mon ex m’a fait très mal quand il a essayé.
Il me prend le visage.
- Je serai attentif, ma chatte.
Et il me « roule un patin d’enfer » tandis que je ventouse mon corps nu au sien.
Un ange passe.
Nous nous séparons. Je m’enroule dans un drap de main et je me dirige vers l’escalier. J’ai le pied sur la deuxième marche quand je sens son regard sur moi. Sans me retourner, je défais le drap qui me cache, le laisse tomber. Puis je monte l’escalier en faisant rouler mon cul. J’entends un sifflement d’admiration qui me fait éclater de rire.
J’étais en train de revêtir mon ensemble rouge, quand il me rejoint dans la chambre.
- Chéri, peux-tu m’aider pour mon serre taille.
- Tourne toi.
Il met un genou sur le parquet , et agrafe les six fixations . Je me retourne, ma fourrure intime à hauteur de son visage.
- Pierre veux-tu que je m’épile ?
- Non, tu n’es pas trop touffue, c’est très doux à caresser ou à embrasser. Garde-la comme ça, ou quelque chose comme le maillot ou le ticket de métro -- Mais épilée, c’est plus propre.
- Pour être propre, il suffit de se laver, c’est une façon de se respecter et de respecter l’autre.
Je m’assoie pour enfiler mes bas à couture, il se place derrière moi, et empaume mes seins.
- Tu as beaucoup de culottes de bonnes sœurs comme celle d’hier -- oui, quelques-unes.
- Il est onze heures, on a le temps de régler ça. Quand tu es habillée, on y va.
- Laisse-moi passer une robe.
- Il me regarda du haut en bas.
- Ca vaudrait mieux, sinon, il a y avoir des émeutes.
J’enfile une robe beige, au genou, à larges plis. Son tissu suit l’ondulation de mes hanches quand je marche avec des talons. C’est aussi un choix tactique. Elle est assez longue pour cacher que je suis en porte jarretelles.
Mais je peux aussi dévoiler la lisière de mes bas et la peau de mes cuisses si je la fait tourner, comme pour un essayage, ou quand je m’assois en voiture ou quand j’en sors.
Et nous voici en route pour un magasin de lingerie, à Nogent, dont Pierre connait depuis longtemps la propriétaire.
Mais je passe la plume à mon coquin pour la suite de cette nouvelle. Je la reprendrai plus tard pour vous conter ce que Pierre n’a pas vu
- Pierre, tu es venu avec Madame. S’écrie Odile.
Et elle me colle une bise sur la joue droite.
- -Hélène, permettez que je vous embrasse.
- Sans attendre, elle lui claque deux baisers en aller-retour su chaque joue.
Odile est grande et longiligne. Un visage triangulaire, des yeux clairs et des cils interminables.
Hélène parcourt le magasin du regard, clair spacieux, des tiroirs partout.
Odile la sort de sa rêverie.
- Que désirez-vous Hélène.
- Euh, oui !!! Pierre s’il te plait.
- -Odile, pouvez-vous nous présenter quelques parures.
- -Avec serre-taille. Reprends Odile.
- Oui, j’aimerai beaucoup. Répond Hélène.
- -Ma chérie, je vais vous présenter quelques modèles. On va cramer la carte bleue de Monsieur. Quelle est votre taille de bonnet ?
Odile virevolte de tiroirs en tiroir et accumule les soutien-gorges sur la table au milieu du magasin
- Hélène, on fait une première sélection.
- Celui-là, celui-ci et encore celui-là et celui-ci.
- Vous voulez commencer par lequel ?
- le motif floral .
- Quelle est votre taille pour le porte-jarretelle.
- quarante-six . Répond Hélène.
- Non, un quarante-quatre. Répliquai-je- j’aime que Madame soit contrainte- Ajoutai-je.
Odile sourit.
- Hélène, allez en cabine d’essayage. Je vous apporte votre parure.
Odile farfouille dans les tiroirs. Elle m’interroge.
- Deux culottes , je suppose.
- Oui, mettez une italienne s’il y en a une , mais présentez lui en plusieurs, mais pas de string.
Odile prend les articles, et se rend devant la cabine.
- Je peux-- Oui, entrez.
Hélène est déjà en sous vêtement. Odile l’apprécie de son œil d’experte.
-Cette parure rouge vous va à ravir.
- Vous me flattez.
Odile se retire, laissant la nouvelle parure sur un petit tabouret dans la cabine.
-Qu’est-ce que vous avez là, Pierre . Odile glisse un doigt entre le cou et le col de chemise de Pierre et découvre le suçon.
-J’ai été agressé par une folle de mon corps.
La voix d’Hélène monte de la cabine d’essayage
-C’est une marque d’amour, Odile, ça veut dire qu’il m’appartient. Pierre est à moi. Pas touche !!!
Odile s’approche de la cabine et en riant, et s’adresse à Hélène.
-Vous avez pensé à le faire tatouer .
- Oui, j’y pense. Pouffe Hélène. Puis plus sérieuse, -Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.
- J’arrive.
Et Odile pénètre dans la cabine .J’entends des chuchotements, des éclats de rire, puis Odile ressort .
- Allez-y ma chère, montrez-vous.
Hélène sort de la cabine, juchée sur ses talons, le galbe taille lui gommant son petit bedon et lui cambrant les fesses. La grande culotte camoufle le valseur incendiaire de ma belle.
- Qu’est ce tu en penses, Pierre.
- Superbe, tourne-toi.
Hélène pivote sur ses talons.
-Tu as une poitrine magnifique. ajoute Pierre.
- Eh bien, on le retient, je peux voir les autres - répondit Hélène.
Les essayages continuent, un vrai défilé.
Hélène entre et sort, et à chaque ensemble, ajoute un commentaire.
- Regarde le cul que j’ai avec ce serre-taille ?
- Tu a vu, la poitrine que me fait se soutien-gorge ?
- Cette couleur me va bien ?
- On ne voit pas trop mon gros cul à travers la dentelle- Oups, je suis sortie sans la culotte !
- Chéri, tu ne trouves pas que montre trop mes tétons ?
Et ces rires, et ces gloussements dans la cabine, et sans compter les ajustements qu’Odile effectue sur Hélène, sous mes yeux.
Je n’en peux plus, les yeux me sortent de la tête. Encore une présentation, et j’ai une attaque cardiaque.
Le stock est épuisé, et c’est l’heure du choix. Odile étale les modèles essayés. Hélène sélectionne trois modèles
- J’hésite entre celui-ci, celui-là, et aussi celui-ci.
- Vous voulez refaire un essayage. Propose Odile.
- Non, non, nous prenons les trois, je n’en peux plus, si vous recommencez, c’est l’AVC pour moi. Répliquai-je.
- Merci mon amour. Répond Hélène en m’embrassant.
Pendant qu’Hélène se réajuste en cabine, Odile me prend à part.
- Prenez soin d’Hélène, c’est une femme splendide et voluptueuse. Faites la s’épanouir.
- Ma chérie sort de la cabine, toute pimpante avec sa robe évasée autour de la hanche.
- Pierre, j’ai faim, je t’invite au resto.
- Allez donc au libanais, il est ouvert le dimanche. Nous propose Odile.
Nous suivons son conseil, nous commençons à nous gaver de mezzés.
- Hélène, qu’est ce qui s’est passé dans la cabine.
- Rien de bien grave, mon chéri.
- Mais encore.
Et Hélène reprend ce récit, à la troisieme personne, au moment où elle entre dans la cabine.
- Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.-- J’arrive .
Odile pénètre dans la cabine. Hélène s’est déjà déshabillée, ses seins se sont libérés du soutien-gorge , mais elle a gardé le reste de la parure rouge.
-Comment voulez-vous faire des essayages en restant habillé. Allez virez moi tout ça. Ordonne Odile.
Hélène hésite, puis se débarrasse de ses sous-vêtements. Elle nue devant cette si belle femme. Elle a gardé ses talons, et ses bas qui glissent sur ses cuisses
- Ma chère, vous êtes une femme magnifique.
- J’ai un gros cul et des nichons de pouffe.
- Vos seins sont très bien, ils ont un beau volume, bien ronds, ils tombent un peu, mais c’est normal vu leur taille. Vous pouvez aussi jouer de cet atout pour paraitre plus sexy. Quand ils sont en liberté sous un pull, ils doivent s’agiter divinement. Avec le soutien-gorge approprié, ils vous feront un décolleté superbe.
- Et mes fesses, elles sont énormes.
- Ne vous inquiéter pas, nous allons les mettre en valeur. Pierre va adorer s’en occuper, laissez moi faire.
Odile lui passe le serre taille et entreprend de l’agrafer.
- Je suis serrée.
- Ma chère, être serrée présente plein d’avantage : c’est un signal de soumission à Pierre, vous acceptez d’être contrainte, vous aimez lui être soumise . En vous gainant, ce modèle de porte-jarretelle vous cambre, et projette votre cul en arrière. Ca le met en valeur.
- Comme s’il avait besoin de ça !!!!
- Enfin vous pourrez serrer plus étroitement la ceinture de vos robes ce qui vous fera une belle taille étranglée. Un dernier truc : un serre taille serré porté avec des talons, vous fait obligatoirement rouler des hanches et des fesses.
Odile se penche pour fermer le galbe taille. Son souffle effleure la croupe de sa cliente. Helene est troublée. Odile pose un léger baiser sur la chair satinée.
- Attendez, je vais fixer vos bas. Et Odile s’agenouille.
Puis elle prend Hélène aux hanches et la fait pivoter face à elle.
- Je vous passe la culotte. Levez votre jambe, voilà, levez l’autre.
Odile remonte la culotte et s’arrête juste au-dessus du genou.Son visage est à la hauteur de la minette de sa cliente. Sa respiration s’accélère.
- Vous n’êtes pas épilée.
- Non Pierre n’aime pas les sexes de petite fille.
- Il a raison, vous n’êtes pas très fournie, on discerne bien vos lèvres.
Et posant sa main sur le mont de Venus, elle ajoute
- C’est très doux .
Elle s’approche, son souffle agite légèrement la toison d ’Hélène. Mais la belle l’arrête.
- Odile, s’il vous plait, cessez. Je suis à Pierre, je lui suis fidèle.
- Quel dommage fait-elle en se relevant.
Et au passage, elle me vole un baiser sur les lèvres .
- Je passe le soutien-gorge - Attendez, je vais vous ajuster.
- Odile passe dans le dos d’Hélène , et la place face au miroir, et régle les bretelles.
- Ne bougez pas je vous place les seins.
Et dans un geste sensuel, elle glisse un doigt entre le sein et le tissu, chatouillant la pointe, et soulève les deux coques pour replacer les seins d’Hélène.
- Voilà tout est en place, Vous êtes sublime ma chère.
Hélène surprise, éclate de rire, Odile aussi. D’un coup, la tension retombe.
- Odile, s’il vous plait, soyons amies.
- En guise d’accord, la belle lingère l’embrasse.
- Vous êtes superbe, vous avez un corps à porter des dessous, avec votre beau cul insolent, et vos seins opulents. Allez-vous montrer à Pierre.
OOO
Pour le reste, tu connais la suite, mon chéri. Tu vois, il ne s’est rien passé de grave.
- As-tu été tentée.
- Tentée non, mais troublée, certainement.
- Bon, mais la prochaine fois je rentre dans la cabine.
- Mon chéri, je te l’interdis bien, j’ai droit à un peu d’intimité avec mon coach en dessous.
Un silence complice.
D’un coup , Hélène lance cette demande.
- Chéri, je voudrais faire un truc de couple.
A suivre
Résumé de la nouvelle précédenteHélène quinqua divorcée se laisse aller, mais un invraisemblable concours de circonstance la met en contact avec Pierre lui aussi quinquagénaire séparé.
Ils sympathisent, et Pierre improvise une soirée au restaurant.
Quand il la dépose devant son immeuble, ils sentent le besoin de rester ensemble. Hélène l’entraine dans son appartement Mais après une communion sensuelle et pleine de tendresse, Pierre disparait, et laisse sa conquête désespérée.
Une semaine après, il réapparait et lui offre une splendide parure rouge pour lui montrer tout l’attention qu’elle lui inspire.
Récit d’Hélène
Depuis cette deuxième nuit, nous prenons des habitudes charmantes, et petit à petit, je me sens de plus à l’aise, presque impudique avec Pierre. Je me promène nue dans l’appartement, heureuse de sentir son regard, et son désir sur mes formes. Je ne lui cache plus rien de moi.
Un mercredi soir, après l’étreinte, couchés en petites cuillères, l’un dans l’autre, sa main sur mon sein. Il me fait cette proposition.
- Ça te dirait de passer le weekend chez moi.
- Je suis coincée à la boutique samedi.
- J’y ai pensé, j’ai posé une RTT, lundi. Nous aurons deux jours ensemble, nous n’aurons pas à nous séparer dimanche soir.
Le samedi, vers dix-neuf heures trente, Pierre passe à la boutique. Mon petit baise- en-ville est prêt, avec les fameux dessous rouges.
Le trajet est court, jusqu’à la maison. Pierre ouvre la porte.
- Tu veux visiter, ou on dine d’abord ?
- Visiter, Chéri, je suis si curieuse.
La maison est grande, mais classique, un grand salon, une belle cuisine au rez de chaussée, une salle de bains et l’ancienne salle de jeu des enfants reconvertie en chambre d’amis. Puis Pierre m’invite à monter au premier, et me laisse passer devant pour profiter du spectacle de mon cul roulant sous la jupe. Il me rattrape sur le palier, et me précède dans le corridor
- Voilà, la chambre de ma fille, celle de mon garçon, la salle de bain de l’étage.
Il m’ouvre une autre porte et me laisse le précéder.
- C’est ta chambre.
- Oui, depuis mon divorce.
En fait, il s’agit plutôt d’une suite, La pièce occupe la moitié de l’étage. Au milieu, la chambre, avec deux fenêtres entourant une commode supportant la télévision. En face, un grand lit du même bois rouge que le parquet avec deux tables de chevet assorties.
Il me guide vers le dressing, les rangements sont seulement occupés par des vêtements d‘hommes, ou vides. Un fugitif instant, j’imagine les portants avec mes robes et les tiroirs renfermant mes dessous. Pierre s’est placé derrière moi, il saisit mes hanches et pose son menton dans le creux de ma clavicule.
- Tu penses à quoi Chérie.
- Oh, je rêvais.
- Moi aussi, peut-être, était-ce le même rêve ?
Je me retourne, en l’attrapant par la main, et je me dirige vers la salle de bain, aussi grande que le dressing. Rien que du classique, lavabo, sèche-serviette et une baignoire. Mais quelle baignoire ! On y tient facilement à deux, peut-être à trois. Je repère le tableau de contrôle digital, sur fond bleu.
- Tu veux l’essayer, me propose Pierre.
- Maintenant ?
- Oui tout de suite, quelle température veux-tu ?
- Trente-cinq degrés, s’il te plait.
Pierre pianote sur le clavier, et les deux buses remplissent la vasque.
- J’ai mis trente-huit degrés, si c’est trop chaud, on ajoutera de l‘eau froide.
- Et ce bouton, il sert à quoi.
- Essaye, tu verras bien.
J’appuie sur un bouton, des lampes s’allument et l’eau se colore, en rose, en vert puis bleu et enfin jaune. J’essaye le contacteur suivant, des bulles et des remous percent la surface de l’eau.
- Ça te plait.
- Oui.
- Alors à poil. Rit-il en me débarrassant de ma jupe, et il découvre une grande culotte blanche, en coton.
- Quelle horreur, on dirait une culotte de bonne sœur.
- Tu as déjà troussé beaucoup de bonnes sœurs.
- Non, une seulement, et elle a une mercerie. Me répond –il en baissant ma lingerie jusqu’aux genoux.
Je me retourne et je le débarrasse de sa chemise pendant qu’il déboutonne mon chemisier et me l’enlève. Il glisse ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. J’en profite pour frotter mes tétons contre sa poitrine. Il pose ses lèvres sur les miennes et me prodigue un baiser tout en douceur.
Puis je l’écarte et je m’agenouille, je fais glisser ensemble le pantalon et le boxer. Sa verge s’érige superbe, j’approche ma bouche.
- Non Chérie, je préfère attendre d’être propre.
Il me relève, et m’entraine dans la baignoire. Depuis notre deuxième nuit, j’adore la douche à deux. Alors le bain en amoureux, avec les bulles, les remous, et la luminothérapie, quel bonheur.
Pierre me savonne en jouant, massant et pinçant mes rondeurs, mon cul et mes seins. Il en profite pour me mordre la nuque et parfois même un bout de sein ou une fesse. De mon côté, je lui savonne les bourses, puis son beau membre.
Je m’adosse à lui, sa main se pose sur mon sein et agace mon sein, je me tourne mon visage vers lui et je pose mes lèvres dans son cou. Son autre main caresse mon mont de venus, puis glisse vers mon clitoris .J’halète doucement, et je me retourne vers lui. Il libère ma poitrine et glisse sa main vers mon cul. Il écarte mes fesses, son majeur masse mon petit trou et frappe à la porte de derrière.
- Doucement mon chéri. Et j’accueille avec plaisir cette invasion.
Puis un deuxième visiteur veut rejoindre le premier. Je suis doublement élargieLes deux coquins s’avancent et reculent sans me forcer. Je suis étonnée, je ne ressens aucune douleur, juste une onde de chaleur qui irradie de mon anus et s’ajoute à celle produite par mon bouton d’amour.
Enveloppée par la douceur tiède de l’eau, prise par derrière, masturbée par devant, je prononce des mots sans suite, je gémis, puis je délire murmurant
- Merci mon chat, - Pistonne moi, Chéri, - Branle moi c‘est trop bon
Un premier spasme me prend, la vague descend, puis remonte et j’explose dans un deuxième spasme. Je reprends mes esprits dans un océan de tendresse et de bulles colorées.
- Ca va ma chérie, on sort ?
Il prend la pomme de la douche et nous rince. Nous sortons de la baignoire et nous nous épongeons l’un – l‘autre, encore une occasion de se tripoter.
Une fois sec, Pierre se dégage de mes mains et fouille dans un placard et me donne un paquet enveloppé de papier de soie avec un ruban.
J’en sors un splendide kimono de soie orange, gris et vert, avec la ceinture assortie et une pièce du même tissu à nouer en turban.
Je le passe, noue la ceinture, et dresse ma coiffure.
Pierre me tend une paire de mules à talons. Ces talons me cambrent et la ceinture qui me serre la taille me fait un cul de jument. Mes tétons frottant sur la soie, se sont ériges et durcis.
- Ma chérie avec tes formes et ton turban, tu fais une sultane magnifique.
- Je ne suis que la captive soumise de mon calife pervers. Lui rétorquai- je.
Et tout doucement, je le pousse en arrière dans la chambre, puis je le fais trébucher et tomber sur le dos dans le lit. Je monte sur le lit et je mets à genoux, lui offrant le spectacle de ma poitrine pendant et ondulant en liberté. Il est nu, en érection, sur le dos. Il est à ma merci.
- Je vais te manger mon chéri.
Je me penche et je décalotte son gland. N’y tenant plus, je l’embouche, il est délicieux. Je le suce, je le caresse avec ma langue et je l’englouti.
- Chérie, continue seulement avec ta bouche.
Je lui obéis, et m’active de haut en bas. Je l’entends soupirer, son épieu durcissant et gonflant dans ma bouche. C’est la première fois que j’ai un amant aussi vigoureux entre mes lèvres. Il pose doucement ses deux mains sur mes joues et accompagne le mouvement de ma tête.
Je sens alors un premier spasme courir dans son membre, puis un deuxième. Je veux reculer ma bouche, mais sa main bloque ma nuque. Je ne résiste pas. Il éjacule dans un troisième spasme. Je garde sa semence dans ma bouche, c’est doux, léger, comme une crème chantilly légèrement salée.
Je lève le regard, et les yeux dans les yeux de mon amant, j’avale sa production, puis je passe ma langue sur mes lèvres comme une chatte gourmande. Je me couche à ses côtés.
- Chéri, j’ai faim.
- Me too. Me répond mon amour polyglotte.
Dans la cuisine, Pierre improvise une salade de tomates et d’avocats, équeute quelques fraises, met le tout dans un plateau, ajoute les couverts, deux flutes et une bouteille de Vouvray, opportunément mise au frais.
- On piquenique sur le lit. Ordonne-t-il
Je passe devant, ondulant du croupion dans l’escalier, heureuse de mon impudeur. Nous nous asseyons en tailleur, le plateau entre nous.
Dans cette position, avec la complicité du kimono qui glisse sur mes cuisses, je découvre ma légère toison au naturel, ainsi que ma poitrine en liberté.
Pierre n’en perd pas une miette, et la dernière fraise dévorée, il dépose le plateau, dans le dressing, et revient m’assaillir.
Il m’allonge doucement, puis embrasse doucement mon mont de venus et entreprend de dévorer le minou, pénétrant ma fente de sa langue, mâchouillant mes lèvres, léchant mon clitoris.
Arrivée à la limite de l‘explosion, il me retourne sur le ventre, remonte le kimono et dévoile mon cul, puis il écarte mes fesses et pose un baiser sur mon anus. Il dépose un peu de salive sur mon cratère et passa plusieurs fois sa langue râpeuse dessus. Puis il entreprend de forcer cette ouverture. Mon sphincter céde avec plaisir et il en profite pour introduire sa langue.
Mon anus stimulé par cette caresse, je commence à roucouler sous cette pénétration délicate. Puis il entreprend de manger mon œillet, je sens ses dents mordiller mon muscle anal. Il se redresse pour contempler son œuvre. Excité par ces caresses, mon œil de bronze ne se referme pas complétement.
- Chéri, s’il te plait. Encore.
Jamais on ne m’avait prodigué cette caresse si intime et si douce.
Pierre replonge dans mon cratère, il m’encule avec sa langue, tournant fouillant, explorant chaque recoin de mon rectum. Je me cambre pour faciliter cette feuille de rose. Puis j’ouvre mes fesses à deux mains pour mieux m’offrir à cet envahissement. Du côté face, sa main agace mon bourgeon.
Sous ces deux assauts conjugués, j’ondule du cul, avec des gémissements entrecoupés de petits cris, et des
- Encore, mon chéri !!!
- Bouffe-moi mon amour !!
Lorsque la tension est au maximum, il me pince le clitoris et m’envoie dans orgasme intense.
Quand je redescends sur terre, nous sommes emboités l’un dans l’autre, en petites cuillères. Je me cale, dos à lui, emboitant mon cul dans son ventre et posant d’autorité sa main sur mon sein.
Puis doucement, nous sombrons dans le sommeil.
Quand je me réveille, Pierre a quitté notre lit. Sa maison est beaucoup plus silencieuse que mon appartement. Je tends l’oreille, et j’entends quelques bruits au rez de chaussée. Je me lève, et chausse mes mules. Je descends silencieusement l’escalier, vêtue de mes formes et de ma seule nudité.
Pierre s’active dans la cuisine et range notre vaisselle de la veille dans la machine. Il ne porte que son boxer, et une chemise non boutonnée. Je me colle à son dos par surprise.
- Tu es réveillée, ma chérie.
- Oui, et très bien réveillée, mon amour.
- Et je lui remonte sa chemise pour qu’il sente les pointes de mes seins érigées contre son dos. J’ondule contre son dos, stimulant mes tétons contre sa peau. Débarrassée de sa chemise, je fais glisser son slip. Puis je m’emballe comme une jument folle.
D’une main je m’empare de ses couilles et de l’autre j’empoigne sa belle verge. Je me plaque contre lui, et je l’embrasse dans le cou, et lui fait un suçon. Ma main s’agite sur son beau membre, qui se raidit. C’est bon, il est à point. Je le retourne, le coince contre le mur de la cuisine. Je lui chuchote en délirant.
- Tu es à moi mon pervers chéri. Tu vas y passer, à la casserole. Ca va t’apprendre à réveiller la chatte qui dort.
D’une main j’attire une chaise et je pose dessus mon pied gauche. Ma vulve s’ouvre, je glisse dedans le pénis de mon amant et j’entreprends de m’empaler, en aller et retour. Dans une tentative désespérée de reprendre l’initiative, Pierre m’introduit son majeur dans l’anus. Cela m’excite encore plus et j’accélère le rythme jusqu’à un orgasme si brutal que j’en ai les jambes tremblantes. Je m’accroche à mon Chéri, sa verge toujours ancrée en moi. Et je reste silencieuse, juste mon souffle qui se mêle au sien. J’apprécie ce bonheur de sentir tout le corps de mon Pierre comme moulé dans le mien. Quel bonheur d’avoir des formes.
- Tu as aimé que je te viole, mon amour- J’aurais du mal à cacher que j’étais consentant, voir même enthousiaste.
- Je pourrai recommencer.
- Chérie, viole-moi autant que tu veux.
Tendre et doux silence, l’un contre l’autre ou plutôt l’un dans l’autre.
- Chéri, Il faut que je me lave .
- Pas de souci ma beauté, tu trouveras une douche en sortant à droite de la cuisine.
Je le libère à regret, et me dirige vers la salle de bain, en sentant sa semence glisser le long de mes cuisses. J’essaie maladroitement de limiter la fuite avec la main. Enfin, j’arrive au receveur de la douche et j’ouvre les robinets. Je cherche du regard un savon quand je vois entrer mon Chéri, avec son petit sourire en coin.
- Arrête Pierre, je suis assez gênée comme ça. Peux-tu me donner du savon.
Il ouvre un placard, sort un flacon rose et un autre orange, puis entre sous la douche. Il met une noix de liquide rose et commence à me savonner, d’abord les seins, les aisselles puis le ventre, et ma chatte, tout en échauffant mon petit clito. Il me fait pivoter et me lave le dos, puis les cuisses et mon valseur. Ensuite il écarte mes fesses et glisse un doigt lubrifié par le savon dans mon cratère intime.
Depuis notre première rencontre, j’apprécie cette intrusion. Mais un second doigt se joint à son voisin, testant l’élasticité de mon œillet.
Pierre les fait tourner comme s’il cherchait à ovaliser mon anneau plissé.
- Pierre, arrête , je ne suis pas à l’aise.
Mon amant retire ses doigts, je me retourne vers lui.
- Tu veux me sodomiser ?
- Hum ! On dit sodomiser quand on boit le thé chez la comtesse. Quand on est nue, avec son amant qui vient de vous fouiller au plus profond de vous-même, il vaut mieux utiliser le mot « enculer ».
- Mon Chéri, tu veux m’enculer.
- Oui.
- Maintenant.
- Non ce soir.
Je me blottis contre lui
- Soit très doux mon amour, mon ex m’a fait très mal quand il a essayé.
Il me prend le visage.
- Je serai attentif, ma chatte.
Et il me « roule un patin d’enfer » tandis que je ventouse mon corps nu au sien.
Un ange passe.
Nous nous séparons. Je m’enroule dans un drap de main et je me dirige vers l’escalier. J’ai le pied sur la deuxième marche quand je sens son regard sur moi. Sans me retourner, je défais le drap qui me cache, le laisse tomber. Puis je monte l’escalier en faisant rouler mon cul. J’entends un sifflement d’admiration qui me fait éclater de rire.
J’étais en train de revêtir mon ensemble rouge, quand il me rejoint dans la chambre.
- Chéri, peux-tu m’aider pour mon serre taille.
- Tourne toi.
Il met un genou sur le parquet , et agrafe les six fixations . Je me retourne, ma fourrure intime à hauteur de son visage.
- Pierre veux-tu que je m’épile ?
- Non, tu n’es pas trop touffue, c’est très doux à caresser ou à embrasser. Garde-la comme ça, ou quelque chose comme le maillot ou le ticket de métro -- Mais épilée, c’est plus propre.
- Pour être propre, il suffit de se laver, c’est une façon de se respecter et de respecter l’autre.
Je m’assoie pour enfiler mes bas à couture, il se place derrière moi, et empaume mes seins.
- Tu as beaucoup de culottes de bonnes sœurs comme celle d’hier -- oui, quelques-unes.
- Il est onze heures, on a le temps de régler ça. Quand tu es habillée, on y va.
- Laisse-moi passer une robe.
- Il me regarda du haut en bas.
- Ca vaudrait mieux, sinon, il a y avoir des émeutes.
J’enfile une robe beige, au genou, à larges plis. Son tissu suit l’ondulation de mes hanches quand je marche avec des talons. C’est aussi un choix tactique. Elle est assez longue pour cacher que je suis en porte jarretelles.
Mais je peux aussi dévoiler la lisière de mes bas et la peau de mes cuisses si je la fait tourner, comme pour un essayage, ou quand je m’assois en voiture ou quand j’en sors.
Et nous voici en route pour un magasin de lingerie, à Nogent, dont Pierre connait depuis longtemps la propriétaire.
Mais je passe la plume à mon coquin pour la suite de cette nouvelle. Je la reprendrai plus tard pour vous conter ce que Pierre n’a pas vu
- Pierre, tu es venu avec Madame. S’écrie Odile.
Et elle me colle une bise sur la joue droite.
- -Hélène, permettez que je vous embrasse.
- Sans attendre, elle lui claque deux baisers en aller-retour su chaque joue.
Odile est grande et longiligne. Un visage triangulaire, des yeux clairs et des cils interminables.
Hélène parcourt le magasin du regard, clair spacieux, des tiroirs partout.
Odile la sort de sa rêverie.
- Que désirez-vous Hélène.
- Euh, oui !!! Pierre s’il te plait.
- -Odile, pouvez-vous nous présenter quelques parures.
- -Avec serre-taille. Reprends Odile.
- Oui, j’aimerai beaucoup. Répond Hélène.
- -Ma chérie, je vais vous présenter quelques modèles. On va cramer la carte bleue de Monsieur. Quelle est votre taille de bonnet ?
Odile virevolte de tiroirs en tiroir et accumule les soutien-gorges sur la table au milieu du magasin
- Hélène, on fait une première sélection.
- Celui-là, celui-ci et encore celui-là et celui-ci.
- Vous voulez commencer par lequel ?
- le motif floral .
- Quelle est votre taille pour le porte-jarretelle.
- quarante-six . Répond Hélène.
- Non, un quarante-quatre. Répliquai-je- j’aime que Madame soit contrainte- Ajoutai-je.
Odile sourit.
- Hélène, allez en cabine d’essayage. Je vous apporte votre parure.
Odile farfouille dans les tiroirs. Elle m’interroge.
- Deux culottes , je suppose.
- Oui, mettez une italienne s’il y en a une , mais présentez lui en plusieurs, mais pas de string.
Odile prend les articles, et se rend devant la cabine.
- Je peux-- Oui, entrez.
Hélène est déjà en sous vêtement. Odile l’apprécie de son œil d’experte.
-Cette parure rouge vous va à ravir.
- Vous me flattez.
Odile se retire, laissant la nouvelle parure sur un petit tabouret dans la cabine.
-Qu’est-ce que vous avez là, Pierre . Odile glisse un doigt entre le cou et le col de chemise de Pierre et découvre le suçon.
-J’ai été agressé par une folle de mon corps.
La voix d’Hélène monte de la cabine d’essayage
-C’est une marque d’amour, Odile, ça veut dire qu’il m’appartient. Pierre est à moi. Pas touche !!!
Odile s’approche de la cabine et en riant, et s’adresse à Hélène.
-Vous avez pensé à le faire tatouer .
- Oui, j’y pense. Pouffe Hélène. Puis plus sérieuse, -Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.
- J’arrive.
Et Odile pénètre dans la cabine .J’entends des chuchotements, des éclats de rire, puis Odile ressort .
- Allez-y ma chère, montrez-vous.
Hélène sort de la cabine, juchée sur ses talons, le galbe taille lui gommant son petit bedon et lui cambrant les fesses. La grande culotte camoufle le valseur incendiaire de ma belle.
- Qu’est ce tu en penses, Pierre.
- Superbe, tourne-toi.
Hélène pivote sur ses talons.
-Tu as une poitrine magnifique. ajoute Pierre.
- Eh bien, on le retient, je peux voir les autres - répondit Hélène.
Les essayages continuent, un vrai défilé.
Hélène entre et sort, et à chaque ensemble, ajoute un commentaire.
- Regarde le cul que j’ai avec ce serre-taille ?
- Tu a vu, la poitrine que me fait se soutien-gorge ?
- Cette couleur me va bien ?
- On ne voit pas trop mon gros cul à travers la dentelle- Oups, je suis sortie sans la culotte !
- Chéri, tu ne trouves pas que montre trop mes tétons ?
Et ces rires, et ces gloussements dans la cabine, et sans compter les ajustements qu’Odile effectue sur Hélène, sous mes yeux.
Je n’en peux plus, les yeux me sortent de la tête. Encore une présentation, et j’ai une attaque cardiaque.
Le stock est épuisé, et c’est l’heure du choix. Odile étale les modèles essayés. Hélène sélectionne trois modèles
- J’hésite entre celui-ci, celui-là, et aussi celui-ci.
- Vous voulez refaire un essayage. Propose Odile.
- Non, non, nous prenons les trois, je n’en peux plus, si vous recommencez, c’est l’AVC pour moi. Répliquai-je.
- Merci mon amour. Répond Hélène en m’embrassant.
Pendant qu’Hélène se réajuste en cabine, Odile me prend à part.
- Prenez soin d’Hélène, c’est une femme splendide et voluptueuse. Faites la s’épanouir.
- Ma chérie sort de la cabine, toute pimpante avec sa robe évasée autour de la hanche.
- Pierre, j’ai faim, je t’invite au resto.
- Allez donc au libanais, il est ouvert le dimanche. Nous propose Odile.
Nous suivons son conseil, nous commençons à nous gaver de mezzés.
- Hélène, qu’est ce qui s’est passé dans la cabine.
- Rien de bien grave, mon chéri.
- Mais encore.
Et Hélène reprend ce récit, à la troisieme personne, au moment où elle entre dans la cabine.
- Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.-- J’arrive .
Odile pénètre dans la cabine. Hélène s’est déjà déshabillée, ses seins se sont libérés du soutien-gorge , mais elle a gardé le reste de la parure rouge.
-Comment voulez-vous faire des essayages en restant habillé. Allez virez moi tout ça. Ordonne Odile.
Hélène hésite, puis se débarrasse de ses sous-vêtements. Elle nue devant cette si belle femme. Elle a gardé ses talons, et ses bas qui glissent sur ses cuisses
- Ma chère, vous êtes une femme magnifique.
- J’ai un gros cul et des nichons de pouffe.
- Vos seins sont très bien, ils ont un beau volume, bien ronds, ils tombent un peu, mais c’est normal vu leur taille. Vous pouvez aussi jouer de cet atout pour paraitre plus sexy. Quand ils sont en liberté sous un pull, ils doivent s’agiter divinement. Avec le soutien-gorge approprié, ils vous feront un décolleté superbe.
- Et mes fesses, elles sont énormes.
- Ne vous inquiéter pas, nous allons les mettre en valeur. Pierre va adorer s’en occuper, laissez moi faire.
Odile lui passe le serre taille et entreprend de l’agrafer.
- Je suis serrée.
- Ma chère, être serrée présente plein d’avantage : c’est un signal de soumission à Pierre, vous acceptez d’être contrainte, vous aimez lui être soumise . En vous gainant, ce modèle de porte-jarretelle vous cambre, et projette votre cul en arrière. Ca le met en valeur.
- Comme s’il avait besoin de ça !!!!
- Enfin vous pourrez serrer plus étroitement la ceinture de vos robes ce qui vous fera une belle taille étranglée. Un dernier truc : un serre taille serré porté avec des talons, vous fait obligatoirement rouler des hanches et des fesses.
Odile se penche pour fermer le galbe taille. Son souffle effleure la croupe de sa cliente. Helene est troublée. Odile pose un léger baiser sur la chair satinée.
- Attendez, je vais fixer vos bas. Et Odile s’agenouille.
Puis elle prend Hélène aux hanches et la fait pivoter face à elle.
- Je vous passe la culotte. Levez votre jambe, voilà, levez l’autre.
Odile remonte la culotte et s’arrête juste au-dessus du genou.Son visage est à la hauteur de la minette de sa cliente. Sa respiration s’accélère.
- Vous n’êtes pas épilée.
- Non Pierre n’aime pas les sexes de petite fille.
- Il a raison, vous n’êtes pas très fournie, on discerne bien vos lèvres.
Et posant sa main sur le mont de Venus, elle ajoute
- C’est très doux .
Elle s’approche, son souffle agite légèrement la toison d ’Hélène. Mais la belle l’arrête.
- Odile, s’il vous plait, cessez. Je suis à Pierre, je lui suis fidèle.
- Quel dommage fait-elle en se relevant.
Et au passage, elle me vole un baiser sur les lèvres .
- Je passe le soutien-gorge - Attendez, je vais vous ajuster.
- Odile passe dans le dos d’Hélène , et la place face au miroir, et régle les bretelles.
- Ne bougez pas je vous place les seins.
Et dans un geste sensuel, elle glisse un doigt entre le sein et le tissu, chatouillant la pointe, et soulève les deux coques pour replacer les seins d’Hélène.
- Voilà tout est en place, Vous êtes sublime ma chère.
Hélène surprise, éclate de rire, Odile aussi. D’un coup, la tension retombe.
- Odile, s’il vous plait, soyons amies.
- En guise d’accord, la belle lingère l’embrasse.
- Vous êtes superbe, vous avez un corps à porter des dessous, avec votre beau cul insolent, et vos seins opulents. Allez-vous montrer à Pierre.
OOO
Pour le reste, tu connais la suite, mon chéri. Tu vois, il ne s’est rien passé de grave.
- As-tu été tentée.
- Tentée non, mais troublée, certainement.
- Bon, mais la prochaine fois je rentre dans la cabine.
- Mon chéri, je te l’interdis bien, j’ai droit à un peu d’intimité avec mon coach en dessous.
Un silence complice.
D’un coup , Hélène lance cette demande.
- Chéri, je voudrais faire un truc de couple.
A suivre
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