Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie.
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie.
Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie.
- Je me suis tellement amusé, je ne veux pas être seule.
- Moi non plus, tu m’offres un thé pour commencer…
Je pose le plateau avec le service, la théière, et les gâteaux secs, sur la petite table du salon.
Hélène s’est calée dans le divan, le dos contre des coussins, les mollets sur l’assise. Du bout des pieds, elle se déchausse, et replie ses jambes, occupant deux des trois places du divan.
Je m’agenouille, je lui remplis une tasse et lui tend la boisson fumante.
Je pique deux coussins, et je m’installe sur le tapis, à hauteur de ses genoux découverts.
- Dis donc, tu es toujours aussi coquine avec Pierre.
- Tu veux dire aussi friponne. En fait, non je ne suis pas aussi friponne avec mon chéri. Il aime plus quand c’est suggéré. Mais une fois…- Une fois…- En fait, la première fois que j’ai enlevé ma culotte au resto, je l’ai perdue. Il l’a ramassée, mais c’est lui qui l’a pliée sous les yeux du serveur. J’étais aussi rouge que mes dessous.
Un silence. Puis je pose ma tête sur le canapé contre ses jambes. De la joue, je touche le nylon de ses bas. Je m’enhardis, je glisse ma main sur son genou. Je la regarde. Elle me sourit. Je ne la quitte pas des yeux, je remonte sur sa cuisse, j’atteins la lisière de ses Gerbes. Doucement, elle relève un coin de son sourire. Elle sait où je veux en venir, elle est d’accord, je touche enfin sa chair tiède.
- Stop.
Je me bloque, je recule ma main.
- Dégrafe ta robe. Je veux te voir en dessous.
Toujours assise, je me déshabille en faisant glisser ma robe au-dessus des épaules. Je reste à genoux, en soutien-gorge, et en porte jarretelles, sans culotte.
Hélène- Lève-toi !
Mel est magnifique, sa lourde poitrine présentée dans les balconnets, ses tétons en érection déformant la dentelle. Sa taille est gainée dans le large serre-taille, comprimant son petit ventre. Ses cuisses pleines se touchent à l’entrejambes, mais elles ne cachent pas un mont de vénus couvert d’une fourrure blonde.
A peine dissimulées par son vison, des grandes lèvres, un peu grasses entourent un sexe fendu assez haut. Je ne verrais ni les nymphes, ni son bouton dissimulés par ce con charnu et appétissant comme un abricot mûr.
- Tourne-toi.
Des hanches rondes s’accordent avec un cul opulent, légèrement tombant. Les bas s’arrêtent au deux tiers des cuisses pleines, et charnues. Les coutures affinent des mollets ronds prolongés par des chevilles un peu fortes, mais élégantes Bref, une matrone splendide.
Mél
Je lui fais face. Sans quitter son sourire de madone, elle dégage ces deux seins de son corsage.
- Mes seins, s’il te plait. Me lance-t-elle.
J’embouche un téton et je le mordille pour l’agacer. Je pince délicatement l’autre. De légers soupirs approuvent mon initiative.
Après quelques instants de cette sollicitation mammaire, une pression sur ma tête m’intime de descendre plus bas.
- Trousse-moi m’ordonne-t-elle
Je m’agenouille entre ses jambes et je bisoute sa cuisse en remontant vers sa chatte. Elle n’est pas épilée, mais son foin intime n’est pas très fourni.
Je peux discerner tous les détails de son sexe annelé. Et en dessous un rosebud rouge.
Je mâchouille ses lèvres intimes, je m’insinue dans sa fente, elle a une saveur légèrement salée. J’enroule ma langue autour de son bourgeon. Elle soupire d’aise.
Elle replie ses jambes vers ses épaules, pour me donner l’accès à son périnée.
- Enlève-moi mon bijou.
Je tire sur la rosace. Au passage du renflement, sa corolle s’écarte, et son muscle s’amincit. Ma belle amie soupire quand j’extirpe un bulbe large comme trois de mes doigts. Son poids me surprend, il m’échappe et émet un joli tintement métallique en tombant sur le sol
- Laisse-le et lèche-moi.
Je pose ma langue sur son orchidée
- Lèche-moi plus bas- Mais….
- Lèche moi plus bas, n’aie pas peur, je suis très propre.
Je suis son ordre, je cajole avec réticence cet endroit associé à des images scatologiques.
- Je vois que tu n’es pas très coutumière de ces caresses. Fait-elle en me relevant la tête, et en me pinçant le menton entre le pouce et l’index.
Elle plante ses yeux dans les miens, et autoritaire, elle m’ordonne
- Tu vas rouler ta langue sur elle-même, comme un petit cigare et tu entreras en moi.
- Mais…- Pas de mais, sinon nous en restons là. Ne fais pas la prude. Je sens bien que tu n’es qu’une petite bourge qui n’attend que d’être soumise et dévergondée.
Je retourne à son cratère, j’applique mes lèvres sur le pourtour de la rosette, ma langue la pénètre comme un micro pénis.
Un petit gémissement approuve cet enculage. Je commence à la pistonner. Elle roucoule.
Son gout est légèrement poivré, mais agréable, j’ai même l’impression d’y retrouver une odeur fruitée, probablement son savon intime.
En tout cas, c’est plutôt plaisant, je ne suis pas du tout dégoutée.
J’ai une petite crampe à force de contraindre mon muscle. Je me déploie à l’intérieur de son rectum, et je l’explore.
Je l’entends haleter, mon initiative semble appréciée.
De mon pouce, je retrousse le capuchon du clitoris et je stimule son bourgeon.
Son bassin s’agite d’avant en arrière. J’ai de plus en plus de mal à laisser ma langue dans son anus.
Dans un sursaut, elle explose, et s’effondre, libérant ma bouche.
Elle m’attire à elle, me serre, et me colle un doux baiser lesbien.
- Tu vois, ce n’est pas sale, n’est-ce pas.
- Oui maitresse.
- Evite le mot « maitresse ». je ne suis qu’une amante un peu directive après tout.
- C’était bien ???
- Mél, c’était délicieux. Tu avais déjà expérimenté cet attouchement.
- Non, j’ai toujours pensé que c’était, comment dirais-je, « sale ».
- Alors, ma belle, nous trouverons bien une opportunité de t’initier. Montre-moi le chemin de ta chambre.
Hélène
Mel passe devant moi. Elle a une démarche légère et dansante, malgré ses formes. Je peux observer le léger roulis de sa croupe opulente. Elle monte l’escalier, son cul à hauteur de mes yeux. A chaque marche, une fesse monte, accompagnée d’une légère houle des hanches. Le jeu vertical de ses miches laisse entrevoir le bijou bleu inséré dans son anus.
Je ne peux pas résister, je tends la main et je pose ma main sur cette chair si tentante. Elle se retourne et m’envoie un sourire attendrissant La chambre de Mél est décorée avec gout, dans les tons pastel, mais je vois tout de suite qu’elle n’est pas partagée avec son mari. Pas de ces petits arrangements qui dénotent une vie de couple, comme deux oreillers de chaque côté du lit, une montre masculine posée sur une table de nuit, pas de dressing partagé. Je peux presque sentir la solitude de cette épouse abandonnée.
Mél.
- Déshabille moi. M’ordonne-t-elle.
Je me glisse derrière elle, et j’ouvre la fermeture éclair de sa robe. Puis je fais glisser son vêtement, elle est en bas et guêpière. Son cul en liberté s’épanouit devant moi Je n’arrive pas à quitter ses fesses des yeux. Elle doit le sentir.
- Il est un peu gros.
- Quoi, Qui ?
- Mon cul, c’est bien ce que tu regardes.
- Oui, mais…- C’est ma marque qui t’intrigue ?
- Mais cette cicatrice…- Tu veux toucher ? Doucement, elle date d’avant-hier, elle est encore un peu douloureuse.
J’avance mes doigts, et je caresse du bout des doigts le renflement violacée qui travers en biais son or-gueilleux popotin.
- Allonge-toi, c’est ton tour ! fait-elle en me poussant sur le lit
Elle se penche sur mon mont de vénus, et dépose un léger baiser. Elle se redresse et me sourit.
Sa menotte ouvre mon coquillage. Je m’écarte, pour lui faciliter l’accès de mon intimité. Elle me fouille, je suis trempée, ma mouille coule sur mon périnée. Un index décalotte mon bourgeon et l‘agace. Je soupire doucement. Un doigt se présente à mon entrée secrète. Je me crispe.
- Pas de ça avec moi. Ouvre-toi. Fait-elle en me fixant dans les yeux.
D’un sourire, j’acquiesce, je glisse mes paumes entre le lit et mes fesses et je dégage le passage. Elle salive sur ses phalanges et les présentent au pertuis étroit. Elle s’introduit et entame un mouvement circulaire comme pour m’évaser.
Elle retire sa main et la pose sur mes lèvres.
- Goute-toi.
J’ai un mouvement de recul.
- Goute-toi, ou j’arrête.
J’entrouvre ma bouche, ses doigts me forcent.
- lèche-les, je veux sentir ta langue.
Je les caresse, je les suce comme si c’était le membre de mon mari. J’apprécie cette saveur issue du plus profond de moi-même.
Elle se retire, puis revient à mon œillet. Elle me pistonne avec douceur.
- Tu ne jouiras que par le cul. M’annonce-t-elle autoritaire.
- Oui ma chérie ! Branle moi.
J’ondule des hanches et du croupion. Elle accélère mon enculage. Ma rosette m’envoie des ondes de plaisir, je me couvre les yeux de mon avant-bras. Je gémis, je suis au bord de l’orgasme Les sensations sont si intenses que j’ai l’impression de n’être plus qu’un anus jouisseur.
Je flotte, puis un coup de langue sur mon clitoris, j’explose.
J’ouvre les yeux, ma belle maitresse me sourit.
- Excusez-moi, j’ai un peu bâclé les choses sur la fin.
- Merci, Hélène, c’était délicieux. Je n’en pouvais plus.
Elle m’entoure de ses bras. Ses formes sont moins opulentes que les miennes, mais on ressent comme une volupté maternelle à leur contact. Je suis bien.
C’est maintenant le temps de la tendresse, Hélène se cale contre la tête du lit, sur une pile d’oreillers comme sur une chaise longue, Je m’allonge contre elle, en posant ma tête, sur son ventre, sous sa poitrine. Je me laisse aller aux confidences.
- Tu es ma première lesbienne. Lancé-je à ma tendre amie.
- Je ne suis pas lesbienne, j’aime les hommes, ou plutôt j’aime le mien.
- Alors je dirai que tu es ma première amante.
- Voilà qui est mieux, et toi, tu es ma deuxième.
- Vraiment, et qui est la première, je la connais ?
- Oui, depuis ce matin, c’était Odile. Me répond la friponne- Odile, cette maigrichonne.
- Tu exagères, elle est fine, élégante, et elle était si timide.
- Et moi, je suis grosse alors, lui répond-je pour la provoquer.
- Non, tu es opulente, mais ta silhouette est bien équilibrée, et puis tu es appétissante. Fait-elle en se redressant, et en me retournant sur le ventre.
Je me laisse faire, espérant un tendre baiser. Mais c’est le contraire, elle se jette sur mon popotin et le mords à pleine dents.
- T’es folle ! fais-je en me retournant et me replaçant contre elle.
- Douillette ! M’envoie-t-elle.
- Dis donc, à propos, sur ton cul, c’est quoi ? la questionne-je - C’est Pierre.
- Il te bat.
- Mais non, c’est moi qui lui ai demandé de me marquer de sa cravache avant son voyage.
Elle se redresse et s’assoit, à ma hauteur, et me regarde dans les yeux.
- Ne me dis pas que tu ne savais pas cette façon de faire l’amour existait.
- Si, je savais que ça existait, mais je n’ai jamais été confrontée à la réalité d’une relation de ce type.
Tout doucement, elle me prend la main, passe ses doigts entre les miens et pose le tout sous ses seins.
- Tu sais, il y a encore quatre ans, moi aussi j’étais ignorante de cette manière d’aimer. J’avais été mal mariée, et je m’étais résolue à une vie sans amour. Et puis je suis tombée sur Pierre, au sens strict du terme. Depuis je suis raide dingue de lui.
- C’est ton, maitre ?
- Non, c’est mon sultan, et je suis sa sultane. C’est un amant exigeant et tendre. Il est autoritaire, mais il fait mes quatre volontés. Il me fouette, mais il porte mes marques. Tout ça, c’est de l’amour.
- Et puis , si j’ai été bien dotée par la nature, c’est pas seulement pour s’assoir dessus. Alors , c’est normal que Pierre soit tenté.
- Mais il te fait mal.
- Non, il me fait souffrir un peu et jouir beaucoup.
- Jouir ???
- Le meilleur moment, c’est quand il me prépare, qu’il m’attache, ou qu’il me conduit au supplice. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, j’ai l’impression d’être le centre de son monde. Et après…- Et après… fais-je pour la relancer- Après, j’adore quand il s’occupe de moi, quand il me caresse en me passant la pommade.
- ….
- En résumé, je suis une compagne comblée, une amante adorée, et une soumise épanouie.
- Je t’envie. Au moins ton homme s’intéresse à toi Fais-je, - Ah, tu veux être fouettée ? pourquoi pas , tu as un cul si tentant. Me répond-elle en rigolant.
- Peut-être un petit peu, juste pour essayer, ou j’aimerai bien voir.
- Oui j’ai remarqué que tu étais légèrement voyeuse sur les bords, - Bon, disons que je n’ai rien dit.
La fin de l’après-midi se passe en tendres câlins, et pelotages divers. Ma belle amie se laisse tripoter sans aucune gêne. Et d’ailleurs elle n’est pas en reste pour explorer les replis les plus intimes de mon corps. La journée se finit par un savonnage mutuel sous la douche.
C’est l’heure de nous séparer. Hélène me demande …
- Aide-moi à attacher ma guêpière.
Je fixe les agrafes, puis elle tend sa jambe vers moi. Je comprends immédiatement. Je prends un bas et je le fait remonter à deux mains le long de sa jambe. Puis j’agrafe son gerbe sur la jarretelle.
Je fais de même sur l’autre cuisse.
Elle attrape sa robe fleurie et l’enfile. Je remonte la glissière. Je ne peux me résoudre à tirer le rideau sur ce corps.
Je me penche, je la trousse et j’embrasse ce cul si tentateur.
Je saisis un déshabillé mais…
- Non remets tes dessous. J’aime bien quand tu es plus que nue, et moins que vêtue. M’ordonne-t-elle.
Je suis son injonction avec plaisir. J’enfile ma lingerie, je la vois saisir son portable.
- Je peux faire une photo ?
Et sans attendre une réponse, elle fait cliquer l’appareil.
- Tourne toi, mets-toi de dos, mais tourne ton visage vers moi.
Clic-clic.
- Je peux en faire une plus coquine.
- Oui, si tu veux.
- Baisse ta culotte à mi-cuisse, s’il te plait.
Je lui obéis sans discuter.
- Je la double, voilà, c’est parfait.
Je me reculotte et je m’approche d’elle.
- Montre- Tu rêves, c’est pour moi. Mets ta robe, et accompagne-moi à la voiture.
Nous sommes sur le trottoir, j’ai le cœur un peu gros de la laisser partir. Je ne sais pas quand nous renou-vellerons cette parenthèse sensuelle. Elle tourne la tête à droite et à gauche. Elle me saisit la nuque de ses doigts et m’attire vers ses lèvres pour un intense baiser. Puis elle saute dans sa voiture et me plante là, sur un petit geste de la main par la fenêtre ouverte
Pierre, Aéroport de Vantaa, Helsinki.
Je viens juste de passer le contrôle, et je me dirige vers le lounge VIP, quand la sonnerie signalant un SMS de ma Chérie.
Une photo d’une belle poule en dessous, visage coupée, le cul tourné vers l’objectif. Et une splendide marque de dents sur le gras de la fesse gauche. Je renvoie ma réponse.
- Mais ce n’est pas ton cul !!!
- Réponse à la maison, grand coquin !
Le taxi s’éloigne, j’ouvre doucement la porte, et je me déshabille dans le salon, laissant mes vêtements dans le canapé, je monte l’escalier vers notre chambre sur la pointe des pieds.
Hélène est allongée sur le côté droit, respirant doucement. Je me glisse sous le drap. Je me colle contre le cul voluptueux de ma belle. Une main saisit la mienne et la colle d’autorité sur son sein.
Un murmure.
- Il était temps, j’ai failli m’endormir.
- Merci de m’avoir attendue, ma chérie, Puis j’ajoute, ça c’est passée comment avec Mel.
- C’était bien agréable, mais il faudra que tu m’aides pour la suite….
- Je me suis tellement amusé, je ne veux pas être seule.
- Moi non plus, tu m’offres un thé pour commencer…
Je pose le plateau avec le service, la théière, et les gâteaux secs, sur la petite table du salon.
Hélène s’est calée dans le divan, le dos contre des coussins, les mollets sur l’assise. Du bout des pieds, elle se déchausse, et replie ses jambes, occupant deux des trois places du divan.
Je m’agenouille, je lui remplis une tasse et lui tend la boisson fumante.
Je pique deux coussins, et je m’installe sur le tapis, à hauteur de ses genoux découverts.
- Dis donc, tu es toujours aussi coquine avec Pierre.
- Tu veux dire aussi friponne. En fait, non je ne suis pas aussi friponne avec mon chéri. Il aime plus quand c’est suggéré. Mais une fois…- Une fois…- En fait, la première fois que j’ai enlevé ma culotte au resto, je l’ai perdue. Il l’a ramassée, mais c’est lui qui l’a pliée sous les yeux du serveur. J’étais aussi rouge que mes dessous.
Un silence. Puis je pose ma tête sur le canapé contre ses jambes. De la joue, je touche le nylon de ses bas. Je m’enhardis, je glisse ma main sur son genou. Je la regarde. Elle me sourit. Je ne la quitte pas des yeux, je remonte sur sa cuisse, j’atteins la lisière de ses Gerbes. Doucement, elle relève un coin de son sourire. Elle sait où je veux en venir, elle est d’accord, je touche enfin sa chair tiède.
- Stop.
Je me bloque, je recule ma main.
- Dégrafe ta robe. Je veux te voir en dessous.
Toujours assise, je me déshabille en faisant glisser ma robe au-dessus des épaules. Je reste à genoux, en soutien-gorge, et en porte jarretelles, sans culotte.
Hélène- Lève-toi !
Mel est magnifique, sa lourde poitrine présentée dans les balconnets, ses tétons en érection déformant la dentelle. Sa taille est gainée dans le large serre-taille, comprimant son petit ventre. Ses cuisses pleines se touchent à l’entrejambes, mais elles ne cachent pas un mont de vénus couvert d’une fourrure blonde.
A peine dissimulées par son vison, des grandes lèvres, un peu grasses entourent un sexe fendu assez haut. Je ne verrais ni les nymphes, ni son bouton dissimulés par ce con charnu et appétissant comme un abricot mûr.
- Tourne-toi.
Des hanches rondes s’accordent avec un cul opulent, légèrement tombant. Les bas s’arrêtent au deux tiers des cuisses pleines, et charnues. Les coutures affinent des mollets ronds prolongés par des chevilles un peu fortes, mais élégantes Bref, une matrone splendide.
Mél
Je lui fais face. Sans quitter son sourire de madone, elle dégage ces deux seins de son corsage.
- Mes seins, s’il te plait. Me lance-t-elle.
J’embouche un téton et je le mordille pour l’agacer. Je pince délicatement l’autre. De légers soupirs approuvent mon initiative.
Après quelques instants de cette sollicitation mammaire, une pression sur ma tête m’intime de descendre plus bas.
- Trousse-moi m’ordonne-t-elle
Je m’agenouille entre ses jambes et je bisoute sa cuisse en remontant vers sa chatte. Elle n’est pas épilée, mais son foin intime n’est pas très fourni.
Je peux discerner tous les détails de son sexe annelé. Et en dessous un rosebud rouge.
Je mâchouille ses lèvres intimes, je m’insinue dans sa fente, elle a une saveur légèrement salée. J’enroule ma langue autour de son bourgeon. Elle soupire d’aise.
Elle replie ses jambes vers ses épaules, pour me donner l’accès à son périnée.
- Enlève-moi mon bijou.
Je tire sur la rosace. Au passage du renflement, sa corolle s’écarte, et son muscle s’amincit. Ma belle amie soupire quand j’extirpe un bulbe large comme trois de mes doigts. Son poids me surprend, il m’échappe et émet un joli tintement métallique en tombant sur le sol
- Laisse-le et lèche-moi.
Je pose ma langue sur son orchidée
- Lèche-moi plus bas- Mais….
- Lèche moi plus bas, n’aie pas peur, je suis très propre.
Je suis son ordre, je cajole avec réticence cet endroit associé à des images scatologiques.
- Je vois que tu n’es pas très coutumière de ces caresses. Fait-elle en me relevant la tête, et en me pinçant le menton entre le pouce et l’index.
Elle plante ses yeux dans les miens, et autoritaire, elle m’ordonne
- Tu vas rouler ta langue sur elle-même, comme un petit cigare et tu entreras en moi.
- Mais…- Pas de mais, sinon nous en restons là. Ne fais pas la prude. Je sens bien que tu n’es qu’une petite bourge qui n’attend que d’être soumise et dévergondée.
Je retourne à son cratère, j’applique mes lèvres sur le pourtour de la rosette, ma langue la pénètre comme un micro pénis.
Un petit gémissement approuve cet enculage. Je commence à la pistonner. Elle roucoule.
Son gout est légèrement poivré, mais agréable, j’ai même l’impression d’y retrouver une odeur fruitée, probablement son savon intime.
En tout cas, c’est plutôt plaisant, je ne suis pas du tout dégoutée.
J’ai une petite crampe à force de contraindre mon muscle. Je me déploie à l’intérieur de son rectum, et je l’explore.
Je l’entends haleter, mon initiative semble appréciée.
De mon pouce, je retrousse le capuchon du clitoris et je stimule son bourgeon.
Son bassin s’agite d’avant en arrière. J’ai de plus en plus de mal à laisser ma langue dans son anus.
Dans un sursaut, elle explose, et s’effondre, libérant ma bouche.
Elle m’attire à elle, me serre, et me colle un doux baiser lesbien.
- Tu vois, ce n’est pas sale, n’est-ce pas.
- Oui maitresse.
- Evite le mot « maitresse ». je ne suis qu’une amante un peu directive après tout.
- C’était bien ???
- Mél, c’était délicieux. Tu avais déjà expérimenté cet attouchement.
- Non, j’ai toujours pensé que c’était, comment dirais-je, « sale ».
- Alors, ma belle, nous trouverons bien une opportunité de t’initier. Montre-moi le chemin de ta chambre.
Hélène
Mel passe devant moi. Elle a une démarche légère et dansante, malgré ses formes. Je peux observer le léger roulis de sa croupe opulente. Elle monte l’escalier, son cul à hauteur de mes yeux. A chaque marche, une fesse monte, accompagnée d’une légère houle des hanches. Le jeu vertical de ses miches laisse entrevoir le bijou bleu inséré dans son anus.
Je ne peux pas résister, je tends la main et je pose ma main sur cette chair si tentante. Elle se retourne et m’envoie un sourire attendrissant La chambre de Mél est décorée avec gout, dans les tons pastel, mais je vois tout de suite qu’elle n’est pas partagée avec son mari. Pas de ces petits arrangements qui dénotent une vie de couple, comme deux oreillers de chaque côté du lit, une montre masculine posée sur une table de nuit, pas de dressing partagé. Je peux presque sentir la solitude de cette épouse abandonnée.
Mél.
- Déshabille moi. M’ordonne-t-elle.
Je me glisse derrière elle, et j’ouvre la fermeture éclair de sa robe. Puis je fais glisser son vêtement, elle est en bas et guêpière. Son cul en liberté s’épanouit devant moi Je n’arrive pas à quitter ses fesses des yeux. Elle doit le sentir.
- Il est un peu gros.
- Quoi, Qui ?
- Mon cul, c’est bien ce que tu regardes.
- Oui, mais…- C’est ma marque qui t’intrigue ?
- Mais cette cicatrice…- Tu veux toucher ? Doucement, elle date d’avant-hier, elle est encore un peu douloureuse.
J’avance mes doigts, et je caresse du bout des doigts le renflement violacée qui travers en biais son or-gueilleux popotin.
- Allonge-toi, c’est ton tour ! fait-elle en me poussant sur le lit
Elle se penche sur mon mont de vénus, et dépose un léger baiser. Elle se redresse et me sourit.
Sa menotte ouvre mon coquillage. Je m’écarte, pour lui faciliter l’accès de mon intimité. Elle me fouille, je suis trempée, ma mouille coule sur mon périnée. Un index décalotte mon bourgeon et l‘agace. Je soupire doucement. Un doigt se présente à mon entrée secrète. Je me crispe.
- Pas de ça avec moi. Ouvre-toi. Fait-elle en me fixant dans les yeux.
D’un sourire, j’acquiesce, je glisse mes paumes entre le lit et mes fesses et je dégage le passage. Elle salive sur ses phalanges et les présentent au pertuis étroit. Elle s’introduit et entame un mouvement circulaire comme pour m’évaser.
Elle retire sa main et la pose sur mes lèvres.
- Goute-toi.
J’ai un mouvement de recul.
- Goute-toi, ou j’arrête.
J’entrouvre ma bouche, ses doigts me forcent.
- lèche-les, je veux sentir ta langue.
Je les caresse, je les suce comme si c’était le membre de mon mari. J’apprécie cette saveur issue du plus profond de moi-même.
Elle se retire, puis revient à mon œillet. Elle me pistonne avec douceur.
- Tu ne jouiras que par le cul. M’annonce-t-elle autoritaire.
- Oui ma chérie ! Branle moi.
J’ondule des hanches et du croupion. Elle accélère mon enculage. Ma rosette m’envoie des ondes de plaisir, je me couvre les yeux de mon avant-bras. Je gémis, je suis au bord de l’orgasme Les sensations sont si intenses que j’ai l’impression de n’être plus qu’un anus jouisseur.
Je flotte, puis un coup de langue sur mon clitoris, j’explose.
J’ouvre les yeux, ma belle maitresse me sourit.
- Excusez-moi, j’ai un peu bâclé les choses sur la fin.
- Merci, Hélène, c’était délicieux. Je n’en pouvais plus.
Elle m’entoure de ses bras. Ses formes sont moins opulentes que les miennes, mais on ressent comme une volupté maternelle à leur contact. Je suis bien.
C’est maintenant le temps de la tendresse, Hélène se cale contre la tête du lit, sur une pile d’oreillers comme sur une chaise longue, Je m’allonge contre elle, en posant ma tête, sur son ventre, sous sa poitrine. Je me laisse aller aux confidences.
- Tu es ma première lesbienne. Lancé-je à ma tendre amie.
- Je ne suis pas lesbienne, j’aime les hommes, ou plutôt j’aime le mien.
- Alors je dirai que tu es ma première amante.
- Voilà qui est mieux, et toi, tu es ma deuxième.
- Vraiment, et qui est la première, je la connais ?
- Oui, depuis ce matin, c’était Odile. Me répond la friponne- Odile, cette maigrichonne.
- Tu exagères, elle est fine, élégante, et elle était si timide.
- Et moi, je suis grosse alors, lui répond-je pour la provoquer.
- Non, tu es opulente, mais ta silhouette est bien équilibrée, et puis tu es appétissante. Fait-elle en se redressant, et en me retournant sur le ventre.
Je me laisse faire, espérant un tendre baiser. Mais c’est le contraire, elle se jette sur mon popotin et le mords à pleine dents.
- T’es folle ! fais-je en me retournant et me replaçant contre elle.
- Douillette ! M’envoie-t-elle.
- Dis donc, à propos, sur ton cul, c’est quoi ? la questionne-je - C’est Pierre.
- Il te bat.
- Mais non, c’est moi qui lui ai demandé de me marquer de sa cravache avant son voyage.
Elle se redresse et s’assoit, à ma hauteur, et me regarde dans les yeux.
- Ne me dis pas que tu ne savais pas cette façon de faire l’amour existait.
- Si, je savais que ça existait, mais je n’ai jamais été confrontée à la réalité d’une relation de ce type.
Tout doucement, elle me prend la main, passe ses doigts entre les miens et pose le tout sous ses seins.
- Tu sais, il y a encore quatre ans, moi aussi j’étais ignorante de cette manière d’aimer. J’avais été mal mariée, et je m’étais résolue à une vie sans amour. Et puis je suis tombée sur Pierre, au sens strict du terme. Depuis je suis raide dingue de lui.
- C’est ton, maitre ?
- Non, c’est mon sultan, et je suis sa sultane. C’est un amant exigeant et tendre. Il est autoritaire, mais il fait mes quatre volontés. Il me fouette, mais il porte mes marques. Tout ça, c’est de l’amour.
- Et puis , si j’ai été bien dotée par la nature, c’est pas seulement pour s’assoir dessus. Alors , c’est normal que Pierre soit tenté.
- Mais il te fait mal.
- Non, il me fait souffrir un peu et jouir beaucoup.
- Jouir ???
- Le meilleur moment, c’est quand il me prépare, qu’il m’attache, ou qu’il me conduit au supplice. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, j’ai l’impression d’être le centre de son monde. Et après…- Et après… fais-je pour la relancer- Après, j’adore quand il s’occupe de moi, quand il me caresse en me passant la pommade.
- ….
- En résumé, je suis une compagne comblée, une amante adorée, et une soumise épanouie.
- Je t’envie. Au moins ton homme s’intéresse à toi Fais-je, - Ah, tu veux être fouettée ? pourquoi pas , tu as un cul si tentant. Me répond-elle en rigolant.
- Peut-être un petit peu, juste pour essayer, ou j’aimerai bien voir.
- Oui j’ai remarqué que tu étais légèrement voyeuse sur les bords, - Bon, disons que je n’ai rien dit.
La fin de l’après-midi se passe en tendres câlins, et pelotages divers. Ma belle amie se laisse tripoter sans aucune gêne. Et d’ailleurs elle n’est pas en reste pour explorer les replis les plus intimes de mon corps. La journée se finit par un savonnage mutuel sous la douche.
C’est l’heure de nous séparer. Hélène me demande …
- Aide-moi à attacher ma guêpière.
Je fixe les agrafes, puis elle tend sa jambe vers moi. Je comprends immédiatement. Je prends un bas et je le fait remonter à deux mains le long de sa jambe. Puis j’agrafe son gerbe sur la jarretelle.
Je fais de même sur l’autre cuisse.
Elle attrape sa robe fleurie et l’enfile. Je remonte la glissière. Je ne peux me résoudre à tirer le rideau sur ce corps.
Je me penche, je la trousse et j’embrasse ce cul si tentateur.
Je saisis un déshabillé mais…
- Non remets tes dessous. J’aime bien quand tu es plus que nue, et moins que vêtue. M’ordonne-t-elle.
Je suis son injonction avec plaisir. J’enfile ma lingerie, je la vois saisir son portable.
- Je peux faire une photo ?
Et sans attendre une réponse, elle fait cliquer l’appareil.
- Tourne toi, mets-toi de dos, mais tourne ton visage vers moi.
Clic-clic.
- Je peux en faire une plus coquine.
- Oui, si tu veux.
- Baisse ta culotte à mi-cuisse, s’il te plait.
Je lui obéis sans discuter.
- Je la double, voilà, c’est parfait.
Je me reculotte et je m’approche d’elle.
- Montre- Tu rêves, c’est pour moi. Mets ta robe, et accompagne-moi à la voiture.
Nous sommes sur le trottoir, j’ai le cœur un peu gros de la laisser partir. Je ne sais pas quand nous renou-vellerons cette parenthèse sensuelle. Elle tourne la tête à droite et à gauche. Elle me saisit la nuque de ses doigts et m’attire vers ses lèvres pour un intense baiser. Puis elle saute dans sa voiture et me plante là, sur un petit geste de la main par la fenêtre ouverte
Pierre, Aéroport de Vantaa, Helsinki.
Je viens juste de passer le contrôle, et je me dirige vers le lounge VIP, quand la sonnerie signalant un SMS de ma Chérie.
Une photo d’une belle poule en dessous, visage coupée, le cul tourné vers l’objectif. Et une splendide marque de dents sur le gras de la fesse gauche. Je renvoie ma réponse.
- Mais ce n’est pas ton cul !!!
- Réponse à la maison, grand coquin !
Le taxi s’éloigne, j’ouvre doucement la porte, et je me déshabille dans le salon, laissant mes vêtements dans le canapé, je monte l’escalier vers notre chambre sur la pointe des pieds.
Hélène est allongée sur le côté droit, respirant doucement. Je me glisse sous le drap. Je me colle contre le cul voluptueux de ma belle. Une main saisit la mienne et la colle d’autorité sur son sein.
Un murmure.
- Il était temps, j’ai failli m’endormir.
- Merci de m’avoir attendue, ma chérie, Puis j’ajoute, ça c’est passée comment avec Mel.
- C’était bien agréable, mais il faudra que tu m’aides pour la suite….
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