Hélène 40 : A l'insu de mon plein gré

- Par l'auteur HDS Rouge -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Hélène 40 : A l'insu de mon plein gré Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2020 dans la catégorie Plus on est
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Hélène 40 : A l'insu de mon plein gré
Hélène 40 :A l’insu de mon plein gré.

- Mesdames, j’ai faim ! Lancé-je dans l’escalier.
- On arrive ! Font en chœur deux voix féminines- Mais j’ai réservé pour neuf heures ce soir.
- Ne t’inquiète pas, ils ne nous mettront pas à la porte. Me répond ma brune adorée
Voilà, j'ai décidé de profiter de ce samedi soir, pour fêter la réconciliation des deux amies. J’ai donc réservé dans un petit restaurant de caractère pour nous trois. C’est un endroit charmant, où les tables sont assez espacées pour que les voisins n’entendent pas nos conversations, et où les serveurs ne voient pas ce qu’ils ne devraient pas voir. J’en suis là de mes réflexions quand...

- Et voilà, nous sommes prêtes ! fait la voix de ma sultane.

Je lève les yeux.
Elles se sont arrêtées toutes les deux à la moitié de l’escalier, pour se faire admirer, et il y a de quoi.
Elles portent toute les deux la même robe, bleu nuit pour Hélène, et noire pour Mel. Sur chacune des épaules un lacet légèrement serré, créé un plissé qui laisse les bras nus. Et ouvre un décolleté plutôt sage. Bien entendu, elles ont serré leur taille dans une ceinture assortie pour mettre en valeur leurs hanches de violoncelle. L’étoffe coule en souplesse jusqu' à leurs mollets gainés de bas havane pour ma belle et de Gerbe dorés pour mon invitée.
Pas de maquillage, juste un rouge discret pour Mel et un carmin plus appuyé pour ma chérie.
Toutes deux ont opté pour un chignon banane, dégageant la nuque et le cou.

- Alors ça te plait. Fait ma brune en tendant une jambe pour descendre une marche.

La robe s’ouvre alors, découvrant la cuisse jusqu’ à la jarretelle du bas.
Mais ce n’est pas tout. Le petit choc du talon qui se pose, s’accompagne d’un balancement au niveau de la soie qui couvre la poitrine. Aucun doute, les seins de la belle sont libres de tout soutien. Impression confirmée par le relief d’un téton érigé qui marque fugitivement le plissé du décolleté.

Sa copine blonde descend à son tour, confirmant mon observation.

- Tu ne m’as pas répondu mon chaton.
- Tu es à croquer.
- Oui, et tu te vois bien dans le rôle du grand méchant loup me répond-elle- Et moi, je vous plais aussi me lance Mel.
- Vous êtes délicieusement sensuelle…- Ah zut j’ai oublié quelque chose là-haut ! Me coupe ma sultane.

Et elle pivote sur elle-même pour escalader les premières marches. Je la suis du regard.

Elle pose une pointe du pied sur la marche, et ses hanches roulent pour accompagner la tension du mollet. La masse ronde de sa fesse gauche gonfle le tissu, mais pas de marque d’élastique. Au deuxième échelon, c’est l’autre miche qui s’agite indépendamment de sa jumelle. Le croupion de ma belle est en liberté, sans aucune contrainte.
Elle se retourne, et me sourit, ravie de sa plaisanterieLe repas est très gai, et même un peu arrosé. Les deux jeunes dames m'ont laissé la banquette et donc tournent le dos à la salle. Ce qui leur permet tous les effets de décolleté Elles lancent des plaisanteries légères, voire coquines qui ne me laissent aucun doute sur la suite de la soirée.
Nous finissons nos desserts et nous sortons. Dans la rue, Helene m’attire contre elle, pose ses lèvres sur les miennes, puis fouille ma bouche. Elle plaque sa main sur ma nuque. Patin d'enfer !
Elle m’attrape par la hanche et colle la sienne contre la mienne. Elle attire ma pogne sur sa taille. De l'autre côté, Mel se serre contre moi, s'empare de mes doigts et les pose sur le haut de son fessier. En jetant un coup d'œil en arrière, ma belle repère la position de ma paluche gauche et fait descendre ma droite en plein milieu de son glorieux popotin. Sa gentille amie, par souci d'équilibre, sans doute, déplace ma pogne en plein milieu de son opulent postérieur.
Nous gagnons ainsi ma voiture, Pendant ce court trajet, je pétris les délicieuse masses charnues valsant en liberté sous la soie. Je suis aux anges.
Arrivés à la voiture, je leur ouvre les portières. C'est encore l'occasion de laisser les jupes s'écarter et m'offrir le spectacle de leurs cuisses au-dessus des bas et d'exhiber furtivement leurs sexes libres de toute lingerie. Mel en profite pour me susurrer …
- Mon cher Pierre, vous avez bien compris que ce soir, vous allez passer à la casserole
Elles m’entrainent vers l’étage, chacune me tenant par la main. Dans la chambre, notre grand lit est découvert. Quatre cravates ont été attachées à chacun des coins.

- Mon chéri, laisse-toi faire ! Me murmure ma sultane.

Et elle déboutonne ma chemise. Mél, quant à elle, s’attaque à la ceinture de mon pantalon. De la pointe des pieds, je me déchausse. Me voici nu. Doucement Hélène me pousse et je tombe en arrière sur le drap. De moi-même, j’écarte les bras et les jambes. Elles me lient, je n’ai aucune appréhension, je suis bien, je me livre avec bonheur. Mon amour me glisse deux oreillers dans le dos pour que je sois redressé.
Les deux matures se placent au pied du lit, elles se font face et chacune défait la ceinture de l’autre. Elles se tournent vers moi et secouent leurs épaules, la soie glisse et tombe.
Elles sont magnifiques, leurs beaux seins en liberté tombent à peine, agités d’un léger balancement. Leurs chattes sont épilées de façon identique en ticket de métro,Elles pivotent sur elles-mêmes. J’avais vu juste, leurs croupions s’offrent à moi, sans voile, seulement encadrés des serre-tailles, des jarretelles et de la lisière des bas. Elles ôtent les épingles de leurs chignons pour défaire leur coiffure. En cadence, elles ondulent de la nuque jusqu’au cul, leurs belles chevelures balaient leur dos, jusqu’au milieu des omoplates.
Cette ondulation fait danser leurs fesses, qui laisse échapper un éclat coloré. Ces coquines se sont embijoutées l’anus.
Hélène se glisse à quatre pattes vers moi, un foulard noir à la main. Elle me bande les yeux. Puis elle enlève les coussins de mon dos pour m’allonger. Elle murmure à mon oreille.

- Mon chaton, je sais que tu m’es fidèle, mais ce soir, je te partage. Alors, attaché et aveuglé, tu seras l’amant de l’une et de l’autre, à l’insu de ton plein gré. Tu ne sauras pas qui abuse de la situation.
- Mais mon cher Pierre, nous allons jouer un peu. Il faudra que vous deviniez qui vous a prodigué telle ou telle caresse. Et demain si vous avez plus de bonnes réponses que de mauvaises, vous choisirez un gage pour moi et un autre pour votre chérie d’amour.
- Et si je perds ?
- C’est nous qui aurons un gage, mon cher futur amant.

De moi-même, je m'offre, je m'écartèle. Elles me lient. L'une d'elles en profite pour déposer un léger baiser sur ma cheville. J'entends des petits rires étouffés
Le corps de mon Pierre est magnifique, allongé sur le dos, crucifié, étiré, son ventre s'est aplati et doucement sa belle déjà dressée qui se gonfle.
Je relève les yeux, en face de moi Mel, à quatre pattes sur le lit, ses lourdes mamelles pendantes, ses bouts gonflés, presque à toucher mon homme. Elle montre son plus beau sourire carnassier, comme une chatte en face d'une souris.

- On en mangerait.
- Pas touche, minouche, sinon gare à tes miches.
- Comment tu fais ? Jamais mon ex n'aurait accepté !
- Mon chéri est très amoureux de moi.
- Il n'aurait pas un frère par hasard ?
- Non, seulement un fils.


Un téton se frotte dans la paume, ensuite, je sens dans ma main la masse douce et plastique d’un sein, je le soupèse un instant, puis je replie mes doigts en pince, et je chiffonne et martyrise ces bouts qui se donnent. Je n'arrête que lorsque j'entends des petits aie aie aie
Le matelas s'enfonce à gauche de ma tête, puis à droite. Au-dessus de mon nez, je sensUne odeur féminine, puis avec précaution, un sexe déjà humide se pose sur ma bouche.
Je le lape, je saisis une nymphe entre mes dents et je la mâchouille Cette chatte se déplace légèrement et met à portée de mes lèvres un clitoris turgescent.
Je le happe et le pincouille, la propriétaire de ce bourgeon se penche vers l'avant. Je l’aspire, je le suce, je le mordille, encouragé par les petits gémissements de la dame.

A l'autre bout, une langue caresse mon gland, et essaie de s'introduire dans mon méat, puis elle glisse le long de mon frein, elle se faufile à la jonction de mon gland et de ma tige et en fait le tour, Ma peau s'est complétement retroussée, laissant mon mat à vif.
On m’embouche, en m'enduisant de salive. Le matelas bouge de droite à gauche. Je pénètre une grotte humide. Je suis aspiré. La propriétaire de ce vagin ondule légèrement des hanches comme pour mieux s’empaler. Elle soupire d’aise.

Mon autre amante se décale légèrement offrant son orifice le plus intime à mes lèvres. J'y dépose un léger baiser, puis elle ouvre son cul et se pose sur ma bouche. Je pousse ma langue roulée en cigare, et je pénètre son sphincter, tout disposé à se laisser violer. J'y trouve une petite saveur de thé noir. Sans aucun doute, il s'agit de ma belle maitresse.

Mel s'enconne avec vigueur, elle bascule vers l’avant. Une main se glisse entre mon ventre et le sien, paume vers le haut. Le rythme de ses soupirs s’accélère, nul doute qu’un doigt ou deux de ma belle agace son bourgeon
Quant à Hélène, elle ne boude pas son plaisir, appréciant ma feuille de rose. De mon côté, je bouffe son cul avec bonheur. Elle halète de plus en plus fort.
Sous mon bandeau, je ferme les yeux, je les imagine penchée l'une vers l'autre, se saisissant de leurs mamelles, les pétrissant, agaçant et pinçant leurs tétons, Cette vision me donne un regain de vigueur.
Je ne suis plus qu’un gode vivant bander à exploser, et une langue fureteuse dans un anus jouisseur. J'adore cette sensation de n'être qu'un instrument de plaisir pour ces deux opulentes quinquas déchainés.
Mon amante blonde se bloque et se crispe, Je me lâche, j'ai l'impression, d'avoir une réserve infinie. Remplie de mon foutre elle s'abat, heureuse à côté de moi. Ma brune écarte ses fesses à deux mains et écrase mon visage comme pour avaler encore plus ma langue. Elle râle, en tanguant d'une hanche sur l'autre, Et elle s'effondre haletante.

C'est la pause, bien méritée en ce qui me concerne.
Des lèvres se posent sur les miennes et les ouvrent. Je ne sais qui viole ma bouche mais je me laisse faire, dès que je reconnais le goût du rouge de ma belle.

Le matelas s'agite à nouveau
- Cher petit coq d’amour, on va vous faire rebander, lance la voix de Mel !

Je commence juste à me redresser quand des doigts féminins entoure mon priape. Des lèvres gourmandes se posent sur mon gland. On suçote mon mat en le remontant. Elles sont deux à me sucer quand une main s’empare de mes couilles et les pétrit avec douceur. Puis mes testicules sont aspirées, englouties par une bouche avide. Un doigt humide se glisse entre mes fesses et pénètre mon anus.
Je bande à nouveau, une chevelure soyeuse balaie mon ventre. Ensuite, je reconnais les lanières d’un martinet qui caressent mon ventre. Les cheveux de ma belle repassent sur mon gland.
Je me crispe d’un coup : la cinglée est tombée sur ma queue, touchant douloureusement la tête de mon sexe. Une deuxième fouettée tombe sur mes deux boules.

- Voilà, mon chéri, tu es magnifique. Lance la voie de ma brune.

On frôle le bout de mon dard, une main centre la cible, puis on appuie. L'anus résiste une seconde, puis s'ouvre complaisamment et m'engloutit. La belle vient de s'enculer, un râle de bonheur accompagne cette pénétration anale.

- S’il te plait, viens me lécher, ma belle. Ordonne mon amante.
- Attends un peu. Répond Mel, en détachant ma main droite.

A tâtons, je trouve un mollet gainé de nylon, je remonte le long du bas, jusqu’à la jarretelle, je farfouille au milieu d’un fessier opulent. Mes doigts trouvent une chatte humide et baillante. Je joins l’index et le majeur et je les pousse dans la grotte trempée. L’annulaire et l’auriculaire trouve l’anus et le viole.
Je pistonne notre amie blonde. A chaque aller-retour, mon pouce chatouille le clitoris érigé
Ma chérie s’encule en me martelant le bassin de son glorieux postérieur. Dès que ma bite est dégagée, je sens la langue de Mel lécher ma tige. Je peux sans peine imaginer la scène.
La blonde, à quatre pattes se faisant branler le con, le cul, et le clitoris, en train de bouffer la chatte de la brune, elle-même se sodomisant vigouteusement.

Les soupirs se transforment en halètements, puis en râles de plaisir. Le pilonnage de mon amante devient de plus en plus frénétique, le fessier de notre invitée s’agite frénétiquement autour de main. Je ne peux plus me retenir. Et je propulse mon jet dans le rectum de mon enculée adorée. Elle part et bascule en avant. Elle entraine notre amie dans son orgasme. Cette dernière tombe en travers de mon ventre.

Le silence de la chambre est seulement troublé par les respirations des amants reprenant leur souffle
- Je suis crevée, continuez sans moi, déclare mon amante blonde,- Moi pareille lui réplique ma brune adorée. On te détache mon chéri - Commencez par le bandeau, Mesdames.

Comme ça, je profite de la vision enchanteresse des culs opulents de ces dames à quatre pattes, de leurs intimités gonflées et rosies par le plaisir et leurs magnifiques seins ballotantJe m'assois sur le bord du lit et je frotte mes poignets.

- Viens ma chérie, je vais te débarrasser.


J'attire ma belle à moi, je détache ses bas qui tombent tout seuls. Je passe mes mains dans son dos et je dégrafe son serre taille. Mes yeux sont justes à la hauteur de son mont de venus. J'appuie mon front sur son petit ventre. Je passe ma main entre ses cuisses, je glisse mon majeur dans son anus complaisant, et je le replie en crochet. Je pose ma bouche sur son bourgeon, et je l'aspire en passant ma langue sur son clitoris. Elle frissonne du haut en bas.

Hélène.
Je fremis, instinctivement, j'appuie la tête de mon amant contre mon bedon, Il recommence Je laisse échapper un ah de bonheur. Je me laisse tomber à côté de lui sur le lit.

- Et moi ! Lance la blonde, en se dressant devant moi.

Je marque un arrêt, mais j'entends une voix derrière moi.

- Fais lui plaisir, mon chaton.
- Merci Hélène. Lui renvoie ma belle.

Mel sent bon la femelle comblée. Je gobe sa petite graine, et je la pompe avec délice. Le doigtage de sa rosette la fait soupirer d'aise. Un petit coup de langue, et elle se laisse pâmer sur notre couche.
Les deux belles s'allongent en chien de fusil, chacune de son coté du lit. J'attrape la couette et je la tire sur mes deux amantes. Comme d'habitude, je me colle contre ma chérie, le nez dans sa chevelure, et la verge contre son cul. J'empaume son sein.
Notre amie se coule contre mon dos, son front contre ma nuque. Une main se faufile sous les draps et s'empare de ma queue et la glisse entre les fesses de ma brune. Bien entendu, ce contact coquin réveille ma vigueur, et je m’introduis dans un œillet compréhensif. Ma belle enculée pouffe et murmure.

- Mon chat, Je ne suis plus bonne à rien, mais tu peux la laisser au chaud.
- Demain, Pierre, vous restez au lit, vous vous reposez, nous ferons le petit déj. Susurre une voix dans mon dos.


Le lendemain après un brunch, nous nous retrouvons en peignoirs dans le canapé. Mel a pris place près de l’accoudoir, allongeant ses jambes sur l'assise. Je m'installe entre ses jambes et je pose ma tête sur son ventre juste sous les seins. Elle a ouvert sa lingerie pour que ma joue goute la douceur de sa peau.
Hélène s'installe de la même façon sur moi, la chevelure étalée sur mon torse. Il suffit qu'elle fouille dans les replis du kimono, et elle peut attraper son sex toy préféré.

- Alors, Pierre, prêt pour le jeu. Lance Mel- Prêt, mesdames !
- D’abord, qui t a embrassé ? Demande Hélène- Toi, je sais que tu n’aurais laissé mes lèvres à personne d’autre.
- Et qui vous a pris en bouche, au début ? Lance Mel- Vous, ma chère- Et pourquoi- Ma chérie a l’habitude de balayer mon ventre de ses cheveux, et même d’enlacer ma verge avec.
- Et quels nichons avez-vous pelotés ?
- Dans la main droite le vôtre : ma paume n’arrivait pas à le contenir et il était plus lourd que celui que je soupesai à droite.
- Et quel cul as-tu fais jouir. Interroge Hélène- Le tien mon amour, il avait un petit gout de the noir.
- Et le coup de martinet ?
- Toi encore, je suis sûr que Mel n’aurait jamais osé une telle familiarité. Et je poursuis- Pourquoi m’as-tu fouettée, j’étais déjà en pleine forme ?
- Parce que j’en avais envie, Et elle continue- Et comme tu étais à ma disposition, je n’ai pas laissé passer l’occasion. Et conclut en posant un baiser de moineau sur mes lèvres.

Un ange passe.

- Et moi, que vous ai-je fait. Me demande Mel- Vous vous êtes enconnée et doigtée.
- Doigtée, comment savez-vous ça ?
- Je n’ai pas senti les anneaux d’Hélène.
- Alors pour la prochaine fois, je me ferai percer. Me répond-elle- Une prochaine fois, si je veux, et quand je veux ! Lui rétorque ma brune avec une petite pointe de jalousie, et elle poursuit - Bon, tu as eu presque tout bon mon chat, alors quels sont nos gages.
- Oh, un seul pour toutes les deux !
- C'est quoi ? S'impatiente Mel !

La réponse de Pierre tombe, comme un couperet.

- Hélène, tu me donneras Mel, pour une soirée !

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